essais cliniques Flashcards
L’absence de quoi? dans la première étude sur la charge virale, et de quoi
dans la deuxième étude sur la charge virale et les résultats cliniques, a relevé d’un parti pris aussi bien épistémologique qu’éthique.
L’absence de randomisation dans la première étude sur la charge virale, et de groupe contrôle
dans la deuxième étude sur la charge virale
sur ql plan? D. Raoult a sévèrement critiqué la méthode de l’essai clinique randomisé dans une tribune publiée dans le journal Le Monde?
plan épistémologique
Plus précisément, il y fustige les
méthodes mathématiques promues par ce qu’il appelle, non sans condescendance, les quoi?
“méthodologistes”.
A la ql ? culture, D. Raoult a opposé non pas tant la culture physiopathologique, qui est
celle à laquelle, en tant que microbiologiste, il appartient en premier lieu, mais ql? culture
A la culture statistique,
culture clinique.
C’est en effet depuis la position du médecin qui soigne qu’il a développé son principal argument dans cette tribune, dans laquelle il n’est par exemple pas question des études cmt? qui constituent l’essentiel de l’activité du laboratoire qu’il dirige.
études in vitro
Le titre de la tribune, “Le médecin peut et doit réfléchir comme un médecin, et non pas comme un méthodologiste”, donne quoi?
le la de son positionnement.
L’argument est de mettre en avant quoi? et quoi? comme thérapeutique ayant affaire à des cas particuliers.
la démarche clinique, le rôle du ou de la médecin comme thérapeutique
Il réfère notamment à un article fameux et
sarcastique, qui a fait scandale dans le monde de la recherche, ayant pour objet de critiquer quoi? de l’essai clinique randomisé et de la médecine fondée sur les preuves, publié en 2003, il était publié par qui?
l’hégémonie de l’essai clinique randomisé et de la médecine fondée sur les preuves,
par un gynécologue, Gordon Smith, et la professeure de santé publique Jill Pell.
les auteur.es font le constat qu’il n’existe pas d’essais contrôlés randomisés pour s’assurer de l’efficacité des parachutes. Au-delà du sarcasme, ce que ces auteur.es ont voulu défendre est quoi?
que des données uniquement observationnelles peuvent suffire à
justifier une intervention médicale, sans en passer par des essais cliniques randomisés.
Outre cette référence, la tribune de D. Raoult renvoie à ce qu’il appelle quoi? en référence à un médecin qui se proposait de traiter chaque patient comme s’il s’agissait de son propre fils, dénommé Tom.
L’argument consiste ici à renvoyer à la relation individuelle en médecine, avec une quoi?
“paradigme de Tom”
avec une résonance humaniste.
La clinique est ainsi promue contre les études statistiques pour des raisons épistémologiques, mais comprises dans un cadre plus large qui est celui de quoi?
éthique méd
La référence au “paradigme de Tom” est en outre suivi d’un renvoi au quoi? dont le fond ferait écho, selon le microbiologiste.
au Serment d’Hippocrate,
Et il oppose clairement l’approche
éthique de ql approche?
l’approche statistique
Dans une autre tribune, cette fois publiée dans Le quotidien du médecin, il en vient même à opposer deux éthiques qui sont?
l’éthique du traitement, c’est-à-dire l’éthique médicale tournée vers le soin, et l’éthique de la recherche, en affirmant la priorité du soin sur la recherche
Cette position rentre en contradiction avec celle soutenue par qui? pour lequel il relève de la responsabilité éthique du clinicien ou de la clinicienne de faire progresser les connaissances qui permettent de soigner, et pas seulement de soigner.
Austin Bradford Hill