Exam 2 Flashcards
V/F
La mère demeure le lien privilégié dans les soins, surtout en bas âge
V
Mm si ça a changé et qu’il y a des exceptions!
résultats de recherche comparant absence ou présence du père
- engagement accru des pères ds différentes sphères d’act familiales atténuerait le caractère stéréotypé des rôles
- si présence père et relation de bonne qualité: meilleure adaptation scolaire, sociale, cognitive et psychologique (plusieurs études)
- – principaux résultats se maintiennent ds études sur les familles biparentales en fct de l’intensité de l’engagement paternel
- – autant chez filles que garçons: meilleure réussite scolaire et professionnelle et moins de prob de comp
- – moins de délinquance observé chez garçons, moins de prob de SM chez filles
mouvance de l’enviro social ds les dernières décennies:
transformations familiales (divorces, séparation, …), liens virtuels, femmes en emploi, CPE…
- -> Ajout de nouveaux sous-sys autour de l’enfant
- —-> redéfinition de l’identité parentale
V/F
Les pères sont de plus en plus nbreux à prendre congé pour s’occuper des nouveau-nés
V
plus du 1/4 des nouveaux pères au Canada (27%) se sont prévalus d’un congé parental rémunéré en 2014 (ou avaient l’intention de le faire), alors qu’à peine 3% d’entre eux en avaient fait autant en 2000
V/F
Le nb de « père au foyer » est en baisse
F
en hausse
2014: pères représentaient 11% des parents au foyer, comparativement à 1% en 1976
V/F
Les pères de jeunes enfants s’absentent plus souvent du travail pour des motifs familiaux
V
2015: pères d’enfants de moins de 5 ans ont déclaré s’être absenté du travail en moy 2 jour/an en raison de leurs responsabilités personnelles ou familiales p/r à 1,2 jour/an en 2009
V/F
les «pères seuls » en situation de faible revenu sont plus nbreux
F
Moins nbreux
2008: incidence de faible revenu se situait à 7% lorsque la famille monoparentale était dirigée par un homme, p/r à 18% en 1976
V/F
Les pères participent de plus en plus aux tâches domestiques
V
H affirment participer aux tâches ménagères y consacreraient en moy 184 min/jour en 2010, p/r à 171 min en 1998
V/F
Les pères bénéficient de modalités de travail flexibles se disent plus satisfaits quant à l’équilibre travail-vie personnelle
V
parmi les pères ayant des enfants de moins de 18 ans et travaillant à temps plein selon un horaire flexible, le taux de satisfaction à l’égard de l’équilibre entre travail et vie personnelle en 2012 atteignait 81% comparativement à 76% de ceux qui n’avaient pas accès à cette flexibilité
V/F
une proportion croissante des enfants considèrent qu’il est difficile de discuter avec leur papa
F
facile
2013-2014: 66% filles et 75% garçons de 11 ans affirmaient qu’il était facile de discuter avec leur père de sujets préoccupants, p/r à 56% F et 72% G deux décennies auparavant
V/F
Depuis +/- 1990: les études se décentrent du modèle maternel (sensibilité, affection, expression des émotions, communication valorisée par les mères) vers compétences et particularités des pères (action, jeux physiques, autonomie, mise à défi)
V
V/F
Davantage de différences que de similitudes entre les comp des pères et des mères
F contraire
mères interagissent davantage ds un contexte de ?
soins
pères interagissent davantage ds contexte de ?
jeux –> lié au dév de l’attachement père - enfant
5 distinctions qui font consensus au sein de la communauté scientifique p/r aux différences des patrons comportementaux paternels
1- type d'activités 2- action comme mode d'interaction 3- langage 4- réactivité aux comp de dépendance de l'enfant 5- mise au défi de l'enfant
sur plan du langage et résol de prob, pères:
plus exigeants, favorisent une plus grande autonomie. utilisent langage moins familier et font plus de demande de clarification
V/F
pères réagissent davantage aux comp de dépendance de l’enfant (surtout garçons). apporte moins de soutien direct afin de favoriser autonomie
V
V/F
pères mettent davantage enfants au défi en adoptant des comp moins prévisibles
V
ex: cours de natation: pères vont tout de suite pitcher bb ds l’eau alors que les mères vont faire plus attention
Jeux investis différemment. pères privilégient jeux
tactiles et kinesthésiques
V/F
pères respectent davantage le jeu réel
V
mère laisse davantage enfant gagner (pour estime de soi)
avec le père: expositions nécessaires à l’échec pour apprendre des manières de composer avec cette situation
Complémentarité parentale
qualité qui devrait contribuer au dév de l’enfant
valeur ajoutée pour l’enfant de vivre ds milieu où les parents adoptent des comportements différenciés (ds respect d’une cohérence de base)
V/F
en principe, 2 parents devraient permettre de mieux répondre aux nbreux besoins de l’enfant (plus qu’un ajout qualitatif, –> dimension qualitative de l’engagement)
V
- engagement seul pas garant des effets observés sur le dév de l’enfant –> dimensions ctrl et chaleur très imp
- études précisent qu’un père engagé à la fois chaleureux et exerçant un certain ctrl prédirait les comp prosociaux avec les pairs à l’école et peu lié aux probs de comps
- cohérent avec les effets positifs sur l’adapt de l’enfant du parentage démocraitque
Complémentarité parentale: un 2e parent donne l’occasion à l’enfant de confirmer ou valider ce qui est dit par l’autre –> ?
cohérence ou non du msg transmis –> effort cognitif –> apprentissage
V/F
très tôt, les bb distinguent les divers contextes d’interaction en adaptant leurs comp selon le style interactif des pères et mères
V
V/F
Dans les familles avec un seul parent, les relations se personnalisent plus fréquemment, ce qui peut générer davantage de conflits
V
Dubeau, coutu et moss (2000) ont modélisé 2 rôles parentaux:
1- se rapporte au soutien affectif et émotionnel
2- sys comportemental de l’exploration (antagoniste et complémentaire)
rôle parental qui se rapporte au soutien affectif et émotionnel
- caractérise particulièrement la relation mère-enfant
- encore ajd, mère reconnue pour interagir plus souvent avec l’enfant, routine des soins, première figure d’attachement
- soutien émotionnel, protection des inconforts internes et menaces externes. s’ajuste en fct des signaux émis par l’enfant pour une rép sensible et adéquate à ses besoins
- ens des résultats des études comparatives portant sur l’attachement démontre une supériorité des mesures maternelles de l’attachement quant à l’adaptation sociale et cognitive ultérieure de l’enfant
- composante « proximité » de l’attachement –> sys comportemental de recherche de réconfort
Rôle parental qui se rapporte à sys comportemental de l’exploration (antagoniste et complémentaire)
- acquisition et adapt aux enviro –> besoins d’autonomie de l’enfant
- « relation d’activation » –> caract plus spécifiques de la relation père-enfant ds un contexte d’exploration
- en conformité avec une fct d’ouverture au monde qui implique stimulation et ctrl
- enfant activé (ni sous ou sur-activé) aura confiance en ses propres capacités à faire face aux situations inconnues puisque son père l’aura encouragé à explorer en lui assurant sa sécurité
- particularités de l’interactions père-enfant (exciter, déstabiliser, provoquer) aide la confiance de l’enfant à explorer en prenant des risques et en apprenant à réagir aux imprévus
- nécessite qu’il soit encadré ds des limites qui assurent sa protection –> importance de la discipline (autonome, mais il faut qud mm s’en occuper)
limites sécurisent tout autant l’enfant que amour et réconfort
Quels contextes fragilisent la complémentarité parentale
conflits et séparation
liens étroits entre les sous-sys conjugaux et parentaux
5 variables qui ont rôle significatif ds qualité du milieu offert à l’enfant
1- climat émotionnel de la famille (ex: niveau de conflit)
2- qualité de la comm
disponibilité des adultes pour favoriser réussite et apprentissages
4- organisation pratique - bien structuré, espace et temps prévisibles (routines)
5- exp riches et variés pour explorer
V/F
qualité de l’environnement familial dépend des ressources matérielles, mais aussi de son fctment –> rôle crucial des compétences des parents
V
à quel moment la pression parentale commence à être néfaste pour le dév?
difficile équilibre –> abs de soutien vs excès de pression éducative. positions extrêmes néfastes. variables selon les contextes et les ind
(dépend du type d’enfant: certains ont besoin d’être poussé et d’autres non)
V/F le surinvestissement d’une zone de compétence nuit parfois aux autres zones
V
Le plus imp des facteurs de risques ds le dév des prob comp et affectifs pouvant potentiellement être modifié
qualité des conduites parentales
conduites des parents a influence sur plusieurs domaines
estime de soi réussite scolaire dév cognitif comportements ...
2 déterminants majeurs des effets des conduites parentales sur le dév de l’enfant + courtes définitions
- sensibilité: aptitude du parent à saisir et à interpréter correctement les signaux émis par l’enfant
- contrôle: demandes et exigences que posent les parents envers l’enfant en tant qu’autorités familiales et superviseurs de l’enfant
conduites des parents efficaces: sensibilité:
- lien + entre les conduites parentales sensibles et réceptives et l’expression d’émotions positives chez les enfants
- dimension imp pour l’attachement dont l’importance se maintient tout le long de la vie
- attitude de fond + que juste technique
- cependant peut être améliorée: qualité de la comm, vigilance à l’égard du vécu de l’enfant, écoute…
conduites des parents efficaces: contrôle:
- exigences des parents contribuent largement à orienter la conduite, les réussites et les acquis de l’enfant
- bonne partie de la socialisation repose sur l’intériorisation progressive des normes et des règles imposées
- affirmer des limites, imposer des règles et des interdits: essentiel ds construction sociale de l’enfant
- ne pas confondre avec autoritarisme. excès à éviter. Chercheurs associent étroitement discipline incohérente, rigide, explosive à dév de prob de conduite, impulsivité, inattention…
- À l’autre extrémité du continuum: manque d’affirmation parentale –> lié à bcp de consultations en psychoéd. « L’enfant n’intériorise pas les règles qu’on ne lui impose pas et, plus tard, on le blâme pour sa mauvaise conduite »
Styles d’autorité parentale (dessin)
voir dessin (hibou rose et bleu #1)
- style démocratique
- permissif
- autocratique
- désengagé
Styles d’autorité parentale: style démocratique:
- le plus proche de l’idéal
- -> On discute/échange, mais reste un droit de veto!
- permet à l’enfant d’apprendre l’autoctrl ds un contexte de respect mutuel
- attentes élevées, limites claires, consistance et cohérence ds l’utilisation des récompenses et punitions. enfant encouragé à exprimer son pt de vue, écoute, respect des opinions de l’enfant qui le concernent
- Études démontrent que les enfants ds ce contexte, ont plus souvent les caract suivantes:
- confiance en soi
- sentiment de pouvoir ctrler ce qui lui arrive
- capacité de maintenir un effort ds la poursuite d’un obj
- compétences sociales
- rendement académique supérieur
Styles d’autorité parentale: style permissif:
- -> Chaleureux, abs de règles, enfant fait ce qu’il veut. Laxisme, laisser-aller
- Potentiel de l’enfant peu stimulé, pas à faire d’efforts et respecter des règles
- Cons possibles pour l’enfant:
- impulsivité
- insécurité (encadrer sécurise!)
- dépendance
- manque de constance dans l’effort
- centré sur ses propres besoins (parent sont été trop centrés sur ses besoins donc il n’est pas capable de se décentrer
ex: Super Nanny!
- centré sur ses propres besoins (parent sont été trop centrés sur ses besoins donc il n’est pas capable de se décentrer
Styles d’autorité parentale: style autocratique:
- -> Parents centrés sur leurs propres besoins, exigences élevées, obéissance SANS DISCUSSION. Comm froide et unidirectionnelle
- cons possibles pour l’enfant:
- risque d’enfant inhibés, retirés, peu sûrs d’eux
- rendement académique plus faible
- moins d’initiative et de leadership
- réseau d’amis plus restreint
- Pratique parentale stricte et sévère (tout comme surprotectrice) = facteur de risque imp ds dév des tr d’anxiété et de dépression chez les jeunes enfants
Styles d’autorité parentale: style désengagé:
- -> Parents centré sur ses propres besoins, à distance, n’impose pas d’exigences. Peu présent, très occupé ailleurs. À la limite: négligence (tr SM, toxicomanie ou parents trop carriéristes)
- enfants les plus à risque de vivre des prob d’inadaptation ou de délinquance
Quel style d’autorité parentale est à la limite de la négligence et mène le plus souvent à des enfants avec des prob d’inadaptation ou de délinquance
style désengagé
deux déterminants des pratiques parentales + déf
- Facteurs sociocontextuels: caract des enfants, hx développementale des parents, leurs propres caract psycho, traits de personnalité des parents influencent leurs émotions et cognitions
- Connaissances parentales: compréhension globale de l’enfant et de son dév, savoir comment s’en occuper –> S’adaptent mieux à l’enfant
But des prog de soutien aux parents
Soutenir et renforcir les habiletés parentales. Modifier les attitudes des parents, leurs connaissances, leurs comportements
Caract des prog de soutien aux parents reconnus efficaces:
- Ciblent des types spécifiques de comp chez l’enfant
- Abordent plusieurs facteurs: mettre en place une routine, interpréter adéquatement les comp selon l’âge, connaître les ressources du milieu…
- Cohérents avec l’intervention ds d’autres milieux (garderie, école…) (PI pour travailler les mm objs partout)
- Sollicitent l’investissement des parents
- Offrent des occasions de rencontres et de soutien entre parents
- Insistent sur l’importance des conduites des parents pour le dév sain de l’enfant
- particulièrement efficace si –> combinaison de services éducatifs directs aux enfants et intervention auprès des parents
Qu’est-ce qui est susceptibles d’être les relations les plus longues au cours d’une vie ?
Fratrie
3 caract des relations fraternelles
- *émotives et intenses
- Fortes émotions désinhibées: positives, négatives ou ambivalentes
- Intimes: se connaissent très bien, soutien affectif et instrumental. Occasions de jeu, de conflits…
- Grandes différences individuelles: différences d’âge, questions de pouvoir, de ctrl et de rivalité occasionnent souvent disputes
relations fraternelles : contexte ..?
d’apprentissage social, affectif, moral et cognitif
Relations avec les pairs est essentielle à l’adaptation..?
psychosociale
V/F
Dév d’habiletés sociales avec les pairs différentes d’avec les parents
V
Parents: rel verticale, avec les pairs: au mm niv
Habiletés sociales avec les pairs différentes qu’avec les parents
- Expérimentation des rôles de dominance (règles hiérarchiques avec des plus petits et plus grands)
- Stimule le raisonnement, l’échange d’opinion, rapports basés sur la réciprocité
- Coopération et participation directe aux décisions
- Éval réaliste de leurs forces et faiblesses. Jugement porté sur ses capacités se fait par comparaison aux autres (différent selon le gr de réf - sentiment d’échec ou valorisation)
- En se comparant, l’enfant élabore l’image de lui-mm
Facteurs facilitants pour les relations avec les pairs
- Contribution d’habiletés affectives, sociales et comportementales acquies ds les 2 premières années de vie:
- gestion des émotions
- inhibition des impulsions
- gestions de l’attention conjointe
- Imitation des actions d’un autre enfant
- compréhension des relations de cause à effet
- habiletés langagières
- Facteurs extérieurs: relations avec les membres de la famille, le milieu socio-économique et culturel
- Facteurs individuels: tempérament, présence de déficience (diverses)…
Évol des relations avec les paris au cours de l’enfance: au cours de la petite enfance:
- Dès 6 mois, échange de signes vocaux - un bb émet un son, l’autre y répond
- Avec le temps, interactions plus longues et complexes
- Vers 1 an: se mimer, se poursuivre, s’amuser à tour de rôle avec un jouet… (Act dominées par le tour à tour, plus réaction à l’autre)
- Dans la 2e année: interaction avec les pairs grandit, regards et vocalisations, chgt de rôle (chacun son tour)
- Complexité limitée des interactions sans véritable mutualité. Jeu parallèle
Évol des relations avec les paris au cours de l’enfance: âge préscolaire:
- De 2 à 5 ans, l’enfant se transforme sur le plan social
- Dév de la pensée symbolique et du langage. Ouvre la porte au monde de la fantaisie (dépasse action motrice) et possibilité d’échanger verbalement
- L’enfant passe du jeu parallèle (un à côté de l’autre sans interaction) au jeu coopératif (échanges réciproques et partage de différents rôles)
- Progressivement, échanges verbaux plus longs et plus efficaces
- Différences individuelles observables: certains plus solitaires, d’autres plus portés vers le gr. Chacun dév son propre profil social
- Le milieu influence le comp social de l’enfant: influence des attitudes sociales des parents et soutien nécessaire des parents pour se faire des amis. Pauvreté, dépression maternelle, attachement insécurisant influent négativement la qualité des relations de l’enfant
- Certains jeunes de 3 et 4 ans présentent déjà des difficultés relationnelles. Un enfant de niv préscolaire, hyperactif, agressif ou renfermé sur lui-mm serait plus à risque d’être rejeté par les autres
- Habiletés apprises en bas âge telles que inhiber ses impulsions, gérer l’attention reçue, réguler ses émotions, communiquer à autrui serviront ds les rel futures tout au long de la vie
- Enfants n’ayant pas dév de bonnes habiletés sociales au préscolaire ont tendance à se regrouper avec des pairs marginaux, à renforcer des modèles de comp et de pensées déviants
- Important d’intervenir jeune car trajectoire plus facilement modifiable
Évol des relations avec les paris au cours de l’enfance: âge scolaire (6-11 ans)
- Entrée à l’école, point tournant de la vie sociale: bcp d’enfants de différents âges
- Accès à la pensée oratoire (vers 6-7 ans) permet pensée sociale moins centrée sur sa propre perspective. Lié à la capacité de saisir le pt de vue de l’autre, comprendre les règles d’un jeu, anticiper les cons
- Découverte des normes qui régissent les gr: pression sociale, coopération, popularité, rejet, …
- Diminution des interactions avec les adultes et aug avec les pairs
- Image de soi influencée par le regard des pairset comparaison. Découvre les différences entre les pairs et les différents milieux
- Formation de groupes de pairs, de dyades d’amis variables selon l’année scolaire
- Choix spontané de pairs du mm sexe
- Rel négatives durant l’enfance peuvent avoir un impact sur les sphères affectives et sociales à long terme. Plus de difficulté à s’intégrer ds un gr de pairs et se construire des amitiés durables.
2 grandes catégories qui se combinent pour 4 types de rel avec les pairs
Partenariat et amitié
- Amis intimes
- Amis sociaux
- Partenaires d’activités
- Connaissances
- -> Voir tableau hibou bleu (#2)
V/F
Au préscolaire, l’ami est un partenaire de jeu. Transfert facile d’un pair à l’autre
V
à 12ans, le meilleur ami est :
celui dont on découvre la personnalité. avec qui on partage des pts en communs (similitudes) et la rel avec lui est égalitaire (pas de dominance)
Le degré selon lequel l’enfant est rechercé par ses pairs
popularité
4 catégories d’enfants (mesurées par les techniques sociométriques)
populaires : plusieurs +
rejetés: plusieurs -
controversés: des + et des -
négligés: ni choisis, ni rejetés