Exam 2 Flashcards

1
Q

À quoi sert la douleur ?

A

Message nerveux interprété par le cerveau
Signifie la présence d’un danger
Signale le besoin d’agir
Encodée dans la mémoire pour éviter que la situation ne se reproduise
Mécanisme de protection de la région blessée (facilite guérison)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
1
Q

Qu’est-ce que la douleur ?

A

La douleur est une expérience personnelle qui est influencée
à différents degrés par des aspects biologiques,
psychologiques, et sociaux
* Douleur ≠ nociception (douleur n’est pas seulement l’activité
de neurones sensoriels)
* Concept de douleur est appris
La douleur est
SUBJECTIVE
*La douleur est une
réponse INDIVIDUELLE

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’est-ce que l’analgésie congénitale ?

A

Mutation génétique – aucune douleur
◦ Sensation que le corps ne nous appartient pas
◦ Blessures fréquentes
◦ Apprentissage limité
Génétique, relâchement d’endorphine et des opioides, ne vivent pas plus de 25 ans
car beaucoup de complications physiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

où se forme la douleur ?

A

Douleur fantôme comme exemple
Littéralement, dans notre tête
◦ Plus précisément : le cerveau
L’opinion de notre cerveau sur les sensations reçues =
douleur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Quels sont les types de douleur ?

A

Douleur nocioceptive, neuropathique et nociplastique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Qu’est-ce que la douleure nocioceptive ?

A

Par excès de nociception (accident, inflammation)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Qu’est-ce que la douleur neuropathique ?

A

Lésion ou maladie affectant le système somatosensoriel (Diabèthe, AVC, sclérose en plaque, zona, douleur fantôme)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Qu’est-ce que la douleure nociplastique ?

A

Altération de la nociception malgré
absence preuve lésion tissulaire
activant nocicepteurs (Les chocs, fibromyalgie, cancer)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Quel est le seuil de duré de la douleur chronique

A

Plus de trois à dix mois

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Comment on caractérise la douleur ?

A

1) En fonction des mécanismes physiopathologiques
2) En fonction de la durée
3-6 mois+ persistance au-delà du délai normal de guérison = douleur chronique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Qu’est-ce que la douleur chronique ?

A

N’a plus cet aspect utile, protecteur
Dérèglement de plusieurs systèmes
Objectif thérapeutique de soulagement et amélioration de la qualité de vie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

La prévalence de la douleur chronique est inégalement distribué selon quel aspects ?

A

◦ Inéquités sociales
◦ Discrimination
◦ Pauvreté
◦ Premières Nations
◦ Certaines communautés ethniques
◦ Femmes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Que peut-on dire de la prévalence de la douleur chronique chez les personnes âgées ?

A

Augmente avec l’âge
Problème de santé important chez les personnes âgées
1/3 Canadiens de plus de 65 ans

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Qu’en est t’il de la douleur chronique chez les enfants et adolescents ?

A

Entre 11% et 38% des enfants et
adolescents (King et al. 2011)
Maux de tête, douleur abdominale,
douleur au dos, douleur musculoskeletique
Impact négatif sur le développement
physique et social
Peut mener à la douleur chronique, abus
de substance, et troubles de santé
mentale à l’âge adulte

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Qu’en est-il de la douleur chronique chez les femmes ?

A

Prévalence plus élevée chez les femmes
Fibromyalgie, syndrome colon irritable,
arthrite rhumatoïde, douleur pelvienne,
migraine, endométriose

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Qu’en est-il de la douleur chronique chez les autochtones ?

A

Prévalence la plus élevée au Canada
Par exemple, 12.4% rapporte douleur au
dos chronique
Souvent, douleur physique perçue
comme secondaire à la douleur
émotionnelle
Explique la douleur de façon différente, expérience
émotionelle différente, plus acceptable de voir un psy
pour la douleurQu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Qu’en est t’il de la douleur chronique chez les vétérans ?

A

Taux de maladies chroniques 2-3 fois plus élevé que la population générale
41% douleur chronique
2/3 ont aussi un diagnostic de santé mentale
11X plus de chance de rapporter limitations fonctionnelles associées à la
douleur
65% qui ont eu des idées suicidaires dans la dernière année avaient de la
douleur chronique
76% qui ont fait une tentative de suicide dans la dernière année avaient de la
douleur chronique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Qu’en est-il de la douleur chronique chez les utilisateurs de drogues ?

A

31% - 55%; 9.6% usage problématique
Cycles – douleur mal traitée  augmentation de la problématique
d’utilisation de substance pour gérer douleur  détérioration de
la douleur et difficulté d’accès au traitement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Quel est la fonction de la douleur ?

A

◦ Protection
◦ Composante de notre système sensoriel
◦ Si cerveau détecte un danger et doit protéger le corps: douleur
◦ Souvent, douleur n’est pas proportionnelle au danger potentiel
◦ Multifactorielle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quel est l’explication initiale de la douleur ?

A

Sert à faire sortir le mal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Qu’est-ce que la théorie du portillon en douleur ?

A

Facteurs qui ouvrent le portillon (↑douleur)
-Physiologiques :
- Blessure / lésion
- Inactivité physique
-Émotionnels :
- Dépression
- Anxiété
-Cognitifs :
- Focalisation sur la douleur
- Ennui
Facteurs qui ferment le portillon (↑douleur)
-Physiologiques :
- Médicaments
- Massage
- Bon sommeil
-Émotionnels :
- Émotions agréables
- Optimisme, bonheur
-Cognitifs :
- Concentration / distraction
- Activités intéressantes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Qu’est-ce que le modèle biopsychosocial dit sur la douleur ?

A

La signification, le sens de la
douleur aurait un rôle à jouer
sur l’expérience de la
douleur…
Le cerveau aurait un rôle
dynamique dans la perception
de la douleur, ne serait pas
passif

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Qu’est-ce que le modèle psychodynamique dit sur la douleur ?

A

Facteurs émotionnels peuvent générer et maintenir la douleur chronique
Personnalité: dépression, anxiété de la santé, obsessions,
dynamiques familiales

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Quels sont les contribution du modèle psychodynamique pour la compréhension de la douleur ?

A

Reconnaît l’individualité et les expériences
passées, les dynamiques familiales, et les traits de personnalité dans la
réponse à la douleur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Qu’est-ce que le modèle comportemental de la douleur ?

A

L’évaluation de la douleur devrait se
limiter aux comportements douloureux observables
Douleur devient chronique lorsqu’un
comportement douloureux est
positivement renforcé
Traitement: renforcer les comportements de bien-être et décourager les comportements douloureux
Contributionm importante: surtout
méthodologique
Enjeu principal: ne prend pas en compte coping skills; pas de causalité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Quel sont les impacts de la douleur sur la vie d’une personne ?

A

Impact majeur sur toutes les sphères de la vie
Physique (prob mobilité)
Professionnelle (incapacité à compléter ses tâches)
Familiale (moins de participation dans les tâches familiales)
Sociale (isolement)
Émotionnelle (dépression, anxiété)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Quels types de facteurs psychosociaux influencent la perception de la douleur ?

A

*Facteurs affectifs
* Facteurs cognitifs
*Facteurs comportementaux
*Facteurs socioculturels

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Comment les facteurs affectifs influencent la perception de la douleur ?

A

incompréhension, honte, peur, colère, sentiment d’injustice, anxiété, pensée catastrophique et dépression

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Comment les facteurs cognitifs influencent la perception de la douleur ?

A
  • Douleur et le processus d’attention; capacité à interpréter les signaux de douleur.
  • Les pensées, croyances, attentes, attitudes
    Exemples:
    «Est-ce que je peux arrêter ma douleur»
    «Je veux trouver la cause de ma douleur»
    «J’espère que l’injection va me guérir»
    «Si je n’ai pas une solution pour guérir, je vais demander pour l’aide médical à mourir»
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Comment les facteurs comportementaux influencent la perception de la douleur ?

A
  • Les comportements de douleur sont des actions qui communiquent
    l’inconfort.
  • Lorsque ces comportements sont renforcés :
    Évitement ou réduction de l’activité physique
    Augmentation de la recherche d’informations, de traitements et de
    diagnostics
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Comment les facteurs socioculturels influencent la perception de la douleur ? 3

A
  • Méfiance face aux professionnels de la santé, différence culturelle (chaman, traitement alternatif)
  • Diminution du soutien social
    Détérioration du couple, retrait des relations interpersonnelles, perte du réseau social
  • Stress financier, pauvreté:
    CNESST, SAAQ, conflit compagnie d’assurance, difficulté à payer pour les traitements
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Qu’est-ce que le cycle sommeil-douleur ?

A

cycle débalancé, l’insomnie et les mauvaises positions entrainent des douleurs et tensions musculaires généralisés ce qui entraine une fatique physique et émotionelle et résulte en une altération du fonctionnement
Sommeil
Difficulté à s’endormir
Sommeil interrompu
Réveil précoce
Sommeil non réparateur
Piètre qualité de sommeil

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Pourquoi la dépression est plus prévalente chez les gens avec des douleurs chroniques ?

A

Le taux de co-occurrence se situe entre 30-60%
Un chevauchement important des symptômes:
Ralentissement psychomoteur/fatigue, diminution aptitude à penser, manque de motivation,
ruminations sur les choses passées, changement d’appétit
* Impuissance, découragement
* Perte d’identité
* Sentiment de culpabilité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

Pourquoi l’anxiété est souvent présente chez les gens avec des douleurs chroniques ?

A

Le taux de co-occurrence se situe entre 44 %-51 %
Un chevauchement important des symptômes
* Agitation, accent sur sxs et sensations physiques, consultations
répétées, hypervigilance, appréhension et inquiétudes orientées vers
conséquences éventuelles

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Quel est le lien entre la personnalité et la douleur chronique ?

A

Notre personnalité a un impact sur notre façon d’agir, de penser, de ressentir les émotions.
Notre type de personnalité influence notre relation à la douleur
-Exemples de portraits cliniques typiques
impulsivité(colère, prise médication), isolement, perfectionnisme (découper les activités, travailler au niveau des attentes)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Est-ce qu’il y a une notion de gain secondaire en douleur chronique ?

A

Oui il y en a.
Certains patient reçoivent des gains positifs quand ils viennent consulter ou la douleur présente une sécurité dans la vie de la personne
Ex: seul activité est de venir consulter, d’autres la douleur est très fonctionnelle et ça les protège d’un environnement social ou familiale qui présente un danger. Douleur cervicale donne une raison de dire non aux rapports sexuels du conjoint violent, douleur factice pour avoir accès à des services ou éviter d’autres sphères de leur vie, ne paps retourner au travail ou assurance.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Quel sont les objectifs thérapeutique du modèle biopsychosocial en douleur chronique ?

A
  • G E S T I O N D E L A D O U L E U R
  • A M É L I O R AT I O N D E L A Q U A L I T É D E V I E (facettes importantes pour la personne)
  • A U G M E N T E R L A F O N C T I O N P O U R V I V R E U N E V I E E N FO N C T I O N D E S VA L E U R S P E R S O N N E L L E S
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Quel est la différence entre la douleur et la souffrance ?

A

Souffrance = douleur x résistance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Qu’est-ce qu’un proffessionnel peut faire qui résulte en une augmentation de la souffrance chez une personne avec des douleurs chroniques ?

A

*Nous ne croyons pas le patient.
*Nous doutons de l’intensité de la douleur.
*Nous disons que leur douleur est dans leur tête.
*Nous encourageons des attentes irréalistes à propos de la douleur.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Quel est la meilleure approche thérapeutique pour les individus avec des douleurs chroniques ?

A

Approches interdisciplinaires / multidisciplinaires sont le gold standard
Par contre, l’accès à ce type de traitement est très difficile au Canada
Les interventions nonpharmacologiques jouent souvent un rôle secondaire
essentiel, ou parfois un rôle principal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Quel est le rôle du psychologue auprès de la population avec des douleurs chroniques ?

A

Evaluation psychologique (Qu’est-ce qui se passait avant, après, coping skills, croyances et attentes, comment vont les traitements)
Psychotherapie de groupe
Psychotherapie indiviudelle
Accompagnement lors de traitements medicaux (infusion a
la ketamine, injection)
Enseignement et formation
Enrichir la compréhension du medecin face au patient

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Pourquoi traiter les facteurs psychosociaux chez les individus avec des douleurs chroniques ?

A

Ils jouent un rôle crucial dans l’expérience de la douleur
Ils facilitent ou sont un obstacle à la gestion
de la douleur chronique
Nous traitons la personne, pas un problème
de douleur!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Quels facteurs psychosociaux impliqués dans la douleur devont nous travailler ? 4

A

Locus de contrôle (interne, diminue la douleur)
Efficacité personnelle (bandura)
Prêt au changement
Acceptation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Qu’est-ce que l’acceptation de la douleur ?

A

*Deux composantes:
* Relâcher la lutte contre la douleur: &laquo_space;C’est un moment de douleur»
*Poursuivre nos activités basées sur nos valeurs: &laquo_space;Qu’est-ce que je peux faire, je vais continuer à faire
mes tâches en plus petites tranches
* Ce N’EST PAS:
* Dire à un patient que la douleur va être présente pour toujours, il doit vivre avec…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

Quels interventions sont efficaces avec les personnes avec des douleurs chroniques (spécifiques)

A

L’évaluation et la restructuration des pensées catastrophiques
Enseignement des techniques de relaxation
Le traitement vise à augmenter les comportements associés à l’autogestion de la douleur
Mets l’accent sur le sentiment d’efficacité personnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

Quels sont les différentes approches psychologiques avec les personnes avec des douleurs chroniques ?

A

Thérapie cognitivocomportementale
Thérapie
d’acceptation et
d’engagement
Pleine conscience
Réduction du stress
basé sur la pleine
conscience
Auto-compassion
Biofeedback
Hypnose Thérapie orientée
vers les émotions
Entrevue motivationelle
cognitive reprocessing therapy

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
46
Q

Quels sont les cibles thérapeutiques de la TCC en douleur chronique ?

A

Coping Humeur/Anxiété
Comportements de douleur Expérience de douleur
Rôle sociaux et professionnels Incapacités

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
47
Q

Quels interventions sont utiiles en TCC pour la douleur chronique ?

A

Éducation
Fixer des objectifs
Relaxation
Exposition graduée
Gradation activités (pacing)
Principes opérants
Gestion de l’attention
Restructuration cognitive
Résolution de problème

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
48
Q

Quels interventions font partie de la thérapie d’acceptation et d’engagement pour la douleur chronique ?

A

Contact avec le moment présent
Acceptation de la douleur et des émotions…volonté de ressentir et d’expérimenter
Valeurs: Ce qui est significatif
Action engagée: Comportements en
lien avec valeurs
Soi comme contexte : Douleur n’est qu’une composante du soi
Défusion : Se défaire des pensées
et émotions négatives

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
49
Q

Quel est le but de l’hypnose pour la douleur chronique ?

A

Plutôt que de convaincre qu’il n’y a pas de douleur, l’hypnose a pour but de
gérer toute la peur et l’anxiété concernant votre douleur. Il contribue également
à réduire le stress et détendre le système nerveux pour l’aider à devenir moins
réactif à la douleur.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
50
Q

Quels sont les techniques d’interventions de l’hypnose pour la douleur chronique ?

A

Détente esprit et corps
Distorsion perception du temps
Remplacer par une autre sensation
Dissociation
Coma hypnotique
Amnésie de la douleur
Régression période non douloureuse

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
51
Q

Quel est l’objectif de la pleine conscience et réduction du stress basé sur la pleine coscience dans la douleur chronique ?

A

Vise réduction de la douleur et diminution symptômes dépressifs
Taille d’effet petite

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
52
Q

Quels sont les interventions de la pleine conscience et réduction du stress basé sur la pleine conscience dans la douleur chronique ?

A

Porter attention
- À ce qui est autour
- En utilisant tous nos sens
Moment présent
- Ici
- Maintenant
Intentionnellement
- Devenir conscience de notre expérience
Sans juger
- Curiosité
- Objective
- Sans évaluer

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
53
Q

Pourquoi trouver le positif est une bonne stratégie en douleur chronique ?

A

Bias de sélection vers le négatif
◦ Nécessaire d’un point de vue
d’evolution
◦ Amplifié lorsque symptômes
anxieux ou dépressifs présents

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
54
Q

Comment utiliser la pensée rationelle dans la douleur chronique ?

A

Reconnaître son discours intérieur
Identifer pensées non-aidantes
Évaluer leur niveau d’objectivité, de réalisme
Travailler sur les pensées non-aidantes
◦ Restructurer
◦ Se distancer et laisser-aller (pleine conscience

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
55
Q

Qu’est-ce qu’on ne devrait pas dire à quelqu’un qui vit avec des douleurs chroniques ?

A

Il n’y a rien au niveau physique
qui explique votre douleur
La douleur est dans votre tête!
Vous devriez voir un psychologue!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
56
Q

Quoi dire à quelqu’un qui vit avec des douleurs chroniques ?

A

Mon objectif est d’aborder comment
vous vous sentez physiquement et
émotionnellement
Consulter un psychologue m’aidera à
mieux vous comprendre, et vous offrir
de meilleurs soins et pour vous, à
diminuer votre souffrance et vous
outiller pour faire face à votre douleur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
57
Q

Quel est le rôle de l’équipe de médecine de premier recours ?

A

diagnostiquer et à gérer n’importe quels problèmes qui s’inscrit dans son champ
d’expertise ou d’adresser les patients aux spécialistes pour un deuxième avis ou pour obtenir des investigations plus poussées.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
58
Q

Quels sont les facteurs à considérer dans la recherche d’aide et l’ajournement ?

A

-Auto-rapporté: Les symptômes qui indiquent que quelque chose ne
va pas.
-Divulgué par un tiers: Des signes lors de l’examen le médecin identifie des signes tels qu’une augmentation de la pression
sanguine, une masse dans les intestins, ou un souffle inhabituel dans la poitrine du patient, ce qui indique qu’il y a un problème

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
59
Q

Qu’est-ce que l’iceberg clinique ?

A

le nombre de problèmes qui n’atteignent jamais le médecin.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
60
Q

Quels sont les obstacles potentiels au traitement en santé ?

A

congés travail pour examens, symptômes
peu importants et soutenables, croyances
envers le md, peur du client ou anxiété
associée à la santé (autruche).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
61
Q

Quel question les gens se posent avant de chercher de l’aide ou de s’ajourner ?

A

Est-ce un symptôme? Spasme musculaire dans le visage
Est-ce normal ou anormal? Grave ou peu faible? Nouveau
symptôme mais faible et habituation éventuelle
Ai-je besoin d’aide? Est-ce que ce symptôme peut être grave?
Le médecin ne semble pas trop inquiet… je vais voir ce que ça donne
Est-ce que le médecin peut m’aider? Croyances envers les
professionnels de la santé et les traitements médicales
Anxiété face à la santé? évitement ou recherche d’aide

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
62
Q

Quels sources d’informations influencent la perception des symptômes ?

A

information corporelle, l’humeur, les cognitions et le contexte social

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
63
Q

Comment l’information corporelle influence la perception des symptômes ?

A

Interférence entre les infos internes du corps et les infos externes
(environnement)
Ce pourquoi les gens occupés percevraient moins de symptômes
L’importance de la pleine conscience et de moments calmes pour « focusing »
La recherche indique également que certaines personnes montrent une
attention sélective envers leurs symptômes corporels et sont donc plus
conscientes d’éventuels changements ou non
Les symptômes peuvent être générés même en l’absence
d’information corporelle (ex: regarder un film sur les poux, pourraient
entrainer les gens à se gratter).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
64
Q

Comment l’humeur influence la perception des symptômes ?

A

le stress et l’anxiété peuvent exacerber les symptômes alors que la relaxation peut les soulager.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
65
Q

Comment les cognitions influencent la perception des symptômes ?

A

La focalisation sur un symptôme l’exacerbe, alors que la
distraction la soulage.
C’est pourquoi des stratégies de distractions sont enseignées aux
personnes souffrant de douleurs chroniques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
66
Q

Comment le contexte social influence la perception des symptômes ?

A

Par exemple, la maladie de l’étudiant en psychologie ou médecine:
développent des symptômes de tous les troubles qu’ils étudient
(Mechanic, 1962).
La recherche montre aussi que le fait de sourire, bâiller, trembler
ou encore se gratter peut être contagieux si les gens observent les
autres avoir ces symptômes (Platek et al., 2005; Schurman et al.,
2005).
Ce qui est renforcé ou véhiculé par l’environnement…
Symptômes renforcés et panique
Solitude seul (avec les symptômes)
Soutenu face aux symptômes?
Minimisation des symptômes par le perosnnel médical
Valorisation d’être fort par le contexte social

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
67
Q

Quel est l’influence des déclancheurs sociaux dans la recherche d’aide ?

A

Équilibre qui peut être rompue par un symptôme si celui-ci
perturbe la vie normale/quotidienne.
La recherche d’aide est dans ce cas, une tentative de rétablir
l’équilibre.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
67
Q

Quels sont les déclancheurs sociaux pour la recherche d’aide ?

A

Interfère avec le travail ou l’activité physique
Interfère avec les relations sociales
Crise interpersonnelle (en fait moins à la maison)
L’incitation: messages sociaux, c’est-à-dire que d’autres personnes
encouragent la consultation médicale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
68
Q

Quels sont les différents couts et bénéfices d’aller consulter un md ?

A

-Les aspects thérapeutiques: Bénéfices: avoir accès à des traitements efficaces, conseils par des spécialistes
Coûts: prise de médicaments, subir des examens médicaux, parler
de problèmes gênants ou personnels.
De plus, certains patients ne croient pas en la prise de médication comme une traitement efficace.
- Aspect pratiques: Coûts pratiques, comme prendre le temps du travail ou sur le temps passé au travail ou entre amis, l’effort d’y
aller, le coût du trajet…
- Aspects émotionnels: Avantages: médecin empathique qui les écoutent, rassurance prise en charge…
Désavantages: émotions négatives suscitées par l’annonce d’une mauvaise nouvelle, l’embarras, la peur liée au futur…
-Le rôle de malade et gain secondaire:
Légitimation des symptômes
Ex: mal à la poitrine qui se transforme en angine, ce qui engendre plus
de compassion de la part des proches
Avantages: excuse le patient de ses obligations habituelles (billet médical)
Obligations du malade: endosser le rôle comme temporaire et prendre
l’aide qu’on leur propose.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
68
Q

Pourquoi l’ajournement représente un problème pour les professionnels de la santé ?

A

ne permet aux professionnels de la santé de pouvoir traiter de façon efficace les patients
Ex: si attendent trop longtemps et problème trop sévère

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
69
Q

Quels sont les facteurs en jeux et prédicteurs de l’ajournement ?

A

procrastination « autruche », la
prise décisionnelle énumérée auparavant…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
70
Q

Quels sont les interventions pour prévenir l’ajournement ?

A

-Promotion de la santé et de l’adhérence au traitement
-Conseils donnés envers une population visée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
71
Q

Quels sont les 3 types de dépistage ?

A
  1. Prévention primaire
    Modification des facteurs de risques (tels que le tabac, alimentation, alcool).
    . Bilan annuel médical (tests réguliers)
  2. Prévention secondaire: Elle fait référence aux interventions destinées à la détection de maladies à un stade asymptomatique de leur développement afin que leur progression soit stoppée ou retardée en fonction d’indicateur.
    . Dépistage comme forme de prévention secondaire.
  3. Prévention tertiaire: Réadaptation des patients ou aux interventions thérapeutiques mises en place une fois que la maladie s’est manifestée.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
72
Q

Qu’est-ce que le dépistage secondaire ?

A

Dépistage secondaire: Dépister la maladie en elle-même
Contrôles médicaux comme la vérification du poids, la pression artérielle, taille,
urine, mammographies, tests génétiques qui permettent la détection de certaines
maladies comme:
Huntington, cancer, fibroses kystiques…
Dépistage occasionnel ou opportuniste: Quand le patient est en contact avec le
corps médical, pour évaluer plusieurs composantes de la santé.
L’objectif: est de dépister les problèmes qui peuvent être asymptomatiques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
73
Q

Qu’est-ce que le dépistage primaire ?

A

Détecter un risque de maladie (bilan annuel)
Dépistage du col de l’utérus peut révéler des cellules pré-cancéreuse (lors du pap
test)
Dépistage génétique : fibrose kystique
Dépistage cholestérol et pression sanguine (maladies cardiaques, diabète)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
74
Q

Qu’est-ce que le dépistage tertiaire ?

A

Durant les suivis de traitement pour la maladie, évaluation de l’évolution de la
symptomatologie.

75
Q

Quels sont les aspects de l’organisation des soins de santé ?

A

Localisation géographique :
Accès aux matériels
* Ressources professionnelles disponibles
Organisation du système de santé:
Système de dépistage en place, système de
référence en place
* Nombre de professionnel par patient
* (manque de temps ou charge adéquate)
* Collaboration interprofessionnelle

76
Q

Quels sont les défis pour établir le diagnostique différentiel par rapport à l’organisation des soins ?

A

Maladie rare vs commune
Moins d’emphase
Manque de temps par patient
Accent sur les situations urgentes
Procédures mises en place dans l’établissement pour assurer le bon déroulement
du diagnostic différentiel
Bon système de dépistage
Système de référence adéquat
Collaboration interprofessionnelle

77
Q

Quels sont les bienfaits de la collaboration interproffessionnelle dans les soins de santé ?

A

La collaboration interdisciplinaire améliore la sécurité, la qualité et l’efficacité des
traitements
Les erreurs « médicales » pourraient être liés davantage au manque de
communication entre les professionnelles qu’à la compétence des professionnels
en eux-mêmes (Epstein, 2014; WHO 2010).
Biais des professionnels face à leur profession
Ceci peut aussi avoir un impact sur la satisfaction du client (Zwarenstein et al.,
2009), un élément important à considérer dans la recherche d’aide vs
l’ajournement

78
Q

En quoi consiste l’approche centré sur le patient dans les soins de santé ?

A
  1. Réceptivité du md par rapport aux opinions et attentes du
    patient ainsi que d’un effort de voir la maladie telle que perçue
    par le patient
  2. L’implication du patient dans la prise de décision et la
    planification du traitement
  3. Une attention portée au contenu affectif de la consultation,
    notamment aux émotions du patient et du MD (alliance)
    (Levenstein et al., 1986; Mead & Bower, 2000).
79
Q

Quels sont les bienfaits de l’alliance dans la relation entre le patient et le md ?

A

De nombreuses études ont démontré que l’alliance est un prédicteur du succès
d’un traitement (Martin, Garske et Davis, 2000)
Une proportion des abandons ET l’absence d’adhérence est due aux tensions
possibles avec un professionnel (Dinger & al., 2007)

80
Q

Quels sont les prédicteurs lié à l’adhérence au traitement ?

A

La satisfaction du patient
Par rapport à la consultation (communication, humour, langage,
empathie) alliance
La compréhension du patient
Du langage, la maladie, des causes
Le rappel de l’information par le patient
Récence / effets de primauté
Croyances par rapport à la maladie
Représentations de la maladie, causes, conséquences, durée, contrôle,
soins, identité
Croyances par rapport au comportement
Attitudes, normes sociales, auto-efficacité, vulnérabilité perçue
Croyances par rapport à la médication
Coûts et bénéfices / nécessité et opportunité

81
Q

Qu’est-ce que le stress ?

A

Pression, tension, force externes désagréables, ou comme une réponse émotionnelle.
Le stress est un phénomène qui implique des changements biochimiques,
physiologiques, comportementaux et psychologiques.
La définition du stress la plus couramment utilisé est celle développé par Lazarus et
Launier (1978) qui considère ce phénomène comme une transaction entre l’individu et
l’environnement.

82
Q

Quels sont les types de stress ?

A

Stress aigu ou circonscrit: par exemple un examen ou une présentation orale
Stress chronique: stress au travail, relations de maritale difficile…

83
Q

Qu’est-ce que le stress selon le modèle fight or flight de Canon ?

A

Le modèle initialement développé par Cannon (1932) parlait de fuir ou combattre qui suggère que les menaces externes provoquent une réponse de combat ou de fuite impliquant une augmentation des émotions et du niveau d’activité de l’organisme.
Cannon a suggéré que ces changements physiologiques permettent à l’individu d’échapper au danger ou de lutter contre son origine.
Dans ce modèle de stress défini comme une réponse à des stresseurs externes: il est principalement considéré comme une réaction physiologique.
Cannon considère le stress comme une réponse adaptative qui permet à l’individu de gérer un évènement stressant.
L’auteur admet toutefois que le stress prolongé pouvait entrainé des problèmes médicaux.

84
Q

Quels sont les réactions renouvellés du fight or flight ?

A

Fight, flight, freexe, fawn (plaire)

85
Q

Quels sont les phases du stress selon le modèle du syndrôme générale d’adaptation de sleye ?

A

1)Phase initiale: augmentation de l’activité et se manifeste dès que l’individu est exposé
à une situation stressante.
* sécrétion d’adrénaline
2) Résistance: coping et les tentatives de réduction des effets de la phase d’alarme.
* sécrétion du cortisol
3) L’épuisement: Atteinte lorsque l’individu a été exposé de façon répétée à la situation
stressante et qu’il n’est plus capable de montrer de résistance.

86
Q

Qu’est-ce que le stress chronique physiologique ?

A

a plus de probabilités d’impliquer l’activation de l’axe
corticotrope et la libération de cortisol.
◦ Ceci entraine un processus continu d’usure et de rupture et un processus plus lent d’artériosclérose et de détérioration du système cardiovasculaire.

87
Q

Qu’est-ce que le stress aigue (physiologique) ?

A

Opère d’abord au travers de modifications du niveau d’activation sympathique accompagnée de modifications du rythme cardiaque et de la pression artérielle.
◦ Ceci peut être liée aux ruptures soudaines comme les crises cardiaques

88
Q

Quel est le rôle du système immunitaire ?

A

-Le rôle du système immunitaire est d’identifier et d’attaquer les éléments étrangers à l’organisme afin de le protéger.
-Les envahisseurs sont nommés
« antigènes ». Lorsque le système
immuniatire fonctionne correctement, le corps est protégé et les infections ainsi que les maladies sont maintenues à distance.
-Ces organes produisent des soldats qui sont impliqués dans l’identification des corps étrangers et leur désactivation.

89
Q

Quel est le lien entre le stress et l’immunité ?

A

Ils ont conclu que le stress entrainait des changements au niveau du fonctionnement immunitaire:
◦ L’activité des cellules « Natural killer »
◦ Le nombre de globules blancs en circulation dans le sang (défense)
◦ Et la concentration d’anticorps face au virus
Conclusion: la réponse immunitaire variait en fonction de la durée de la source de stress et également si elle impliquait des évènements sociaux ou non sociaux.
-Le stress circonscrit qui n’implique pas les relations sont plus facile à résorber et ont plus tendance à se chroniciser
(blessures guérit moins vite chez patients alzheimer)
Important de noter que les facteurs médiateurs doivent être considérés tels que le soutien social, et les comportements
de santé et de coping.

90
Q

Quels sont les voies infirect du stress sur la santé ?

A

Tabagisme Consommation
d’alcool Inactivité Alimentation hygiène de sommeil (bidirectionnel)

91
Q

La variabilité inter-individuelle au sein
du lien entre le stress et la maladie, quel facteurs sont impliqués ?

A
  1. La réactivité au stress
  2. La récupération
  3. La charge allostatique
  4. La résistance au stress
    Toutes les personnes soumises au stress ne tombent pas malades. Jusqu’à un certain
    degré est dû au rôle des variables telles que le coping, le contrôle, la personnalité et le
    soutien social qui seront décrites plus en détails ultérieurement.
92
Q

À quoi réfère la réactivité au stress ?

A

-Certains individus présentent une réponse physiologique plus importante au stress
par rapport à d’autres.
-Ceci signifie que pour le même niveau de stress, et ce indépendamment de leur
perception, certaines personnes démontrent une plus grande activation sympathique
par rapport à d’autres (Vitaliano et la., 1993).
-la réactivité au stress a évalué comme médiateur des problèmes cardiaques
générés par des comportements à risque (Suarez et al., 1991)
-(tabagisme, consommation d’alcool, manque d’Exercice, mauvaise alimentation.

93
Q

Quels sont les explications de la récupération dans le lien entre le stress et la maladie ?

A

-Après avoir réagi au stress, le corps se rétablit et les niveaux d’activation sympathique et de l’axe corticotrope reviennent au niveau initial.
-Certaines personnes récupèrent plus rapidement que d’autres et la recherche indique que cette vitesse de récupération pourrait être associée aux maladies liées au stress.
-Cette notion est présente dans la notion d’épuisement de Seyle (1956).
-Une partie de la recherche c’est principalement intéressé au niveau de production de cortisol, suggérant qu’un rétablissement plus lent suite à des niveaux de cortisol élevé, pourrait être lié
au fonctionnement immunitaire et à une vulnérabilité à l’infection et à la maladie.

94
Q

Qu’est-ce que la charge allostatique ?

A

l’usure qui s’acccumule au cours du temps en raison de l’exposition répété au stress ou chronique.

95
Q

Quel est le lien entre la charge allostatique et l’immunité ?

A

Ils avancent que les systèmes physiologiques du corps fluctuent constamment en fonction de la manière dont l’individu réagit et se rétablit face au stress (le mécanisme d’allostasie), et qu’au fil du temps, le rétablissement est de moins en moins complet et le corps laissé de plus en plus affaibli
Ainsi, la personne est exposée à une nouvelle source de stress, elle présente plus de risques d’être malade si la charge allostatique est élevée.

96
Q

Quels Facteurs qui modèrent le lien entre le stress et la maladie

A

Excercice physique, style de coping, soutien social, personnalité et perception de contrôle

97
Q

Comment la personnalité modère le lien entre le stress et la maladie ?

A

Type A etl’hostilité ont été particulièrement étudiés (Smith & Gallo, 1999).
◦ Voies directes (réactivité cardiovasculaire)
◦ Indirectes (qualité des relations, comportements à risque pour la santé)
◦ Type D (cynisme) et maladies cardiaques (Denollet, Pederson, Vrints, & Conraads, 2007).

98
Q

Quels sont les styles de coping ?

A

Coping par approche ou confrontation de l’évènement stressant
◦ Coping par évitement: Court terme vs Long terme, évaluation des ressources internes.
◦ Coping axée sur les émotions (régulation):
◦ Travail vs maladie (deuil de la santé) (homme vs femme)
◦ Contrôlable vs incontrôlable
◦ Coping centré sur le problème: diminuer les exigences du contexte et augmenter les ressources disponibles pour la
gérer

99
Q

Quels sont les habiletés à développer pour un bon coping ?

A

◦ Restructuration cognitive
◦ Gestion du temps
◦ Relaxation
◦ Activités physiques
◦ Augmentation des activités agréables
Exploration expérientielle des émotions devant les deuils face à la maladie, et acceptation radicale,
soutien social.

100
Q

Quels sont les hypothèses explicative des bienfaits de soutien social dans la modération du lien entre le stress et la maladie ?

A

◦ Hypothèse de l’Effet principal: atténue la réponse au stress
◦ Réactivité du soutien social (Lepore, 1998):réduit la réactivité cardiovasculaire
◦ Hypothèse de l’Effet tampon: Atténuerait la perception de la source de stress
Absence de soutien social = source de stress

101
Q

Quels sont les deux types de contrôle dans le stress ?

A

Attribution et contrôle: cause d’un stresseur perçu comme contrôlable ou non (Kelly, 1967)
◦ Auto-efficacité et contrôle (Bandura, 1977): confiance que l’individu a en ses capacités à adopter un comportement
spécifique.

102
Q

Quel est la théorie du stress de Lazarus ?

A

Lazarus a argumenté que la réponse au stress impliquait une transaction entre
l’individu et son environnement.
Cette transaction passe par l’évaluation de la situation perçue par l’individu.
Lazarus décrit l’individu comme des êtres psychologiques qui évaluent
l’environnement et qui ne le subissent pas de façon passive.

103
Q

Quels évènement sont évalués comme plus stressant ?

A
  1. Les évènements dans des domaines de vie saillant plus stressant que des domaines périphériques: professionnel, famille que loisirs..
  2. Surcharge: effectuer plusieurs tâches à la fois semble engendrer plus de stress que lorsqu’on effectue une seule tâche à la fois.
  3. Évènements ambigus: plus stressant qu’un évènement clairement défini (où la personne peut développer une stratégie de coping efficace).
  4. Évènements non contrôlables: évalué comme moins stressant si peut être prédit et contrôlé.
104
Q

Qu’est-ce que la maitrise par rapport au stress ?

A

Sentiment de maîtrise qui reflète le contrôle d’un individu sur sa réponse au stress. Ils
ont argumenté que le degré de maîtrise pouvait être relié à la réponse au stress.

105
Q

Quels sont les avantage et désavantages d’étudier le stress en laboratoire ?

A
  • On élimine le maximum de variables confondantes
  • Manipulation artificielle des variables à l’étude (ex: contrôle de la présence ou absence de soutien
    social)
106
Q

Quels sont les avantages et désavantages d’étudier le stress en milieu naturel ?

A

◦ voir comment les gens y font face en réalité mais plus de variables confondantes.

107
Q

Quels sont les types de mesures du stress ?

A

Mesures physiologiques en laboratoire
Mesure autorapportée

108
Q

Quels sont les mesures physiologiques utilisé pour le stress ?

A

pour mesurer le rythme cardiaque, le rythme respiratoire, la tension
artérielle, la réponse galvanique de la peau déclenchée par la sueur.
◦ Prélever du sang ou de l’urine ou de la salive pour étudier les changements de catécholamines
et de production de cortisol.

109
Q

Quels sont les mesures autorapporté du stress ?

A

Une variété de mesure auto-rapportées pour évaluer le stress chronique ou aigu.
Échelle de perception subjective du stress (PSS) (Cohen et al., 1983).
Évaluation des stresseurs mineurs comme tracas quotidiens
* Échelle des tracas (Hassles Scale)
Échelle sur les évènements de vie
L’échelle de l’évaluation de réajustement social (SRRS) (Homes et Rahe, 1967).
PDA (assistant personnel digital) (Johnston et al., 2006), décrire leur niveau de stress régulièrement.
Dass-42 (évalue le stress, anxiété et dépression)

110
Q

Qu’est-ce que le VIH et le SIDA ?

A
  • Le VIH affaiblit progressivement le système immunitaire, la maladie finit par entraîner l’apparition de symptômes : perte de poids, fatigue infections de la peau, toux, fièvre et diarrhée. Si aucun traitement
    n’est suivi, la maladie évolue vers le sida, stade ultime de l’infection par le VIH.
  • Le virus du SIDA se situe dans les fluides corporels tels que le sang, le sperme, les fluides vaginaux et le lait maternel. Il se transmet donc par contact étroit et non protégé avec ces fluides corporels d’une personne infectée.
111
Q

Quels sont les rétrovirus contenant de l’ARN du VIH et SIDA ?

A

Rétrovirus oncogène qui sont la cause du cancer
Rétrovirus Foamy (pas d’effet)
Lentivirus (virus lent) ont des effets à long terme

112
Q

Quel est le processus de transmission du VIH ?

A
  1. Le VIH se lie à la molécule CD4 de la cellule T Helper
  2. Le virus est intégré au cytoplasme de la cellule
  3. La cellule génère un ADN proviral qui est une copie de la cellule porteuse
  4. Ce provirus entre dans le nucléus de la cellule
  5. La cellule porteuse produit de nouvelles particules virales, lues à partir du code viral de l’ADN
  6. Ces particules virales migrent et affectent d’autres cellules
  7. Après plusieurs réplications, les cellules T-Helper meurent
113
Q

La progression du SIDA a rendance à suivre quels étapes ?

A
  1. Séroconversion virale initiale
  2. Un stade asymprômatique
  3. Un élargissement des noeuds lymphatiques et le déclanchement des opportunités d’infections
  4. Le syndrôme ARC qui désigne un état intermédiaire précède la gravité du SIDA, est caractérisé par des symptômes comme la fièvre, une mycose chronique de la bouche, une augmentation du volume des ganglions,,,
  5. Le SIDA
114
Q

Quel est le rôle du psychologue de la santé dans l’étude du VIH ?

A

Étudie les attitudes par rapport au VIH, la modification des attitudes, les prédicteurs du comportement et l’élaboration d’interventions pour modifier le comportement
(transmission par voie comportementale sex, seringues)
Les facteurs psychologiques pourraient influencer la vulnérabilité au VIH, dans la reproduction du VIH et dans l’évolution de la séropositivité au SIDA

115
Q

À quoi serait du le manque d’adhérance au traitement du VIH ?

A

Manque de confiance envers les md, croyances face au système de santé, croyances face à la médication, contrôle perçu sur leur santé et effet secondaire des médicamments

116
Q

Qu’est-ce qui fait qu’il y a une meilleur adhérance au traitement pour le SIDA ?

A

grâce à la thérapie antivirale (TAHA)

117
Q

Quels sont les étapes du deuil face à la maladie ?

A

choc (panique), deni, colère-marchandage, tristesse, résignation, acceptation (changement identité) et reconstruction

118
Q

Il existe 5 façon de réagir lorsqu’un problème grave se présente dans votre vie. Lesquelles ?

A
  1. déterminer comment résoudre le problème
  2. changer la façon qu’on se sent face au problème si l’émotion est non proportionnelle
  3. accpetez-le
  4. rester misérable (pas d’utilisation d’habiletés
  5. aggravez la situation (agissez de façon impulsive ou autodestructrice)
    Sans possibilité de résolution ou changer les émotions, pratiquer l’acceptation radical diminue la souffrance
    Demi sourire
119
Q

Comment l’ajustement cognitif joue un rôle dans l’évolution du VIH ?

A

La vitesse et le dergré d’évolution de la maladie mesurés par le nombre de cellules CD4 T-Helper étaient liés aux attentes négatives envers la maladie et serait prédictif de l’évolution réelle.
Les gens qui ont trouvés une signification au décès de leur ami montraient davantage de cellules CD4 que ceux qui n’avaient pas trouvé de signification

120
Q

Quels sont les facteurs de vulnérabilités au VIH ?

A

Le stress et le style de coping

121
Q

Quel est le lien entre le stress et le sida ?

A

Pourrait entrainer une évolution plus rapide vers le sida, la gestion du stress permettrait un ralentissement de la progression vers le sida et de diminuer le taux de cortisol ainsi que l’humeur dépressive

122
Q

Quel est le lien entre le style de coping et le sida ?

A

Style de coping C: absence d’expression émotionnelle et une reconnaissance diminué des besoins et des sentiments aurait un impact négatif sur le système immunitaire. L’expression trop intense des émotions pourrait ne pas être indante. Il faut un juste milieu. L’hostilité dirigé envers soi serait aussi lié à un système immunitaire plus pauvre.
Les gens qui vont éviter à long terme vont ressentir plus de colère (coping d’évitement)

123
Q

Quel est le lien entre la psychologie et la longévité ?

A

Une issue positive peut être prédite par la perception initiale du contrôle de la maladie, le soutien social, la résolution de problème, les comportements de recherche d’aide, un niveau de désirabilité social peu élevé et l’expression de colère et hostilité
Comportements de type C (sacrifice de soi, auto-accusation, absence d’expression émotionnelle) pas lié à la longévité.

124
Q

Qu’est-ce que le cancer ?

A

Développement incontrôlé de cellules anormales, ce qui produit des tumeurs appelés néoplasmes

125
Q

Quels sont les types de tumeurs ?

A

bénignes (ne se répandent pas) et malignes (métastases qui se répandent à travers le corps)

126
Q

Quels sont les types de cellules cancéreuses ?

A

Carcinomes (90% des cellules cancéreuses, pas nécessairement malin)
Sacrome (se développes dans les tissus connectifs)
Leucémie (se développent dans le sang, attaque l’incidence des globules blancs)

127
Q

Quels sont les cancers les plus fréquents ?

A

Poumons, foie, colon et sein

128
Q

Quel est le lien entre le cancer et le système immunitaire ?

A

plus les cellules cancéreuses prennent de la force, plus le système immunitaire est affaiblit
plus on prend soin de soi, plus notre système immunitaire pourra combattre.

129
Q

Quels sont les traitements du cancer ?

A

Hormonothérapie, chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, cryothérapie et immunothérapie

130
Q

Quels sont les problèmes du traitement du cancer ?

A

prévalence ne diminue pas, d’autres souffrent d’effets secondaires et de séquelles et le cancer peut revenir de façon plus agressive.
Les traitements endommagent aussi les cellules saines du corps ce qui entraine des conséquences néfastes ou de toxicité à court, moyen et long terme.
Affecte la longévité et la qualité de vie.

131
Q

Quels sont les solutions au cancer ?

A

Agir sur les facteurs de risques: comportements de santé et émotions

132
Q

Quel est le lien entre le stress et le cancer ?

A

Le stress provoque une diminution de la production d’hormones qui combattent les carcinnogènes et consolident l’ADN
Le cortisol diminue le nombre de cellules T active ce qui pourrait augmenter la vitesse de développement des tumeurs

133
Q

Quel est le lien entre l’adrénaline et le cancer ?

A

L’adrénaline (peur et stress) provoque l’affaiblissement des défenses naturelles du corps (sys imu)
Le système immunitaire fonctionne à son plein potentiel lorsque nous somme serein
L’adrénaline agit aussi directement sur les cellules cancéreuses en déclanchant laproduction de produits inflammatoires qui agissent comme catalyseurs des cellules cancéreuses (les poussent à se développer)
Les cellules cancéreuses ont des récepteurs d’adrénalines et l’adrénaline augmente l’irrigation sangine ce qui nourrit les cellules cancéreuses

134
Q

Quel est le lien entre les émotions et le cancer ?

A

Le désespoir, l’isolement social, l’anxiété et la dépression, les discordes familiales persistantes (stress) affaiblissent le système immunitaire

135
Q

Qu’est-ce qui impacte l’épigénétique ?

A

nourriture , drogues, environnement social, facteurs psychologique, émotions, toxines ingérés ou inhalés
ADN comme un cannaux, le résultat est le changement

136
Q

Quel est le rôle de la psychologie dans le cancer ?

A

Croyances sur la santé et la maladie, les comportements de santés, interventions visant un changement de comportement (ajustement, réorganisation, comportements sociale, maximiser comportements de santé) aussi impliqué dans le dépistage, la recherche d’aide, l’ajournement et l’adhérence.
Majo des gens ont des cellules cancéreuses, pas tous le développe. le cancer n’évolue pas de la mm façon chez tous et tous ceux qui ont le cancer n’en meurent pas)

137
Q

Quels sont les facteurs psychosociaux et comportementaux liés au cancer ?

A

Facteurs comportementaux: conso de tabac, mauvaise alimentation, alcool et comportements sexuels (prédit en évaluant les croyances sur la santé)
Facteurs de stress et facteurs contrôlable et incontrôlables: Perception des facteurs incontrôlable favorise le développement du cancer, le stress après le diag peut aussi influencer les comportements de santé.
Évènement de vie: corrélé avec les gens qui ont le cancer
Style de coping, dépression et personnalité (cynisme, lunettes roses) pourraient être corrélé

138
Q

Quels sont les conséquences psychologiques du cancer ?

A

Humeur: dépression sévère, chagrin, manque de contrôle, colère, anxiété, incertitude.
image du corps: perte de cheveux, masectomie (adaptation cognitive à considérer)
L’adaptation cognitive: Sentiment de maitrise vs perte de contrôle
Identification des bénéfices: sens à la vie, changement de priorités, valeurs vs pertes et peur
Deuil

139
Q

Qu’est-ce qui aide à faire face au deuil ?

A

pleurer autant que besoin
Se donner le droit d’épreouver la tristesse, douleur, colère et tout autre émotions
Se joindre à un groupe de soutien
se préparer aux émotions pouvant surgir lors des fêtes, annivs, congés
prendre soin de soi, bien manger, bouger
Limiter la consommation d’alcool et de drogue

140
Q

Quels sont les interventions à appliquer avec les personnes atteintes du cancer ?

A

Aug du soutien social, groupe de soutien
Gestion de la douleur: hypnose, biofeedback, relaxation, distraction
Diminuer l’anxiété pour la gestion des nausées: relaxation, méditation, TCC
Image corporelle, gestion de la souffrance, transmission d’habiletés
Stratégies d’adaptation cognitive : améliorer l’estime de soi, aider à donner un sens à sa vie
Diminution de la peur de récurence du cancer

141
Q

Quels sont les interventions et éléments clés pour intervenir avec les gens ayant le cancer ?

A

1, Éduquer le patient sur la différence entre les symprômes bénins et inquiétants
2. Aider la personne à identifier les déclancheurs de la peur de la récurrence (mal de coeur, rougeurs, picottement) et comportements de coping innaproprié (hypwevigilance, évitement)
3. Faciliter l’apprentissage et l’utilisation de nouvelles stratégies de coping (évèn déclancheur, croyance-le cancer est revenu, comportement-vérification excessive)
* Les patients seront éduqués à identifier leurs pensées, émotions et réactions physiques.
* Techniques auto-calmantes lorsque les patients font face à l’incertitude.
4. Augmenter la tolérence à l’incertitude (psychoéducation, pleine conscience et exposition aux scénarios catastrophiques)
5. Promouvoir l’expression émotionnelle des peurs spécifiques qui sous-tend la peur de la récurrence du cancer (peur de mourrir, perte de santé, dignité, expérience de douleur incontrôlable)
6. Réexaminer les priorités de vie et placer des objectifs réalistes pour le futur

142
Q

Comment est calculé l’obésité ?

A

1) moyenne
2) IMC
3) Taille
4) l’indice de masse grasse

143
Q

Quel est la limite de l’imc ?

A

permet pas de prendre en considération la
différenciation entre le muscle et la graisse.

144
Q

Qu’en est-il du tour de taille pour la santé ?

A

Permet de pallier aux lacunes de l’IMC qui ne permettent pas l’analyse de la localisation de la graisse.
Ceci peut être important pour prédire par exemple le diabète (graisse abdominale)
v Perte de poids recommandé quand poids supérieur à 102 cm pour les hommes et 88 cm pour les femmes
vUne réduction du tour de taille est associée à une réduction des facteurs de risque cardiovasculaires et
l’obésité abdominale est associée à une résistance à l’insuline et au développement du diabète de type 2
(Chan et al., 1994; Han et al., 1997).

145
Q

Quels problèmes physiologiques sont associés à l’obésité ?

A

◦ Obésité liée à la maladie cardiovasculaire
◦ Diabète
◦ Traumatisme des articulations des couleurs de dos
◦ Cancer
◦ Hypertension
◦ Mortalité
IMC serait un facteur de risque de la maladie cardiaque incluant la tension artérielle, le cholestérol et la glycémie (Ashton et al., 2001).
IMC et hypertension et infarctus

146
Q

Quels sont les problèmes psychologiques associés à l’obésité ?

A

◦ Estime de soi
◦ Pauvre image de soi qui ne sont pas conformes à l’image de minceur stéréotypé et attirante
locus de contrôle externe, isolement, cmpt alimentaire négatifs, personnalité à considérer dans le pronostique
◦ Plus de dépression que les gens de poids moyen (Wadden et al., 1986)
dépression majeure, trouble panique et agoraphobie.
rapportaient que ceci affectait leur identité

147
Q

Quels sont les théories de l’obésité ?

A

Théories génétiques, théorie du taux métabolique, régulation de l’appétit, l’environnement obésogène, théories comportementales

148
Q

Qu’est-ce que la théorie génétique pour l’obésité ?

A

Le poids et la taille sont héréditaires (Garn et al., 1981).
◦ Étude sur les jumeaux monozygotes élevés dans des environnements différents
◦ Poids plus proches que des jumeaux dizygotes élevés ensemble (Stunkard et al., 1990).
◦ Études chez les enfants adoptés (poids des enfants comparés aux parents adoptifs)
◦ Relation avec les parents biologiques plus forte /pas de relation avec parents adoptifs

149
Q

Qu’est-ce que la théorie du taux métabolique

A

Le corps utilise l’énergie pour permettre tous les processus
chimiques et biologiques essentiels à la vie (respiration, rythme
cardiaque et pression artérielle)
Une théorie sur l’obésité a soutenu qu’il était possible que les
personnes obèses aient un métabolisme plus lent et qu’ils
brûleraient moins de calories au repos, et que par conséquent, ils
auraient moins besoin de nourriture pour survivre.
Syndrome Métabollique: Excès de graisse viscéral
manger trop souvent, trop d’insuline sécrété

150
Q

Qu’est-ce que la théorie de la régulation de l’appétit (gène)

A

Prédisposition génétique pourrait également être lié à l’appétit (satiété).
Gène »ob » qui produit la leptine qui est responsable du phénomène de satiété
Donc mangerait beaucoup.
sous production de leptine, pas de sentiment de satiété, la personne va manger énormément

151
Q

Qu’est-ce que l’environnement obésogène ?

A

L’industrie alimentaire:
◦ Accès facile au « fast food » , moins cher, moins de temps
◦ L’accès facile aux plats à emporter
◦ Mode vie de plus en plus sédentaire avec la réduction du travail manuel, utilisation de voitures, ordinateurs, télévision, ascenseur, escalateur
moins de métiers manuels

152
Q

Qu’est-ce que la théorie comportementale de l’obésité ?

A

L’obésité peut seulement subvenir quand l’apport énergétique reste supérieur à la
dépense énergétique pour une période de temps prolongée.
La littérature a donc exploré le rôle des comportements dans l’obésité…
L’activité physique:
L’augmentation de l’obésité coïncide avec une diminution de la dépense d’énergie due à:
◦ l’amélioration des systèmes de transport, et l’évolution de la société agricole vers une société industrielle
◦ Inactivité, 20% des hommes occupent des emplois actifs et 10% des femmes, temps et loisirs souvent dominés par l’inactivité

153
Q

Quel est le facteur de risque le plus élevé pour la prise de poid ?

A

Le faible niveau d’inactivité était un des facteurs de risque le plus élevé pour la prise de poids

154
Q

C’est quoi l’effet de l’activité physique sur la dépense énergétique ?

A

Exercice physique est recommandé pour augmenter le taux métabolique
Cependant, seul l’exercice physique intense et prolongé semble avoir un effet sur ce taux.
Rôle de l’exercice physique reste encore indéfini. Cause ou conséquences? Autres?
Différents types d’obésité? Mécanismes impliqués?
L’exercice pourrait toutefois avoir un impact sur les effets psychologiques de la santé en générale, ce qui pourrait bénéficier les personnes obèses (perception d’eux-mêmes), effets de l’exercice sur l’humeur.

155
Q

Qu’est-ce qui influence les comportements alimentaires ?

A

◦ Exposition (prôner une certaine alimentation, apprentissage par association)
◦ Modélisation (Avoir vu les choix alimentaires des parents)
◦ Apprentissage par association (bon repas en famille c’est le fun, le dessert)
◦ Croyances
◦ Émotions

156
Q

Qu’est-ce que la recherche dit sur les comportements alimentaires des personnes obèses ?

A

Ils onttrouvé que les personnes obèses avaient plus tendance à sauter le petit déjeuner et le diner, et à manger plus souvent la nuit. Ils rapportaient également, de plus grandes portions lors des repas.
Laessle et ses collègues (2007), ont démontré que les personnes souffrant d’Obésité prenaient de plus grandes cuillérées et avaient une plus grande consommation d’aliments.
** consommeraient plus d’aliments gras (Prentice, 1995), consommeraient différemment, mais peut-être pas nécessairement plus que la population dite normale mais plus de graisse contrairement au niveau de glucides

157
Q

En résumé, que doit-on retenir sur l’obésité ?

A

◦ Il existe des preuves solides démontrant la base génétique de l’obésité. ◦ Les éléments concernantla manière dont cette héritabilité s’exprime sont limités (Lectine, métabolisme lent…) ◦ Prévalence de l’obésité a augmenté proportionnellement à la diminution de l’activité physique. ◦ Preuves contradictoires concernant le fait que les personnes obèses consomment plus de calories que les personnes non obèses. ◦ Il existe des preuves stipulant que les gens obèses font moins d’exercice que les gens non obèses. ◦ L’augmentation relative de la graisse est liée à l’augmentation de l’obésité.

158
Q

Quels sont les traitements de l’obésité ?

A

Approches thérapeutiques traditionnelles (comportementale)
Programmes comportementaux multidimensionnels intégrant (cognitive comportementale)

159
Q

Qu’est-ce que l’approche thérapeutique traditionnelle (comportementale) pour traiter l’obésité ?

A

◦ Régime et système de récompense associés à la faim physiologique et non à une réponse
émotionnelle (Stuart & Davis, 1972).
◦ Même si initialement perte de poids, les gains ne sont pas maintenus dans le temps (Brownell et Wadden, 1992).
◦ Ne prend pas en considération les aspects psychologiques… ou autres…

160
Q

Qu’est-ce que les programmes comportementaux multidimentionnels intégrant (cognitive comportementale) pour l’obésité ?

A

◦ Information, sport, restructuration cognitive, le changement d’attitude et prévention de la
rechute.
◦ Même si amélioration, taux de réussite encore faible.

161
Q

Quel est le rôle du régime ?

A

réajuster leur équilibre énergétique en mangeant moins que ce
qu’ils dépensent

162
Q

Quels sont les conséquences du régime et de la restriction alimentaire ?

A

◦ Fonctionne à court terme (Wadden, 1993).
◦ Tous les enjeux liés à la restriction alimentaire, seuil et rébellion vu dans un cours précédent.
◦ Conséquences psychologiques (tentatives échouées et estime de soi)
◦ Conséquences physiologiques (cycle de poids qui est nuisible pour la santé, lien avec maladies
coronariennes) (Hamm et al., 1989)

163
Q

Quels sont les problèmes psychologiques et physiologiques dans le traitement de l’Obésité ?

A

Psychologiques: Épisode de surconsommation dû à l’anxiété éprouvée, la frustration et la dépression.
Physiques: restrictions engendraient une fluctuation de poids chez les non obèse effet « yoyo » et rendait plus difficile les pertes de poids subséquentes (diminution métabolique)
(Brownell et al., 1986)

164
Q

À quels bénéfices pour la santé est associé la perte de poid réelle ?

A

améliore la pression artérielle, diabète de type 2 (Wing et al., 1987; Aucott, 2008). Halmi et ses collègues (1980), ont montré les bénéfices sur le plan psychologiques (réduction de la dépression… meilleur image corporel, meilleur locus de contrôle

165
Q

Quels sont les différents traitement médicamentaux pour l’obésité ?

A

Le premier groupe agit sur le SNC et supprime l’appétit. Le plus utilisé est la
« penthermine » qui agit sur la voie catécholaminergique et la sibutramine qui agit sur les voies noradrénergique et sérotoninergique.
◦ Effets secondaires: bouche sèche, nausée et constipation (Lean, 1997).
Deuxième groupe qui agit sur le système gastro-intestinal:
◦ « L’orlistat » en fait partie
◦ Effets secondaires: Accompagnée de selles liquides, envie pressante d’aller aux toilettes.
L’adhérence au médicament avait un lien positif avec la motivation et cela serait lié au changement de comportement (Ogden et Sidhu, 2006)

166
Q

Quels sont les traitement chirurgicaux de l’obésité ?

A

By-pass gastrique : perte moyenne de 28 kg après 2 ans (Torgerson & Sjöström, 2001).
◦ Efficace pour la perte de poids et le maintien de la perte de poids et également dans la réduction des facteurs de risque comme les maladies cardiaques et diabète.
◦ Amélioration de la qualité de vie des patients suivant la chirurgie ( De Zwann et al., 2002; Ogden et al., 2005). ◦ Troubles de l’humeur, bien être mental, perceptions de la santé et interactions sociales. ◦ Meilleur contrôle de leurs comportements alimentaires de leur poids (Ogden et al., 2006).
Anneau gastrique: L’anneau gastrique est un instrument de silicone qui encercle
le haut de l’estomac comme un bracelet (grosseur d’une balle de golf)

167
Q

Quels autres facteurs sont importants à considérer en lien avec l’obésité ? Prédicteurs de succès

A

Caractéristiques individuelles: plus haut revenu, travail en dehors de la maison, et le fait d’être plus âgé sont des prédicteurs de la perte de poids et du maintien.
Comportements de recherche d’aide comme prédicteurs de succès.
Facteurs psychologiques: l’importance des croyances de l’individus et de ses
motivations.
Rôle des évènements de vie: changement de comportement prolongé facilité par un
processus de transformation (ex: infarctus du myocarde, diabète…) Moment choc, levier thérapeutique important

168
Q

Qu’est-ce que la maladie coronarienne ?

A

implique un mauvais fonctionnement des artères coronaires.

169
Q

Quel sont les maladies coronariennes (différents types)

A

Angine de poitrine, infractus du myocarde et mort cardiaque subite: athérosclérose qui implique le rétrécissement
des artères en raison des dépôts de graisse qui obstruent le flux sanguin

170
Q

Qu’est-ce que l’angine la poitrine ?

A

Douleur aigue dans la poitrine qui se répand parfois jusqu’au bras gauche.
◦ Ceci se passe lorsque le flux sanguin vers les artères coronaires est limité à un tel point que le muscle du cœur est
privé d’oxygène.

171
Q

Qu’est-ce que l’infarctus du myocarde ?

A

arrive lorsque le flux sanguin est diminué par exemple par un caillot sanguin
ou quand une petite quantité de tissu cardiaque est détruite

172
Q

Quand se produit la mort cardiaque subite ?

A

se passe lorsqu’une personne a vécu plusieurs dégâts au niveau du cœur à cause d’infarctus passé.

173
Q

Quels sont les facteurs de risques des maladies coronariennes ?

A

Personnalité de Type a et hostilité et personnalité de type D
◦ Type A et l’hostilité ont été particulièrement étudiés (Smith & Gallo, 1999).
◦ Voies directes (réactivité cardiovasculaire)
◦ Indirectes (qualité des relations, comportements à risque pour la santé)
◦ Type D (cynisme) et maladies cardiaques (Denollet, Pederson, Vrints, & Conraads, 2007).
◦ Isolement social Anxiété et dépression liée à la maladie cardiaque.
Trouble de stress post-traumatique
Le stress:
◦ réactivité au stress et les évènements de vie
◦ Comportements malsains
Usage du tabac: 25%
Alimentation: cholestérol élevé

174
Q

Quel est le lien entre le stress chronique et les maladie cardiaques ?

A

Plus particulièrement, le stress chronique est associé à une arthrosclérose, qui est un processus lent de détérioration artérielle qui limite l’approvisionnement de sang au cœur.
De plus cette détérioration pourrait être d’autant plus importante chez les individus présentant une prédisposition génétique.
Ce processus chronique est confirmé par des recherches montrant le lien entre le stress chronique et la maladie cardiovasculaire

175
Q

Qu’est-ce qui active l’axe corticotrope ?

A

Le stress chronique a plus de probabilités d’impliquer l’activation de l’axe
corticotrope et la libération de cortisol.
◦ Ceci entraine un processus continu d’usure et de rupture et un processus plus lent d’athérosclérose et de détérioration du système cardiovasculaire.
Le stress aigu: modifications du rythme cardiaque et de la pression artérielle.
◦ Ceci peut être liée aux ruptures soudaines et être liées à des crises cardiaques

176
Q

Qu’est-ce qui active le système sympathique ?

A

La production prolongée d’adrénaline et de noradrénaline peut entrainer:
◦ La formation de caillots sanguins
◦ Une augmentation de la pression artérielle
◦ Une augmentation du rythme cardiaque
◦ Des battements de cœur irréguliers
◦ des dépôts de graisse
◦ La formation de plaque

177
Q

La variabilité individuelle au sein du
lien entre le stress et la maladie ?

A

Toutes les personnes soumises au stress ne tombent pas malades. Jusqu’à un certain
degré est dû au rôle des variables telles que le coping, le contrôle, la personnalité et le
soutien social qui seront décrites plus en détails ultérieurement.
Cependant la recherche indique que cette variabilité est également expliquée par:
1. La réactivité au stress,
2. La récupération
3. La charge allostatique
4. et la résistance au stress.

178
Q

Qu’est-ce que le diabète ?

A
  • Le diabète est une maladie chronique qui ne se guérit pas, mais qui se contrôle.
  • Il est caractérisé par une glycémie, c’est-à-dire un taux de sucre dans le sang, audessus des valeurs normales
  • Habituellement, la glycémie est maintenue dans les valeurs normales grâce, à
    l’insuline et le glucagon.
179
Q

Qu’est-ce que l’insuline ?

A

Hormone produite par le pancréas.
* Elle permet au glucose (sucre) contenu
dans les aliments de pénétrer dans les
cellules de l’organisme, où celui-ci est
utilisé comme source d’énergie.
* Agit comme une clé en permettant au sucre présent dans le sang d’entrer dans les
cellules du corps pour qu’il soit utilisé
comme source d’énergie.
* L’insuline permet de maintenir le niveau
de glycémie.

180
Q

Quel phénomène se produit lors du diabète ?

A

Une résistance du corps à l’action de
l’insuline;
* Une diminution de la sécrétion d’insuline
* ou une absence de production d’insuline
Par conséquent, le sucre ne peut pas
entrer dans les cellules (sans
l’insuline) et il s’accumule dans le
sang, ce qui entraîne une
hyperglycémie, c’est-à-dire une
augmentation de la glycémie audessus des valeurs normales

181
Q

Quels sont les effets à long terme de l’hyperglycémie ?

A

mener au développement de
certaines complications notamment
aux yeux, aux reins, aux nerfs, au
cœur et aux vaisseaux sanguins.

182
Q

Qu’est-ce que le diabète type 1 ?

A
  • Le diabète de type 1 est une maladie chronique qui apparaît dans la moitié des cas, avant l’âge de 20 ans.
  • Il est aussi connu sous le nom de diabète
    insulinodépendant.
  • Survient lorsque le pancréas ne sécrète plus d’insuline
    (absence). Sans cette insuline, le glucose finit par atteindre des taux dangereusement élevés dans le sang
    et ne peut entrer dans les cellules (donne lieu à l’hyperglycémie).
  • C’est pourquoi les personnes atteintes du diabète de type 1 doivent prendre de l’insuline plusieurs fois par jour, que ce soit par injection ou à l’aide d’une pompe à
    insuline.
183
Q

Qu’est-ce que le diabète type 2 ?

A

Le diabète de type 2 apparaît lorsque le sucre a de la difficulté à entrer dans les cellules.
Se produit lors de de deux anomalies
majeures:
1) Une réduction des effets de l’insuline sur des tissus cibles (insulinorésistance)
* Récepteurs ne fonctionnent pas bien
* Cellules ne permet plus l’entrée du glucose
2) Une diminution quantitative et qualitative
de la sécrétion de l’insuline dans d’autre cas.

184
Q

Quels sont les facteurs psychologiques liés au diabète ?

A

Association entre dépression et diabète et mécanismes physiologiques impliqués (Holt, Holt, & Golden, 2014; Ellis & Egede,
2010).
Diabète est associé à un haut niveau d’anxiété (Smith, Béland, Clyde,
Gariépy, Pagé, Badawi, Rabasalhoret & Schmitz, 2010).
Association entre les comportements obsessifs compulsifs et le contrôle du diabète
Diabète de type 1, dépression et deuil (Fraser, 2020)
Diabète et personnalité: peut également avoir des effets positifs et
négatif sur la gestion du diabète. Par exemple, le type de personnalité
D serait lié à au pauvre pronostic et à des complications médicales
(Bhat, Muliyala, & Chaturvedi, 2020).

185
Q

Plusieurs thérapies et interventions psychologiques ont été démontrées efficace dans le traitement des symptômes psychologiques et dans l’adhérence aux comportements de santé pour le diabète, lesquels ?

A

Thérapie cognitive comportementale
* ACT
* Programmes éducatifs
* Résolution de problèmes
* Entrevue motivationnelle

186
Q

Quels sont les considérations à avoir dans le traitement du diabète type 2 ?

A

Contrôle de la glycémie possible via l’alimentation, exercice, habitudes de vie permet d’améliorer ou stabiliser l’état et insuline.
* Locus de contrôle

187
Q

Quels sont les considérations à avoir dans le traitement du diabète type 1 ?

A

Contrôle via traitements médicaux (insulino- dépendant, machine…)
* Acceptation de la situation
* deuils
* Changement de vie, insulinodépendant, calcul des aliments, efforts physiques, pour pouvoir aider à la stabilisation de la glycémie.

188
Q

Quel est la contribution principale du modèle comportementale de la douleur?

A

Surtout méthodologique