Cours 7 Flashcards

1
Q

Quelles sont les trois grandes conséquences de la médicalisation ?

A

La condition devient du domaine médical, individualisation et dépolitisation

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2
Q

Quelles sont les théories philosophiques classiques qui permettent de définir le concept de santé et de maladie ?

A

Naturalisme, normativisme et hydbride

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3
Q

Quel est l’objectif recherché par les Mad Studies et le princiepde neurodiversité ?

A

Elles visent à montrer que différence n’égal pas toujours disfonction et déficit et que ces individus ne sont pas inférieurs.

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4
Q

Les professions de soin exigent que les soignat-es posent des actes qui… (2)

A

Sont dans le meilleur intérêt des parient-es et vont respecter la dignité des patient-es

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5
Q

Pourquoi peut-on dire que les patient-es sont dans une situation de grande vulnérabilité ?

A

Parce qu’ils sont dépendants envers les soignants

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6
Q

Concernant le mdèle paternaliste, qui du médecin ou du patient prend les décisions en matière de traitements et de jugements moraux ?

A

Le médecin

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7
Q

Concernant le modèele paternaliste, est-il légitime de berner les patient.e.s si cela est fait en vue du meilleur intérêt des patient.e.s ?

A

Oui

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8
Q

Concernant le modèle paternaliste, pourquoi est-ce que le médecine prend toutes les décisions pour le patient ?

A

Le médecin est un expert soignant et possèede la connaissance du domaine médical. Le patient est ignorant, il ne peut pas prendre les décisions pour lui même.

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9
Q

Concernant le modèle paternaliste, comment est-ce qu’un médecin devrait traité un patient atteint de psychose ?

A

Les médecins doivent simplement décider ce qui est le meilleur traitement pour leur patient.e indépendamment des souhaits exprimés par ceux.celles-ci.

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10
Q

Concernant le modèle paternaliste, quelles sont les 5 raisons pour lesquelles ce modèle est rejeté ?

A

(1) Plusioeurs buts différents de la médecine peuvent entrer en conflit (éviter la mort et éviter la soufrance). (2) l’interprétation de ce qui est meilleur pour le.la patient.e peut donc diverger graandement d’un.e médecin à l’autre. (3) Dans les faits, différent.e.s patient.e.s ont différentes conceptions de leur meilleur intérêt (ex. patient avec des croyances religieuses fortes) (4) Donne trop de pouvoir au médecin sur des enjeux cruciaux de la vie du.de la patient.e (5) Ne respecte pas le principe d’autonomie/respect de la dignité des paitent.e.s.

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11
Q

Quelles sont les trois critères pour qu’un consentement soit valide ?

A

Libre, éclairé, donné par un sujet compétant

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12
Q

Qu’est-ce que le consentement libre et éclairé permet aux patients et qui va à l’encontre de l’idéal paternaliste ?

A

Cela donne le droit aux individus de prendre des décisions qui vont à l’encontre des perspectives des médecins. Cela leur permet également de prendre des décisions qui vont à l’encontre de ce que le sens commun jugerait comme leur meilleur intérêt.

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13
Q

Concernant le paternalisme, quelles actes font parties des dérogations au consentement libre et éclairé ? (2)

A

(1) Les situations d’urgences pour lesquels attendre d’obtenir le consentement entraînerait des conséquences possiblement dramatique. (2) Les actes triviaux

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14
Q

Quels sont les critères pour être considéré comme un sujet compétent.e ?

A

Être conscient, être en pleine possession de ses facultés cognitives et avoir au moins 14 ans.

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15
Q

Si le sujet est conscient, que doit-on faire pour s’assurer que le sujet est compétant ?

A

S’assurer qu’il comprend le contexte des soins ce qui comprend : la nature de la maladie pour laquelle un traitement lui est proposé, la nature et le but du traitement, les risques et avantages du traitement, les risques de ne pas subir le traitement, etc. Par ailleurs, sa capacité de comprendre ces éléments ne doit pas être affectée par sa maladie.

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16
Q

Qu’est-ce que le paternalisme tolérable ?

A

Principe basé sur les principes de bienfaisance et non malfaisance qui permet l’interférence avec les choix de la personne dans l’intérêt de cette personne dans les cas ouè la personne n’est pas compétente.

17
Q

Pourquoi est-ce que la compétence est un enjeu en ce qui concerne les maladies psychaitriques ?

A

Parce que l’autonomie de prendre ces décisions est un droit, mais les maladies psychiatriques sont souvent sujettes à rendre le sujet inconpétant. Il devient impossible de donner son consentement.

18
Q

Quel est un problème au concept de compétance qui ce retrouve surtout dans le cas des maladies psychiatriques ?

A

Il est difficile de juger de la compétence des individus étant donné que la compétence se mesure par degré (il y a des nuances).

19
Q

Dans quelle condition est-ce que le paternalisme tolérable peut s’appliquer ?

A

Lorsque le.la patient.e n’est pas compétant pour consentir de manière libre et éclairée.

20
Q

Est-ce qu’avoir un diagnostic de trouble mental enlèeve le droit au consentement libre et éclairé ?

A

Non

21
Q

Comment est-ce qu’un trouble mental peut retirer le droit au consentement libre et éclairé d’un individu ?

A

Il faut que le trouble affecte les capacités cognitives sur le moment présent.

22
Q

Qu’est-ce qui fait débat dans les soins de psychiatrie ?

A

La coercition de l’hospitalisation obligatoire, la médication forcée et la contention physique. (imposer une mesure contre la volonté de la personne)

23
Q

Quel est l’argumentaire des individus qui pensent qu’il n’y a pas de discrimination des individus atteints de maladies mentales par rapport à ceux.celles qui ont une maladie physique ?

A

Autonomie soutenue : pour soutenir à l’autonomie à long terme, il peut être nécessaire de l’entraver à court terme. Cependant, la coercition doit être employée en dernier recours, l’option la moins coercitive doit toujours être choisie, et elle doit toujours viser à rétablir les capacités autonopmes de la personne.

24
Q

Quel est l’argumentaire des individus quin pensent qu’il y a discrimination des individus atteints de maladies mentales par rapport à ceux.celles qui ont une maladie physique ?

A

On considère la présence d’abus pou retirer l’autonomie losrque les individus ont des diagnostic. Ainis, pour protéger ces individus, il faut toujours les laisser prendre des décision dans leur intérêt indépendament de leur capacité cognitive. Les écouter même s’ils sont dans un état irrationnel.

25
Q

Quel est le débat concernant le droit d’autrui de ne pas subir de préjudice/ne pas être mis en danger et le droit de refuser des soins psychiatriques ?

A

Le refus de soin peut amener à ce qu’un individusoit mis en danger ou subisse un préjudice de la part d’un individu ayant refusé des soins. On se domande donc si la détention préventive est légitime pour un individu qui refuserait des soins.

26
Q

Qu’est-ce que la discrimination dans un contexte de santé mentale ?

A

Si une personne A, qui présente un enjeu de santé mentale, et une personne B, qui ne présente pas d’enjeu de santé mentale, pose le même risque de préjudice aux autre, mais ne sont pas traités similairement, il y a discrimination.

27
Q

Qu’est-ce que le stigma ?

A

La stigmatisation s’inscrit dans un processus qui comprend l’étiqutage, les stéréotypes, le pouvoir, la perte de statut, la discrimination et les jugements normatifs de déviances.

28
Q

Quels sont les impacts de la stigmatisation à l’égard des troubles mentaux ? (2)

A

Les attitudes stigmatisantes à l’égard des troubles mentaux ont indéniablement exagéré notre perception des perosnnes avec des agents de santé m,entale comme étant incapable de rationalité ou d’autonomie.

Leur crédibilité en matière de soins de snaté est affecté.