Évaluation formative mi-session Flashcards

1
Q

Compréhension empathique

A

Courant existentiel-humaniste

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2
Q

Schémas précoces d’inadaptation

A

Courant cognitivo-comportemental

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3
Q

Présence attentive ou mindfulness

A

Courant cognitivo-comportemental

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4
Q

Awareness

A

Courant existentiel-humaniste

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5
Q

Inconscient, refoulement et défense

A

Courant psychanalytique

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6
Q

Vie pleine

A

Courant existentiel-humaniste

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7
Q

Toute personne est habitée par une volonté de sens et mène son existence selon la signification qu’elle peut donner à son avenir. Une telle conception de l’être humain suppose l’importance des raisons de vivre.

A

Logothérapie

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8
Q

La vie psychique est déterminée par les premières relations ainsi qu’un jeu de forces pulsionnelles dynamiques.

A

Psychanalyse freudienne

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9
Q

Toute personne possède des modes de comportement (patterns) ou des thèmes importants et envahissants constitués de souvenirs, d’émotions, de cognitions et de sensations corporelles concernant soi-même et ses relations avec les autres. Déterminés au cours de l’enfance ou de l’adolescence et enrichis tout au long de la vie, ces modes de comportement et thèmes tirent en effet leur origine dans le tempérament, les besoins affectifs fondamentaux et les conditions du milieu de vie.

A

Thérapie des schémas

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10
Q

L’être humain est tiraillé par des conflits intrapsychiques entre divers désirs inconscients.

A

Psychanalyse freudienne

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11
Q

Il y a cette tendance humaine à penser que ce sont les faits et les évènements qui sont la source de ce que les personnes éprouvent alors que c’est essentiellement la manière dont elles perçoivent rationnellement ou irrationnellement ces faits et évènements qui détermine ce qu’elles ressentent et qui influence leurs comportements.

A

Approche émotivo-rationnelle comportementale

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12
Q

À la lecture du texte “Qui sont les psychothérapeutes efficaces? Implications pour la formation en psychologie”, écrit par Lecomte, Savard, Drouin et Guillon (2004), on apprend que les facteurs explicatifs de l’efficacité en intervention sont uniquement liés à la connaissance des cadres théoriques.

A

Faux

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13
Q

Le monodrame, le dialogue entre les polarités et l’amplification sont des techniques utilisées dans la Gestalt-thérapie.

A

Vrai

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14
Q

Selon les principes de l’approche centrée sur la personne, la personne conseillère d’orientation est la mieux placée pour proposer des solutions à l’aidé(e). Parce que l’aidé(e) veut comprendre sa souffrance, se connaitre, trouver l’harmonie et une meilleure adaptation, le ou la c.o. se doit d’intervenir pour guider cette personne dans la bonne voie.

A

Faux

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15
Q

Le sens à la vie se trouve à l’extérieur de la personne plutôt que dans sa psyché. C’est ce qu’on nomme, en logothérapie, la transcendance de soi.

A

Vrai, Comme l’explique Frankl (2013), “la vie de l’être humain est toujours dirigée vers quelque chose ou quelqu’un d’autre que soi-même, qu’il s’agisse d’un but à atteindre ou d’un être humain à connaitre et à aimer. Plus on s’oublie soi-même – en se consacrant à une cause ou à une personne que l’on aime – plus on est humain, et plus on se réalise. Ce que l’on appelle l’actualisation de soi n’est pas un but à atteindre, pour la simple raison qu’à faire trop d’efforts on risque de ne pas y parvenir. En d’autres mots, l’actualisation de soi n’est possible que comme effet secondaire de la transcendance de soi” (p. 108).

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16
Q

La thérapie des schémas combine des techniques variées, verbales et non-verbales, pour favoriser un travail sur l’énergie, la respiration, le corps, la voix, l’expression de l’émotion, les rêves, la créativité (dessin, musique, danse) et ainsi de suite.

A

Faux, il s’agit plutôt de la Gestalt-thérapie.

17
Q

D’après la perspective gestaltiste, l’être humain devrait idéalement continuer à avancer sans que sa façon d’agir le mène dans le vouloir comprendre, le vouloir maitriser, le vouloir faire. Il devrait favoriser un laisser-aller, un laisser s’exprimer, un état d’être, car l’acceptation de soi libère une énergie créatrice.

A

Vrai

18
Q

L’approche émotivo-rationnelle comportementale suggère cette hypothèse : pour surmonter un état de mal-être, une connaissance purement intellectuelle, même si elle est importante, n’est pas suffisante. C’est à travers l’émergence des sentiments et la verbalisation des ressentis que l’énergie vitale se manifeste. L’élaboration mentale vient dans un deuxième temps.

A

Faux, Une telle hypothèse serait plutôt émise par des approches composant le courant existentiel-humaniste, comme l’approche centrée sur la personne et la Gestalt-thérapie.

19
Q

Pour pratiquer la pleine conscience, il faudrait avant tout arrêter de penser. Il faudrait supprimer les pensées négatives et les remplacer par d’autres.

A

Faux

20
Q

Selon l’approche émotivo-rationnelle comportementale, la croyance suivante est considérée comme irrationnelle : “les êtres humains sont généralement plus heureux dans la vie quand ils s’engagent dans des activités auxquelles ils consacrent une bonne partie de leur énergie et de leur créativité”.

A

Faux

21
Q

En Gestalt-thérapie de groupe, le travail est grandement individualisé.

A

Vrai

22
Q

Le succès de toute technique passerait d’abord par la qualité du lien émotif perçu par l’aidé(e) avec la personne conseillère d’orientation.

A

Vrai

23
Q

“Pour que le processus thérapeutique se produise, il faut que :

  1. deux personnes soient en contact;
  2. la première personne, que nous appellerons le client, se trouve dans un état de désaccord interne, de vulnérabilité ou d’angoisse;
  3. la seconde personne, que nous appellerons le thérapeute, se trouve dans un état d’accord interne - au moins pendant la durée de l’interview et par rapport à l’objet de sa relation avec le client;
  4. le thérapeute éprouve des sentiments de considération positive inconditionnelle à l’égard du sujet;
  5. le thérapeute éprouve une compréhension empathique du cadre de référence interne du client;
  6. le client perçoive - ne fût-ce que dans une mesure minime - la présence de 4 et 5, c’est-à-dire de la considération positive inconditionnelle et de la compréhension empathique que le thérapeute lui témoigne”.
A

Carl ROGERS : l’approche centrée sur la personne

24
Q

“Le moi névrotique [est] un moi incapable d’assumer les tâches que lui imposent le monde extérieur, la société humaine. Toutes ses expériences passées lui échappent ainsi qu’une grande partie de son trésor en souvenirs. Son activité est entravée par les sévères interdictions du surmoi, son énergie s’épuise en vains efforts de défense contre les exigences du ça, en outre, d’incessantes attaques de ce dernier ont nui à son organisation. Incapable de réaliser une véritable synthèse, il est déchiré par des tendances contradictoires, par des conflits non liquidés, par des doutes non levés”.

A

Sigmund FREUD : la psychanalyse

25
Q

“Contestez la croyance selon laquelle vous devez vous sentir aimé ou accepté par chaque être cher et pour presque tout ce que vous faites. Tâchez plutôt de voler de vos propres ailes. Faites de l’approbation des autres un objectif souhaitable, non pas indispensable”.

A

Albert ELLIS : l’approche émotivo-rationnelle comportementale

26
Q

“Arrêtons-nous un instant sur la constatation suivante : tout ce que fait [l’aidé], de façon évidente ou dissimulée, est une expression de soi (une expression du self). Sa façon de se pencher en avant ou de s’appuyer en arrière, ses coups de pied avortés, ses signes d’impatience, son élocution, son habileté à présenter les choses, ses micro-hésitations entre chaque mot, son écriture, ses métaphores, les mots qu’il choisit, l’emploi du pronom ‘ça’ ou ‘on’ au lieu de ‘tu’ ou ‘je’ : toutes ces choses sont en surface, toutes sont évidentes, toutes ont du sens. Ce sont les seules données réelles avec lesquelles le thérapeute doit travailler. Des convictions intimes décidées à l’avance ne sont d’aucune aide [à l’aidé]”.

A

Frederick PERLS : la Gestalt-thérapie

27
Q

“[L]’être humain ne cherche pas avant tout le plaisir, ni la souffrance, mais plutôt une raison de vivre. Voilà pourquoi l’homme est prêt à souffrir s’il le faut, mais à la condition, bien sûr, que sa souffrance ait un sens. Qu’on me comprenne bien : loin de moi l’idée que la souffrance est nécessaire pour donner un sens à la vie. J’insiste seulement sur le fait qu’on peut trouver ce sens même à travers la souffrance, si celle-ci est inévitable”.

A

Viktor E. FRANKL : la logothérapie

28
Q

“Simplifier la vie veut dire moins de déplacement au cours d’une journée, voir moins afin de voir mieux, faire moins afin de faire plus, acquérir moins afin de posséder plus. Tout est lié. Pour moi, père de famille, mari, fils ainé de mes parents, très impliqué dans mon travail, l’impulsion de partir s’asseoir sous un arbre dans la forêt, de vivre près d’un étang de Walden, d’écouter l’herbe pousser, de voir les saisons changer, pose un sérieux problème. Cependant, parmi le chaos organisé, la complexité de la vie de famille, ses frustrations et ses dons merveilleux, il y a toujours moyen de choisir la simplicité dans les petites choses. […] Je m’efforce de dire non, afin de me simplifier la vie, mais c’est difficile. C’est véritablement une discipline ardue qui mérite tous nos efforts. Parfois, il s’agit d’un choix délicat, car il y a des opportunités et des demandes auxquelles il faut répondre. Cela exige une adaptation, une réévaluation constantes. Mais je me suis rendu compte que le principe de simplifier les choses de la vie me rend attentif à ce qui est important, à la corrélation entre l’esprit et le corps et l’univers entier. On ne peut jamais tout contrôler; mais le choix de simplicité ajoute à l’existence un sentiment de liberté qui nous échappe si souvent et l’occasion de découvrir que le moins est peut-être le plus”.

A

Jon KABAT-ZINN : la pleine conscience

29
Q

“Chaque enfant nait doté d’un tempérament qui lui est propre : il est craintif, actif, extroverti ou timide. Il suivra donc une voie […], selon son tempérament. Cela est dû au fait que l’enfant est en mesure de choisir lequel de ses parents lui servira de modèle. Puisqu’une personne violente épousera le plus souvent une personne aux traits de victime, l’enfant, dès sa naissance, dispose de deux modèles : il imitera soit le parent violent, soit le parent victime”.

A

Jeffrey YOUNG : la thérapie des schémas

30
Q

“Aucun individu ne peut se suffire à lui-même; personne ne peut exister en dehors d’un certain milieu. À tout moment, tout homme fait partie d’un champ, et son comportement est toujours la résultante du champ global incluant lui-même et ce qui l’entoure. La nature de la relation que l’être humain entretient avec son environnement détermine son comportement. […] Ce n’est pas l’environnement qui crée l’individu, ni l’individu qui crée l’environnement. Chacun reste ce qu’il est, avec son caractère particulier déterminé par la relation qu’il entretient avec l’autre pôle et avec l’ensemble du champ”. C’est ce qu’on appelle la frontière-contact.

A

Frederick PERLS : la Gestalt-thérapie