exam 1 Flashcards

1
Q

parles de l’historique et du fondement du droit des professions

A

•1868-1970 : Création de divers regroupements de professionnels (exemples : médecins, notaires, avocats)
•1970 : Commission d’enquête sur la santé et le bien-être social (Castonguay-Nepveu). On veut professionnaliser certaines professions puisque trop de personnes qui prétendaient être des professionnels en psychothérapie.
•1973 : Adoption du Code des professions
oOrdres professionnels créés depuis :
-1994 : Acupuncteurs
-999 : Sages-femmes
-2001 : Géologues
-2013 : Sexologues
-2015 : Criminologues
-Ostéopathes et enseignants…?
•Le rapport Trudeau et les dispositions législatives du PL21 (loi 28) constituent le cadre légal et réglementaire.
oL’encadrement des professionnels est nécessaire et lié aux clientèles vulnérables (enfants, criminels)
oProfessionnalisation, responsabilisation et imputabilité.
oLe mandat ministériel est confié à l’Office des professions.

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2
Q

parles du code des professions

A

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3
Q

parles de l’organisation du système du droit disciplinaire au Québec

A
  1. Code des professions
    1. Office des professions du Québec
    1. Conseil interprofessionnel du Québec
    1. Ordres professionnels (dont l’OPCQ)
  2. Loi sur la police
  3. Loi sur l’autorité des marchés financiers
  4. Loi sur le courtage immobilier
  5. Loi sur les tribunaux judiciaires
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4
Q

parles de l’Office des professions du Québec

A

•Mission (art.12 du Code des professions) : Veiller à ce que les ordres professionnels assurent la protection du public, que les professions s’exercent et se développent en offrant au public des garanties de compétence et d’intégrité.
oS’assurer que les ordres détiennent les outils appropriés à la réalisation de leur mandat de protection du public
oConseiller le gouvernement sur l’amélioration constante du système professionnel
oProposer l’adaptation de l’encadrement juridique du système professionnel
oSurveiller l’application efficiente des mécanismes établis au sein des ordres
oInformer le public sur le système professionnel et s’assurer qu’il soit représenté au sein des ordres.
•Il y a trois personnes de la communauté dans le conseil d’administration.

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5
Q

parles du conseil interprofessionnel du Québec

A

CIQ
1965
•Articles 17 à 22 Code des professions.
•Regroupement volontaire de 15 corporations professionnelles, maintenant appelées « ordres professionnels ».
•Mandat :
oRegrouper tous les ordres professionnels du Québec et agir à titre d’organisme-conseil auprès de l’autorité publique.
oVoix collective des ordres professionnels du Québec
oPromotion et défense du système professionnel
oEspace de discussion sur les enjeux systémiques du système professionnel
oLieu de référence pour le grand public, les futurs professionnels et les professionnels formés à l’étranger qui souhaitent venir exercer leur profession au Québec.

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6
Q

parles des ordres professionnels

A
  • Organisme désigné par la loi auquel l’état délègue le pouvoir d’encadrer l’accès et l’exercice d’une profession afin de garantir l’exécution compétente et qui intègre des activités à risques qui la caractérise.
  • Composé des membres de la profession qui la dirigent suite à une élection
  • Bien que l’Office des professions et le gouvernement aient un droit de regard, chaque ordre est autonome et établit ses propres règlements, voit à son autofinancement (cotisation des membres) et s’autodiscipline.
  • Ce n’est pas un regroupement de personnes souhaitant améliorer les conditions de travail et le statut de ses membres et défendre leurs intérêts sociaux et économiques. Le seul service pour les professionnels est des formations continues.
  • 54 professions, regroupées en 46 ordres, qui réglementent la profession de plus de 371 000 membres.
  • Intervenants de première ligne du système professionnel. On travaille directement avec la clientèle.
  • Effets
  • Mission
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7
Q

quels sont les effets des ordres professionnels

A

oResponsabiliser les professionnels par la reconnaissance de leurs compétences particulières
oCelles-ci les rendent en mesure de bien évaluer la qualité des services professionnels rendus
oLa loi impose des règles et des obligations, mais aussi des privilèges (exemple : meilleur prix pour les assurances)

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8
Q

quelle est la mission des ordres professionnels

A

oProtection du public (art. 23 Code des professions) : notre pratique peut causer des préjudices
oRôle et responsabilités:
-Contrôler la compétence et l’intégrité de ses membres
-Surveiller l’exercice de la profession
-Réglementer l’exercice
-Gérer le processus disciplinaire
-Favoriser le développement de la profession
-Contrôler l’exercice illégal de la profession et l’usurpation du titre

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9
Q

parles de l’ordre professionnel des criminologues du Québec

A

OPCQ
•Ordres professionnels avec lesquels on a le plus de contacts : conseiller d’orientation, criminologue, psychoéducateur, psychologue, sexologue, travailleur social et thérapeute conjugal et familial.
•Ordres professionnels avec lesquels nous avons des tâches communes : infirmiers(ères), médecin, orthophoniste et audiologiste
•Dernier ordre professionnel créé, suite à la modernisation des professions de la santé mentale et des relations humaines et trois ans de travail intensif
•Contenu : 13 activités réservées, formations équivalentes, qui peut faire partie de l’ordre

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10
Q

parles de la pyramide de Maslow et de notre évolution

A

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11
Q

parles de la déontologie

A

Jeremy Bentham
•Vient du grec la science des devoirs et de la fusion des mots grecs deon, ontos et logos, qui signifient « ce qu’il faut faire » et « discours ».
•Ensemble des règles, de devoirs et d’obligations liés à une profession donnée.
•Il y a des règles communes, à différentes intensités. Exemples : l’évaluation d’un médecin et d’un criminologue a moins d’impact que celle d’un hygiéniste, la protection de la société est plus importante pour nous que pour les ingénieurs forestiers.
•Branche de l’éthique qui établit les fondements des devoirs d’une personne en fonction de la morale.
•Fondée sur une réflexion éthique, mais suivre le code de déontologie n’amène pas nécessairement une réflexion ou un comportement éthique.
•Elle n’est pas universelle. Elle dépend du contexte socioculturel et temporel
•Éthique professionnelle : définit ce qu’un individu particulier estime comme moralement correct dans sa profession
•Déontologie professionnelle : code de conduite qui s’applique à tous les professionnels
•Exemples de règles déontologiques :
oSecret médical et interdiction de dévoiler des informations sur les patients
oSecret professionnel absolu des avocats et interdiction de dévoiler des informations sur les clients
oInterdiction pour un policier de profiter de sa fonction pour obtenir des avantages en sa faveur
•Secret professionnel : ce qu’on dit ne doit pas permettre d’identifier la personne de qui on parle

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12
Q

parles de la morale

A
  • Du latin moralis ou « relatif aux mœurs »
  • Ensemble des règles ou préceptes, obligations ou interdictions relatifs à la conformation de l’action humaine aux mœurs et aux usages d’une société donnée.
  • Éthique et morale : étymologiquement proches. La traduction grecque des deux termes est ethikos
  • Science et valeurs du bien et du mal (choix rationnel et subjectif) VS logique (vrai et faux), droit (légal et illégal), art (beau et laid) et économie (utile et inutile)
  • Petite voix influencée par la morale prônée par la société.
  • Ensemble de règles de conduite considérées comme valables et socialement considérées comme bonnes.
  • On attend qu’elle soit intériorisée et résultat d’un consensus absolu, mais dans les faits, c’est discutable.
  • Emmanuel Kant : on ne devrait jamais faire une mauvaise utilisation d’un individu. Tous les individus sont égaux, raisonnables et ils méritent le respect. (Déontologie) +++
  • Bentham : on peut faire une mauvaise utilisation d’un individu si ceci amène plus de bénéfices (utilitarisme et choix rationnel), au plan individuel ou social.
  • Elle n’est pas universelle. Elle dépend du contexte socioculturel et temporel
  • Elle nous montre quoi faire?
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13
Q

lequel est le plus moral ?

A

1.Traiter ses clients de bonne façon, donner une intervention de qualité, parce que c’est la seule façon qu’il obtiendra sa paie.
2.Traiter ses clients de bonne façon, donner une intervention de qualité, parce qu’il se sent empathique avec son client, parce qu’il l’apprécie.
3.Traiter ses clients de bonne façon, donner une intervention de qualité, parce que c’est son devoir.
1 = utilitariste. 2 = régit par l’émotion  travail inconstant. 3 = moral, mais on alterne entre les trois.

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14
Q

parles du devoir

A
  • Ensemble des règles générales qui guident la conscience morale.
  • Accompli par obligation, et non par volonté ou désir.
  • Kant : un acte n’a de valeur morale que s’il est fait par devoir.
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15
Q

parles de l’éthique

A
  • Vient du grec ethos, qui fait référence au comportement, au caractère et à la manière d’être en général.
  • Branche de la philosophie étudiant les normes morales qui influencent nos actions et leur fondement.
  • Science de la morale (métamorale) et art de diriger la conduite
  • Finalité : définir les comportements des hommes dans le but d’obtenir une société idéale et le bonheur de tous.
  • Elle nous explique pourquoi le faire?
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16
Q

parles des principes éthiques

A
  • Brunet et Sabourin s’intéressent au code de déontologie des psychologues.
  • L’éthique des droits est au cœur de la déontologie. Ces codes sont en place pour protéger les clients.
  • Éthique de la responsabilité : nous avons la responsabilité d’individus vulnérables et de la protection du public.
  • Respect de la démarche scientifique. Pour savoir si on prend la bonne décision, on se tourne vers des études.
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17
Q

parles du code de déontologie de l’OPCQ

A

Section 1 : Dispositions générales
Section 2 : Devoirs généraux et obligations envers le public
Section 3 (+++) : Devoirs et obligations envers le client
Section 4 (++) : Devoirs et obligations envers la profession
Section 5 (+) : Restrictions et obligations relatives à la publicité
Section 6 : Symbole graphique de l’ordre professionnelle

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18
Q

parles de la Section 2 : Devoirs généraux et obligations envers le public

A
  • Tenir compte des normes professionnelles et de l’ensemble des conséquences prévisibles de son activité professionnelle, sur le client et sur la société.
  • Favoriser et appuyer toute mesure susceptible d’améliorer la qualité et l’accessibilité des services professionnels (savoir-être et savoir-faire, formations)
  • Agir en fonction d’un objectif important, l’information et l’éducation du public.
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19
Q

parles de la Section 3 (+++) : Devoirs et obligations envers le client

A
dispositions générales 
intégrité et objectivité 
disponibilité et diligence 
responsabilité 
indépendance et désintéressement 
secret professionnel 
accessibilité et rectification des dossiers
fixation et paiement des honoraires
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20
Q

parles des disposition générales de la section 3

A

oTenir compte des considérations éthiques des clientèles et du contexte. Tenir compte des limites de sa compétence et des moyens à disposition. Par exemple, la délinquance sexuelle et la santé mentale nécessitent une spécialisation professionnelle.
oReconnaître le droit du client de consulter un autre professionnel
oS’abstenir d’exercer dans des conditions susceptibles de compromettre la qualité de ses services (exemples : pressions d’ordre pécuniaire, institutionnel ou politique) ou informer son client des conséquences qui peuvent en découler.
oÉtablir et maintenir une relation de confiance entre lui-même et son client. Éviter d’intervenir de manière impersonnelle, respecter les valeurs et les convictions de son client, ne pas développer de relation personnelle avec son client, être objectif.
oÉvaluer et intervenir que si nous avons les données suffisantes pour porter un jugement éclairé et pour agir de manière efficace et dans l’intérêt du client ou prévenir le client du manque d’information
oS’abstenir d’intervenir dans les affaires ne relevant pas de sa compétence, qui ne concerne que le délit.
oS’abstenir d’exercer contrairement aux normes reconnues (exemple : la lévitation ne l’est pas)

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21
Q

parles de l’intégrité et de l’objectivité

A

oS’acquitter de ses obligations professionnelles avec intégrité, objectivité et congruence avec soi-même
oRenseigner son client afin qu’il décide ou non de recourir à nos services, qui peuvent être imposés.
oInformer son client de son mandat et de ses conséquences. Obtenir son accord à ce sujet.
oExposer à son client la nature et la portée du problème qui lui est soumis, des solutions possibles et de leurs implications.
oÉviter les fausses représentations de sa compétence ou de l’efficacité de ses services ou ceux de l’Ordre
oAvec l’autorisation (écrite de préférence) du client, consulter un autre professionnel ou diriger le client vers un autre professionnel
oLe plus possible, s’abstenir de rendre des services aux personnes qu’on connaît personnellement.
oSe comporter d’une façon digne et irréprochable
oNe pas tenter de contraindre une personne à faire des aveux. C’est le travail des policiers
oNe contracter aucun lien économique avec son client, sauf en ce qui concerne son salaire.
oAgir avec modération et éviter de multiplier les actes destinés à répondre aux besoins de son client. Éviter de poser des actes inappropriés ou disproportionnés aux besoins de son client. Par exemple, ne pas exiger que quelqu’un suive une thérapie si elle ne consomme déjà plus.

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22
Q

parles de la disponibilité et de la diligence

A

oFaire preuve de disponibilité et de diligence. Quand on ne peut pas répondre à une demande dans un délai raisonnable, expliquer les motifs au client.
oFournir à son client les informations nécessaires à la compréhension et à l’évaluation des services
oNe pas cesser de rendre des services à un client, sauf pour des motifs justes et raisonnables :
-Perte de confiance du client;
-Le client ne bénéficie plus des services du criminologue (exemple : bris de probation)
-Conflit lié à la relation avec le client (exemple : conflit de valeurs)
-Incitation de la part du client à l’accomplissement d’actes illégaux, injustes ou frauduleux.
oSi on cesse d’offrir des services à un client, aviser ce dernier et veiller à ce que cette situation ne lui soit pas préjudiciable.

23
Q

parles de responsabilité

A

engager sa responsabilité civile personnelle, son imputabilité

24
Q

parles de l’indépendance et du désintéressement

A

oSubordonner son intérêt personnel à celui de son client.
oIgnorer toute intervention d’un tiers pouvant influer sur l’exécution des devoirs professionnels au préjudice de son client. (Exemple : aider la victime, les complices et le délinquant)
oSauvegarder son indépendance professionnelle et éviter toute situation où il serait en conflit d’intérêts.
-Probabilité d’être porté à préférer ses propres intérêts ou que son jugement et sa loyauté envers le client soient défavorablement affectés
-Potentiel avantage personnel, direct ou indirect, actuel ou éventuel.
-Exemple : acheter une voiture dans le garage d’un de nos clients.
oS’il y a conflit d’intérêt ou risque de conflit d’intérêt, informer le client et lui demander l’autorisation à continuer son mandat. Il reste préférable de le référer à quelqu’un d’autre.
oPartager ses honoraires avec une autre personne si ce partage correspond à une répartition des services et des responsabilités. Ça ne nous touche pas.
oS’abstenir de recevoir ou verser tout avantage, ristourne ou commission, mis à part son salaire.
oAccepter des honoraires d’une seule source (client ou son représentant), sauf s’il y a entente.
oDans une situation conflictuelle, agir pour une seule des parties ou préciser nos responsabilités et informer toutes les parties qu’il cessera d’agir si la situation empêche d’être impartiale.

25
Q

parles du secret professionnel

A

oRespecter le secret de tout renseignement de nature confidentielle
oOn ne peut être relevé du secret professionnel qu’avec l’autorisation de son client ou lorsque la loi l’ordonne (exemple : témoignage). Dans ces cas, on révèle seulement les informations nécessaires.
oS’assurer que le client soit informé des utilisations éventuelles des renseignements confidentiels
oNe pas dévoiler ou transmettre un rapport d’évaluation à un tiers, sauf s’il y a une raison légale (exemple : RPS donné au juge). Même le délinquant doit faire une demande écrite pour l’avoir.
oNe pas révéler qu’une personne a fait appel à ses services à moins que ce soit nécessaire ou inévitable. Dans ce cas, informer le client.
oÉviter les conversations indiscrètes au sujet de ses clients et des services qui leur sont rendus et veiller à ce que ses collègues fassent la même chose
oCacher l’identité des clients lorsqu’on utilise de l’information à des fins didactiques ou scientifiques.
oInformer les participants à une session de groupe de la possibilité que soit révélé de l’information privée, malgré leur engagement à respecter le caractère privé et confidentiel des communications
oLors d’une expertise devant un tribunal, informer de son mandat les personnes impliquées. Celle-ci se limite aux éléments relatifs à la cause.
oLe contenu du dossier concernant un client ne peut être divulgué, confié ou remis à un tiers qu’avec l’autorisation du client, ou lorsque la loi l’exige. Dans ces cas, l’information sera vérifiée et triée.
oPour enregistrer ou filmer une entrevue, obtenir la permission écrite de son client et s’assurer que des mesures sont prises pour sauvegarder la confidentialité
oLors d’intervention auprès d’un couple ou d’une famille, le secret professionnel de chacun doit être sauvegardé.
oNe pas faire usage de renseignements confidentiels en vue d’obtenir un avantage
oSauf dans un cas exceptionnel, ne pas refuser ses services à un client qui n’accepte pas de le relever de son secret professionnel. Par contre, c’est révélateur, doit être noté au dossier et utilisé pour confronter lors des rencontres subséquentes.

26
Q

parles de la levée du secret professionnel en vue d’assurer la protection des personnes

A

-Prévenir un acte de violence, un suicide ou un danger imminent de mort ou de blessure grave. On ne peut alors communiquer ce renseignement, unique, qu’aux personnes concernées, à leur représentant ou aux personnes susceptibles de leur porter secours.
•Communiquer le renseignement sans délai
•Choisir les moyens les plus efficaces et adaptés pour transmettre le renseignement
•Consigner au dossier du client concerné :
oLes motifs au soutien de la décision de communiquer le renseignement (identité des personnes concernées)
oLes éléments de la communication (date, heure, contenu, mode, identité de la personne contactée)

27
Q

parles de l’accessibilité et de la rectification des dossiers

A

oDonner suite, dans les 30 jours, à toute demande faite par son client dont l’objet est :
-Prendre connaissance des documents qui le concernent
-Obtenir une copie des documents qui le concernent
oDonner à son client accès aux documents gratuitement en présence d’une personne autorisée. On peut exiger des frais raisonnables (coût d’une reproduction, d’une transcription ou d’une transmission, sans charger notre temps). Informer son client des frais. Ça arrive surtout en prison.
oSi on refuse à son client l’accès à un renseignement, on doit indiquer par écrit les motifs du refus. Ça nous concerne moins, mais les instances nous étant supérieures le font.
oDonner suite, dans les 30 jours, à toute demande faite par son client dont l’objet est :
-Faire corriger des renseignements (fait) inexacts, incomplets ou équivoques
-Faire supprimer tout renseignement (fait) périmé ou non justifié
-Verser les commentaires qu’il a formulés par écrit
oDélivrer à son client, sans frais, une copie du document ou de la partie du document permettant de constater que les changements ont été faits. À la demande écrite du client, transmettre une copie à toute personne de qui on a reçu les renseignements ou à qui on les a communiqués. C’est rare.
oDonner suite à toute demande écrite faite par son client, dont l’objet est de reprendre possession d’un document ou d’une pièce que son client lui a confié. Les motifs doivent être inscrits au dossier.
oOn peut exiger que ces demandes soit faites à son travail, durant ses heures en fonction.

28
Q

parles de la fixation et du paiement des honoraires

A

privée ++
oDemander et accepter des honoraires justes et raisonnables, c’est-à-dire justifiés par les circonstances et proportionnés aux services rendus. Tenir compte des facteurs suivants :
-Temps consacré à l’exécution du service professionnel
-Difficulté et importance du service
-Prestation de services inhabituels ou exigeant une compétence ou une célébrité exceptionnelle.
oFournir à son client toutes les explications nécessaires à la compréhension des honoraires et des modalités de paiement.
oNe pas exiger d’avance le paiement des services. Prévenir son client du coût approximatif et prévisible
oPercevoir des intérêts sur les comptes en souffrance seulement après avoir avisé son client. Les intérêts exigés sont d’un taux raisonnable. C’est rare.
oAvant de recourir à des procédures judiciaires, épuiser les moyens raisonnables dont on dispose. Rare.
oLorsqu’une autre personne perçoit les honoraires, s’assurer que celle-ci procède avec tact et mesure.

29
Q

parles de la Section 4 (++) : Devoirs et obligations envers la profession

A
  • Actes dérogatoires à l’honneur et à la dignité de la profession (Code des Professions)
  • Relations professionnelles
  • Déclarations publiques
  • Interprétation du matériel criminologique
  • Précautions à prendre dans la recherche
30
Q

parles des Actes dérogatoires à l’honneur et à la dignité de la profession (Code des Professions)

A

o57. Refuser de fournir des services à une personne pour des raisons de race, de couleur, de sexe, d’âge, de religion, d’ascendance nationale ou d’origine sociale
o58. Utiliser à tort un titre de spécialiste
o58.1. Exemple : « docteur » : nécessite un doctorat.
o59.1. Abuser de la relation professionnelle à des fin sexuelles
oAutres actes dérogatoires

31
Q

quels sont les autres actes dérogatoires

A
  • Inciter quelqu’un de façon pressante et répétée à recourir à ses services professionnels
  • Réclamer du client une somme d’argent pour un service dont le coût est assumé par un tiers (exemple : RAMQ), à moins qu’il y ait une entente formelle entre les parties
  • Conseiller ou encourager un client à poser un acte illégal ou frauduleux
  • Communiquer avec un plaignant, sans la permission écrite, lorsque le criminologue est informé d’une enquête sur sa conduite ou sa compétence ou lorsqu’il a reçu une plainte
  • Ne pas signaler à l’Ordre qu’un criminologue est incompétent ou déroge à la déontologie
  • Fournir un document indiquant faussement que des services ont été dispensés
  • Réclamer des honoraires pour des services non dispensés, à moins que ce soit spécifié dans le contrat (exemple : la moitié du prix si le client ne se présente pas)
  • Présenter à un client une note d’honoraires pour les contacts avec le syndic, quand celui-ci demande des explications ou des renseignements concernant une plainte
  • Ne pas informer l’Ordre lorsqu’un candidat ne rencontre pas les conditions d’admission
  • Permettre à une personne qui n’est pas membre de l’Ordre de porter le titre de criminologue
  • Inciter un client à devenir son client en pratique privée. Sexologue ++
32
Q

parles des relations professionnelles

A

oRépondre à toute correspondance du syndic, des enquêteurs ou des membres du comité d’inspection
oNe pas surprendre la bonne foi d’un confrère, ne pas abuser de sa confiance ou utiliser de procédés déloyaux. Ne pas s’attribuer le mérite de travaux qui revient, tout ou en partie, à un collègue
oLorsque consulté par un collègue, lui fournir son opinion et ses recommandations
oVoir à ce que cette pratique ne cause aucun préjudice aux clients.
oPréserver son indépendance professionnelle même lors de travail en collaboration. Si une tâche est contraire à sa conscience professionnelle ou aux normes de sa profession, s’en dispenser
oSauf exceptions, accepter lorsque l’Ordre demande de participer à un conseil d’arbitrage des comptes (vérification des honoraires), à un conseil de discipline ou à un comité d’inspection professionnelle
oAider au développement de sa profession par l’échange de connaissances et d’expériences avec ses collègues et des étudiants et par sa participation aux cours et aux stages de formation continue.

33
Q

parles des déclarations publiques

A

oDans les déclarations publiques, éviter toute affirmation à caractère sensationnel ou excessif.
oLorsqu’on donne publiquement des indications sur les procédés et techniques, souligner leurs réserves. Par exemple, ça ne fonctionne pas pour tous les clients.
oFaire preuve d’objectivité et de modération lorsqu’on commente en public des méthodes différentes de celles qu’on emploie, lorsqu’elles satisfont aux normes. Généraliser.
oLors des conférences ou démonstrations publiques, des articles de journaux ou de magazines, des programmes ou messages adressés par courrier, souligner la valeur relative des activités
oS’abstenir de participer à des réclames publicitaires recommandant l’achat ou l’utilisation d’un produit. Ça nous touche moins.

34
Q

parles de l’interprétation du matériel criminologique

A

interpréter avec prudence les données recueillies, réduire toute possibilité de mésinterprétation ou l’emploi erroné des informations en les présentant dans un style approprié. Par exemple : ne pas prendre en considération les pardons lorsqu’on compile les antécédents.

35
Q

parles des précautions à prendre dans la recherche

A

oAvant d’entreprendre une recherche, évaluer les conséquences prévisibles pour les participants :
-S’assurer que tous les collaborateurs respectent les participants
-Obtenir le consentement des participants après les avoir informés des aspects de la recherche, y compris les risques.
oFaire preuve d’honnêteté et de franchise envers les participants lorsque la méthodologie exige que certains aspects de la recherche ne leur soient pas dévoilés. Leur expliquer les raisons de cette démarche et s’assurer que la qualité de la relation avec les participants soit maintenue.
oRespecter le droit d’une personne de refuser ou de cesser de participer à la recherche.
oFaire preuve de prudence lorsqu’on entreprend une expérience où la santé mentale ou physique d’une personne risque d’être affectée.
oDans l’utilisation de questionnaires, de dossiers ou d’autres instruments de recherche ou d’évaluation, s’assurer que la cueillette des données ne cause aucun préjudice à la vie privée
oLes données recueillies restent la propriété du client. L’emploi de ces données à des fins de publication ou autres, se conforme à la procédure établie par le client et aux droits d’auteur.

36
Q

parles de la Section 5 (+) : Restrictions et obligations relatives à la publicité

A

•Mentionner toutes les informations susceptibles d’aider le public à faire un choix éclairé et de favoriser l’accès à des services. Favoriser le maintien et le développement du professionnalisme.
•Ne pas faire ou permettre que soit faite de la publicité fausse, trompeuse ou pouvant induire en erreur.
•Ne pas s’attribuer des qualités ou habiletés particulières (exemples : niveau de compétence, étendue ou efficacité des services), sauf si on est en mesure de les justifier.
•Ne pas utiliser ou permettre que soit utilisé un témoignage d’appui ou de reconnaissance qui le concerne.
•Ne pas faire ou laisser faire de la publicité destinée à des personnes vulnérables (exemples : âge ou événement spécifique)
•L’annonce des honoraires doit être compréhensible pour un public n’ayant pas de connaissances particulières et doit :
oLes maintenir en vigueur pour la période mentionnée, c’est-à-dire minimum 90 jours après la dernière diffusion ou publication autorisée
oPréciser les services inclus dans ces honoraires
oIndiquer si les frais sont ou non inclus.
•Dans le cas d’une publicité relative à un rabais, mentionner la durée de la validité de celui-ci. Cette durée peut être inférieure à 90 jours.
•Ne pas accorder plus d’importance à un rabais qu’au service offert.
•Conserver une copie originale, pendant cinq ans suivant la date de la dernière diffusion ou publication. Sur demande, cette copie doit être remise au syndic.
•Tous les associés d’une société de criminologues sont responsables du respect des règles, à moins que le nom du criminologue qui en est responsable soit clairement indiqué.

37
Q

parles de la Section 6 : Symbole graphique de l’ordre professionnelle :

A

les reproductions du symbole, à des fins de publicité, doivent être conforme à l’original et ne contenir aucune modification.

38
Q

parles des lettres patentes de l’OPCQ

A

Section 1-Dispositions générales

Section 2-Dispositions transitoires

39
Q

parles de la Section 1-Dispositions générales

A

•Autres activités professionnelles exercées :
oÉvaluer les facteurs criminogènes et le comportement délictueux de la personne ainsi que les effets d’un acte criminel sur la victime
oDéterminer un plan d’intervention et en assurer la mise en œuvre
oSoutenir et rétablir les capacités sociales de la personne contrevenante et de la victime dans le but de favoriser l’intégration dans la société de l’être humain en interaction avec son environnement.
•Actes réservés
oÉvaluer une personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologique diagnostiqué par un professionnel
oÉvaluer une personne dans le cadre d’une décision du DPJ ou du tribunal en application de la LPJ
oÉvaluer un adolescent dans le cadre d’une décision du tribunal en application de la LSJPA
oDécider de l’utilisation des mesures de contention dans le cadre de l’application de la LSSSS
oDécider de l’utilisation des mesures d’isolement dans le cadre de l’application de la LSSSS
oL’information, la promotion de la santé et la prévention du suicide, de la maladie, des accidents et des problèmes sociaux auprès des individus, des familles et des collectivités font partie de l’exercice de la profession
oExercer la psychothérapie et utiliser le titre de psychothérapeute selon les dispositions du Code des professions
•Abréviation du titre criminologue : crim.

40
Q

parles de la Section 2-Dispositions transitoires

A

•Cotisation : 650$ (50% de rabais la première année, 200$ pour les retraités)
•Siège : Montréal
•Règlements :
oCode de déontologie
oRèglement sur la cessation d’exercice
oSection I du Règlement sur la tenue des dossiers et des cabinets de consultation
•Décret : certaines tâches, qui visent à compléter le programme d’étude, peuvent être exercées par des stagiaires s’ils sont supervisés par un membre de l’Ordre ayant au moins 5 ans d’expérience, s’ils agissent dans le respect des normes et des règlements et s’ils sont dans un programme conduisant à l’adhésion à l’Ordre.

41
Q

qu’est-ce qu’on trouve dans le référentiel de compétences

A
  • Cadre légal et réglementaire
  • Caractéristiques du travail de criminologue et perspectives quant à son évolution, l’environnement physique et organisationnel de travail, les ressources utiles et les risques qu’il représente pour leur santé et leur sécurité
  • Assises de l’exercice de la profession : ce qui balise l’action professionnelle, les connaissances et habiletés à maîtriser et les attitudes et comportements professionnels attendus
  • Vue d’ensemble et description détaillée des compétences nécessaires à l’exercice de la profession.
42
Q

pourquoi a-t-on créé le référentiel de compétence

A
  • Pour avoir à sa disposition une référence objective et opérationnelle, à partir de laquelle on pourrait produire d’autres documents en conformité avec la mission de protection du public.
  • Pour se doter d’un processus d’évaluation et de reconnaissance des compétences des personnes formées à l’étranger voulant exercer la profession de criminologue au Québec.
43
Q

quel est le concept clé du référentiel de compétence. parles en

A

compétence
•Mobilisation du savoirs (connaissances), du savoir-faire et du savoir-être + ressources utiles
•Faire appel à son jugement, aux attitudes et aux comportements appropriés pour accomplir son travail, analyser une situation complexe, résoudre des problèmes, proposer des actions ainsi et interagir avec d’autres personnes et établir avec celles-ci une relation de respect, de confiance et de réciprocité.
•Capacité d’une personne à utiliser ses ressources internes (connaissances, habiletés, qualité) et externes (matériel, information) dans l’action et l’interaction avec autrui
•Action du criminologue
•Gestion des éléments clés entourant l’action du criminologue
•Développement professionnel continu
•Participation à l’évolution et au rayonnement de la profession
•Participation à l’évolution et au rayonnement de la profession > développement professionnel continu > gestion des éléments clés entourant l’action du criminologue > action du criminologue

44
Q

parles de l’action du criminologue

A

évaluer la situation de personnes ayant des comportements délinquants ou criminels, ayant été victime d’un acte criminel ou étant vulnérable au niveau de leur sécurité, leur développement ou leur état de santé (problèmes de dépendance ou de santé mentale) afin d’effectuer des interventions. Pour ce faire :
oÉvaluation des facteurs de risque, des besoins et du niveau de risque.
oÉtablir et exposer le résultat d’une évaluation, donner un avis professionnel ou formuler des recommandations
oConcevoir et planifier une intervention
oMettre en œuvre une intervention et en assurer le suivi

45
Q

parles de la Gestion des éléments clés entourant l’action du criminologue

A

oProduire les documents liés à la pratique professionnelle
oAgir dans un contexte de collaboration professionnelle intra ou interdisciplinaire
oContribuer à l’organisation des services
oExploiter l’information et les ressources pertinentes pour la prestation des services

46
Q

parles du Développement professionnel continu

A

oProduire un plan de formation continue adapté à ses besoins de développement professionnel
oMettre en œuvre ce plan, en utiliser les acquis et l’actualiser

47
Q

parles de la Participation à l’évolution et au rayonnement de la profession

A

oContribuer au transfert des connaissances

oContribuer à l’approfondissement et à la communication des connaissances

48
Q

parles de l’expertise des criminologues (référentiel)

A
  • Analyser et interpréter le crime sous les angles psychologique, socioéconomique et juridique
  • Proposer des stratégies pour aider les personnes à adopter des comportements socialement admis, à accroître leur autonomie et leur pouvoir d’agir, à développer et entretenir un réseau de soutien ou à composer avec les effets d’un acte criminel.
49
Q

parles de la clientèle des criminologues (référentiel)

A
  • Personnes contrevenantes (peine en détention ou dans la communauté)
  • Jeunes qui ont commis une infraction à une loi ou un règlement
  • Jeunes dont la sécurité ou le développement est potentiellement compromis
  • Victimes d’actes criminels
  • Personnes déclarées inaptes à subir leur procès ou déclarées non responsables criminellement
  • Personnes vulnérables (dépendance, itinérance, problèmes sexuels ou de santé mentale)
  • Organisations ou équipes de travail faisant face à une situation particulière
50
Q

parles du travail des criminologue (référentiel)

A
  • Évaluer les besoins et les caractéristiques (forces, facteurs de risque, de protection et criminogènes)
  • Évaluer le risque de récidive en vue de formuler des recommandations au tribunal
  • Élaborer un plan d’intervention approprié aux besoins, afin de permettre de rétablir les capacités sociales
  • Mettre en œuvre des programmes visant la réinsertion sociale (exemples : gestion de la colère, prévention de la récidive)
  • Effectuer des démarches pour obtenir la collaboration des organismes communautaires et des autres ressources du milieu dans l’intervention afin de combler certains besoins (exemples : psychothérapie, traitement des dépendances, logement, emploi)
  • Assurer le suivi de l’intervention, en offrant un soutien psychosocial et en s’assurant du respect des conditions
  • Informer la personne sur les tenants et les aboutissants du processus judicaire, l’accompagner à travers celui-ci, après l’avoir aidée à se préparer à faire face à cette expérience
  • Agir à titre de ressources-conseils auprès des autorités concernées et formuler des recommandations en matière de prévention du crime et de protection de la population
  • Sensibiliser les intervenants provenant d’autres disciplines à la réalité de la clientèle en criminologie.
  • Particularités : créer une relation d’aide malgré notre double chapeau.
51
Q

parles des milieux de pratique (référentiel)

A
  • Milieux officiels de la justice pénale (SCQ, SCC, services de police, tribunaux)
  • Milieux du réseau de la santé et des services sociaux (CLSC, centres de protection et de réadaptation, centres hospitaliers, en particulier les instituts en santé mentale et les milieux de psychiatrie légale)
  • Milieux communautaires (maisons de transition et d’hébergement, CAVAC, CALACS, foyers pour jeunes, travail de rue et de milieu, OJA, centres de crise, organismes communautaires)
  • Autres milieux (ministères, CQLC, CLCC, établissements d’enseignement, villes et municipalités, centres de recherche)
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Q

parles des connaissances et habiletés des criminologues (référentiel)

A
  • Fondements de la criminologie;
  • Évaluation et intervention en criminologie
  • Droit pénal
  • Socio criminologie
  • Psychocriminologie
  • Notions relatives à d’autres sciences ou disciplines pertinentes
  • Systèmes sociaux et organisationnels
  • Éthique et déontologie;
  • Méthode scientifique et ses applications
  • Gestion et transmission de l’information
  • Gestion des organisations et de projets
  • Santé et sécurité au travail
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Q

Le référentiel est une référence pour qui

A

•Criminologues : prise de conscience de l’unicité de leur profession et de l’importance des compétences nécessaires, accès à des renseignements essentiels pour mener une réflexion critique sur leur action et orienter leur choix en matière de formation continue
•Universités : dégagement d’éléments clés selon le contenu des programmes offerts et l’organisation des stages qui leur sont associés
•Employeurs : puisement de renseignements pour :
oÉlaboration d’une description de tâches ou d’un profil de compétences
oRecrutement et sélection (formulation de l’appel de candidatures et préparation des guides d’entrevue et des autres instruments de sélection)
oMise au point de procédures d’intégration et d’entraînement pour le nouveau personnel
oÉvaluation du rendement (formulation des attentes et précision des critères pour juger de leur atteinte)
oFormation des personnes (précision des besoins de formation, choix des activités de formation pour les combler et évaluation des acquis de la formation par rapport aux exigences du poste)
•Public : découverte de ce que représente la profession et ce que recouvrent les services professionnels
•Étudiants désirant se diriger vers la criminologie : vue globale et précise de ce qu’est la profession
•Ressources professionnelles appelées à collaborer ou à côtoyer des criminologues : compréhension des particularités de la pratique et des obligations et responsabilités qui lui sont associées