exam 2 Flashcards

1
Q
  1. Quelle est l’utilité de l’entrevue dans le cadre d’une recherche ?
A

Co-construction de sens entre le chercheur et le participant, on tente de comprendre le phénomène de l’étude tel que perçut par le participant.

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2
Q
  1. Quels sont les avantages et les inconvénients de l’entrevue semidirigée ?
A

Avantages
Flexibilité : possibilité d’adapter la grille d’entrevue
Accès direct à l’expérience de l’individu
Données riches en détails et en description

Inconvénients  
Peut être perçu comme artificielle  
Crédibilité des informations  
Fiabilité peut être remise en question  
Exige beaucoup de temps
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3
Q
  1. Qu’est-ce qu’un guide d’entretien et quelle est son utilité ?
A

Guide d’entretien ;
Doit absolument être validé. On peut l’ajuster à la fin de chaque entrevue.
L’entretien de la recherche. Étape cruciale dans le recueil de données. Évolutif et séquentiel.
Pré-test du guide d’entrevue sur un petit groupe.

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4
Q
  1. Comment doit-on conduire une entrevue semi-dirigée ?
A

Ne pas commencer avec la personne qui nous pensons va nous donner les meilleures infos. Puisque nous ne sommes pas à notre meilleur lors de la première entrevue. Nous sélectionnons dont les personnes les moins « intéressantes» en premier.
Plusieurs considérations matérielles : avoir l’accord des participants pour enregistrer l’entrevue pour une analyse plus facile des résultats.
Prise de contacts : Prise de contacts parfois longue. Il faut planifier l’entrevue ce qui peut être long. Toujours rappeler à la personne que nous suivons certaines règles de conduite.
10 choses à considérer ;
L’entrée en matière : nous devons être convaincants pour entrer en contact avec les répondants. Leurs démontrer notre rigueur et sérieux.
Confiance, plus à l’aise de livrer l’info
Confidentialité : obtenir sa perception par rapport à une situation
Objectifs généraux de l’entrevue
Écoute
Respect des propos de l’opinion
Langage verbal
Tenue vestimentaire, regard de l’autre sur soi
Langage non-verbal / corporel, prise de notes là pour ça
Durée de l’entrevue, plus de 90 min = davantage un récit de vie, gestion de temps
Prise de notes : dire avant l’entrevue ce que nous allons faire
Différents types de questions sondes
P, 75, 76 et 77 (Berthier) : questions sondes, différentes techniques qui sont utilisées

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5
Q
  1. Quelles sont les principales formes d’interventions et de relances à utiliser lorsque l’on mène une entrevue semi-dirigée ?
A
Relance intervention  
Demande neutre Eclaircissement  
Interprétation  
Écho 
Reflet et recentrage  
Marques d’écoute et silence  
Reformulation et clarification
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6
Q
  1. Quelles sont les aptitudes personnelles et autre savoir-faire que doit posséder l’étudiant-chercheur lorsqu’il mène une entrevue semi-dirigée ?
A

Aptitudes semi-dirigée
Personnelles : Écoute, Empathie, Objectivité, Faire attention au non-verbal
Techniques : toujours enregistrer l’entrevue parce que prendre des notes sur tout est impossible, maitriser l’outil pour enregistrer. Prévoir un outil d’enregistrement de rechange. La prise de notes se résume souvent au non-verbal.
Environnementales : lieu dans lequel on va faire l’entrevue. Environnement calme et silencieux. Un lieu avec de nombreuses personnes peut nuire à la concentration du répondant. Une perte de concentration est difficile à ramener dans le fil conducteur.
Savoir-faire semi-dirigée
Rôle : savoir débloquer les blocages (participant qui est incapable de donner une réponse)
Être capable de dire toutes les réponses sont bonnes.
Savoir-faire et avoir-être.

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7
Q
  1. Qu’est-ce qu’une approche biographique ?

Entrevue ouverte / approche biographique :

A

expression libre, récit de vie, participants qui ont souvent beaucoup de vécut sur la problématique, seulement 2 ou 3 questions ouvertes, basé sur l’expérience
Récit de vie : seulement avec deux ou trois personnes, aspect temporel diffère des entrevue semi-dirigée
Demande une grande concentration, car longue entrevue de 2 ou 3 heures
Demande des répondants qui ont une grande expérience
On devient un modérateur pour s’assurer qu’il ne s’écarte pas du sujet
On a un guide d’entretien avec seulement 1 ou deux thèmes qui ont peu de questions
Éléments clés à retenir récit de vit
Interviewé : grande expérience
Évolution du parcours, ciblage des temps forts, explications et précisions, vécu vs perçut : choses que l’on cherche à savoir du répondant, rôle de l’émetteur, utiliser technique de relance ou de précision pour garder l’interviewé sur ce sujet, éléments centraux de l’analyse du récit
Approche bibliographique basé sur des récits de vie : essayer de sortir des moments forts du vécut
Axe diachronique : parcours de vie de l’interviewé, plus objectif, faits que l’on peut valider
Axe synchronique : plus subjectif, représentation

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8
Q
  1. Quels sont les éléments clés à considérer lorsque l’on utilise l’approche biographique ?
A

10 choses à considérer ;
L’entrée en matière : nous devons être convaincants pour entrer en contact avec les répondants. Leurs démontrer notre rigueur et sérieux.
Confiance, plus à l’aise de livrer l’info
Confidentialité : obtenir sa perception par rapport à une situation
Objectifs généraux de l’entrevue
Écoute
Respect des propos de l’opinion
Langage verbal
Tenue vestimentaire, regard de l’autre sur soi
Langage non-verbal / corporel, prise de notes là pour ça
Durée de l’entrevue, plus de 90 min = davantage un récit de vie, gestion de temps

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9
Q
  1. Qu’est-ce qu’un groupe de discussion ?
A

Groupe de discussion est une méthode qui vise à reconstruire la parole d’acteurs.
On comprend la façon dont les acteurs interprètent la réalité que j’étudie
On cherche une dynamique de groupe, une discussion avec un animateur (individu vs groupe)
On cherche le vécut des participants
Méthode souvent complémentaire

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10
Q
  1. Il est souvent fait mention que la méthode du groupe de discussion permet « d’accoucher les esprits ». Pourquoi ?
A

Caractéristiques ;
Contact direct
Faible directivité pour la personne qui anime, car souvent on laisse une personne réponde et les autres réagissent
Réponses nuancées
Objectif
Créer des échanges entre les participants ce qui permet d’obtenir une expression. L’échange n’est pas unidirectionnel.

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11
Q
  1. Quel est l’intérêt d’utiliser un groupe de discussion dans le cadre d’une recherche ?
A

On s’attend à une réponse spontanée
Authentique, souvent vient avec la confirmation de la confidentialité
Dans une période de 2/3h on obtient beaucoup d’informations

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12
Q
  1. Quelles questions à se poser avant un groupe de discussion, comment animer un groupe de discussion?
A

Question à se poser avant le groupe
Pourquoi? Enjeux d’action, contexte social, vécut ou expérience si oui à un de ceux là c’est une bonne idée de faire un groupe de discussion
À partir de quoi : question p et s, thème, études antérieures qui traitent de notre sujet
Sur quoi : comportements, attitudes, contraintes
Avec qui : Préalablement estimer de combien de personnes nous avons besoin et de quelle clientèle nous avons de besoin

Paramètres fondamentaux
Avant de poser une seule question il faut avoir le consentement de tous les participants
La durée du groupe de discussion doit être anticipée et mise dans le groupe de discussion
Les échanges vont être enregistrées
Si une personne ne veut pas être enregistrée, tout le groupe ne doit pas être enregistré
On doit présenter les principaux thèmes avant le déroulement du groupe

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13
Q
  1. Quel est le ratio ou le nombre idéal de participants à un groupe de discussion, et ce pour quelles raisons ?
A

maximum 12 personnes, minimum 6 sinon difficile de gérer situation conflictuelle et droit de parole

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14
Q
  1. Quelles sont les qualités interpersonnelles que doit posséder l’animateur d’un groupe de discussion ?
A

Animateur doit ramener les participants sur le droit chemin, mais il doit surtout écouter
Objectivité : aller chercher le pourquoi
Patience : respecter le temps de parole de chacun, respecter les personnes qui vont s’exprimer de façon différentes

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15
Q
  1. Qu’est-ce que l’observation ?
A

Observation : produire une grille d’observation pour analyser un comportement, rapport entre un observateur et un phénomène observé
Concept très large puisque mélange entre une façon d’observer et différents types de terrain, méthode qui exige de se rendre sur le terrain, on doit donc comprendre le terrain, quel type de population évolue sur le terrain, chercher à observer ce qui se déroule, voir ce qui se déroule en temps habituel, nous sommes les témoins objectifs des comportement, phénomènes ou situations, ne pas influencer ces comportements, phénomènes ou objectifs, donc ne pas interagir avec les témoins
Pour être le témoin objectif de ça : il faut préalablement avant de se rendre sur le terrain des outils
Anthropologie et ethnologie : naissance de l’observation puisque s’était leur seule méthode pour comprendre une nouvelle tribu
Évolution de l’observation par l’école de sociologie de Chicago, arrivée massive d’immigrants qui tentent de s’intégrer, l’école tente de comprendre ces nouveaux arrivants par l’intérieur de la ville.
Remise en question de cette technique, ils disaient qu’elle était trop suggestive, puisque l’objectivité n’était pas là. Évolution dans les années 50 où on structure les méthodes de recherche avec les grilles d’observation. Maintenant, plusieurs disciplines utilisent la grille d’observation (sociologie, médecine, ethnologie, ect.)

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16
Q
  1. Quelles sont les différences entre l’observation participante et l’observation non-participante
A

Mode d’observation participante : le participant cherche à s’intégrer dans le groupe. L’intégration est le but. Pour observer en profondeur des groupes sociaux qui ne pourraient pas être observés sinon. Distance social n’existe plus. On cherche à comprendre comment se groupe évolue à l’intérieur. Il faut prolonger l’observation pour bien comprendre le groupe (plusieurs années). On n’a pas le choix de perdre une objectivité. Aussitôt que le groupe accepte un nouveau membre, leur comportement peur changer. On essaie de se faire oublier dans le groupe pour que leurs anciennes attitudes ressortent.
Mode d’observation non-participante: observer le groupe et les participants avec un recul, une distance sociale. Plusieurs façons de fonctionner : distance physique, être très proche des participant, être caché (vitre teintée), la personne vise à se faire oublier

17
Q
  1. Comment doit-on se préparer avant d’aller sur le terrain pour effectuer de l’observation ?
A

Choix questionnaire : intérêt du chercheur, intérêt pour la problématique
Observateur : lien entre problématique de l’étude, éléments conceptuels et terrain, le rôle de l’observateur doit être compris en faisant un lien entre les différents éléments conceptuels, doit connaître l’espace physique et social de l’observation, connaître et maîtriser le mode d’observation et doit savoir à quel moment il va se rendre sur le terrain et pendant combien de temps il va y être. On doit avertir de notre présence.
- éléments logistiques : grille d’observation, enregistreur, feuille

18
Q
  1. Quelle est l’utilité d’une grille d’observation ?
A

Évolution dans les années 50 où on structure les méthodes de recherche avec les grilles d’observation. Maintenant, plusieurs disciplines utilisent la grille d’observation (sociologie, médecine, ethnologie, ect.)
Observation : produire une grille d’observation pour analyser un comportement, rapport entre un observateur et un phénomène observé

19
Q
  1. Quel est le rôle de l’observateur ?
A

Rôle de l’observateur :

  • entrée et sortie : comment réussir son entrée et sa sortie
  • connaissance du terrain : il faut savoir qui on va observer et donc comprendre le milieu d’où ils viennent, comprendre le type de pratique sur le territoire à l’aide du pré-test, repérage terrain est essentiel dans le pré-test.
  • Choix du sujet : savoir qui on va évaluer
  • Rôle observateur : clairement définit avant de se rendre sur le terrain
  • Entrée : faire comprendre que nous avons notre place dans le groupe
  • Sortie : faire comprendre que cette étude n’est pas notre place habituelle, souvent on peut donner les résultats de la recherche
20
Q
  1. Que sont les méthodes mobiles ?
A

Développement d’un nouveau paradigme de la mobilité.
Ancré dans la vie quotidienne, elles permettent de connaître
Les expériences du quotidien
Les expériences multisensorielles
La relation sujet – lieu
Le mouvement facilite les récits les plus intimes.
Biomapping : système GPS qui mesure les plus hauts niveaux d’excitation (réponse galvanique)
Carte où le participant indique son niveau d’excitation.
Analyse des données avec le participant.

21
Q
  1. Comment la marche peut être analysée par le biais de méthodes mobiles ?
A

Adaptation de la méthode de l’itinéraire pour la marche en ville.
Le participant nous mène sur les lieux connus de son quartier et nous raconte son histoire. On utilise également la photographie. Rôle central du participant comme guide, basé sur son expérience.
Une marche guidée est organisée pour que le participant se familiarise avec son quartier. On se fie à la mémoire du participant. Idée de coprésence.
Objectif : comprendre le choix de parcours du participant
1. Recueil en temps réel du parcours
2.Valider le récit du parcours, des photographies
Analyse de chaque itinéraire
Échanges et propositions (optionnel)

22
Q
  1. Comment la pratique du vélo peut être analysée par le biais de méthodes mobiles ?
A

Utilisation de la go pro pour expliquer son parcours et son expérience
Cycliste seul
Retour avec lui

23
Q
  1. Quelles sont les principales étapes de l’analyse quantitative de données ?
A
Plan  
- Guide de codage  
- Base de données 
Préparation des données 
- Saisie des données 
- Nettoyage des données 
Tri à plat  
- Inverser les données 
- Création de scores globaux 
Analyse des données 
- Processus de décision
24
Q
  1. Quelles sont les principaux types de mesures de tendance centrale et de dispersion ?
A

Mesure de tendance centrale : moyenne (somme divisée par nombre de données), médiane (donnée du milieu) et mode (donnée revenant le plus souvent)
Mesure de dispersion : étendue (donnée maximale-donnée minimale), écart-type (écarts à la moyenne)

25
Q
  1. Qu’est-ce que l’analyse thématique de données ?
A

Appel à des thèmes pour traiter et analyser des données. Méthode intimement liée à notre méthodologie de recherche.
Elle a deux buts ;
Repérer les thèmes les plus pertinents
Tracer des parallèles ou repérer des divergeances entre les termes

26
Q
  1. Dans une perspective qualitative, qu’entend-t-on par un « thème » ?
A

Ensemble de mots qui permettent de cerner ce qui est abordé dans l’extrait d’un corpus correspondant, tout en fournissant des indications sur la teneur des propos.

27
Q
  1. Dans le cadre de l’analyse de données qualitatives, pourquoi dit-on qu’il faut « lire, relire et lire encore ses données » ?
A

Quand on est rendu à la deuxième phase de lecture, on peut relire et à chaque fois qu’il y a des éléments qui se rattachent au thèmes surlignage, ou on peut faire démarche séquencée. C’est-à-dire lire une fois et juste surligner les infos imp du thème, faire une autre lecture et juste surligner les infos du thème deux.
Séquencé à privilégier puisque nous devons lire plusieurs fois.

28
Q
  1. Nommez et définissez deux outils utilisés dans l’analyse thématique ?
A
  1. Linéaire
    Création d’un document dans lequel on marque les différents thèmes utilisés. Indiquer les éléments forts qui se retrouvent dans les thèmes.
    1. Ventilé
      Classer les thèmes par répondant. Organisation des données différentes de linéaire.
    2. Ventilé par colonnes..
      Thème, sous-thème, argumentaires développés par répondant et extraits d’entrevue
    3. Relevé de thèmes transversal
      Par groupe
      Le relevé de thème n’est pas présenté en PFE et il évolue.
      Tout ça pour en arriver à un arbre thématique
      Arbre thématique
      Aboutissement de l’analyse .
      On comprends avec l’arbre l’aboutissement qui nous a amené à choisir nos thèmes, ect.
      • Thèmes à faibles inférence
      • Thèmes à haut niveau d’inférence qui proviennent des thèmes à faible inférence
      • Similitude et divergeance de points de vue
      • Extraits d’entrevue
29
Q
  1. Quelles sont les différences entre les termes de mobilisation des connaissances, de transfert des connaissances et de diffusion des connaissances ?
A

Diffusion : juste transmettre l’information
Transfert : échange, rencontre pour savoir comment on a procécé, une coche plus loin que la diffusion, contact direct avec le milieu
Mobilisation : on rencontre les gens sur plusieurs jours, présente les résultats de recherche et après ateliers de réflexion sur comment on peut appliquer mes résultats au milieu selon leurs besoins et ressources.

30
Q
  1. Qu’est-ce qu’un sommaire exécutif et comment doit-on le structurer ?
A

On est dans société ou les personnes en position d’autorité ont peu de temps. Donc, pas envie de se taper des gros documents à lire. Donc, synthèse détaillée de notre PFE. 10 à 20 pages, mais idéalement 10. Recadrage de certains concepts.
Qu’est-ce que les personnes veulent lire en lisant mon sommaire de recherche. Par exemple, la méthodologie est souvent moins intéressante.
À qui je vais distribuer ce sommaire, qui va le lire?
Copier-coller des passages pour les rendre plus clairs.
Seul les éléments qui sont pratiquent pour les personnes s’y retrouve.
Un sommaire exécutif qui concerne tout le monde.
Quel type de sommaire exécutif on attends : nombre de page, contenu, ect.
Document construit pour qu’il circule, l’orthographe doit se tenir et la qualité du contenu doivent être là.

31
Q
  1. Quelle est l’utilité d’un sommaire exécutif dans le cadre de recherches en loisir ?
A

Capable de structurer sommaire pour adapter au loisir, pour être capable que la personne puisse appliquer la recherche dans son organisme.

32
Q
  1. Quels sont, selon vous, les éléments importants à prendre en compte lorsque l’on effectue une présentation orale ?
A

Indiquer les sources
Annoncer son plan d’exposé
Être clair et compréhensible
Utiliser un vocabulaire vari et adapté au public
Faire participer l’auditoire
Utiliser des donnés et autres faits pour illustrer ses propos
Avoir recours au tableau et écrire lisiblement
Respecter le créneau horaire imparti
Être audible
Fournir éventuellement des documents complémentaires
Utiliser l’humour pour maintenir l’interêt de l’auditoire
Éviter de lire ses notes
Viser un exposé ludique, attractif et interactif
Manifester de l’enthousiasme
Utiliser différents supports de façon judicieuse
Ainsi
Regarder l’auditoire
Changer de posture fréquemment
Introduire son sujet d’une façon conviviale
Regarder l’auditoire et regarder sa réaction
Appuyer certains points du geste
S’assurer compréhension éléments clairs et bien compris
Courte pause
Varier rythme élocution
Regarder auditoire

33
Q
  1. Comment procède-t-on pour planifier et produire une affiche scientifique ?
A

Se poser des question qui, quoi, ou, comment
Qui : qui je suis comme personne qui présente à l’oral
À qui : je vais présenter mon affiche
Quoi : quels éléments je dois mettre sur mon affiche
Où : lieu de la présentation
Quand : moment de présentation et temps de préparation de l’affiche
Comment : je vais la présenter, quelles stratégies ont été utilisées, travail sur la forme
Pourquoi : pour quelles raisons je la présente, objectifs
Présentation
Caractéristiques;
Simple : en un seul regard on doit être capable de deviner de quoi on parle
Aérée : pas trop de texte
Équilibrée : penser aux espaces entre les différentes sections de l’affiche, il se peut que certaines sections aient plus d’importance que d’autres
Concise : pas un document écrit, mais visuel. On minimise l’écrit. On utilise surtout des supports visuels.
Lisibilité : en un mètre de distance la personne doit être en mesure de lire l’affiche
Dynamique : vocabulaire adapté, évocateur, principes de communication
Voir site universitaire sur affiche scientifique