Cours 7 - Apprentissage social Flashcards

1
Q

Selon les théories de l’apprentissage sociale, le délinquant n’est pas vu comme un inadapté mais plutôt comme…

A

Une personne qui c’est adapté à sa réalité subjective, à son entourage et à son milieu social.

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2
Q

Quel est le principe de base de la théorie de Tarde ?

A

Que l’humain cherche tout naturellement à imiter son voisin et les collectivités cherchent à en imiter d’autres.

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3
Q

Vrai ou faux : Selon Tarde, tout comportement est le fruit d’un processus d’imitation et d’innovation.

A

Vrai.

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4
Q

Selon Tarde, si on n’imite pas, qu’est-ce que cela peut engendrer ?

A

Le rejet des autres. L’imitation est nécessaire pour être acceptée.

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5
Q

Quelle est l’influence de Tarde sur la criminologie (ce qui le distingue des autres sociologues) ?

A

Il met l’accent sur l’individu.

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6
Q

Selon Tarde, à quoi servent les roles models ?

A

À définir notre identité.

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7
Q

Quel est le postulat de base de Trasher ?

A

La délinquance est une activité normale à l’adolescence pour des jeunes qui font face à un environnement social frustrant et limitant.

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8
Q

Selon Trasher, pourquoi les jeunes s’adonnent à la criminalité ?

A

Comme un moyen d’affirmer leur identité.

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9
Q

Trasher fait la différence entre les jeunes issues de classes favorisés vs. défavorisés. Quelle est la principale différence ?

A

La délinquance est normale pour les gangs des milieux urbains défavorisés. La gang peut faire développer une perspective de conflit face à la société.

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10
Q

Trasher fait allusion à une sous-culture. Expliquez.

A

À cause de leur frustrations, les jeunes de quartiers défavorisés vont former des gangs et créer une sorte de sous-culture.

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11
Q

Quel est le postulat de base de Sellin ?

A

Dans une société différente, les normes de conduite et les valeurs des différents groupes peuvent venir en conflit.

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12
Q

Quelle est la différence entre le conflit direct ou indirect selon Sellin ?

A

Directe : une personne qui agit en conformité avec sa culture se retrouve porte-à-faux avec la culture dominante
Indirecte : conflit de cultures amène à une désorganisation sociale (criminogène)

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13
Q

Donnez un exemple de conflit de culture directe primaire.

A

Un parent haitien qui donne un coup de ceinture sur son enfant comme l’éduquer (pas permis au Canada).

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14
Q

Donnez un exemple de conflit de culture directe secondaire.

A

Un membre d’un gang de rue doit répondre à une insulte de manière physique (groupe dominant qui impose ses lois aux autres groupes).

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15
Q

Quel est le postulat de base de Sutherland ?

A

Un comportement est appris par le jeune dans un processus d’interaction avec ses proches.

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16
Q

Vrai ou faux : Selon Sutherland, plus un jeune sera exposé dans son milieu à des délinquants, plus il risque de devenir un délinquant lui-même.

A

Vrai.

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17
Q

Nommez quelques postulats (principes de base) de la théorie de Sutherland.

A
  1. Le comportement délinquant est habituel et appris.
  2. En interaction avec d’autres personnes dans un processus de communication, l’apprentissage se fait surtout avec ses proches.
  3. L’association différentielle varie en terme de fréquence, durée, priorité et intensité
  4. Le processus d’apprentissage est le même pour la délinquance et n’importe quel autre comportement.
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18
Q

Vrai ou faux : Selon Sutherland, le jeune d’un quartier défavorisé exposé à une sous-culture défavorable à la loi va modifier ses valeurs, motivations, attitudes et ses rationalisations.

A

Vrai.

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19
Q

Vrai ou faux : Selon Sutherland, un jeune exposé plus tôt à une sous-culture délinquante a plus de chance de devenir délinquant.

A

Vrai.

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20
Q

La théorie de Sutherland peut expliquer notamment une forme particulière de crime, laquelle ?

A

Crimes commis par les gens du crime organisé.

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21
Q

Pourquoi dit-on que la théorie de Sutherland n’est pas vérifiable empiriquement ?

A

Car il a plusieurs interprétations défavorables au respect de la loi (ce qui est un concept flou) par rapport aux interprétations favorables.

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22
Q

Quel est le postulat de base de Miller ?

A

Les jeunes des milieux défavorisés sont préoccupés par des différentes choses que les jeunes des milieux favorisés.

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23
Q

Quels sont les 6 principales préoccupations des jeunes issus de milieux défavorisés selon Miller ?

A

Rudesse, Ruse, Action, Fatalisme, Autonomie et Trouble.

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24
Q

Selon Miller, les classes défavorisés rejètent-ils la culture dominante ?

A

Non, simplement un apprentissage d’une culture qui traduit les préoccupations différentielles des autres jeunes.

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25
Q

Selon Miller, qu’est-ce qui est le plus important pour les jeunes de classes défavorisés ?

A

Amis, groupe, gang.

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26
Q

Selon Miller, la délinquance est-elle une réaction négative ?

A

Non, elle résulte de l’existence de groupes ayant une culture et des préoccupations différentes qui parfois viennent en conflit avec la société.

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27
Q

Selon Sykes et Matza, les délinquants ont-ils des valeurs pro-sociales ?

A

Oui la plupart du temps et dans la plupart des situations.

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28
Q

Selon Sykes et Matza, la délinquance est-elle acquis ou apprise ?

A

Apprise.

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29
Q

Qu’est-ce que les techniques de neutralisation permettent selon Sykes et Matza (2) ?

A

Neutraliser les internets et les valeurs
Donner un sens au geste délinquant
(justifications qui permettent d’expliquer et justifier les actes de violence)

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30
Q

Comment les techniques de neutralisation sont apprises ?

A

Par l’interaction avec les pairs qui fournissent les ressources cognitives pour neutraliser les interdits

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31
Q

Vrai ou faux, selon Sykes et Matza, les délinquants sont différents des non-délinquants ?

A

Faux. C’est pourquoi ils ont besoin de techniques de neutralisation pour commettre des délits.

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32
Q

Nommez 5 techniques de neutralisation.

A
  1. Déni de sa responsabilité
  2. Déni des dommages
  3. Nier l’existence d’une victime
  4. Condamner les justiciers
  5. Invoquer les autorités supérieures.
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33
Q

Le modèle de Sykes et Matza est basé sur 4 observations, lesquels ?

A
  1. Délinquants ont souvent des remords
  2. Ils tracent une ligne entre les personnes qui peuvent être victimisées et celles qui ne peuvent l’être
  3. lls admirent et respectent les personnes honnêtes
  4. Ils sont sensibles aux demandes de conformité de la société
34
Q

Nommez une critique du modèle de Sykes et Matza.

A

Les techniques de neutralisation précèdent l’agir délinquant ou si elles sont simplement des rationalisations post-acte ? Difficile à déterminer…

35
Q

Quel est le postulat de Matza ?

A

La plupart des délinquants passent d’un mode de vie dans lequel ils respectent les lois, les coutumes et les règles à une période ou ils s’en affranchissent et se considèrent comme des hors-la-loi.

36
Q

Quel est le rôle de l’adolescence dans la théorie de Matza ?

A

Elle permet le bris temporaire du contrôle social et ainsi vivre en marge de la société.

37
Q

Selon Matza, les délinquants ont-ils les mêmes valeurs que les non-délinquants ?

A

Oui.

38
Q

Pourquoi considérer la théorie de la Dérive de Matza comme une théorie de l’apprentissage ?

A

Car lors de la période de retrait des contrôles sociaux, le jeune appliquera les principes de la sous-culture délinquante qu’il aura appris avec ses pairs. Cette possibilité de dérive est appris par le biais des fréquentations des autres jeunes.

39
Q

Selon Matza, qu’est-ce qui peut affecter la dérive d’un jeune ?

A
  • Des affects négatifs (avoir vécu un échec)

- Des affects positifs (excitation suite à une bonne nouvelle)

40
Q

Quel est le postulat de Wolfgang et Ferracuti ?

A

La sous-culture propose des valeurs différentes de celles du groupe dominant, mais aussi des valeurs partagées avec le plus grand groupe.

41
Q

Vrai ou faux, selon Wolfgang et Ferracuti, la violence peut être perçue comme la réponse honorable, légitime et même attendue à certain niveaux.

A

Vrai.

42
Q

Selon Wolfgang et Ferracuti, si les membres d’une sous-culture ne respectent pas les normes de conduite que peut-il arriver comme sanctions (3) ?

A

Réprimande
Blâme
Expulsion

43
Q

La sous-culture s’apprend par 4 processus d’apprentissage, lesquels ?

A
  • Imitation
  • Communication
  • Exposition
  • Association
44
Q

Selon Wolfgang et Ferracuti, la violence est-elle le produit de la conformité des gens qui adhèrent à une sous-culture particulière ?

A

Oui.

45
Q

Qu’est-ce que McGloin et al ont démontré par rapport à la théorie de Wolfgang et Ferracuti ?

A

La dimension de valeurs pro-violentes constituent le meilleur prédicteur de la délinquance.

46
Q

Qu’est-ce que Felson suggère par rapport à la théorie de Wolfgang et Ferracuti ?

A

Le contrôle social informel du groupe serait le mécanisme principal liant sous-culture et comportement délinquant Il met plutôt l’accent sur l’environnement.

47
Q

Que démontre Elison par rapport à la théorie de Wolfgang et Ferracuti ?

A

Qu’il existe une sous-culture de violence dans le Sud des USA.

48
Q

Akers intègre quel principe à sa théorie ?

A

Le principe du conditionnement opérant.

49
Q

Selon la théorie de Akers, qu’est-ce qui agit comme médiateur entre les stimuli et les réponses ?

A

La cognition.

50
Q

Selon Akers, l’endoctrinement dans la délinquance se fait par association avec…

A

des pairs délinquants.

51
Q

Selon Akers, les comportements sont la résultante de 3 mécanismes distincts, lesquels ?

A
  • Renforcements différentiels
  • Croyances et définitions favorables au crime
  • Imitation des modèles criminels
52
Q

Selon Akers, que veut dire les renforcements différentiels (3) ?

A
  • Équilibre anticipée ou réelle entre ses avantages et ses inconvénients
  • Importance d’expériences passés, observation des amis
  • Renforcements positifs/négatifs
53
Q

Qu’est-ce que la notion de mantorat criminel, selon Akers ?

A

Cela va faire progresser le jeune en changeant sa manière de voir le monde. Mentors criminels qui font progresser le jeune de différentes manières dans le milieu criminel.

54
Q

Selon Akers, qu’est-ce qu’un rôle models ?

A

Délinquants qui ont réussi deviennent des modèles pour les jeunes qui vont au fond d’eux garder l’espoir de réussir comme eux.

55
Q

Quel est l’ajout de la théorie de Akers à la théorie de Sutherland ?

A

L’idée de renforcements/punitions influencent beaucoup quand ils proviennent des proches.

56
Q

Que se passe t-il à l’adolescence ?

A

Les jeunes délaissent naturellement sa famille au profil de son cercle d’amis. Amis et pairs deviennent les personnes les plus significatives. Amis = objets de valorisation et d’identification.

57
Q

Quels sont les 2 constats de l’adolescence ?

A
  1. Délinquance est une affaire de groupe

2. Les jeunes délinquants ont presque tous un amis délinquants.

58
Q

L’influence des pairs peut-il expliquer les comportements plus graves ?

A

Non, elle peut cependant expliquer les actes de délinquance mineure.

59
Q

Quels sont les principales critiques du modèle causal quant aux pairs (3) ?

A
  1. Le manque de validation empirique (arguments spéculatifs)
  2. L’ordre temporel des phénomènes (étude de Tremblay et al.)
  3. L’autosélection (relation artificielle)
60
Q

Quel est le postulat des causes communes ?

A

L’inadaptation du jeune (Violence familiale, mauvaise socialisation) serait la cause de son association avec des pairs négatifs.

61
Q

Ce qu’on peut conclure sur les rôles entre le lien des pairs et la délinquance persistance est que (2) :

A
  1. Rôle d’Actualisation (nécessaire pour un processus de criminalisation complet)
  2. Rôle d’Accélaration (les pairs fournissent des modèles et des occasions)
62
Q

Quel est donc le rôle des pairs dans l’influence de la délinquance ?

A

Un rôle complémentaire. On ne peut nier le rôle des pairs dans la genèse de la délinquance.

63
Q

Par quels mécanisme l’effet de délinquance des pairs se transmets (3) ?

A
  1. Phase de contagion réciproque (petits vols et vandalisme)
  2. Phase d’apprentissage technique (acquisition d’un savoir-faire technique)
  3. Réseautage (établissement d’un réseau criminel)
64
Q

Quels sont les 3 facteurs qui influencent le lien entre les pairs et la délinquance ?

A
  1. L’âge (plus il est jeune)
  2. Type de délinquance (petite délinquance)
  3. Provenance culturel (groupes désavantagés économiquement)
65
Q

Vrai ou faux : le quartier a une influence directe sur la délinquance juvénile.

A

Vrai, cela varie les opportunités criminelles.

66
Q

Il y a deux types d’influence des facteurs criminogènes en fonction du quartier, lesquels ?

A

Directe : différences dans l’influence des facteurs dépendants du quartier ou le jeune réside
Indirecte : influence le nombre d’occasions criminelles.

67
Q

Qu’est-ce que l’erreur écologique ?

A

C’est une erreur de généralisation quant on applique des conclusions des études provenant de collectivité à des individus.

68
Q

Quelles sont les 5 zones selon l’École de Chicago ?

A
  1. Centre-ville (banques, centre commerciaux)
  2. Zone de transition (usines)
  3. Classe ouvrière (logements pour les travailleurs)
  4. Zone résidentielle (résidences unifamiliales)
  5. Banlieues (grande zone résidentiel)
69
Q

Ou se retrouve la délinquance (zone) selon l’École de Chicago ?

A

Dans le centre-ville et cela diminue plus on s’en éloigne.

70
Q

Quelles sont les 4 constatations de l’École de Chicago par rapport au zone ?

A
  1. Distribution spatiale du crime ressemble à celle qui est obtenue pour un ensemble de conduites sociales déviantes comme la toxicomanie
  2. Le taux de délinquance est lié au niveau socioéconomique moyen des habitants du quartier
  3. Le de taux de délinquance est lié à la composition ethnique des quartiers
  4. Prééminence de la variable d’emplacement sur celle du groupe ethnique
71
Q

Aujourd’hui, existent-ils encore des zones de transition ?

A

Non, les promoteurs immobiliers prennent possession (gentrification).

72
Q

Le quartier va être socialement désorganisé si…

A

Ses mécanismes de contrôles sociales formels et informels ne fonctionnent pas + mauvaise cohésion sociale

73
Q

Qu’est-ce que amène la faiblesse des contrôle sociales formels et informels (3) ?

A
  1. Hétérogénéité ethnique
  2. Pauvreté
  3. Mobilité résidentielle
74
Q

Selon Shaw & McKay, les jeunes sont plus enclins à apprendre des valeurs délinquantes si celles si sont renforcées par…

A

Les tensions au travail ou à l’école.

75
Q

Qu’est-ce que le concept d’efficacité collective ?

A

C’est la capacité des citoyens d’un quartier d’atteindre leurs objectifs collectifs et de résoudre des problèmes communs.

76
Q

Le concept d’efficacité collective est une nouvelle version du concept de la désorganisation sociale, mais avec quelques ajouts comme (2) :

A
  • La confiance et l’entraide entre les individus.

- Soutient l’idée que les individus peuvent agir sur les conditions criminogènes et leur environnement.

77
Q

Vrai ou faux : l’immigration récente augmente significative la délinquance.

A

Vrai.

78
Q

Vrai ou faux : les restaurants, stations de métro et centres commerciaux attirent la criminalité des jeunes.

A

Vrai.

79
Q

L’endroit ou les jeunes décident de commettre des crimes est explicable par…

A

La présence de services générateurs d’activités criminelle.

80
Q

La délinquance selon le lieu de résidence s’explique par…

A

Des forces sociales.