Definitions comptabilité Flashcards

1
Q

10 grands principes comptables

A
  • Continuité d’exploitation
  • Indépendance des exercices
  • Coûts historiques
  • Prudence
  • Permanence des méthodes
  • Importance relative
  • Non-compensation
  • Bonne information
  • Prééminence de la réalité sur l’apparence
  • Intangibilité du bilan d’ouverture
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Q

Principe de continuité d’exploitation

A

La clôture d’un exercice mène à la continuité de l’activité sur l’exercice suivant.

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3
Q

Principe d’indépendance des exercices

A

Chaque opération est inscrite dans l’exercice dans lequel elle a eu lieu. Une vente année N et dont l’argent est perçu dans l’année N+1 est inscrite dans l’année N.

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4
Q

Principe des coûts historiques

A

Les biens entrant dans l’entreprise sont comptabilisé au jour de leur entrée et à leur cout d’acquisition.

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5
Q

Principe de prudence en comptabilité

A

On ne transfère pas les pertes possibles ou certaines sur l’exercice suivant.

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6
Q

Principe de permanence des méthodes

A

Les méthodes d’enregistrement comptable ne peuvent pas changer d’un exercice à l’autre. Sauf si la nouvelle méthode a un impact positif sur l’entreprise.

Par ex on achète une voiture et on l’amortit sur 3 ans, on est obligé de garder cette ligne.

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7
Q

Principe d’importance relative

A

Un élément peu important peut ne pas être pris en compte dans la compta. Mais un élément significatif doit être comptabilisé.

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8
Q

Principe de non-compensation

A

On note toutes opérations. On ne compense pas une dépense par une recette ou une dette par une créance.

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9
Q

Principe de bonne information

A

L’info comptable doit être : fiable, significative et suffisante.

Elles donnent le max d’info sur les comptes tout en restant fiables.

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10
Q

Principe de prééminence de la réalité sur l’apparence

A

Présenter le plus réellement possible les opérations de l’entreprise. Elles doivent être transparentes et authentiques.

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11
Q

Principe d’intangibilité du bilan d’ouverture

A

Le bilan d’ouverture N doit correspondre au bilan de clôture de l’année N-1.

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12
Q

Amortissement

A

= la dépréciation d’un bien dû à l’usure ou à l’obsolescence. Mécanisme permettant de répartir le coût d’un actif sur sa durée de vie estimée, reflétant ainsi plus fidèlement la valeur du patrimoine de l’entreprise.

Il est soit linéaire soit dégressif.

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13
Q

Amortissement linéaire

A

Divise de manière égale le coût de l’actif sur sa durée de vie.

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14
Q

Amortissement dégressif

A

Accélère la dépréciation lors des premières années, avantageux fiscalement pour certaines acquisitions

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15
Q

Provisions

A

Une provision est constituée en prévision d’une perte ou d’une charge qui n’est pas encore effective à la clôture de l’exercice, mais que des événements en cours rendent probable.

Afin que les comptes annuels donnent une image fidèle de la situation de l’entreprise, la constatation des provisions est obligatoire.

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16
Q

Différence entre amortissement et provision

A

Les provisions sont des montants réservés pour couvrir des pertes ou dépenses futures potentielles, l’amortissement reflète la perte de valeur réelle des biens utilisés par l’entreprise.

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17
Q

Le bilan : définition

A

Tableau qui représente la situation patrimoniale d’une entreprise à un instant T, en général à la clôture de son exercice.

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18
Q

Comptes annuels de l’entreprise

A

Bilan, compte de résultat, tableau des flux de trésorerie, annexes…

19
Q

Comptabilité

A

La comptabilité d’entreprise est une activité qui répertorie, classe, ou comptabilise comme son nom l’indique, la création de richesse à laquelle se voue une entreprise.

20
Q

Utilité du bilan

A

Le bilan de l’entreprise répertorie son patrimoine, c’est-à-dire qu’il renseigne sur ce que l’entreprise possède et sur ce qu’elle doit. Il permet de donner une valeur financière à la structure.

Ces informations sont très intéressantes dans le cadre d’une cession par exemple.

Le gérant de l’entreprise a l’obligation de dresser un bilan au moins une fois par an et de l’envoyer à son centre des impôts.

21
Q

Composition du bilan

A

Deux colonnes : l’actif (à gauche) et le passif (à droite).

L’actif du bilan liste les éléments que possède l’entreprise (l’ensemble de ses biens et de ses créances).

Le passif renseigne sur les créanciers/ayants droit que l’entreprise mobilise pour financer son activité (“à qui appartient quoi et à hauteur de combien” : associés, banques, fournisseurs).

Les deux sont équilibrés.

De haut en bas, les colonnes sont du plus stable au plus liquide.

22
Q

Définition du compte de résultat

A

Document comptable où l’on retrouve le détail des produits générés et des charges consommées d’une entreprise au cours d’un exercice comptable.

Reflète l’activité de l’entreprise et permet d’obtenir le résultat net. On sait alors si l’entreprise a fait un bénéfice ou un déficit.

23
Q

Utilité du compte de résultat

A

Permet de déterminer la rentabilité de l’entreprise. Il permet aussi de comparer les charges et produits d’un exercice donné avec un exercice précédent ou de savoir pourquoi le résultat obtenu est positif ou négatif.

24
Q

Les 3 lignes du compte de résultat

A

Résultat d’exploitation : Il s’agit du résultat issu de l’activité courante de l’entreprise. Différente entre le CA et les charges afférentes.

Résultat financier : Différence entre produits et charges financiers. Donc entre placement et intérêts dus à la banque.

Résultat exceptionnel : hors de l’activité courante. Comme des subventions obtenues ou une amende.

25
Q

Différence entre le résultat comptable et le résultat fiscal

A

Pour le calcul de l’impôt (IS/IR), le résultat de base est le résultat fiscal.

La différence s’explique par l’existence de charges non déductibles fiscalement (amendes,…) et des produits non imposables (certaines plus-values de cession).

26
Q

Tableau de flux de trésorerie

A

Outil financier qui permet de déterminer la rentabilité d’un projet, d’évaluer le besoin en fonds de roulement et d’anticiper ses besoins en fonds propres.

Il indique les entrées et sorties d’argent de l’entreprise sur une période (mois, trimestre, année etc…).

Il démontre la capacité d’une société à fonctionner à court et à long terme grâce à une trésorerie suffisante. Le tableau des flux de trésorerie est un outil de prévision, il permet d’évaluer la santé financière de l’entreprise ainsi que la croissance interne de celle-ci.

27
Q

Rentabilité financière

A

Ratio qui permet d’évaluer l’aptitude de l’entreprise à rentabiliser les capitaux investis par ses propriétaires (investisseurs, actionnaires, ou associés). Ce ratio est utilisé souvent pour comparer la profitabilité des entreprises du même secteur.

Aussi appelé ROE

Résultat net de l’exercice / capitaux propres.

28
Q

Rentabilité économique

A

Permet de mesurer l’efficacité opérationnelle d’une entreprise en étudiant la rentabilité dégagée par son actif économique.

Aussi appelé ROCE

Résultat d’exploitation après impôt / (immobilisations nettes + BFR)

29
Q

BFR

A

Le besoin en fonds de roulement désigne la somme dont a besoin une entreprise pour financer son exploitation.

30
Q

Immobilisation

A

Biens destinés à servir de façon durable pour l’activité de l’entreprise.

Les immobilisations sont généralement regroupées en 3 catégories : les immobilisations incorporelles, les immobilisations corporelles et les immobilisations financières.

31
Q

Délai de paiement client et fournisseur

A

Illustre la performance d’une entreprise.

Un BFR intéressant est caractérisé par un délai de paiement client court et un délai de paiement fournisseur négocié.

32
Q

Ratio de rotation des stocks

A

Exprime le nombre de jours de stockage des matières premières, marchandises et produits finis.

Mesure le rythme auquel les stocks sont vendus. Plus le rythme de renouvellement des stocks est élevé (et le nombre de jours de stockage est faible), plus le ratio est considéré comme favorable sauf si le rythme devient trop élevé. Le risque est alors de ne pas pouvoir tenir les délais de livraison.

33
Q

Comptabilité de gestion

A

La comptabilité de gestion est un système d’information comptable qui permet d’informer les dirigeants (ou managers) afin de prendre des décisions de gestion.

34
Q

Calcul des coûts dans la comptabilité de gestion

A

L’analyse et les calculs de coûts étant au cœur de la comptabilité de gestion, la typologie des coûts est très détaillée (direct, indirect, variable, fixe)

Les coûts opérationnels sont généralement des coûts variables et directs (par exemple les coûts d’achat de matières premières, d’énergie, les salaires s’ils sont payés à l’heure etc.).

Les coûts de structure sont généralement des coûts fixes et indirects (par exemple les coûts liés à l’administration générale de l’entreprise, l’amortissement des machines etc.).

35
Q

Cout direct

A

Dépenses qu’engage directement une entreprise pour fabriquer un produit ou fournir un service.

Par ex les matières premières.

36
Q

Cout indirect

A

Coûts non directement liés à la mise en œuvre du projet et qui ne peuvent pas lui être attribués directement.

Pas ex l’assurance ou le loyer du bureau.

37
Q

Cout variable

A

Dépenses qu’une entreprise engage et qui varient selon la quantité de biens produits ou de services fournis.

Ainsi, lorsque la production ou les ventes augmentent, les coûts variables augmentent, et lorsque la production ou les ventes diminuent, les coûts variables diminuent.

Ex : matières premières, taxes sur le CA.

38
Q

Cout fixe

A

Coût dont le montant ne dépend pas, ou pas directement, du niveau d’activité.

Exemple : le loyer

39
Q

Seuil de rentabilité

A

Niveau d’activité minimum à partir duquel l’activité d’une entreprise devient rentable, soit le moment à partir duquel les recettes obtenues couvrent l’ensemble des frais exposés par elle.

40
Q

Méthodes de détermination du seuil de rentabilité

A
  • Méthode de cout partiel
  • Méthode du cout complet
41
Q

Méthode de cout partiel

A

Méthodes de détermination du seuil de rentabilité.

On regarde le cout de production du b&s en fonction des couts variables. Mais ensuite on calcule que sa marge doit aussi couvrir les couts fixes.

42
Q

Méthode du cout complet

A

On prend l’ensemble des couts de fabrication et on fixe à partir de là qu’on obtient le cout de revient. Permet de fixer le prix de vente.

43
Q
A