Cours 7: Concept de soi et relation à l'autre Flashcards

1
Q

Le concept de soi (3)

A
  1. Somme des perceptions qu’un individu a de lui-même, de ses CARACTÉRISTIQUES PERSONNELLES (physique, affectif, créatif, intellectuel)
  2. Perceptions que l’individu a de ses RELATIONS avec les autres et avec différents aspects de sa vie (social)
  3. Jugements que l’individu porte sur chacune de ses perceptions de lui-même (ESTIME DE SOI)
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2
Q

Le soi idéal

A

Correspond que à ce que l’individu aimerait être, et ce, sur divers plans :

  • Physique
  • Affectif
  • Créatif
  • Intellectuel
  • Social
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3
Q

Le soi social

A
  • Ce que l’on croit qu’on montre de soi (et qui serait donc visible aux autres)
  • Notre perception de ce que l’on montre peut être plus ou moins juste…
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4
Q

L’expérience (de l’organisme)

A
  • Le potentiel inné qui permet à l’individu d’évaluer si les diverses expériences vécues sont actualisantes ou non se nomme « évaluation organismique »
  • Si une expérience est conforme au besoin, elle sera donc jugée positivement; le cas contraire, elle sera jugée négativement
  • Un individu peut être plus ou moins connecté à son processus d’évaluation organismique
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5
Q

Congruence / Incongruence

A

Entre l’expérience de l’organisme et le soi; entre le soi et le soi idéal; entre le soi et le soi social

  • Congruence : Semblables, vont dans le même sens?
  • Incongruence : Dissemblables, écart important?
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6
Q

Que peut représenter une figure d’autorité?

A

L’autorité peut représenter une cible de contestation, mais aussi une source d’influence importante.

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7
Q

Qu’est-ce que l’autorité peut être?

A
  • une figure parentale
  • un leader désigné
  • un patron
  • un détenteur du « savoir » dont on a besoin…
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8
Q

L’obéissance à l’autorité

Nomme 2 exemples réels d’obéissance à l’autorité .

A
  • Massacres commis dans le contexte d’une guerre (p. ex., l’Holocauste)
  • Suicides collectifs sous l’ordre d’un gourou (p. ex., Jim Jones)
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9
Q

Nomme 2 expériences portant sur l’obéissance à l’autorité.

A
  • Obéissance au médecin : des infirmières administrent une « dose mortelle » de médicaments à des patients (Hofling et al.)
  • Obéissance à l’expérimentateur : des participants électrocutent « mortellement » de mauvais élèves (Milgram)
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10
Q

Décrit l’expérience de Milgram.

A
  • Étude menée par Stanley Milgram, entre 1960 et 1962
  • But : vérifier et analyser le degré d’obéissance face à une autorité reconnue légitime alors que les ordres sont contraires à la morale
  • Les participants (désignés comme des « enseignants ») devaient administrer des chocs électriques à des « élèves » en cas de mauvaises réponses à un test d’association de mots
  • Le degré obéissance observé outrepassa de loin les prévisions de Milgram…
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11
Q

Quelles étaient les variantes de l’expérience de Milgram?

A
  1. La proximité de l’élève
  2. La « condition cardiaque » de l’élève
  3. L’attitude du tandem expérimentateur / élève
  4. La proximité de l’expérimentateur
  5. Le sexe des participants
  6. Le « contrat social »
  7. Le changement de cadre environnemental
  8. Les pulsions cruelles et sadiques
  9. La permutations des rôles
  10. Le désaccord au niveau de l’autorité
  11. L’effet du groupe
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12
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était la proximité de l’élève. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

La proximité de l’élève :

  1. « Feedback à distance » : l’élève est installé dans une pièce contiguë; ses réactions ne sont ni vues ni entendues. À 300 volts, il frappe sur le mur.
  2. « Feedback vocal » : l’élève est installé dans une pièce contiguë; les gémissements, plaintes et supplications pouvaient être entendues.
  3. « Proximité » : l’élève est installé dans la même pièce que le participant.
  4. « Contact » : le participant doit prendre la main de l’élève.
    * + l’enseignant se rapproche de l’élève, - il y a d’obéissance.
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13
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était la « condition cardiaque » de l’élève . Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Condition cardiaque » : l’élève mentionne, dès le début de l’expérience, qu’il souffre d’une légère maladie du cœur. Au-delà de 150 volts, il fait état de douleurs cardiaques. Cela ne semble pas avoir d’infe sur l’obéissance.

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14
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était l’attitude du tandem expérimentateur / élève. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Attitude » : alors que, dans les premières versions, l’expérimentateur avait l’air sec et cassant, tandis que l’élève était doux et débonnaire, dans cette version, les rôles furent inversés.

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15
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était la proximité de l’expérimentateur. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« L’expérimentateur physiquement absent » : l’expérimentateur sortait de la pièce au début de l’expérience, et donnait ses consignes par téléphone.

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16
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était le sexe des participants. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Les participantes » : tandis que des hommes étaient impliqués dans les variations précédentes, dans celle-ci, ce sont des femmes qui ont participé en donnant les supposés « chocs électriques ».

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17
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était le contrat social. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Le contrat social » : l’élève, en plus de faire part de sa condition cardiaque, exige que l’expérience soit interrompue s’il le demande.

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18
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était le changement de cadre environnemental. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Le cadre non universitaire » : plutôt que de réaliser l’expérience à l’Université Yale, Milgram s’installa dans les locaux commerciaux délabrés, et se fit passer pour un chercheur autonome (sans affiliation institutionnelle).

*Expérience dans milieu non reconnu dim obéissance, car dim la crédibilité de l’autorité.

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19
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était les pulsions cruelles et sadiques. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Cruauté / sadisme » : les participants pouvaient choisir eux-mêmes le voltage à administrer. Une grande majorité de participants ont donné choc faible qd ils pouvaient administré n’importe quel choc. Seulement 2/40 ont donné choc élevé.

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20
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était la permutations des rôles. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A
  • « La source des ordres » : on demanda au participant d’obéir aux injonctions de l’élève lui-même. Celui-ci pouvait donc exiger de poursuivre l’expérience et d’être électrocuté, tandis que l’expérimentateur donnait l’ordre qu’on arrête.
  • L’autorité de l’expérimentateur a prévalu sur celle de l’élève.
  • « L’autorité sans statut » : un « individu ordinaire » joue le rôle de l’autorité, car il doit remplacer l’expérimentateur, lequel a dû s’absenter de manière impromptue (a reçu un soi-disant appel téléphonique), tout en précisant que l’expérience serait enregistrée.
  • Qql d’ordinaire en charge= dim le taux d’obéissance.
  • « L’autorité sans statut ET l’expérimentateur dans la position de l’élève » : un
    « individu ordinaire » joue le rôle de l’autorité, et l’expérimentateur se place dans la position de
    l’élève.
    *Qd le participant ê soumis à une autoriét sans statut, l’obéissance dim. La raison rapporté par le participant.: ce n’ê pas humain, ce n’ê pas correct de donner des choc à qql. Mais véritable raison ê que celui en charge= autorité sans statue et l’expert est l’élève.
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21
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était le désaccord a/n de l’autorité. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Le désaccord entre deux expérimentateurs partageant le même rôle » : deux expérimentateurs conduisent conjointement l’expérience et donnent des instructions.

« Le désaccord entre deux expérimentateurs ne partageant pas le même rôle » : un expérimentateur donne les ordres au participant, alors qu’un autre expérimentateur occupe la position de l’élève.
*Dim l’obéissance

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22
Q

Dans l’expérience de Milgram, une des variables était l’effet du groupe. Définis cette variable, qu’étudiait-on p/r à cette variable?

A

« Les participants rebelles » : le participant est placé entre deux autres participants qui sont en fait des complices de l’expérimentateur. Ceux deux (faux) participants défiaient ouvertement l’autorité de l’expérimentateur et refusaient d’obéir aux ordres dès les premières lamentations de l’élève.
*Le participant s’ê mis à désobéir à cause des 2 autres qui défi l’autorité.

« Les participants dociles » : situation analogue à la précédente, mais cette fois les (faux) participants sont dociles et obéissent sans discuter à l’expérimentateur.
*Qd les @ à côté de lui obéisse, cela entraine le participant à obéir aussi.

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23
Q

Selon Milgram, qu’est-ce que l’obéissance à l’autorité.

A

Selon Milgram, l’obéissance est un comportement inhérent à la vie en société. Tout individu intégré dans une hiérarchie passe de l’état autonome à l’état agentique.

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24
Q

Selon Milgram, il existerait trois stades, chacun rendu

possible grâce à divers facteurs facilitateurs, lesquels?

A
  • Les conditions préalables à l’obéissance
  • L’état agentique (= d’obéissance)
  • Le maintien de l’obéissance
25
Q

Selon Milgram, il existerait trois stades, chacun rendu

possible grâce à divers facteurs facilitateurs. Que comprend le stade des conditions préalables à l’obéissance?

A

2 éléments imp. 1. le contexte idéologique de la société: à qui on obéit, qui détient l’autorité. 2. L’éducation reçue par l’individu. Ex: Qd l’enfant ê élevé à obéir absolument VS qd l’enfant ê élevé à remettre en question, à demander pk, à exercer son jugement.

26
Q

Selon Milgram, il existerait trois stades, chacun rendu

possible grâce à divers facteurs facilitateurs. Que comprend le stade de l’état agentique?

A

Qd l’individu ê ss l’emprise de l’autorité. 2 choses se passent: 1. La syntonisation. Cela veut dire que le participant ê réceptif à ce qui vient de l’autorité et ê très peut réceptif de ce qui vient des @. 2. La perte du sens de responsabilité. L’état agentique ressemble à une phase d’hypnose. Ss l’effet de l’autorité et son jugement fct - bien.

27
Q

Selon Milgram, il existerait trois stades, chacun rendu

possible grâce à divers facteurs facilitateurs. Que comprend le stade du maintien de l’obéissance?

A

Pk une pers reste dans état agentique: à cause de l’anxiété éprouveé. De continuer à faire ce qui ê demandé = permet de contenir l’anxiété.L’obéissance ê favorisé par la présence de l’anxiété que l’indiv vt contrôlé. Pour la plupart des gens, il y a malaise à plusieurs degré, très relié à la perte du sens de l’autorité, qd on obéit on délègue, on rend l’@ responsable.

28
Q

Conclusions de l’étude de Milgram

A
  • De nombreuses critiques ont mis en cause le caractère éthique de l’étude.
  • Milgram répondit aux critiques en s’appuyant sur les déclarations des participants suite au debriefing.
  • Dans ses publications, Milgram réfute le terme « tromperie »(deception), et préfère parler de « mise en scène » ou d’ « illusion technique ». Il nie avoir « piégé » les participants.
  • Pourrions-nous envisager une telle étude au Québec, à notre époque?
29
Q

Résume brièvement l’expérience de la prison de Standford.

A
  • Étude menée par Philip Zimbardo, en 1971
  • But : montrer que la situation (ici le contexte carcéral) induit des comportements particuliers, non obstant la personnalité des individus
  • Attribution aléatoire de rôles de gardiens et de prisonniers
  • L’immersion dégénéra rapidement : certains « gardiens » infligèrent des punitions et des mauvais traitements à des « prisonniers » afin de maintenir leur autorité
    La situation expérimentale, qui devait durer 2 semaines, fut interrompue après 6 jours
30
Q

Selon Zimbardo, cette étude montre bien l’effet du contexte, notamment la désindividuation, sur le comportement (conclusion critiquée). Que signifie la désindividuation?

A

Désindividuation= masquage de l’identité. Les indiv dans le rôle de gardient se fondaient dans leur rôle. La pers peut se cacher dans son personnage et avoir des cpts + désinhiber dans certains contextes.

31
Q

Selon Zimbardo, cette étude montre bien l’effet du contexte, notamment la désindividuation, sur le comportement (conclusion critiquée). Pourquoi cette conclusion fut-elle critiquée?

A

L’assignation des rôles n’étaient pas forcément de façon aléatoire. Un des gardiens s’inspirait d’un personnage d’un film.

Les populat’ ici provenait de la populat’ normale, des volontaires. Il est imp de se demander quel genre de pers va se disposer à l’étude. Serait-il juste de dire que les gens répondant à l’invitation de l’étude sont + disposés à l’autorité?

32
Q

La demande thérapeutique: demande consciente vs inconsciente. Que peut-on dire face à ces 2 concepts?

A

Une pers consulte, on lui demande qu’e-c qui vs amène? Qql pourrait arriver et dire: Je viens pcq je souffre d’ê dépendant de mes parents, je ne me suis pas assez séparé de mes parents. Le thérapeute demande: quel sont vos attentes face à moi? Patient: je vx que vous me rendez autonome. Ici, à travers sa demande inconsciente de devenir indépendant, elle demande à ê dépendant de la thérapie. Donc, ici, mm si la pers devient indép de ses parents elle pourrait venir dép à son thérapeute.

33
Q

La demande thérapeutique varie en fonction de plusieurs facteurs, lesquels?

A
  • La personne qui la formule
  • Celle qui la reçoit
  • L’ enjeu clinique sous-jacent
34
Q

L’alliance thérapeutique

Que signifie condition sine qua non au travail en thérapie?

A

Condition sine qua non: condition obligatoire: il faut qu’il y est un accord entre la personne qui consulte et le thérapeute. Les deux s’investissent. Il faut qu’il y est ce lien entre les 2 pers pour qu’il y ait changement.

35
Q

Dans l’alliance thérapeutique, quel est le principal facteur de changement?

A

Qualité de l’alliance IMP: + que l’expérience, que le degré de scolarité. Qd l’alliance thérapeutique est bonne, le changeemnt émerge bcp + facilement. L’alliance thérapeutique ne dépend pas seulement du psy, mais aussi de la pers qui consulte: veut-elle construire une allaince?

36
Q

Comment pourrait-on définit le transfert?

A
  • Processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent…
    …sur certains objets
    …dans le cadre d’ un certain type de relation
    (dont la relation thérapeutique)
  • Il s’agit, entre autres, d’une répétition de prototypes
    infantiles vécue avec un sentiment d’actualité prononcé
  • Classiquement reconnu comme le terrain où se joue la problématique d’une thérapie, son installation, ses
    modalités, son interprétation et, éventuellement, sa
    résolution

*Transfert= la product’ d’un mode relationnel qu’on a appris qu’on a dév jeune. Chacun a des manières d’ê en relat’ avec les figures importantes: H, F, mère, père, etc. Qd on grandit, ces modes relationnels appris tôt dans la vie, on s’en resservira. Ex: on pt voir qu’il y a des ressemblance qd on est avec des amis, des copains/copine. Qd ce mode relationnelle là s’installe avec le thérapeute, il y a transfert. Ex: qd le client sent que le thérapeute peut l’aider, qu’il a entendu sa demande. (Ici transfert positif).

37
Q

Nomme 4 structures de personnalité.

A

Psychotique
Perverse
État-limite
Névrotique

38
Q

Quels sont les transferts instauré pour une pers ayant une structure de personnalité psychotique?

A

Méfiance, distance, voire persécution ;
recherche de fusion
*A) Identité pas bien complété: paranoia, méfiance distance ou fusion

39
Q

Quels sont les transferts instauré pour une pers ayant une structure de personnalité perverse?

A

Séduction du thérapeute en vue d’exercer une emprise ; complicité de transgression
*B) Instrumentalise, manipule, relat’ non authentique.

40
Q

Quels sont les transferts instauré pour une pers ayant une structure de personnalité état-limite?

A

Déresponsabilisation, dépendance, clivage (idéalisation, dépréciation du thérapeute)
*C) estime faible, remet la responsabilité ds les mains du thérapeute, ça déresponsabilise

41
Q

Quels sont les transferts instauré pour une pers ayant une structure de personnalité névrotique?

A

Reconnaissance du thérapeute comme individu entier ; le thérapeute dispose d’un savoir susceptible d’aider
*D) 2 pers bien entière, porte sa propre responsabilité par rapport à l’état-limite, mais voit le thérapeute comme un thérapeute capable/puissant

42
Q

Qu’est-ce que le contre-transfert?

A

Ensemble de réactions inconscientes du thérapeute
à l’égard de son patient et, plus particulièrement, au
transfert de celui-ci
*Ce que ça fait au thérapeute le transfert du patient. En tantt que thérapeute, le thérapeute ne reste pas idem/neutre par rapport au transfert du patient. Le contre-transfert est induit par le transfert. Émotions, sensation (ex: chaleur), réaction associative, sensation de perdre connaissance.

43
Q

Quelle(s) forme(s) prend le contre-transfert?

A

Idées, fantaisie, rx extrêmes; dissociation, sensations, si on ne lis pas bien notre contre-transfert, on pt poser des décisions iréfléchies.

44
Q

Quels sont les contre-transferts suscité pour une pers ayant une structure de personnalité psychotique?

A

Envie de rétablir la réalité ; confusion au niveau de la pensée ; sentiment d’être nuisible

45
Q

Quels sont les contre-transferts suscité pour une pers ayant une structure de personnalité perverse?

A

Rébellion ; soumission

46
Q

Quels sont les contre-transferts suscité pour une pers ayant une structure de personnalité état-limite?

A

Émotions à fleur de peau ; sentiment d’être responsable de l’autre ; propension à l’action

47
Q

Quels sont les contre-transferts suscité pour une pers ayant une structure de personnalité névrotique?

A

Liberté de pensée ; reconnu dans sa position et son rôle ; intérêt

48
Q

Qu’est-ce qui aide à bien lire le transfert et le contre-transfert?

A

Se connaitre soi-mm, bien évaluer la pers qu’on reçoit. Selon le contre-transfert que l’on vie, cela nous informe sur le transfert qui ê à l’image de la structure de la personnalité. Bien se connaître peut nous aider, le maintient du cadre: on sait l’heure à laquelle le rencontre se termine, thérapie=laboratoire, on ê en mesure d’observer ce qui se passe avec le patient. Ex: patient état lim: souvent ‘accepte pas bien la lim de la durée de la rencontre, la pers névrotique respectera bien le cadre. En conclu, cmt le patient agit par rapport au cadre ns renseigne sur sa structure.

49
Q

Qu’est-ce qui peut nuire ou, du moins, compliquer les choses?

A

Fatigue, trop de café?

50
Q

Dans les structures de personnalités, qui occupe la position d’autorité? Qui abuse de celle-ci?

A

L’autorité abusive peut ê n’importe quelle structure.

51
Q

Quelles peuvent être les motivation à exercer le rôle de l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité psychotique?

A

Mission (délirante) à accomplir, coûte que coûte
*Elle peut penser vouloir améliorer le monde. Ex: Hitler. (ici hypothèse). Il voulait blanc, aux yeux bleus, cheveux blonds. Il faut une race pure. Le psycho va potentiellement abusé de l’autorité en voulant imposer sa mission.

52
Q

Quelles peuvent être les motivation à exercer le rôle de l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité perverse ?

A

Plaisir, gratification narcissique à travers
l’exercice du pouvoir
* Il abusera de l’autorité par la recherche de plaisir. Elle abuse du pouv, car elle veut tjrs + de pouvoir. Recherche constante de pouv.

53
Q

Quelles peuvent être les motivation à exercer le rôle de l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité état-limite?

A

Recherche d’attention, d’idéalisation

*Quête d’attention, cherche à ê idéaliser par les @.

54
Q

Quelles peuvent être les motivation à exercer le rôle de l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité névrotique?

A

Bien faire son devoir, voir au respect de règles

reconnues comme justes

55
Q

Quelles peuvent être les motivation à obéir à l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité psychotique?

A

Reconnaît sa mission dans la parole de

l’autorité, « fusionne » avec celle-ci

56
Q

Quelles peuvent être les motivation à obéir à l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité perverse?

A

Recherche un bénéfice secondaire; contrat grâce auquel le pervers a une certaine « prise » sur l’autorité

57
Q

Quelles peuvent être les motivation à obéir à l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité état-limite?

A

Permet de se déresponsabiliser

58
Q

Quelles peuvent être les motivation à obéir à l’autorité pour une pers ayant une structure de personnalité névrotique?

A

Surmonte le sentiment de ne pas être à la hauteur