épidémiologie Flashcards
dans les indicateur de morbidité : lequel est péjoratif
l’incidence cumulé est péjorative car une aug de l’incidence traduit un aug de la vitesse de survenu mais attention la prévalence n’est pas péjorative car la prévalence peut aug alors que l’incidence baisse
phrase pour le ER
Le facteur de risque entraîne un X cas supplémentaires par rapport au groupe non exposé.
donc sans ce facteur, X cas en moins seraient observés.
phrase pour RR
➡ Les individus exposés ont X fois plus de risque de développer la maladie.
➡ Le risque est multiplié par X en présence du facteur de risque.
➡ L’exposition augmente le risque d’un facteur X.
phrase pour l’odds ratio OD
- si X<1 : il s’agit d’un facteur de protection car l’incidence de la maladie est moins importante (par rapport à l’incidence de la non maladie) lors de l’exposition que de la non exposition.
- si X>1 alors il s’agit d’un facteur de risque car la probabilité d’avoir été exposé à ce facteur est supérieur à ne pas l’avoir été dans le cas de la maladie que dans le cas de la non maladie
phrase pour proportion attribuable au risque (PRA)
➡ X % des cas sont directement attribuables au facteur de risque.
➡ Si ce facteur disparaissait, X % des cas seraient évités.
➡ Le facteur de risque explique X % des cas observés.
➡ Éliminer ce facteur réduirait le risque total de X %.
Deux types d’erreurs :
▪ Erreur aléatoire : fluctuations statistiques.
Objectif de précision : faire disparaître erreur aléatoire.
▪ Erreur systématique : biais (sélection, classement ou d’information, confusion) : influence de tiers facteurs sur l’association entre exposition et maladie.
Objectif de validité : absence de biais grâce à des précautions méthodologiques.
les trois type d’enquête observationnels
prévalence, cohorte, cas témoin
observ : enquete de prévalence
descrip
* transversale : à un moment donné
* difficulté échantillon représentatif et risque de biais de sélection
* Description de la répartition temporo-spatiale d’une maladie → Préalable aux enquêtes étiologiques (cohorte) de recherche de facteurs de risques.
observ : cohorte
descriptif si pas de grp de ref et étiologique si le grp de réf -> E+/E-
* toujours longitudinale (dans tps) e
* souvent prospective (départ d suivi = début étude)
* incidence, RR-ER
les trois type de biais
▪ De sélection : erreur lors de la sélection des individus de l’échantillon.
▪ De classement ou d’information : erreurs de mesure sur exposition ou maladie.
▪ De confusion: influence de tiers facteurs sur l’association entre exposition et maladie.
observ : cohorte : enquête exposé-non exposé
- objectif étiologique : vérifier la relation causale entre E+ et M+ par comparaison des survenue de la maladie dans deux groupes exposés/ non exposés
- biais : perdu de vue et de confusion
observ : cohorte : enquête exposé-non exposé : avantage
- adapter pour les E+ rare, plusieurs maladies
- peu de biais de sélection et d’information
observ : cohorte : enquête exposé-non exposé : inconvénients
- non adaptés: maladies rares et plusieurs expositions
- coût élevé, logistique lourde, longue période de latence
observ : cas-témoins : avantage
- adapter : maladie rare et plusieurs facteur de risque
- échantillon cout logistique durée faible
observ : cas-témoins
- vérif relation causal E+ et M+ par comparaison de la fréquence d’exposition dans deux groupes exposés/ non exposés
- recueil des données rétrospectif : fin du suivi = début de l’étude
- ni transversale ni longitudinale
- RR grâce OR : significatif si 1 app pas ç l’intervalle de confiance
- biais de sélection classement et confusion
observ : cas-témoins : inconvénients
- non adapter : exposition rare et séquence temporelle exposition-maladie
- pas de calcul de RR direct mais par l’intermédiaire du OR
- biais de sélection et d’information
étude expérimentale : imputation causale
- jugement de causalité : randomisation
- jugement de signification : NSN
donc la randomisation est nécessaire pour l’imputation causal mais n’est pas suffisante
biais d’attrition
exclure les écarts au protocole de l’analyse
le biais d’attrition (ou biais d’usure) appartient aux biais de sélections.
variation du NSN
- α diminue, NSN plus grand
- β diminue, NSN plus grand
- ∆ diminue, NSN plus grand
- σ (écart type attendu) augmente, NSN augmente.
- NSN plus grand pour test bilatéral par rapport à unilatéral.
risque d’erreur faible si
- 𝛼 = 5% en bilatéral sauf si essai contre placébo, 𝜶 unilatéral
- 𝛽 < 20% = puissance d’au moins 80%.
les enquête de cohorte ont peu de biais d’information et de sélection contrairement au enquête cas-témoins
oui
il y a t’il des biais de classement dans les enquête de cohorte E+/E-
oui mais ils ne sont pas liées à la maladie mais plutôt à l’E+
il y a t’il des biais de sélection dans les enquête de cohorte E+/E-
- peu au début
- perdu de vue +++
clause d’embivalence
lors du choix des sujets il faut qu’ils soient capables de prendre les deux traitements
quel type d’erreur permet de limité le NSN et à quel objectif répond t’il
les erreur aléatoire : c’est à dire les fluctuation statistique, il permet donc de répondre à l’objectif de précision
attention : le NSN n’a pas d’influence sur les erreurs systémiques (biais), il ne permet donc pas de répondre à l’objectif de validité
que permet la randomisation
d’équilibrer les facteurs pronostiques qu’ils soient connus ou pas pour que les groupes ne différent que par le traitement.
le TAS permet aussi d’éviter les bais de sélection et de confusion
qu’est-ce qui permet le maintient de la comparabilité des groupes
le double aveugle et l’ITT (lim les biais d’attritions)
H0 en fonction de la significativité
- si la différence est significative alors on rejet H0
- si la différence est non significative alors on ne peut pas rejeter H0 mais on ne l’accepte pas
risque alpha et beta
- alpha : le risque d’observer un supériorité mais que celle ci soie du au hasard
- beta : risque qu’il y ai un supériorité mais quelle ne soie pas mise en évidence
la diminution des risques (grâce à l’augmentation du NSN) permet de répondre au jugement de signification