Cours 8 Flashcards
En 2003, l’OMS a publié que l’obésité n’était pas quoi?
Ce n’est pas simplement le résultat d’une gourmandise excessive ou d’une absence d’activité physique
Si on souhaite intervenir sans nuire, si on se réfère à la présentation de la représentante de l’organisme “Équilibre”, on comprend qu’il y a 5 raisons pour exclure le poids du
discours professionnel. On a aussi appris qu’il y avait 5 autres raisons pour inclure le poids dans le discours professionnel. Quels sont ces éléments?
Raisons pour inclure :
1- Parfois essentiel pour intervention
2- C’est une préoccupation qu’on ne doit pas ignorer
3- Permet de démystifier les fausses croyances liées au poids
4- Pour discuter de l’impact des normes sociales sur la préoccupation liée au poids
5- Afin de diminuer graduellement l’importance accordée au poids
Raisons pour exclure :
1- Personne n’a le plein contrôle sur son poids
2- Il est possible d’améliorer sa santé sans perdre de poids
3- Une motivation liée au poids peut nuire à un changement d’habitude de vie
4- Des messages axés sur le poids peuvent entraîner de l’insatisfaction corporelle
5- Certaines discussions par rapport au poids peuvent être stigmatisantes
On peut parler du poids sans idées préconçues ni préjugés. Nommez quelques exemples qui ne répondent pas à ces 2 critères importants.
- Explorer la questions des habitudes de vie de la même façon, peu importe le poids de la personne
- Adopter une attitude ouverte et non stigmatisante
**
Qu’est-ce que la grossophobie et est-ce qu’on en voit dans le milieu de la santé? Si oui, décrivez un exemple.
Grossophobie = Attitude hostile, moqueuse et/ou méprisante, voire discriminatoire, envers les personnes obèses ou en surpoids.
Exemple milieu de la santé : un médecin qui croit que l’obésité est une maladie
Un MD dit à votre patient qu’il doit perdre du poids. Vous êtes nutritionniste, donc, vous avec les connaissances pour nuancer les propos du MD. Décrivez les 4 déterminants qui influencent le poids d’une personne selon la science en 2024.
1- Biologie : hérédité, glandes, maladies, médicaments, sexe, âge, race et perturbations métaboliques associé à l’arrêt du tabac et syndrome du yoyo
2- Aspects socioculturels : normes de beauté, environnement, type de travail, statut, soutien, encouragements ou pression
3- Aspects personnels : perfectionnisme, faible estime et affirmation de soi, difficulté à s’exprimer, pauvre image corporelle, anxiété, stress, bénéfices secondaires à l’obésité
4- Habitudes et vie familiale : habitudes alimentaires, activité physique, dynamique familiale, préoccupation à l’égard du poids des parents
Vous faites une consultation auprès d’une dame qui a un IMC de 48. Elle désire perdre du poids mais vous dit qu’elle a vraiment tout essayé et que vous êtes sa dernière ressource. Vous la questionnez sur son alimentation habituelle. Elle fini par vous dire que ce sont les aliments salés qui sont très problématiques pour elle. Lorsque vous creusez un peu plus la source de ses comportements alimentaires, Mme réalise qu’elle
adore le salé pcq sa mère lui interdisait d’en prendre. Elle se met alors à pleurer pcq’elle vous dit qu’elle n’avait jamais fait ce lien. Comment réagissez-vous par la suite?
Je lui dit que je comprends et que je peux lui donner quelques trucs pour réduire sa consommation en sodium, mais je lui conseille principalement d’aller voir un psychologue afin de régler ce problème profondément ancré.
Il est possible d’améliorer sa santé sans perdre du poids. Comment?
En modifiant ses habitudes de vie :
- Habitudes alimentaires
- Pratique d’activité physique
- Consommation d’alcool et de tabac
- Sommeil
- Gestion du stress et des émotions
Capacité de faire face aux situations difficiles
Comment est-il possible d’avoir une image corporelle positive?
En ayant des bonnes habitudes de vies :
- Relations harmonieuses avec les autres
- Relation positive avec l’activité physique
- Relation positive avec la nourriture
- Bonne estime de soi
- Santé mentale positive