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Délinquance > Évaluation > Flashcards

Évaluation Flashcards

1
Q

L’évaluation clinique doit tenir compte du potentiel de récidive, des besoins de traitement, des modalités de traitement qui conviennent le mieux, de __ et de __.

A

de la menace que l’individu constitue pour la victime, de la volonté de l’individu à s’impliquer dans le traitement

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2
Q

Quelle est la spécificité de l’évaluation de l’auteur d’infractions sexuelles ?

A

La compréhension des comportements sexuels déviants / donner un sens à l’agir délictuel.

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3
Q

Quelles sont les 3 catégories d’objectifs visés lors de l’évaluation ?

A

Objectifs diagnostiques, objectifs thérapeutiques, objectifs administratifs

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4
Q

Dans les objectifs diagnostiques de l’évaluation, quels sont les 3 grandes actions à faire ?

A

Donner un sens à l’agir délictuel, situer l’individu selon une typologie spécifique à sa situation, identifier les facteurs passés et présents associés au passage à l’acte.

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5
Q

Nomme 2 avantages de l’évaluation multidisciplinaire.

A

Augmente les chances que l’auteur admette les gestes qui lui sont reprochés, manipulation détectée plus aisément, obtention d’information très pointue, compréhension de la dynamique de l’individu enrichie…

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6
Q

Une réponse aux conflits et aux stress en refusant de reconnaître certains aspects douloureux de la réalité externe ou de l’expérience subjective qui seraient évidents pour les autres : c’est la définition de quoi ?

A

Déni ou minimisation.

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7
Q

Le modèle typologique du déni présente 3 types de déni : quels sont-ils ?

A

Déni complet de toute interaction; Reconnaissance de l’acte sexuel mais déni de son aspect agressant; Déni du caractère sexuel de l’acte mais reconnaissance du contact physique

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8
Q

Le modèle typologique de la minimisation présente 3 types de minimisations : quels sont-ils ?

A

Minimisation des séquelles de la victime; Minimisation de l’importance des agressions antérieures; Minimisation de la responsabilité dans l’agression

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9
Q

Plus de ___ des délinquants sexuels manifesteraient un déni partiel ou total de leurs agressions lors du premier entretien clinique.

A

80%

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10
Q

Vrai ou faux : les violeurs font plus de déni et de minimisation que les pédophiles

A

Faux (égal)

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11
Q

Quelle modalité thérapeutique vise à confronter les distorsions cognitives de l’individu ?

A

La restructuration cognitive

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12
Q

Vrai ou faux : la recherche confirme, en grand nombre, l’efficacité du traitement des distorsions cognitives associées au délit sexuel.

A

Faux.

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13
Q

Vrai ou faux : l’empathie émotionnelle est négativement corrélée avec l’agression sexuelle.

A

Vrai

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14
Q

Vrai ou faux : les auteurs d’infractions sexuelles ont souvent un déficit général de l’empathie.

A

Faux

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15
Q

Vrai ou faux : les fantaisies sexuelles déviantes sont associées à une augmentation du risque de récidive

A

Vrai

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16
Q

Quels types de conflits (4) entraînent une fantasmatique déviante chez les pédophiles ?

A

Conflits avec les adultes perçus comme injustes, menaçants.
Conflits avec des personnes en position d’autorité.
Sentiments de solitude, d’ennui.
Sentiments d’abandon.

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17
Q

Quelle est la variable associée à l’émergence des fantasmes déviants ?

A

L’humeur générale négative

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18
Q

Quels conflits (4) entraînent une fantasmatique déviante chez les violeurs ?

A

Situation de rejet.
Conflits avec les femmes.
Déception face à un idéal de soi trop élevé.
Conflits relatifs à l’image corporelle.

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19
Q

Nomme 4 indices dénotant une activité fantasmatique déviante et qui permettent une différenciation entre la déviance primaire vs secondaire.

A

Persistance dans le temps des comportements sexuels déviants
Ritualisation de l’agissement dans ses délits (aborde toujours la victime de la même façon, par exemple)
Agissement compulsif.
Agissement répétitif.

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20
Q

Quelles sont les 3 façons d’évaluer les fantaisies sexuelles ?

A

Observation directe, Observation systématique, Entrevue

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21
Q

Les informations obtenues par rapport aux fantaisies sexuelles ont une validité limitée par la honte, la peur de perdre l’estime du conjoint ou du thérapeute, ___ et ___.

A

La peur de la sanction légale, le désir d’éloigner ou de terroriser le thérapeute.

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22
Q

Les fantasmes sexuels déviants ont 4 fonctions : comprendre le passage à l’acte déviant, permettre l’expression triomphaliste, ___ et ___.

A

Refouler les affects dépressifs, Érotiser la colère

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23
Q

Les résultats obtenus par l’évaluation phallométrique permettent de quantifier les préférences sexuelles selon 3 dimensions. Quelles sont-elles ?

A

Le sexe et l’âge de la victime, Le scénario délictuel, Le comportement de l’agresseur et de la victime lors du délit.

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24
Q

Vrai ou faux : Selon l’ATSA, la pléthysmographie pénienne est utilisée par les cliniciens pour évaluer les préférences sexuelles, mesurer les progrès en traitement par rapport à l’excitation sexuelle déviante, et augmenter les probabilité que le client passe aux aveux.

A

Vrai.

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25
Q

Vrai ou faux : il est préférable d’utiliser des appareils mesurant les changements du volume du pénis plutôt que ceux mesurant les changements de sa circonférence.

A

Faux (le contraire)

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26
Q

Quels facteurs en lien avec le client peuvent avoir un impact sur l’évaluation phallométrique (8) ?

A

Consommation de drogue et /ou d’alcool.
Médication.
Dernière pratique masturbatoire.
Dernière relation sexuelle.
Dernière éjaculation.
Durée de la période réfractaire
État émotionnel de l’individu.
Problèmes d’ordre physiologiques.

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27
Q

Dans l’évaluation phallométrique, comment sont choisies les bandes sonores qui seront présentées au client ?

A

En fonction de son délit et de la nature de sa fantasmatique.

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28
Q

L’évaluation phallométrique comporte la présentation d’un film sexuellement explicite. À quel moment le présent-t-on ?

A

Avant la présentation des bandes sonores.

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29
Q

La présentation d’un film sexuellement explicite avant la présentation des bandes sonores est-elle obligatoire?

A

Oui, ça fait partie des conditions de validation de l’évaluation.

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30
Q

Lors de l’évaluation phallométrique, l’enregistrement de l’amplitude de la variation de la ____ permet de mesurer la réponse pénienne.

A

conductibilité électrique

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31
Q

Vrai ou faux : les films sont utilisés en tant que stimuli dans le cadre de l’évaluation phallométrique.

A

FAUX, on les présente avant l’évaluation.

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32
Q

À quoi servent les diapositives dans l’évaluation phallométrique ?

A

À évaluer les préférences sexuelles en fonction de l’âge (1-7, 8-12, 13-17) et du sexe de la victime.

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33
Q

Combien de types de bandes sonores utilise-t-on dans l’évaluation des agresseurs de femmes adultes ?

A

5

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34
Q

Combien de types de bandes sonores utilise-t-on dans l’évaluation des agresseurs d’enfants ?

A

7

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35
Q

Tant dans l’évaluation des agresseurs d’enfants que des agresseurs d’adultes, quel est le 1er type de bande sonore utilisé ? Le dernier ?

A

Premier : à contenu neutre
Dernier : agression physique sans sexualité

36
Q

Quels 3 outils sont présents dans la pièce où se trouve l’évaluateur lors de l’évaluation pénienne ?

A

Le pléthysmographe + ordinateur, l’instrument pour calibrer l’extensomètre, les appareils pour présenter les stimuli

37
Q

Dans la plupart des laboratoires, l’érection minimale doit correspondre à __% d’une pleine érection pour faire une interprétation clinique des résultats.

A

10

38
Q

Quel est le seuil (en mm) que doit atteindre la réponse pénienne à un stimuli pou être interprétée cliniquement ?

A

3 mm

39
Q

Dans l’évaluation pénienne, qu’est-ce qu’un indice de déviance ?

A

C’est la division entre la catégorie déviante la plus élevée et la moins élevée.

40
Q

Quels sont les 5 profils possibles à l’évaluation pénienne ?

A

Profil invalide, Profil valide non-déviante, Profil valide non déviant mais problématique, Profil valide déviant indifférencié, Profil valide déviant préférentiel

41
Q

Vrai ou faux : un profil invalide à l’évaluation phallométrique signifie que le client n’est pas excité par des stimuli déviants.

A

Faux

42
Q

Vrai ou faux : un profil valide non-déviant à l’évaluation phallométrique signifie toujours l’absence d’excitation sexuelle déviante.

A

Faux : ça peut être attribué en partie au contrôle volontaire de l’érection

43
Q

Selon des études, la tâche d’identification sémantique serait nécessaire chez quels clients ?

A

Ceux qui connaissent bien la procédure d’évaluation et les stratégies à employer pour biaiser les résultats.

44
Q

Vrai ou faux : il est recommandé d’utiliser la tâche d’identification sémantique de façon systématique

A

Vrai

45
Q

Quel serait le meilleur prédicteur de la récidive sexuelle ?

A

Les intérêts sexuels pour les enfants

46
Q

Vrai ou faux : la présence d’intérêts sexuels déviants envers les femmes adultes est un facteur associé à la récidive sexuelle.

A

Des méta-analyses se contredisent à ce sujet (parfois vrai, parfois faux)

47
Q

Vrai ou faux : les pédophiles ont un taux de récidive supérieur à celui des violeurs.

A

C’est faux, c’est le contraire

48
Q

Vrai ou faux : les taux de récidive officielle augmente de façon exponentielle avec les années.

A

Faux : ils augmentent mais pas exponentiellement

49
Q

Avec un suivi de 4-5 ans, le taux de récidive officielle est de ___ pour l’ensemble des agresseurs. Avec un suivi de 15-20 ans, les taux de récidive officielle n’excèdent jamais ___.

A

13,4%, ; 40%

50
Q

Vrai ou faux : l’évaluation prend toujours en considération les facteurs de risque statiques et dynamiques.

A

Vrai

51
Q

Les facteurs historiques associés avec le potentiel de récidive, et qui ne peuvent être modifiés par une intervention, sont appelés prédicteurs ___. Nomme-en 3 exemples.

A

Statiques. Âge, antécédents judiciaires, nombre de victimes.

52
Q

Quelles sont les 2 catégories de prédicteurs dynamiques ?

A

Stables et aigus.

53
Q

Nomme 3 exemples de prédicteurs stables et 3 de prédicteurs aigus.

A

Stables : identification émotive aux enfants, hostilité à l’égard des femmes, présence d’émotions négatives, rejet et solitude, manque de coopération dans le cadre de la surveillance, intérêts sexuels déviants…

Aigus : Perte d’emploi, recommence à consommer alcool, attirance envers un nouvel enfant, perte d’une personne significative…

54
Q

Vrai ou faux : les faibles habiletés sociales sont un facteur de risque criminogène.

A

Faux.

55
Q

Quel instrument de mesure s’adresse à des sujets masculins adultes qui sont ou qui ont été condamnés pour une ou plusieurs infractions sexuelles à l’égard d’enfants ou d’adultes ?

A

Statique-99R

56
Q

Nomme 5 facteurs cotés à la Statique-99R.

A

Âge, situation conjugale, infraction antérieure avec violence sexuelle, infractions antérieures avec violences non sexuelles, infractions sexuelles antérieures, prononcés de peine antérieurs, condamnations pour infractions sexuelles sans contact, au moins une victime sans lien de parenté, au moins une victime inconnue, au moins un victime de sexe masculin

57
Q

Vrai ou faux : le score total du Stable-2007 varie entre 5 catégories de risque de récidive (Niveau I à Niveau 4b).

A

Faux, c’est le score du Statique-99R. Le Stable-2007 varie entre Faible, Moyen et Élevé.

58
Q

Vrai ou faux : le Stable-2007 est un instrument spécifique aux évaluations des changements des agresseurs sexuels

A

Vrai

59
Q

Quelles sont les 5 catégories de facteurs cotés à la Stable-2007 ?

A

Influences sociales importantes, Problèmes sur le plan de l’intimité, Maîtrise de soi en général, Maîtrise de soi sur le plan sexuel, Coopération dans le cadre de la surveillance.

60
Q

La combinaison de quels instrument de mesure nous donne le meilleur niveau de précision de la prédiction de la récidive (niveau modéré) ?

A

Statique-99R et Stable-2007

61
Q

Nomme 5 exemples de prédicteurs aigus cotés dans le Aigu-2007.

A

Accès à des victimes, hostilité, préoccupations sexuelles, refus de la surveillance, effondrement émotionnel, écroulement des soutiens sociaux, conso drogue ou alcool

62
Q

La cotation de quel instrument de mesure s’effectue de façon isolée pour chaque élément ?

A

Aigu-2007

63
Q

La Statique-99-R et le Stable 2007 sont des mesures qui n’ont pas été validées auprès des ______.

A

Délinquants atteints de troubles mentaux, femmes et autochtones

64
Q

Une procédure d’évaluation du risque est considérée bonne quand… (3 choses)

A

Elle produit des résultats constants.
Elle est normative.
Elle est transparente.

65
Q

Vrai ou faux : en général, chez les femmes qui agressent sexuellement, les taux de récidive sont nettement inférieurs à ceux des hommes.

A

Vrai (1,5% de récidive sexuelle)

66
Q

Quel instrument a été développé pour évaluer le risque de récidive sexuelle des femmes ?

A

Aucun

67
Q

Chez les femmes, il y aurait 4 prédicteurs de récidive générale (pas sexuelle) : le nombre d’antécédents criminels, le jeune âge (moins de 30 ans), ___ et ___.

A

L’abus de substances et la personnalité antisociale

68
Q

Vrai ou faux : l’âge est lié à la récidive sexuelle chez les femmes

A

Faux, sauf pour les femmes condamnées pour des délits liés à la prostitution

69
Q

Pour quelle catégorie de femmes qui agressent est-ce que les antécédents de maltraitance sont associés à la récidive sexuelle ?

A

Les femmes condamnées pour des délits impliquant un contact sexuel avec la victime

70
Q

Quel % des CPJ récidivent dans des délits liés à la PJ? ?

A

Entre 7 et 50%

71
Q

Vrai ou faux : la Statique-99R peut être utilisée sans modifications pour évaluer les délinquants sexuels mixtes.

A

Vrai !

72
Q

Quel outil permet d’évaluer le risque de récidive des CPJ ?

A

Le CPORT

73
Q

Quels 7 items sont cotés au CPORT ?

A

Âge du délinquant au moment du délit.
Antécédents criminels généraux.
Antécédents de délits sexuels avec contact.
Historique de bris de conditions.
Indication d’intérêts sexuels envers les enfants/adolescents.
Plus de garçons que de filles dans le contenu pédopornographique.
Plus de garçons que de filles dans le contenu des autres images montrant des enfants

74
Q

Quelles sont les 2 limites principales des recherches actuelles sur la récidive des CPJ ?

A

1.La période de suivi est généralement de courte durée.
2.Les échantillons incluent des DSM et des CPJ, ce qui ne permet pas d’établir les distinctions entres ces sous-groupes

75
Q

Quelle population est visée par le SAPROF ?

A

Les patients psychiatriques, les délinquants violents et/ou sexuels, hommes et femmes.

76
Q

Quelles sont les 3 grandes catégories évaluées dans le SAPROF ?

A

Facteurs internes, Facteurs de motivation, Facteurs externes.

77
Q

Les 5 facteurs internes du SAPROF sont l’intelligence, l’attachement sécurisant durant l’enfance, les habiletés d’adaptation, ___ et ___.

A

L’empathie, la maîtrise de soi.

78
Q

Les 7 facteurs de motivation du SAPROF sont le travail, la motivation à l’intervention, les attitudes envers l’autorité, ___, ___, ___ et ___.

A

Les activités de loisirs, la gestion des finances, la gestion de la médication, les objectifs de vie.

79
Q

Les 5 facteurs externes du SAPROF sont le réseau social, le suivi sociojudiciaire, le contrôle externe, ___ et ___.

A

La relation intime et le milieu de vie actuel.

80
Q

Quelles sont les 2 limites du SAPROF ?

A

Peu d’évidence empirique pour certains items, certains facteurs de protection peuvent être des facteurs de risque pour certains individus.

81
Q

Selon l’étude de St-Yves, quel % des sujets n’ont pas collaboré avec les autorités lors de leur arrestation ?

A

66%.

82
Q

Selon l’étude de St-Yves, quel % des sujets ont donné une version des faits comparable à celle de la victime ? Au total, combien ont fait des aveux, qu’ils soient partiels ou non ?

A

18%, 33%

83
Q

Quelle catégorie de délinquants sexuels collaborent le plus souvent avec la police lors de l’arrestation ? Quelle proportion de se groupe confesse son crime à ce moment ?

A

Les agresseurs sexuels d’enfants, un sur trois confesse à ce moment

84
Q

Lorsqu’ils ont obtenu leur sentence, quel est le % de délinquants sexuels qui font des aveux ?

A

Entre 70 et 98%.

85
Q

Vrai ou faux : les délinquants qui ont utilisé de la violence tendent à avouer plus rapidement leur délit.

A

Faux (contraire)

86
Q

Quels sont les 2 facteurs qi expliquent la rareté des confessions chez les délinquants sexuels ?

A

Les conséquences personnelles, l’attitude de l’enquêteur

Délinquance (3 decks)

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