Deuxième partie du cours Flashcards

1
Q

La mondialisation à l’époque contemporaine

A
  • Développement d’un trafic universel et d’une dépendance mutuelle des nations
  • Perfectionnement des instruments de production et moyens de communications
  • Bourgeoisie soumet la campagne à la ville, les nations « barbares » aux nations civilisées, pays agricoles aux pays industriels, Orient à Occident.
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2
Q

Marx et la mondialisation

A
  • il y a un mouvement de la bourgeoisie vers l’envahissement du monde entier pour répondre à la volonté de production/consommation
  • Ce qui se passe dans la production matérielle se reproduit dans la production intellectuelle (formation d’une sorte d’intellectualité universelle).
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3
Q

Terme de “mondialisation”

A
  • inventé par Pierre de Coubertin en 1904 dans le Figaro.
  • Témoigne d’une interrogation sur les relations entre l’Europe et les autres continents.
  • exprime la crainte du déclin et de la supériorité des puissances impériales
  • incarne une forme de résistance avec le dvt des premiers mvmts sociaux
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4
Q

La carte de l’empire britannique de 1886 (3)

A
  • Carte comme vitrine de richesse, symbolique de l’impérialisme victorien et de l’empire.
  • Réalisée par Walter Crane, figure du mouvement socialiste anglais = montre des sujets qui souffrent
  • montre l’inconfort anglais face au système autocratique de l’empire et aux revendications indépendantistes de + en + fortes.
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5
Q

comment les historien.nes pensent-ils aujourd’hui la mondialisation

A
  • Il faut faire plus attention dans la recherche aux relations d’inter influences: penser aux rhétoriques d’altérité
  • Il faut dépasser l’Européocentrisme: trouver de nouvelles sources ou les relire différemment, décentrer le regard.
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6
Q

Le 19ème siècle et la découverte (3)

A
  • accumulation massive des données sur les êtres humains et les espaces naturels. Il y a une grande pluralité au niveau carto/ archéo/ biologie/ expéditions maritimes et terrestres.
  • Les européens se placent comme seuls détenteurs de cette curiosité (marque de la grandeur de leur civilisation)
  • Les explorateurs ne sont pas toujours des conquérants car ils participent au “bouclage du monde”.
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7
Q

Les cartes

A
  • Exemple: le planisphère C.Malte Brun 1875
  • traduisent une large connaissance du monde et une volonté d’exploration.
  • Pensée selon laquelle la découverte est à la portée de tous (européens).
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8
Q

Les sociétés de géographies

A

1821 : création de la Société de Géographie qui encourage les explorations avec des remises de prix (argent/prestige).

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9
Q

Congrès et conférences (3)

A
  • Apparition à cause des avancées scientifiques et un culte de la science.
  • Développement d’un arbitrage international de la diplomatie à l’économie.
  • Les organisations internationales tentent de réglementer les relations commerciales internationales
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10
Q

Les découvertes au XIXe

A

se font de plus en plus scientifiques et nationalistes: elles ne sont plus ‘désintéressées et humanistes’ mais prennent place dans une volonté coloniale (entre collaboration et compétition coloniale).

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11
Q

Les explorateurs (3)

A
  • Les religieux et les militaires obéissent souvent à des commandements alors que les civils répondent à une volonté personnelle ou professionnelle.
  • L’explorateur n’est pas seul (c’est un mythe). Il est souvent accompagné de gens trouvés sur place plus ou moins forcés de le suivre et qui sont indispensables.
  • Les explorateurs et les missionnaires ont une attitude ambivalente entre militaires, pillages et destructions mais aussi intérêt scientifique et tourisme.
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12
Q

Pourquoi voyage-t-on?

A
  • Touristes et organisations du tourisme: développement accompagné par le développement des moyens de transport.
  • Récits de voyage, photographies et cartes postales: Il y a une culture du récit de voyage (lettre, livre publié, récit fictionnel).
  • Voyageurs/voyageuses: les voyageurs ne sont pas seulement européens. Les principaux voyageurs sont des commerçants ou des fidèles. Isabelle Massieu, voyageuse française
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13
Q

La révolution industrielle (3)

A
  • associée au lien entre le développement des savoirs scientifiques et l’adoption des innovations technologiques à une supériorité de la Grande Bretagne aujourd’hui contestée.
  • Le textile et surtout l’industrie cotonnière sont les principaux moteurs de l’industrialisation
  • L’ histoire de l’industrialisation au XIX est un Histoire-monde.
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14
Q

L’Europe aurait-t-elle pu s’industrialiser sans le reste du monde?

A

La supériorité de l’Europe dans l’industrialisation est remise en cause. Pour Pomeranz, les Européens ont bénéficié d’un ensemble de conditions favorables.

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15
Q

La culture du coton

A
  • culture d’importation pour l’Europe: les conditions météo européennes ne permettent pas la culture plus demande une main d’œuvre nombreuse (le sud étatsunien).
  • En 1794, invention de la Cotton Engine par Eli Whitney qui permet de séparer la fibre de la graine (travail pour 50 hommes)
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16
Q

Des usines aussi hors d’Europe

A
  • La Réunion des années 1830 est la région de France avec le plus de machines à vapeur notamment avec les usines de cannes à sucre
  • Usines de plantations dans le monde entier.
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17
Q

Les grands chantiers de l’industrialisation

A
  • Lieux de travail extrêmement violents
  • Les canaux: aux USA 44 canaux creusés entre 1820 et 1840. Travail pénible avec des travailleurs venus de tous les horizons, nombreux accidents. L’exemple de Suez emploie des paysans égyptiens soumis à la corvée (+ 400 000)
  • Les chantiers de chemins de fer: constructions massives (terrassement) souvent + 15 000 travailleurs. Association techniques modernes et plus archaïques (grue à vapeur et pelle).
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18
Q

La fin du commerce des esclaves ?

A
  • utilisation des bateaux à vapeur (entre 1859 et 1861) influence la production de coton.
  • Abolition esclavage aux USA en 1861.
  • La guerre de Sécession accélère la fin de l’esclavage
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19
Q

L’engagisme

A

vient après l’esclavagisme. C’est un statut très peu enviable, qui se rapproche du statut d’esclave. Cependant les engagés sont juridiquement libres dans la colonie d’accueil et ils perçoivent un maigre salaire.

20
Q

Les formes du travail forcé

A

la réquisition, la prestation et la seconde portion du contingent militaire “les tirailleurs de la pelle”. Interdiction du travail forcé en 1930.

21
Q

les migrations de masse vers le continent américain

A
  • Migrations ultramarines et transatlantiques (les Irlandais vers les USA dans le contexte de la ruée vers l’or et du rêve américain).
  • Stéréotypes et xénophobie (Ellis Island).
  • Sélection des migrants selon des réglementations strictes. Les migrations autour du monde deviennent de plus en plus sélectives à la fin du XIXème.
22
Q

3 moyens de la mondialisation

A

=> déplacement
=> travail
=> urbanisation
La pénétration se fait majoritairement par la violence.

23
Q

Comment se met en place la volonté européenne de connaître le monde ?

A
  • Les états mettent du temps avant de mettre en place leurs propres agents de connaissances et de savoir, souvent privés au départ, qui financent les recherches.
  • On travaille beaucoup maintenant sur ce qu’on peut tirer des sources vernaculaires (local, d’un pays)
24
Q

Le travail mondialisé

A
  • La révolution industrielle n’a d’existence possible que par l’antériorité de certains productions d’ailleurs, tels que les techniques indiennes (les cotonnades) que les européens ont copié.
  • Pour remplacer le travail forcé, on fait des contrats de 3 ans où les locaux sont emmenés ailleurs et se retrouvent bloqués dans un système où ils ne peuvent rentrer chez eux: chinois en Afrique/Pérou très maltraités: le monde entier a donc travaillé pour la révolution industrielle.
  • C’est un circuit complexe et dynamique.
25
Q

La 2nde moitié du XIXe et l’urbanisation

A
  • Plus grandes villes ne sont pas Européennes mais asiatiques (Beijing, Canton, Istanbul)
  • Mode de vie urbain devient économiquement et culturellement dominant.
  • Basculement vers littoraux
  • Diversité nouvelle des villes
26
Q

Un monde plus urbain

A

Pas seulement en nombre d’habitants mais aussi en infrastructures, idée que la ville doit être plus saine:
- Le XIXe siècle pave les rues, creuse des canalisations, des égouts, l’éclairage public se répand.
- Fin de la nuit noire qui réapparaît aujourd’hui.
- Dvt du mobilier urbain, des parcs publics, des gares…
- Des croissances spectaculaires surtout en Amérique (Chicago a 30 000 habitants en 1850, 1 100 0000 en 1890 ( abattoirs, migrants). Ces villes à la croissance explosive sont parfois éphémères, notamment en Alaska par exemple (ruée vers l’or du Klondike avec Dawson City).

27
Q

La sédentarisation des villes

A
  • La ville se fige et se fixe. La sédentarisation est liée à la colonisation
  • La plupart des souverains adoptent une résidence fixe même s’il existe toujours des phénomènes de « saisons » .
  • La plupart des villes pré-coloniales (à l’exception de quelques ports) n’étaient souvent pas fixes. Cf les grandes cités africaines des Yorubas. Le premier acte de la colonisation vise à fixer ces villes.
28
Q

La pétrification des villes

A
  • La ville se pétrifie c’est-à-dire qu’elle est construite de plus en plus en pierre. Bâtiments officiels nouveaux, églises..
  • Mais aussi les habitations: premier gratte –ciel à Chicago
  • Découverte du béton armé à la fin du XIXème siècle.
  • On détruit aussi beaucoup ce qui a été construit avant: à Mexico, on détruit des dizaines d’édifices religieux sous le gouvernement de Benito Jerez ( à partir de 1855).
29
Q

Les ports: des villes–mondes

A

L’essor du commerce international fait des villes portuaires, les lieux majeurs d’échanges et de redistribution. Pour être efficace, la chaîne de transports terre mer doit présenter aussi peu de ruptures que possible et beaucoup d’efforts sont menés pour assurer cette complémentarité (docks, quais, canaux..).

30
Q

Les ports : territoires de l’attente

A
  • Entre 1850 et 1914, environ 50 millions d’Européens ont embarqué depuis Liverpool, Le Havre, Hambourg, Brême, Southampton, notamment vers les Amériques.
  • Nécessité d’organiser des lieux entre le passage de la mer à la terre.
  • Les ports lient les villes au reste du monde
  • Ellis Island et Marseille
31
Q

“Treaty ports”

A

Les ports ouverts ou ports de traités est le nom donné aux ports de Chine, du Japon et de Corée qui furent ouverts au commerce international par les traités inégaux, principalement entre 1840 et 1920. Les guerres de l’opium et les traités inégaux ouvrent la Chine aux Européens qui s’installent dans les ports.

32
Q

Les villes coloniales (3)

A
  • Les colonisateurs créent rarement leurs capitales mais choisissent une ville.
  • La ville coloniale est le centre stratégique des décisions militaires, politiques et économiques.
  • C’est en ville que résident tous les auxiliaires de la colonisation (interprètes, employés municipaux, postiers,…)
33
Q

Des villes “rebelles” -L’exemple de la conférence panafricaine de Londres

A
  • La première conférence panafricaine est organisée au seuil du xxe siècle, en juillet 1900 à Londres afin de susciter un élan de solidarité en faveur des Noirs souffrant du colonialisme.
  • La conférence est politique: elle dénonce la politique britannique en pleine guerre des Boers en Afrique du Sud et l’intensification du racisme contre les Noirs dans ce pays et interpelle la Reine Victoria.
34
Q

La mondialisation religieuse (4)

A
  • Penser la mondialisation religieuse conduit souvent à penser l’expansion du catholicisme et du protestantisme.
  • Le XIX est également le siècle de la diffusion de l’Islam et les religions extra-européennes sont aussi des formes de résistance à l’uniformisation du monde et à l’appropriation culturelle par les Européens.
  • La mondialisation sur le plan religieux entraîne des conflits partout entre conservateurs et réformistes qui veulent ouvrir l’organisation religieuse.
  • La mondialisation amplifie les déplacements des Hommes et donc de leurs croyances. Il y a une influence générale.
35
Q

Les religions extras-européennes (3)

A
  • Des religions qui ne sont pas considérées comme telles : fétichisme, animisme
    Texte d’Augustin Schoeffer qui voyage à Tonkin 1848: récit ultra méprisant envers un rite auquel il a assisté.
  • Des religions folklorisées…
    Il y a une sorte de curiosité européenne qui pousse à l’intérêt pour les religions indo asiatiques mais ça reste méprisant.
  • Des religions nouvelles (exemple de l’Inde, terre de 7 religions vivantes: implique la nécessité de conférer au problème religieux une réelle importance pour conserver une harmonie).
36
Q

Les missions chrétiennes

A
  • important développement par Pie IX. Il y a une volonté de faire avancer la religion chrétienne dans le monde.
  • Le rôle des missions dans la conquête coloniale ont un rôle limité dans les impérialismes. Les pays touchés par les missions (Asie) ont déjà une hiérarchie religieuse puissante. La réussite des missions se place plutôt du côté de l’éducation et de la santé.
  • Les religions n’arrivent à s’implanter que lorsqu’elles sont compatibles avec celles déjà en place.
37
Q

Les pèlerinages

A
  • moments importants des religions majeures (Jérusalem, la Mecque et Médine sont les plus importantes).
  • Déplacement qui donne lieu à des échanges et à des points de sédentarisation partiels (camp de pèlerins).
  • Donne lieu à une forme de mondialisation: conception de lieux et points de passage, ligne de chemin de fer (Hedjaz)
    -La révolution des transports réorganise en moins de 50 ans les conditions de pèlerinage.
    -Des déplacements qui entraînent des transmissions: les pratiques votives islamiques des hindous immigrants aux Antilles.
38
Q

Les inquiétudes envers la Mecque

A
  • Le pèlerinage inquiète les européens et les empires qui ont peur de la diffusion de l’Islam.
  • Les puissances coloniales établissent un contrôle administratif des flux de pèlerins (papiers, taxes)
  • Volonté d’enrayer ce qui pourrait porter préjudice au pouvoir colonial: exagération de la peur par l’ignorance des coloniaux pour la religion musulmane.
  • Inquiétude sanitaire: risque de pandémie (épidémie de Choléra en 1893: 40 000 morts entre la Mecque et Djeddah).
39
Q

Hybridations architecturales

A

L’expansion des religions entraîne aussi la multiplication des lieux de culte (aussi bien des mosquées inspirées de la Mecque en Afrique de l’ouest que des églises de notre dame en indochine française).

40
Q

Les religions mondes

A
  • issues d’une séparation entre l’autorité religieuse et l’autorité politique: hybridation des cultures et uniformisation des rites + constitution de doctrines.
  • volonté de réforme dans la plupart des religions du monde: favorise les hybridations
  • Il y a aussi des pratiques communes que l’on retrouve à grande échelle (pèlerinages, mariage,…).
41
Q

La guerre au XIXème

A
  • Idée reçue: on considère que le XIXème est un siècle de paix en Europe encadré par 2 moments de conflits: la révolution française et les guerres qu’elle engendre et la WW1. Mais il y a bien des guerres et des batailles.
  • A partir des années 1860: photo donc plus de possibilité de représentation de la guerre.
42
Q

Des guerres moins nombreuses en Europe ?

A
  • De nouvelles modalités de combats: des soldats citoyens, les conscrits…
  • Développement d’un volontariat militaire au XIXème siècle. Mise en relation avec l’état d’esprit de la jeunesse européenne, volonté de l’ailleurs.
  • Apparition de combats transnationaux.
    ➔ On parle de « pacification » plutôt que « guerre ».
    ➔ Européens considèrent qu’il est de leur devoir d’intervenir contre insurrections et rebellions en
    menant des actions de pacifications. Considèrent qu’ils amènent la paix entre des indigènes ou des
    insurgés.
43
Q

Guerre russo-japonaise (1904-1905)

A

➔ Marque les esprits car puissance européenne est battue par puissance asiatique.
➔ Déroute sur ce qu’est la guerre et manières de concevoir les relations avec des pays étrangers.
➔ Considèrent que c’est parce que le Japon s’est aligné sur l’Europe qu’il a pu battre les Russes.
➔ Conflit très médiatisé.
➔ Développe un sentiment pacifiste anticolonial.

44
Q

Violence et mondialisation

A
  • Il y a des conflits violents qui se développent à l’égard des civils.
  • Violence coloniale, avec usage de fouets.
    -1896, Cuba : Système de concentration des civils de façon à les dissocier des militaires.
45
Q

Conclusion sur la mondialisation

A
  • Les historiens cherchent à sortir d’une vision européo centrée, et cherchent à comprendre comment s’est mise en place cette modalité de domination européenne.
  • Elle s’est inscrite dans la durée, avec des rencontres et interactions importantes.
  • Elle ne se fait pas seulement par l’exploitation des matières premières et la domination militaire, mais par
    les migrations.
  • Les européens ont besoin d’avoir connaissance des espaces à dominer, et cela passe par des intermédiaires
    locaux. Il faut donc boucler et s’approprier cette connaissance.