Exam 1 Flashcards

1
Q

Nommer et décrire les 5 types d’exercices en conscience phonologique.

A

1- Catégorisation: Trouver parmi une liste de mots celui qui ne commence pas par la même consonne initiale.
2-Segmentation: Taper le nombre de syllabes ou de phonèmes qu’on entend dans un mot.
3-Soustraction: Supprimer la consonne initiale d’un mot et prononcer le reste
4-Substitution: Isoler le son initial et le remplacer par un son différent
5-Fusion: Construire un nouveau mot en fusionnant 2 syllabes de 2 mots cibles

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2
Q

Quel exercise est le plus difficile entre la fusion et la soustraction? Et pourquoi?

A

La soustraction est plus difficile que la fusion.

lors de la fusion, les phonèmes sont donnés

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3
Q

Quel exercice est plus facile entre la segmentation et la substitution?

A

La segmentation est plus facile que la substitution.

la substitution demande une tâche de plus que la segmentation

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4
Q

Quel effet a la conscience phonologique sur la lecture?

A

Un entrainement à la conscience phono a des effets positifs sur l’apprentissage de la lecture.
L’apprentissage de la lecture contribue fortement au développement de la conscience phono.

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5
Q

De façon est-il possible de réduire la charge mnésique lors d’un test de conscience phono?

A

Fournir des supports visuels, des illustrations.

Porte attention au mots choisi dans les questions (le même/pas le même vs différent)

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6
Q

Pourquoi est-il difficile pour les enfants de mettre en rapport des graphèmes avec les unités phonologiques?

A

Les unités de la parole représentées par les lettres sont abstraites pour les enfants, il est difficile de mettre en rapporte des graphèmes et des phonèmes.

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7
Q

Dans quel but utilise-t-on un test de dépistage?

A

Afin d’identifier une sous-population dans laquelle des facteurs de risque ou les signes prédictifs des TA sont plus importants que dans la population générale.

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8
Q

Quelles sont les principales caractéristiques d’un test de dépistage?

A
  • Simple
  • Peu couteux
  • Rapide
  • Fiable
  • Accepté par les sujets
  • Seuil très sensible
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9
Q

Dans quel but utilise-t-on un test diagnostique?

A

Afin d’affirmer, de confirmer ou d’infirmer l’existence d’un trouble d’apprentissage. Il est utilisé lorsqu’il y a déjà présence d’indices d’un trouble (tests de dépistage/observation)

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10
Q

Qu’arrive-t-il si le seuil est trop élevé lors d’un test diagnostique?

A

Il y aura énormément d’enfants «faibles lecteurs»

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11
Q

Quels sont les éléments à évaluer à la fin du préscolaire pour identifier les élèves qui auront des difficultés en lecture?

A
  • Connaissance des lettres
  • Fluidité
  • Capacité d’analyse phonémique
  • Capacité de mémoire phonologique à CT
  • Capacité de dénomination rapide
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12
Q

Quoi penser des pseudomots?

A
  • Ils permettent mal d’identifier les mauvais lecteurs;
  • Plusieurs bons lecteurs ont également des mauvais scores dans la lecture de pseudomots;
  • Cette tâche est donc difficile pour l’ensemble des lecteurs.
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13
Q

Expliquer pourquoi plus d’enfants ont de la difficulté en compréhension qu’en décodage

A

Deux profils d’élèves ayant des difficultés de compréhension :
1. Difficultés au niveau de l’extraction des informations littérales;
2. Déficit spécifique au niveau de la production d’inférences.
Plus les ressources sont consacrées au décodage, moins il reste de ressources disponibles pour comprendre ce qui est lu.

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14
Q

Comment peut-on décrire la structure des textes documentaires?

A

Sa structure : description, l’énumération, séquences, comparaison, relation cause/effet, relation entre le problème et la solution.

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15
Q

Comment peut-on décrire la structure des récits?

A

Sa structure : situation initiale, élément déclencheur, péripéties, dénouement, situation finale

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16
Q

Lequel est habituellement le mieux compris par les enfants; le texte documentaire ou le récit? Et pourquoi?

A

Les récits sont généralement plus faciles à comprendre et à mémoriser.
Pourquoi?
- Contenu plus familier aux enfants;
- Structure des récits plus simples;
- Mobilise les mêmes connaissances que celles utilisées pour comprendre les évènements qui surviennent dans le monde réel.

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17
Q

Lequel a le plus d’incidence sur la résolution de problème; le texte informatif ou le récit? Et pourquoi?

A

Les textes informatifs
les problèmes mathématiques sont structurés selon des relations logiques et non temporelles. Il y a une pauvreté de l’intrigue, des personnages et des relations humaines, donc pas catégoriser en genre narratif

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18
Q

Qu’est ce que la compréhension littérale?

A

Explicite dans le texte

Questions de repérage, l’élève doit repérer l’information explicite dans le texte

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19
Q

Qu’est ce que la compréhension inférentielle?

A

Infos du texte + connaissances du lecteur

- Construction de sens connectant les infos et les connaissances dans la mémoire à long terme

20
Q

Quelles sont les catégories d’inférences?

A
  • Cohésion: Nécessite que le lecteur fasse des liens entre les idées et les phrases du texte afin de trouver la réponse attendue. Relie des informations du texte, qu’elles soient consécutives ou non.
  • Gap-filling (connaissances) : Questions qui requièrent au lecteur qu’il mobilise ses connaissances générales afin de pallier une absence d’information explicite dans le texte. (Exemple, survoler, quel moyen de transport)
21
Q

Quelles sont les 5 habiletés fondamentales en lecture?

A
  1. La conscience phonémique (capacité à manipuler de façon explicite les unités de la langue parlée comme les phonèmes et les syllabes).
  2. Le principe alphabétique (capacité à établir les correspondances entre lettres ou groupes de lettres et les phonèmes pour identifier les mots écrits.
  3. La fluidité (implique de reconnaître les mots avec rapidité, précision et expression).
  4. Le vocabulaire (reconnaissance d’un mot à sa signification) (compréhension littérale).
  5. La compréhension de texte (compréhension inférentielle).
22
Q

Quel est le lien entre le langage oral et le langage écrit?

A
  1. L’écrit est une transcription de l’oral, il faut donc considérer l’oral lorsqu’on analyse l’écrit.
  2. L’oral est acquis avant l’écrit. Plusieurs erreurs sont influencées par l’oral.
  3. Système écrit = correspond à une forme standardisée et normative de la langue.
23
Q

Donner un exemple d’un phonème qui s’écrie de différente façon.

A

/s/

  • Cerise
  • Savon
  • Masse
  • Attention
24
Q

Quels sont les 4 stades d’apprentissages de l’orthographe?

A
  • Graphies consistantes acontextuelles,
  • Consistantes contextuelles,
  • Inconsistantes contextuelles,
  • Dérivables par la morphologie
25
Q

Décrire le stade d’apprentissage de l’orthographe Graphies consistantes acontextuelles.

A

Graphies consistantes acontextuelles : peu importe le contexte
Règles de conversion sont systématiques et indépendantes du contexte.
Consonnes simples : l, p
Consonnes complexes : ch, gn
Groupes consonantiques : gr, pr
Voyelles complexes : on, oi, ou

26
Q

Décrire le stade d’apprentissage de l’orthographe Graphies consistantes contextuelles.

A

Graphies consistantes contextuelles : dépend du contexte (la voyelle qui suit)
Règles de correspondance sont systématiques dans le contexte où elles s’inscrivent.
Voyelles nasales (an, on, in) s’écrivent avec un «m» devant un «p» ou un «b» et avec un «n» ailleurs.

27
Q

Décrire le stade d’apprentissage de l’orthographe Graphies inconsistantes contextuelles.

A

Graphie inconsistantes contextuelles : en ou an, on le sait pas pourquoi c’est ça
Les correspondances phonèmes-graphèmes ne sont pas systématiques et dépendent du contexte dans lequel elles s’inscrivent.
Pour chaque phonème, il y a une règle dominante (fondé statistiquement).
Exemple : Quand j’entends /s/, c’est plus souvent la lettre «s» que la lettre «c».
Quand j’entends /o/ à la fin d’un mot, c’est plus souvent «eau».

28
Q

Décrire le stade d’apprentissage de l’orthographe Graphies dérivables par la morphologie.

A
Graphies dérivables par la morphologie :
Graphies muettes facilement dérivables par la morphologie.
Exemple : Gris Grise
Haut Haute
Petit Petite.
En contrepartie, on utilise des mots où la lettre muette n’est pas justifiée par un lien morphologique évident
Jus Juteux
Appétit Appétissant
29
Q

Qu’est-ce que l’opacité de la langue écrite?

A

Un phonème peut s’écrire de différentes façons… ET EN LECTURE, ET EN ÉCRITURE. Encore plus opaque à l’écriture.

30
Q

Quel est l’impact de l’arrivée des ordinateurs dans l’analyse d’erreur d’orthographes de mots?

A

Il y a des erreurs qui ne changent pas la prononciation du mot écrit erroné (bateau bato)
Il y a des erreurs qui modifient la prononciation du mot (boisson boison)

31
Q

Quel type d’erreur entraine l’arrivée du clavier?

A

Erreurs liés à la configuration spatiale du clavier

32
Q

Que signifie l’acronyme ADOS?

A

A : addition
D : déplacement
O : omission
S : substitution

33
Q

Qu’est ce que la phase logographique?

A

C’est une association directe sans médiation phonologique, entre une forme visuelle concrète et un sens.
Les couleurs importent.

34
Q

Pourquoi la phase logographique est-elle contestée?

A
  1. Les enfants confrontés à certain systèmes alphabétiques ne semblent pas développer une telle procédure. Cela dépend donc de la langue et des activités.
  2. Les performances de production, s’accordent mal avec une procédure logographique qui traite globalement les mots.
  3. Ce n’est pas réinvestit dans l’apprentissage de la lecture
35
Q

Comment distinguer les différentes phases de l’apprentissages de l’orthographe?

A

Logographique : Dessins/lignes qui ne veulent rien dire.
Syllabique : Lettres, utiliser le nom des lettres pour essayer d’écrire les dénominations évoquées à l’oral (éléphant = LFA)
Syllabo alphabétique : Début de mot, correspondance de quelques graphèmes et phonèmes je haea la me (je suis allée à la mer)
Alphabétique : Correspondance phonème graphème
Orthographique : Elle s’amorce dès que la lecture ou l’écriture de mots ne s’effectuent plus par associations simples et régulières entre configurations sonores et configurations de lettres

36
Q

Quel serait le système d’écriture idéal?

A
  • Chaque phonème correspond à un graphème

- Chaque graphème correspond à un phonème, ce ne serait plus opaque

37
Q

Pourquoi certaines personnes présenteraient toujours une dyslexie-dysorthographie même dans un système d’écriture idéal?

A

La régularité d’une langue n’élimine pas les risques de troubles. Des difficultés subsistent.

  1. Dans la segmentation des phonèmes
  2. Dans la discrimination de phonèmes proches (on les mélange quand même)
38
Q

À quoi réfèrent le critère d’authenticité?

A

«Qui exprime une vérité profonde de l’individu et non des habitudes superficielles, des conventions.»
*Ce que l’on fait dans la réalité et non seulement par habitudes.
L’ordinateur et les évaluations, alors? Authenticité?

39
Q

Quel est le biais du au choix de la modalité (ordinateur ou crayon)?

A

Transcription est meilleure à l’ordinateur qu’au crayon. Les personnes qui utiliseront un ordinateur peut être avantagé, parce qu’il écrira plus vite (à compétence égale). Donc, il faut offrir le choix et enseigner les deux.

40
Q

Quel est le biais du à la présence d’un correcticiel?

A

Laisser le correcteur = avantage. Par contre, l’effet bénéfique est moindre que l’effet négatif de l’enlever. On est mieux de le laisser, par contre, on doit donner deux modes de correction pour assurer une certaine justice. Sinon, ceux à l’ordinateur sont favorisés.

41
Q

Quel est le biais découlant de la modalité de correction?

A

Corrections différentes pour chaque modalité. Est-ce qu’on corrige tout de la même façon? Non, on devrait corriger différemment pour chaque modalité.

42
Q

Quel est le biais découlant des critères d’évaluation?

A

Adopter des critères d’évaluation propres à chaque modalité (par exemple, mise en page ordi VS papier…).

43
Q

Comment se représente cognitivement un message?

A

Un message écrit n’est pas une organisation linéaire.

Il s’agit de « réseaux » plus ou moins denses et organisés

44
Q

À quoi servent les virgules et les points?

A

Les virgules et les points indiquent le degré de rupture entre deux énoncés se succédant dans le texte.
Une virgule = une rupture entre deux idées Un point = une rupture entre deux idées L’absence de marque = liaison entre deux idées

45
Q

À quoi servent les connecteurs?

A
  • Marquer la rupture entre deux énoncés;
  • Préciser la nature de la relation interpropositionnelle ainsi introduite (liaison chronologique, causale, adversative, etc.).
46
Q

Quelle est l’ordre d’apparition des virgules et des connecteurs?

A
  1. Les points;
  2. Les virgules;
  3. Et : (1er connecteur);
  4. Puis/ après/ ensuite (connecteurs chronologiques ou causales);
  5. Mais/ soudain (Connecteurs adversatif).