EXAM 1 Flashcards
Pavlov
Comportements innés qui se produisent de manière automatique
Réflexes psychiques (principal champ d’étude)
Le conditionnement classique Inhibition interne (3)
Dû au passage du temps
La présentation du SC seule pendant trop longtemps engendre une perte du comportement
Lors du réapprentissage, moins d’essais sont nécessaire pour retrouver la RC, env 3 fois (plus facile, trace d’apprentissage)
Le conditionnement classique Inhibition externe (1)
Dû à une modification concrète (pas seulement le passage du temps)
Si on veut faire perdre le RC suite à la présentation du SC Chaque fois qu’on fait sonner la cloche, on frappe le chien après (stimulus désagréable)
La « névrose expérimentale »
Chaque fois qu’il entre avec la nourriture, il entre avec un grand cercle
Ensuite, lorsqu’il présente seulement le cercle (SC) au chien, le chien salive
La présentation d’un ovale (SN) ne déclenche aucune réaction
Ensuite on présente une forme qui est entre les deux les chiens ne savaient pas comment réagir, très nerveux très agités
Pavlov croit alors qu’il a trouvé ce qu’est un problème mental :
quand un humain ne sait pas comment réagir à une situation
Thorndike
Étude en
philosophie, ensuite étudie l’intelligence des poussins
Thorndike
Les boîtes à problèmes
Un chat qui a très faim dans une boite, invente un mécanisme qui permet d’ouvrir la boite, pour pouvoir aller manger
Le chat doit trouver comment faire (ex : une corde qui tire un levier)
Le chat qui a très faim essaie plein de méthodes différentes, il finit par trouver la solution par hasard
Quand on le remet dans la boite, il se rappelle plus rapidement comment faire (de plus en plus rapide)
Les boites à problèmes ont donner lieu à deux lois
thorndike
les boites à problèmes
le comportement résulte de l’effet qu’il procure, une réponse suivit de quelque chose de positif sera plus fréquente, et si elle est suivie de quelque chose de négatif elle tendra à diminuer
la loi de l’effet
thorndike
les boites à problèmes
plus souvent une association est faite, plus elle devient forte (tirer sur une corde fait ouvrir une porte, le lien entre les deux devient plus fort)
la loi de l’exercice
Le père du behaviorisme
watson
« La psychologie est une science naturelle purement objective dont le but théorique est la prédiction et le contrôle du comportement. »
« Le temps est venu où la psychologie doit rejeter toute allusion à la conscience. »
« Nous vous demandons d’abandonner l’idée selon laquelle l’intérieur de votre corps est différent ou plus mystérieux que l’extérieur. »
La psychologie peut devenir une « branche purement objective de la science » à condition qu’elle prenne pour objet le comportement.
watson
watson
Un comportement
La réponse à un stimulus
watson
Un stimulus et une réponse
Ce qui est susceptible de provoquer une réponse, une réponse c’est ce qui est provoqué par un stimulus
watson
La pensée et le langage
La pensée est un comportement comme un autre, c’est un discourt qui est silencieux, et le langage est un comportement
watson
l’instinct
quelque chose qui n’existe pas, tous les comportements sont acquis
Le but de Watson est de
prédire et contrôler les comportements « Le but des études psychologiques est l’établissement de données et de lois telles que, le stimulus étant donné, la psychologie puisse prédire quelle sera la réaction et que, d’autre part, la réaction étant donnée, elle puisse déterminer quelle était la nature du stimulus. »
On peut conditionner les individus avec un stimulus
Selon lui, pour tout être humain, la présentation d’un stimulus engendre toujours la même réponse
watson
watson
Étude sur le « bébé Albert »
Conditionner le bébé à ressentir de la peur, face à un rat blanc
Présente toute sorte d’animaux (rat, chien, singe)
Quand l’enfant est intrigué et s’approche du rat, Watson fait un gros bruit désagréable, qui fait paniquer l’enfant
Refait le coup à chaque fois que l’enfant s’approche du rat, et pas avec les autres animaux
Ensuite le bébé a peur quand le rat s’approche
Étude sur le bébé Peter
A une peur des lapins, ont donner des gâteries à l’enfant en associant le lapin, approchant le lapin de plus en plus et faire disparaitre la peur
On peut donc conditionner des comportements et émotions, on peut aussi déconditionner
watson: Les problèmes de santé mentale sont dû à
de mauvais conditionnement
Principe de la contiguïté
Se dit « psychologue du conditionnement simultané »
Guthrie
Son désire : développer une véritable théorie de la connaissance en psychologie
Hull
Hull
Stimulus – organisme – réponse
Trois principes :
– Présence de variables _____
– Chaque variable intermédiaire non observable (faim, soif, fatigue) doit être liée à ________
– Les relations s’expriment sous forme _______
intermédiaires (organisme)
une variable observable
de fonctions mathématiques
Organisme : Si le chien n’a vraiment pas faim, sa salivation sera moins importante ou absente (être fatigué, avoir de la libido, etc.)
Contribue à la crise du béhavioriste (baisse d’intérêt de la population, controverse qui mène à l’essor de l’aspect cognitif) dû à la complication de ses formules et explications
Les comportements « répondants »
Travaux de Pavlov, comportement-réponse
Plutôt inné/réflexe
Les comportements « opérants » / comportement instrumental
Un comportement suivi de quelque chose de positif, __________
Un comportement suivi de quelque chose de négatif, _________
Plutôt un comportement acquis (appris)
on a tendance à le refaire
on n’a pas tendance à le refaire
« Les seules différences entre le comportement des pigeons et des rats et celui des hommes (à part les différences de complexité) reposent dans le domaine du comportement verbal. »
skinner
Selon Skinner, il faut abandonner l’idée que les hommes sont dirigés par
un être intérieur ou un pouvoir de décision.
Les hommes agissent comme ils ont été conditionnés à le faire dans leur propre environnement par la famille, l’Église, l’école, l’usine, la société, etc.
Le monde est une immense boîte qui façonne l’individu.
Psychologue le plus influent du 20ieme siècle
skinner
Auteurs important approches béhavioristes (6)
Pavlov thorndike watson Guthrie Hull skinner
Kelly
Théorie des
construits personnels
Théorie des construits personnels
Construction mentale qui guide nos (4)
pensées, nos interprétations, nos comportements et nos émotions
Kelly
La construction
(les expériences qu’on a nous permettent de se construire une certaine vision du monde, la façon dont on découvre la vie)
Kelly
l’individualité
(on ne développe pas tous les mêmes construits, selon expériences personnelles, on ne voit pas tous le monde de la même façon)
Kelly
l’organisation
(l’ordre de nos idée et compréhension, certains éléments sont supérieurs à d’autres, certaines choses découlent d’autres choses, ex : si quelqu’un me complimente c’est qu’il veut quelque chose en retour donc je devrais me méfier)
-Qui
Au moyen des interprétations qu’ils font, les gens contribuent à leurs propres troubles et symptômes.
Les émotions proviennent des croyances, des interprétations et des réactions aux situations de la vie.
Ellis
Ex : une mère est dans le salon le soir regarde la tv et son enfant qui dort à cette heure va rejoindre la mère, ressent de la frustration face à l’enfant désobéissant, accueille l’enfant de façon désagréable
Même situation dans la maison voisine, mais la réaction et émotion positive car impressionner qui est déjà capable de sortir seul de son bassinet
C’est les pensées que nous avons qui nous font ressentir des émotions associées et qui seront suivi de comportement différent.
Ellis
Théorie ABC
Un ________(A) et les__________ (B) conduisent à des _____________ (C).
événement
croyances au sujet de cet événement
conséquences émotionnelles et comportementales
Objectif : modifier ces croyances irrationnelles qui mènent à des comportements irrationnels.
Traitement des situations
- L’interprétation
- L’évaluation
- Les croyances sous-jacentes
- (à cette étape que nous sommes à risque d’avoir des distorsions cognitives, j’interprète une situation de façon inexacte)
- qu’est-ce que ça représente à mes yeux, quelle importance j’y accorde, signification à cette étape que nous sommes à risque d’avoir une attitude dysfonctionnelle)
- (à cette étape nous sommes à risque d’avoir des croyances irréalistes majeures)
Les attitudes dysfonctionnelles
Les exigences rigides
penser que nous avons un besoin alors que c’est plutôt une préférence
• Bien matériel (j’ai besoin d’avoir un salaire de 70 000$) c’est plutôt une préférence
• Affection/relation (être en couple, reconnaissance professionnelle)
• Plaisir (vacances, relations sexuelles)
• Évitement de l’inconfort (bien dormir, être triste)
Les attitudes dysfonctionnelles
La non-acceptation
ne pas accepter une situation donnée
• Mon patron refuse mes vacances, je n’accepte pas
Les attitudes dysfonctionnelles
la dramatisation
amplifier les conséquences d’un événement
Les attitudes dysfonctionnelles
le jugement global sur la valeur personnelle
on se met une étiquette négative ou on la met à quelqu’un
Les attitudes dysfonctionnelles
La triade
Les trois première attitude
exigences rigides, non-acceptation, dramatisation
Fondateur de la thérapie cognitive
Beck
Triade cognitive
3 visions
- Vision de soi
- Vision des autres : attachement envers l’autre, comment je le vois
- Vision du monde et du futur : ai-je un avenir dans ce monde
shémas et processus de Beck (5)
Classé du plus abstrait/inconscient au plus concret
- Les schémas et les croyances fondamentales
- Les croyances intermédiaires
- Les processus cognitifs
- Les événements cognitifs
- Les réactions
beck
Les schémas et les croyances fondamentales
(façon de voir les choses, donc tous les événements seront teinté de cet aspect, exemple tendance anxieuse, verra plus les éléments anxiogène de son environnement)
Beck
Les croyances intermédiaires (3)
- Les présomptions (ce qu’on croit)
- Les règles (limites ou objectifs qu’on s’impose)
- Les attitudes
Beck
Les processus cognitifs
(distorsion cognitive: distorsion, minimisation raisonnement émotif : je ne me sens pas bien il va surement arriver quelque chose)
Les déductions sans preuve
- Le raisonnement émotif
- La personnalisation
- La lecture des pensées d’autrui
lorsqu’on se sert d’une émotion qu’on a comme étant la preuve de quelque chose (aujourd’hui je me sens vraiment pas intéressante donc je ne le suis pas)
• Le raisonnement émotif
lorsqu’on surestime notre implication dans quelque chose de négatif
• La personnalisation
interpréter le comportement de quelqu’un comme si nous savions comment elle pense, interprétation des pensées
• La lecture des pensées d’autrui :
Les généralisations excessives
- La dramatisation
- La disqualification du positif
- La pensée tout ou rien : aucune nuance dans le jugement
- Le jugement global sur la valeur personnelle
exagération d’un danger ou des conséquences
• La dramatisation :
sous-estimer notre implication dans quelque chose de positif
• La disqualification du positif :
aucune nuance dans le jugement
• La pensée tout ou rien :
étiquette négative sur soi ou quelqu’un d’autre, on prend des éléments partiels et on évalue globalement (on demande un service une fois à quelqu’un, il refuse et notre conclusion c’est qu’il est égoïste)
• Le jugement global sur la valeur personnelle :
Création de Beck (4)
Inventaire de dépression de Beck (BDI)
Inventaire d’anxiété de Beck (BAI)
Échelle de désespoir de Beck
Échelle des idéations suicidaires de Beck
Élabore la thérapie des schémas pour les patients présentant des troubles de la personnalité et qui ne répondent pas bien à la thérapie cognitivo comportementale (TCC) classique.
Young
C’est une mémoire constituée de sensations, d’émotions, de cognitions, de souvenir.
C’est un « pattern » envahissant.
Il est en lien à soi et aux relations avec l’autre.
Il est constitué à l’enfance et à l’adolescence.
C’est le passé qui réagit dans le présent (réactivation).
Il est significativement dysfonctionnel.
Exemple n’aime pas se faire toucher, car a été trop envahi pendant l’enfance
Le schéma précoce inadapté
Certains très béhaviorales trouvent que ces théoriessont un peu trop psychanalytiques, certains trouvent qu’il manque un peu d’appui scientifique
Young
Domaine 1: séparation rejet
- Abandon/instabilité
- Méfiance/abus
- Carence ou manque affectif
- Imperfection/honte
- Isolement social (exclusion)
Domaine 2: Autonomie et performance altérée
- Dépendance/incompétence
- Peur du danger ou de la maladie, vulnérabilité
- Fusion/personnalité atrophiée
- Échec
Domaine 3: limites déficientes
- Droit personnel exagéré/grandeur, tout m’est dû
* Contrôle de soi/Autodiscipline insuffisante
Domaine 4: centration sur autrui
- Assujettissement (répression de ses besoins, de ses émotions)
- Abnégation ou sacrifice de soi
- Recherche d’approbation et reconnaissance
Domaine 5: survigilance et inhibition
- Négativité, pessimisme
- Exigences élevées/critiques excessives
- Punition
- Inhibition émotionnelle
Instigatrice de la thérapie dialectique béhaviorale
Se base sur les théories béhavioristes tout en intégrant des éléments de la TCC et de pratiques zen
Sommité dans le domaine de l’intervention auprès de personnes souffrant d’un trouble de la personnalité borderline
Linehan
L’analyse fonctionnelle :
• Son but est de préciser les conditions de ________et de _________ des comportements cibles.
• Où, quand, à quelle fréquence, en présence de qui…
• Quelles sont les _________avant, pendant, après…
• Donc, on évalue le comportement à modifier et tous les facteurs pouvant l’influencer.
maintien déclenchement
pensées et images mentales
Si le comportement désagréable est présent et se maintien, c’est qu’il a nécessairement une ,
utilité, une fonction
Analyse fonctionnelle et compréhension clinique
antécédents cognitions affects actions conséquences
prédisposant :
précipitant :
déclencheur :
maintien
génétique, éducation
événement qui peut faire apparaitre la problématique
très proximal
qui fait que le cpt se poursuit
Modèle BASIC IDEA
Behavior Affect Sensation Imagery Cognition Interpersonal Drugs Expectation Attitude
Données structurales possibles Facteurs déclencheurs initiaux Événement ayant « précipité » le trouble Facteurs historiques de maintien Autres problèmes Traitements précédents Maladies physiques
Modèle SECCA (analyse diachronique)
Situation (ou stimulus) Emotion Croyances personnelles (ou cognitions) Comportements et conséquences Anticipations
Modèle SECCA (analyse synchronique)
Grille de Fontaine et Ylieff
Antécédents historiques, biologiques, socioculturels ou traumatiques Antécédents immédiats Comportement problématique Conséquences sur l’environnement Conséquences sur le sujet
Examen du problème
Clarification de la situation problématique (renforcement, bénéfice secondaire)
Analyse motivationnelle (pourquoi la thérapie)
Analyse développementale
Analyse de l’autocontrôle (moyen utilisés pour gérer la situation désagréable, comment les autres réagissent)
Analyse des relations sociales (connaissance des interventions des amis/ cothérapeute, vers qui référer à l’extérieur)
Analyse de l’environnement socioculturel et physique
Grille de Kanfer et Saslow
Modèle SORC
Ce modèle peut être résumé par l’interaction de quatre composantes (Nelson, Hayes) :
Stimuli Organisme Réponses Conséquences Selon le modèle, les réponses sont expliquées en fonction des trois autres composantes.
SORC
stimili
variables immédiates environnementales
Il précède le comportement cible du motif de consultation.
stimuli
on parlera plus souvent
• Des facteurs déclencheurs du symptôme
• Des facteurs précipitants du trouble
Les stimuli sont autant de nature externe (voir, entendre) qu’interne (émotions, sensations intéroceptives).
SORC
Les conséquences suivent la réponse ou le comportement cible (le motif de consultation).
Conséquences de toutes formes (4) :
- Interpersonnelles (ex. : isolement, conflit)
- Cognitives (ex. : renforcement des fausses croyances)
- Physiques (ex. : diminution de l’anxiété à court terme)
- Processus (ex. : empêcher l’habituation)
La variable « organisme » inclut toutes particularités de l’individu qui influencent les réponses aux stimuli:
- Processus internes (ex. : sensibilité à l’anxiété, intolérance à la nouveauté)
- Génétique (réactivité au CO2)
- Schémas (carence affective, méfiance)
- Facteurs qui prédisposent
- Apprentissages passés
- Toutes les formes de filtres
C’est souvent la mesure du comportement cible ou le motif de consultation. On évaluera les suivantes : • Émotionnelle • Physiologique • Cognitive • Comportementale
Réponses
En résumé : les éléments fréquents d’un modèle
- Les déclencheurs
- Les filtres des perceptions
- Les stratégies de gestions
- Les réactions physiologiques
- Les réactions émotionnelles
- Les formes d’apprentissage :
Des règles fréquemment considérées : Quel est le problème le plus urgent? • Suicide • Violence Quel problème est le plus souffrant? Quel est le problème le plus encombrant? Quel problème pourrait le plus stimuler la motivation? (renforcement positif)
Il n’y a pas un critère absolu.
Les priorités peuvent parfois changer en cours de route.
Il important de se rappeler que la notion de renforcement est intimement liée à notre
construction génétique.
Nous sommes des animaux construits pour survivre.
Pour survivre, l’humain a deux grandes quêtes:
- le plaisir (se nourrir, boire, se reproduire);
* l’évitement de la douleur.
Le renforcement opérant se produit quand
un comportement (visé, désiré) se présente après la présentation d’un stimulus et augmente les chances que le comportement se présente à nouveau.
Pour parler de conditionnement…
- Il faut que l’augmentation du comportement soit possible dans le contexte
- S’assurer que le renforçateur est réellement le seul effet du changement de fréquence
renforcement positif
augmentation de la fréquence de la réponse
Renforçateur
Primaire inconditionné
- Nourriture
- Liquides
- Chaleurs
- Stimulation sexuelle
Renforçateur
Secondaires conditionnés
- Objets désirés
- Activités désirées
- Renforçateurs sociaux (grands-parents)
- Renforçateurs généralisés (argent)
VF toute les sources de plaisirs ou renforcement peuvent atteindre un palier de satiété, l’effet diminue
vrai
renforcement négatif
retrait d’un stimulus négatif
évitement ou échappement
Principe de Premack
• C’est lorsque qu’on veut augmenter un comportement en restreignant un autre comportement qui est renforçant.
Ce qui augmente l’efficacité du programme de renforcement:
- Critère de la cible objectivé, opérationnalisé;
- Choisir le bon renforçateur;
- Le renforçateur généralisé est flexible;
- Immédiateté;
- Renforcer souvent;
- Renforcer dans différents contextes;
- Rappel d’instructions et guider vers la cible au début.
renforcement
• on l’utilise beaucoup au début pour que le nouveau comportement soit bien appris.
continu
- pour maximiser son programme de renforcement;
- utile après une période pour maintenir le comportement. (doit avoir un équilibre entre la cible et la récompense, pcq si trop facile on tombe dans la satiété)
intermittent
Renforcement intermittent
Avantages:
- Utilisé pour maintenir le comportement; (espoir de recevoir)
- Plus résistant à l’extinction;
- Génère un plus haut taux de réponse;
- Crée un comportement qui devient plus naturel avec le temps;
- Permets de limiter l’effet de satiété.
Programme _______plus renforçant que ______
intermittent
continu
• Lorsque la réponse désirée est émise dans un contexte similaire et qu’on la renforce.
But de généralisation
• Lorsque la réponse désirée est émise dans un contexte qui s’éloigne et qu’on ne la renforce pas.
But de discrimination
Plusieurs étapes qu’on prend pour se rendre à un but ultime
Renforcer successivement tout comportement approximatif qui peut mener vers le comportement final désiré.
Le shaping atteindra son but pourvu que le sujet ne se fixe pas sur les comportements intermédiaires ou approximatifs.
façonnement
Chaine de comportement
Les chaînes de réponses sont des comportements qui s’appellent successivement les uns les autres.
Une fois installée, la chaine acquiert un caractère d’automatisme.
avantages:
- Économie cognitive
* Cela devient procédural.
Modeling
3 étapes
- On présente un comportement modèle
- L’apprenant réplique le modèle
- On renforce si le comportement atteint la cible
modeling
Implique que l’apprenant possède une panoplie de comportements (habiletés) essentiels.
Utile:
- Le modèle est lui‐même renforcé pendant qu’il émet le comportement.
- L’attention vers le modèle doit être renforcée.
extinction
ignorer le comportement
S’applique autant pour les renforcements positifs que négatifs.
Mais cliniquement, sera utile quand on vise à ignorer un mauvais comportement et ne pas le renforcer.
renforcement différentiel
Cela vise à ignorer la présence des comportements problématiques (extinction) tout en veillant à favoriser l’apprentissage de comportements souhaités avec un renforçateur.
• Utile pour corriger des comportements désagréables sans violence.
• Moins désagréable, car il n’y a pas de punition ni de suppression de renforçateur.
Avantages
renforcement différentiel
- Moins intrusif
* Évite les pics de colère
Punition positive
Ajout de stimulus désagréable
Punition négative
Retirer un stimulus agréable
Punition
Pas aussi efficace que le renforcement positif.
Mais quand même parfois utile quand la personne se met en danger.
La punition négative fonctionne bien si elle est intégrée pendant _________
un autre programme de renforcement.
punition
Effets néfastes:
- Attention à l’effet de renforcement négatif du punisseur;
- Peut provoquer d’autre comportement d’agressivité;
- Effet moins prévisible;
- Peut provoquer des comportements d’évitement et d’échappement.
la punition paradoxalement saine
- Une punition éducative
- La punition doit être personnalité, fixe et constante
- La punition doit être perçue comme méritée (compréhension du mauvais comportement)
- Cette forme de punition qui est la plus efficace
time out
retrait
généralement 5-10 min
Plus efficace si c’est utilisé avec d’autres outils comme le modeling.
La règle doit être claire : tu auras le droit de sortir quand tu seras calme
Autres outils comportementaux
- Contrat de contingence
- L’économie de jeton
- Les contingences de groupe
- L’autogestion
Relaxation
Aptitude qui s’apprend et se pratique
L’atteinte d’une détente profonde au moyen de la relaxation nécessite généralement un entraînement d’une durée de__________
Outils souvent utiles en combinaison avec l’exposition
- __________
trois mois.
• Désensibilisation systématique#
Relaxation physique:
• Progressive de _________
• Passive par _______
• Associée à la respiration
Jacobson
relâchement musculaire
Relaxation mentale
- Training autogène (visualisation sensation)
- Méditation
- La pleine conscience
Résolution de problèmes
8 étapes
1) Définir le problème
2) Déterminer un objectif
3) Trouver des solutions potentielles
4) Évaluer les solutions
5) Élaborer un plan d’action
6) Établir un échéancier et des critères d’évaluation
7) Passer à l’action
8) Faire le point
Outils comportementaux pour l’anxiété.
- Exposition (jusqu’au processus d’habituation)
- Prévention de la réponse (couper le comportement de façon graduelle)
- Désensibilisation systématique
Outil comportemental pour l’humeur dépressive
La réactivation comportementale
Le travail cognitif
• Il existe plusieurs façons de travailler au niveau cognitif.
• Mais en général, les modèles suggèrent de cibler du
plus superficiel au plus fondamental.
Éléments de base de la thérapie cognitive
Pensées dysfonctionnelles
situation émotions pensées automatiques réponses rationnelles résultats
auto-observations
auto-observations Cela stimule : • La reconnaissance des • La reconnaissance des • La création de
pensées
émotions (pour certains, favorise les nuances dans les émotions).
liens entre les émotions, les pensées et les comportements.
Restructuration cognitive
Consiste à aider le patient/client à remplacer ses pensées dysfonctionnelles par
des pensées plus fonctionnelles
Outils pour critiquer ses pensées (5)
- Examiner les preuves
- Trouver d’autres interprétations
- Recueillir des données
- Questionnement socratique (forcer la personne à regarder d’autres explications)
- Jeux de rôle (aide parfois de réfléchir d’un point de vue externe)
Croyances intermédiaires et croyances de base
Une autre façon d’identifier les croyances irrationnelles est la réflexion sur
les trois personnes les plus marquantes de la vie d’une personne.
les trois personnes les plus marquantes de la vie d’une personne.
1re étape :
2e étape :
1re étape : la personne réfléchie sur le type de relation qui s’est établie avec cette personne.
2e étape : Identifier les traces.
C’est à ce moment qu’on parlera des « patterns de vie » inefficaces.
les réactions et les réponses comportementales, les modes gestion des problèmes qui ont été développés en réaction à ces traces et à ces croyances de bases.
6 étapes
Première étape: Auto‐enregistrement de la situation interpersonnelle
- décrivez ce qui s’est passé.
- qu’est‐ce que vous vous êtes dit lors de cette situation?
- décrivez ce que vous avez fait et dit et comment vous l’avez dit.
- décrivez quel est le résultat de cette interaction.
- décrivez comment vous auriez aimé que la situation se déroule.
- critiquez la situation.
Analyse critique des situations interpersonnelles
Première étape: Auto‐enregistrement de la situation interpersonnelle critique l’évènement Les interprétations de la situation. Les réactions et les comportements. Résumé et conclusion. Généralisation.
L’imagerie mentale
Pour la restructuration cognitive
Pour identifier les pensées automatiques.
• Faire visualiser un souvenir et faire verbaliser le patient.
Pour restructurer une pensée inadaptée.
• Faire visualiser un souvenir, mais remplacer le discours inadapté par un plus adapté.
Pour modifier des schémas ou des croyances :
• Young
Flèche descendante
Utilisé pour aller au bout
Peut être utilisé dans un but de critique
Peut être utilisé pour la création d’un
des scénarios catastrophiques
des probabilités et de la gravité
scénario d’exposition cognitive
Technique visuelle visant à mettre en image les différents facteurs impliqués dans un problème et présenter leur part respective (pointe de tarte dans un cercle.
La réattribution
Contribue à la crise du béhavioriste (baisse d’intérêt de la population, controverse qui mène à l’essor de l’aspect cognitif)
Hull