Exam 2 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’observation?

A

L’observation est un concept large.
En effet, il y a plusieurs types d’observation:
- Observation au sens large: observation des écrits,etc
- Observation de courte durée: Sur le terrain, de courte durée, spectateur
- ‘‘field work’’: présence systématique et prolongée sur le terrain
- Observation participante: Participation active durant l’observation.

Globalement, on fait référence au fait d’aller voir sur place, être physiquement présent dans la situation, la regarder se dérouler en temps réel pour en rendre compte.

On est le témoin des comportements sociaux d’individus ou de groupes dans les lieux mêmes de leurs activités ou de leur résidences sans modifier le déroulement ordinaire.

Elle à pour objet le recueil et l’enregistrement de toutes les composantes de la vie sociale s’offrant à la perception de ce témoin particulier qu’est l’observateur.

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2
Q

Nommez deux finalités de l’observation.

A

Voici les quatres finalités de l’observation. Elle permet de:

  • Décrire différents comportements
  • Vérifier les hypothèses
  • Contrôler l’intelligibilité des traitements quantifiés
  • Vérifier les éléments évoqués lors des entretiens
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3
Q

Quelle est la différence entre l’observation directe et indirecte?

A

Indirecte = Absence de contact direct entre l’observateur et le sujet. Implique souvent l’usage d’outils intermédiaires (sondage) pour expliquer un comportement. Souvent, les sujets savent qu’ils sont observés, sans nécessairement connaitre le but afin de ne pas orienter les réponses. On peut créer une situation.

Directe = Phénomène observé doit être spontané. Contrairement à l’indirecte, le chercheur ne peut pas le créer. L’observateur est témoin et doit tout noter ce qu’il se produit en suivant des règles précises. Le mode d’observation le plus objectif. Le sujet peut être averti de la présence de l’observateur, mais ceci ne doit pas affecter son comportement.

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4
Q

Qu’entend-t-on par le « phénomène occupation double » ? Expliquez votre réponse

A

Le phénomène occupation double est le phénomène ou, dans une observation directe, le sujet est averti de la présence de l’observateur, mais ceci n’affecte plus son comportement à long terme. Comme lorsque les participants d’Occupation Double oublient la présence de la caméra (observateur) après quelques jours.

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5
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de discussion?

A

C’est un entretien non-directif collectif sur un sujet précis auprès de 6 à 12 participants.

C’est une technique qualitative d’entretien plus exigeante, car elle nécessite le contrôle d’un groupe avec une diversité individus. D’où l’importance du dynamisme de l’animateur et la régulation tu temps de parole.

Se caractérise par le contact direct, les faible directives et des données riches de sens (plusieurs personnes pour appuyer ou confronter des propos).

Éléments de définition:

  • Vise à reconstruire la parole d’acteurs
  • Permet d’avoir plusieurs interprétations d’un sujet et de les confronter afin d’observer la convergence ou les divergences d’opinions.
  • N’est pas une suite d’échanges, on amène l’individu à exprimer son opinion et on la confronte.
  • Comprendre de l’intérieur certains phénomènes en cherchant le vécu des individus.
  • C’est une méthode qui est souvent complémentaire
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6
Q

Quel est l’intérêt d’utiliser un groupe de discussion dans le cadre d’une recherche?

A
  • Connaitre les comportements et attitudes par rapport à une prise de décision par exemple.
  • Connaitre les obstacles, motivations et contraintes.
    -Réactions et interactions sur le vif, avec la présence du non-verbal.
    -Authenticité
    -Interactions et échanges
    Flexibilité et rapidité
    -Modulation des discussions par un animateur
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7
Q

Comment doit-on animer un groupe de discussion?

A
  • Rappeler le thème en début de séance
  • Faire un tour de parole pour savoir se présenter et présenter les membres du groupe
  • Interroger/Réitérer pour amener de nouvelles idées.
  • Laisser l’ouverture à la fin pour que le participant puisse approfondir son idée.
  • Avoir un guide de discussion

4 volet d’animation:
1- Avoir ouverture d’esprit
2- chercher à faire participer tous les participants. Temps de parole homogène et adéquat
3- Effort de groupe, ce n’est pas la réaction d’un participant, mais de l’Ensemble qu’on veut.
4- Garder le focus sur les objectifs.

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8
Q

Quelles sont les qualités interpersonnelles que doit posséder l’animateur d’un
groupe de discussion?

A
Sérieux et discipline 
Objectivité
Ouverture d’esprit et curiosité
Patience
Écoute
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9
Q

Quelles sont les limites du groupe de discussion? (Nommez et expliquez)

A

Stimulation: les participants doivent être stimulé, ce qui peut être difficile avec des gens peu à l’aise

Acceptation: faire accepter les rôles de chacun et leur
droit de parole

Influence et jeux de pouvoir: avoir dirigeant en employé

Objectivité/Sélection: difficulté de rester objectif par rapport aux participants

Neutralité: ne pas prendre position sur ce qui est dit

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10
Q

Nommez deux utilités des méthodes visuelles

A
  • Vision plus complète d’un sujet complexe
  • Offrent une vision différente, permettant de « voir » et de comprendre le monde. Vont au-delà des mots.
  • Permettent d’amasser des significations complexes en couches dans un format qui est à la fois accessible et facilement accessible aux chercheurs, aux participants et au public.
  • Permettent de construire et de transmettre des arguments tout en indiquant de manière efficace les multiples significations intégrées dans la culture (physique)
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11
Q

Nommez les deux types de sources des photos et donnez un exemple de
chacun.

A

Images fournies par le chercheur

  • Analyses visuelles (carte de zoo)
  • Photo elicitation (parle moi de cette photo)
  • Q methods (faire classer des éléments dans l’ordre)

Images fournies par le participant

  • Dessins d’enfants (selon thème, soulever question)
  • Photovoice (prise de photos au quotidien, expo)
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12
Q

Expliquez les méthodes et donnez un avantage et un inconvénient pour
chacun:

a. REP/VEP
b. Photovoice
c. Q méthodes

A

a. REP/VEP (Resident-employed phtography)/VEP(Visitor-employed photography)Technique utilisé pour comprendre l’esthétique du paysage, expérience de loisirs de plein air et planification communautaire. On peut prendre le point de vue des résidents ou des touristes. Après avoir été nommées et classées dans un journal du participant, les chercheurs analysent la photo selon la description qu’en font les participants.

+taux de réponse élevé des participants
+offre une occasion de réflexion
+permet une participation active
+permet une compréhension complexe du phénomène ou du sujet
+permet d’obtenir des images spontanées en temps réel
+apprécié par les participants

  • Nécessite efforts pour l’analyse des images et des discours
  • Fournies des images idiosyncratiques (selon le point de vue de la personne qui les a prises)
  • Participants peuvent être influencés par d’autres personnes
  • Nécessite un retour verbal
  • Difficultés techniques pour certains participants

b. Photovoice: Méthode ou les participants utilisent des caméras pour enregistrer et représenter leur contexte quotidien et utilisent les photos prises pour promouvoir une discussion critique sur les questions et les atouts personnels et communautaires. (Vous pouvez voir aussi la slide sur la méthode du photovoice)

+Implique le participant dans la recherche
+Permet une réflexion critique sur une situation donnée
+Donne la parole à des populations plus faibles et marginalisées
+Favorise l’implication au sein de la communauté et l’empowerment
+Peut mener à de réels changements au sein de la communauté

  • Besoins techniques et technologiques (doit fournir des appareils photos et expliquer comment prendre des bonnes photos)
  • Précautions éthiques importantes
  • Implication plus importante du participant
  • Risque d’une interprétation fautive de l’image
  • Demande plus de temps

c. Q méthodes: Méthode mixte qui nécessite un classement systématique d’images présélectionnées par les chercheurs. Une méthode rarement utilisée car elle peut paraître complexe. On demande au participant de classer les images et d’expliquer les motifs de ses placements.

+Permet une étude systématique du point de vue d’une personne (opinons, croyances, goûts, etc)
+Donne un impression de prendre part à la recherche
+Nécessite peu de participants
+Peu couteuse
+Taux d’erreur contrôlé, compte tenu de la manière que le classement est effectué

  • Nécessite BEAUCOUP de temps!
  • Méthode exigeante pour le chercheur dans toutes les étapes de la recherche
  • Difficilement généralisable à la population
  • Nécessite une excellente compréhension de la méthode du chercheur et dus participants
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13
Q

Quels sont les types de méthodes mobiles? (Nommez et expliquez)

A

L’expérience piétonne, on analyse l’expérience du parcours choisi en temps réel et chaque itinéraire en fonction des marqueurs, stratégies, des limites et de la qualité de l’espace.

L’expérience cycliste, on adapte l’expérience pour les gens a vélo (caméra) et on fait un retour sur l’expérience avec la participants APRÈS le parcours (réflexivité)

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14
Q

Nommez deux utilités des méthodes mobiles.

A

Permet de saisir les expériences du quotidien

Permet de saisir la relation sujet-lieu

Permet de saisir les expériences incarnées et multi sensorielles

Le mouvement facilite le partage de récits plus intimes

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15
Q

Quelles sont les étapes d’une méthode mobile selon le récit de la marche en temps réel?

A
  1. Recueil en temps réel de l’expérience du parcours (photographies, vidéo et carte)
  2. Valider le récit du parcours et les illustrations. Retour d’expérience -approche réflexive
  3. Analyse de chaque itinéraire. Lecture expérience piéton (marqueurs, stratégies, limites et qualité de l’espace)
  4. Échange et propositions. Réunion participative (à partir de l’analyse, discussion avec avec les urbanistes, tecniicien, polices, chercheurs, etc)
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16
Q

Qu’est-ce qu’une base de données?

A

Définition :

A. Chaque colonne représente une variable
B. Chaque ligne représente un questionnaire
C. Chaque cellule ne représente qu’une seule donnée
D. L’absence de réponse doit être gérée

17
Q

À quoi sert un guide de codage?

A

Un guide de codage sert à attribuer une valeur numérique à toutes les réponses du questionnaire et à faciliter la saisie des données afin de monter une base

18
Q

Quelles sont les quatre « règles » d’une base de données?

A

a. Chaque colonne représente une variable
b. Chaque ligne représente un questionnaire
c. Chaque cellule ne représente qu’une seule donnée
d. L’absence de réponse doit être gérée

Truc : utiliser un code de couleur ou un ligne pour marquer la dernière question d’une page, la saisie de données sera facilitée

19
Q

Pourquoi inverse-t-on des données pour certaines questions?

A

On inverse les données pour avoir un ordre croissant de réponse pour des questions inverses et faciliter l’analyse des résultats.

Par exemple : une réponse positive à la question « Avez-vous des problèmes de sommeil? » correspond à Jamais et non à Toujours.
Toutes les questions ne sont pas sur la même base et n’ont pas la même valeur. Exemple dans l’évaluation des enseignants.
On retrouvera des questions comme :
- Est-il juste dans sa correction ? de 1 à 5
- Eprouve t’il des difficultés à parler français ? de 1 à 5
Les réponses n’ont pas la même valeur. La première question est positive tandis que la deuxième est négative. On ne peut pas les additionner tels quelles, il faut les mettre au même niveau.
Lorsque l’on inverse les données, c’est pour que toutes les réponses soit dans le même sens. Donc, pour une variable ordinale, la réponse est la plus faible et la réponse 4 est la plus élevé (explication Marie-Michelle)

20
Q

Quelle est l’utilité d’un score global et quelle est la caractéristique que doit avoir les modalités des réponses?

A

Pour créer un score global il faut que toutes les questions aient les mêmes modalités de réponses (vrai/faux/ oui/non). Après avoir la totalité des réponses, on créait une moyenne de toutes ces réponses. Le score global nous permet de comparer les réponses étant inférieur ou supérieur au score global.

21
Q

Distinguer les trois types de variables et donner un exemple de chacune

A

Nominal : Pas d’ordre de grandeur (Exemple: nationalité)

Ordinal : Ordre de grandeur, pas unité de mesure constante (Exemples : Groupe d’âge)

Intervalle : Valeur continue (Exemples: Âge)

22
Q

Si vous réalisez une corrélation dans vos analyses quantitatives, que cherchez vous à savoir sur vos variables?

A

Un coefficient de corrélation est un indice numérique qui fournit une mesure de la force et de la direction d’une relation entre deux variables. C’est un indice du degré de relation linéaire entre deux variables dont la valeur se situe entre -1,00 et +1,00. Le coefficient de corrélation peut servir à décrire des relations entre des variables (volet descriptif) ou vérifier des relations entre des variables (volet inférentiel).
Les relations entre deux variables quantitatives proviennent d’une échelle d’intervalle et de proportion. On peut ainsi se demander s’il existe une corrélation entre le temps de récupération en secondes et l’âge des athlètes après un entraînement sportif intensif. Nous cherchons à savoir s’il y a une relation causale.

23
Q

Lors de l’analyse de vos résultats de questionnaire, vous voulez connaître la répartition des répondants selon leur emploi. Que devez-vous faire avec vos données pour connaître la réponse?

A

Il faut effectuer un tri croisé (tableau croisé dynamique).
Le tri croisé prend en compte deux variables simultanément alors que le tri à plat fait l’examen d’une seule variable à la fois. En croisant ses deux données-là, on obtient le tableau de contingence.

Étapes

  1. Il faut calculer les pourcentages entre la variable dépendante et la variable indépendante.
  2. On fait l’observation du tableau; on compare les résultats (analyse comparative).
  3. On émet des hypothèses explicatives selon nos observations.

Le tableau croisé dynamique sert à examiner si les hypothèses formulées sont acceptables, à comparer la distribution des comportements et opinions entre sous-groupes de répondants, ou encore à faire apparaître des associations entre réponse à des question qualitatives.

24
Q

Qu’entend-on par « nettoyage des données » ?

A

Le nettoyage de données est l’opération de détection et de correction (ou suppression) d’erreurs présentes sur des données stockées dans des bases de données ou dans des fichiers.

Les données présentes dans les bases de données peuvent avoir plusieurs types d’erreurs comme des erreurs de frappe, des informations manquantes, des imprécisions etc. Le processus de nettoyage sert à identifier les données erronées et à les corriger.

  • Vérification des données compilées
  • Vérification des doublons, des réponses pour les sous-questions et des cases vides
25
Q

Quand est-il intéressant d’utiliser un diagramme circulaire?

A

Ce type de représentation est particulièrement intéressant pour situer les répondants d’une modalité par rapport aux autres en attirant l’attention sur une « tranche » : dans ce cas, on peut même insister en la détachant. Lorsque le nombre de modalités est important, ces représentations deviennent illisibles : on évite de représenter sur un tel diagramme plus de six tranches (si nécessaire on groupe les petites tranches sous la rubrique « autre »).

26
Q

Quels types de documents sont analysés qualitativement ?

A
Données visuelles (Image, photos, vidéos)
·         Documents
·         Entretiens
·         Groupe de discussion
·         Notes de terrain
·         Observations
27
Q

Nommez et expliquez deux critères de scientificité et les techniques proposées pour assurer la rigueur scientifique selon ces critères

A

Crédibilité (validité interne)- Critère servant à évaluer dans quelle mesure la description du phénomène vécu par les participants reflète la réalité interprétée.
TECHNIQUES
Engagement prolongé sur le terrain,
triangulation (comparaison de plusieurs méthodes de collectes et d’interprétations des données)
recherche d’explication divergentes

Transférabilité (validité externe) - Renvoie à l’exactitude de la transcription servant à juger la similarité avec d’autres situations de telle sort que les résultats peuvent être transférés.
TECHNIQUES
Notes réflexives
Description dense et détaillé

Fiabilité (fidélité) - Renvoie à la stabilité des données dans le temps et dans les conditions. 
TECHNIQUES 
Tracés de l'audit
Triangulationà
Notes réflectives
Confirmabilité (objectivité)
Renvoie au lien entre les données, les résultats et l'interprétation. Facilité de reproduction, carté, etc. 
TECHNIQUES
Tracé de l'audit
Triangulation
Vérefication par les membres
28
Q

Que doit-on faire avec les données qualitatives avant d’entreprendre l’analyse qualitative?

A

On doit organiser les données qualitatives et les coder pour en dégager des analyses.

Organisation des données. # Transformation des données brutes

•	Rassembler les données 
•	Types de transcriptions 
1.	Verbatim 
2.	Mot-clés
•	Écoute des documents

Codage des données. Sert à : présenter des données, assembler et organiser des informations

  • Classer, ordonner, résumer et repérer les données
  • Établissement des catégories, des thèmes
  • Création de matrice
  • Unité de sens
29
Q

Autant pour l’analyse quantitative que l’analyse qualitative, qu’est-ce qui guide l’analyse des résultats?

A

Dans les deux cas, il faut procéder au codage des donner. Pour codifier les données, il faut classer, ordonner, résumer et repérer les données. Il faut également établir des catégories et des thèmes. Il faut ensuite créer une matrice pour ordonner les questions et les sujets. Cela permet de trouver les unités de sens, qui sont des mots seuls (concepts) ou des segments de textes. C’est unité de sens sont en fait les éléments que nous cherchons à coder dans les données.

30
Q

Au début de l’analyse qualitative, plusieurs lectures des documents doivent être réalisées. Quelles sont les actions à entreprendre par la suite?

A

On doit organiser et organiser les données narratives en vue de découvrir des thèmes, des catégories, et des modèles de référence. Ce processus consiste donc à fracturer, examiner, comparer, catégoriser et conceptualiser les données.

31
Q

Quelles sont les difficultés pouvant être vécues au début de l’analyse qualitative?

A
  • Méconnaissance des objectifs d’enquête ;
  • Méconnaissance de diverses techniques de lecture ;
  • Difficulté à définir le terme « thème » ;
  • Nature du traitement thématique à faire subir au texte ;
  • Absence de réelles connaissances pour se lancer dans l’analyse thématique.
32
Q

Quelles sont les processus d’utilisation des connaissances

A

FORMES DE CONNAISSANCES

  • Formelles = développées dans le cadre d’études, de recherches et de pratiques qui livrent avec précision des faits, des principes, des lois, des règles et des procédures
  • Tacites = savoir-faire ou de mises en situation, et sont acquises par l’expérience, l’émotion et la répétition. Celles-ci nous apparaissent tacites, car elles sont souvent implicites, inexprimées et considérées, par les partenaires, comme allant de soi.

MOBILISATION DES CONNAISSANCES
Résultante de l’interaction entre les stratégies de mise en réseau, d’échange et de valorisation dont le but ultime est de générer plusieurs types d’utilisation des connaissances.(Mise en réseau et échange)

Par le :
Transfert (  ←→)
- Intégration des connaissances dans la pratique
-Changement dans les comportements
diffusion 
-Durant
Diffusion ( →)
- Rendre accessible et à faire connaitre à des auditoires susceptibles d'y être intéressés l'existence et les résultats d'une recherche
-inidirectionnel
-Souvant à la fin 

UTILISATION DES CONNAISSANCES

  • Réception: recevoir ou entendre parler de l’existence d’une connaissance
  • Cognition: prendre connaissance et chercher à comprendre la nouvelle connaissance partagée et diffusée
  • Référence: citer la connaissance nouvellement acquise dans le cadre d’une communication verbale ou écrite
  • Adaptation: adapter une connaissance en provenance du GRMS dans un format susceptible de rejoindre un public ciblé : décideurs, lecteurs, praticiens
  • Promotion: réaliser des efforts soutenus pour mettre en application dans son contexte professionnel les connaissances développées dans le cadre des travaux du groupe de recherche

Le tout influencé par des facteurs exogènes (RM, RH, R$) et endrogène (env. org., dispositions à comprendre)

33
Q

Quelles sont les différences entre les termes valorisation des connaissances, transfert des connaissances et diffusion des connaissances ?

A

Transfert : Intégration des connaissances dans la pratique, Changement dans les comportements, Bidirectionnel, Tout au long du processus.

Diffusion : Rendre accessibles et à faire connaître à des auditoires susceptibles d’y être intéressés l’existence et les résultats d’une recherche, Unidirectionnel, Souvent à la fin du processus.

Valorisation : mise en valeur, commerciale ou non, de l’expertise et des résultats issus de la recherche universitaire. La valorisation désigne le fait de donner une valeur ajoutée aux activités usuelles de la recherche universitaire et à ses résultats.
Valoriser la recherche, c’est lui conférer une valeur autre que celle qu’elle a déjà, c’est rendre opérationnels (valeur d’usage) ou commercialisables (valeur d’échange) les connaissances, les compétences et les résultats de la recherche.

34
Q

Qu’est-ce qu’un sommaire exécutif et comment doit-on le structurer?

A

C’est une partie du business plan qui résume le projet. Il permet de présenter les points clés du projet offrant ainsi la
possibilité aux autres chercheurs de se faire rapidement un sentiment sur la recherche

 Introduction/Mandat
 Méthodologie
 Résultats
 Discussion
 Pistes d’interventions
 Recommandations
 Entre 10 et 20 pages
35
Q

Quelles sont les six questions importantes à répondre lorsqu’on produit une présentation orale ou une affiche?

A
  • Qui?
  • Quoi?
  • Où?
  • Quand?
  • Pourquoi?
  • Comment?

L’affiche doit être simple, aérée, équilibrée, concise, lisible et dynamique
• Ne pas oublier que vous serez lus mais également écoutés