Cours 6 : l'encodage Flashcards
Concernant le contenu de la MLT :
Que contient-elle ?
Vrai ou faux, il est possible de contrôler entièrement le contenu de la MLT ?
Comment appelle-on le fait de former des souvenirs sans effort ?
Concernant l’encodage :
Processus qui permet de placer certaines informations dans la _______
Vrai ou faux, la MLT est un système de mémoires qui fonctionne selon différents modes de représentations de la réalité ?
Vrai ou faux, la MLT est composée de plusieurs mémoires distinctes ?
- La biographie d’un individu, ses expériences personnelles et son encyclopédie personnelle
- Mémoire des mots, leur sens et leur loi (règles d’orthographe et de la grammaire) (vocabulaire)
- La mémoire des activités motrices (comment on fait les choses) (ex : sports)
- Des images mentales
Faux, impossible
Apprentissage sans intention (Incident)
MLT
Vrai
Vrai
Quelles sont les composantes mnémoniques de la MLT ?
Concernant la mémoire procédurale :
Qu’est-ce que c’est ?
Elle est ______ et porte sur des habiletés ________ - _______ et ________
Vrai ou faux, elle requiert de la théorie pour se développer ?
Comment l’individu peut-il vérifier le contenu de cette mémoire ?
Vrai ou faux, cet aspect est très étudié en psychologie cognitive ?
- Mémoire procédurales (activité)
- Mémoire propositionnelle (ou déclarative)
*Sémantique (mots)
*Épisodique (expériences) - Imagerie mentale
Connaissance sur la façon de faire des activités (comment ?)
Implicite, perceptivo-motrices et cognitives
Faux de la pratique
En produisant l’action
Faux
Concernant la mémoire propositionnelle (déclarative) :
Qu’est-ce que c’est ?
En quels deux systèmes est elle divisée ?
Comment sont-ils reliés ?
Dans la mémoire sémantique :
Contient l’information nécessaire è l’utilisation du ______
Vrai ou faux, le contenu de cette mémoire est concret et relationnel ?
Le contenu de cette mémoire est indépendant de toute ______ à l’individu
Que permet cette mémoire ?
Dans la mémoire épisodique :
Réservoir de souvenir d’évènements et d’expériences ______
En fonction de quoi ces souvenirs sont organisés ?
Vrai ou faux, c’est une mémoire autobiographique ?
Donne deux exemples de choses que cette mémoire permet de répondre.
Dans l’imagerie mentale :
Représentation de concepts ______ sous la forme d’images mentales
Est-il possible de faire une image mentale d’une couleur qui n’existe pas ?
Connaissance d’un individu sur les faits, les choses, les êtres (quoi ?)
Mémoire sémantique (mots) et mémoire épisodique (expériences)
Les deux systèmes sont reliés, car pour expliquer la mémoire épisodique il faut les mots et évoquer le contenu de la mémoire sémantique il faut mon expérience avec les mots
Langage
Faux, abstrait et relationnel
Référence
Établir des relations entre les mots
Personnelles
En fonction de leurs relations temporelles et contextuelles avec d’autres évènements
Vrai
o De répondre à : as-tu rencontré Julie samedi ?(temporel et contextuel)
o De donner la liste des joueurs d’une équipe (connaissances d’apprentissage d’une liste)
Concrets
Non
Concernant ls composantes de la MLT :
Sont fonctionnellement _______. Contiennent des représentations différentes de la même _____. Sont ________.
Concernant la définition de l’encodage :
Qu’est-ce que c’est ?
De quoi dépend la profondeur des traces mnésiques ?
Qu’est-ce qu’une trace mnésique ?
Vrai ou faux, plus une trace es riche, moins bon est le souvenir ?
Concernant l’intentionnalité et l’encodage :
Est-ce que l’encodage est toujours intentionnel ?
Vrai ou faux, il faut étudier l’encodage indépendamment de l’intention de mémoriser ?
Distinctes, réalité et interreliés
Processus actif qui transforme un évènement (ou un fait) en une trace mnésique (mnémonique).
Dépend de la nature du traitement cognitif intentionnel ou non
Un ensemble de caractéristiques d’un fait
Faux, meilleur il est
L’encodage n’est pas toujours intentionnel (la majeure partie du contenu de la MLT provient d’apprentissages incidents)
Vrai
Concernant les apprentissages incidents :
Que sont-ils ?
Comment on les étudie dans un laboratoire ?
Résume l’expérience de Hyde et Jenkins à ce sujet.
Quels sont les résultats de l’expérience ?
Réalisés sans intention de mémorisation
Dans les laboratoires, on place les participants dans des tâches d’orientation (avec matériel verbal) sans savoir que la mémoire sera testée
Tâches de rappel libre d’apprentissages intentionnels et incidents.
* Groupe intentionnel : mémoriser 24 mots entendus
* Groupes incidents : tâche d’orientation sans intention de mémorisation
o Groupe 1 : compter les lettres des mots
o Groupe 2 : identifier les lettres E rencontrées dans les mots
o Groupe 3 : classer les mots en 2 catégories
Sans tâche de mémorisation, le groupe 3 retient autant de mots que le groupe intentionnel. L’intention de mémoriser n’a pas d’effet direct sur la mémorisation. La mise en mémoire de la MTL dépend donc d’activités cognitives autres que la simple intention de retenir.
Concernant les tâches d’orientation :
Sur quels deux aspects portent-ils ?
Dans un contexte d’apprentissage incident, le traitement sémantique est plus ______.
Quels sont les trois choses qu’on comprend à partir des tâches d’orientation ?
- Structure des mots (compter les lettres ou identifier la présence de E)
- Sémantique des mots (classer les mots selon une analyse subjective)
Efficace
- Former des traces mnésiques en MLT ne requiert pas nécessairement de stratégies intentionnelles de mémorisation
- Les tâches d’orientation de type sémantique produisent un niveau de rappel égal à la mémorisation volontaire (trace mnésique profonde)
- Les tâches d’orientation de type structural produisent un apprentissage incident inférieur à la mémoire intentionnelle (trace mnésique en surface)
Concernant les niveaux de traitement :
À quoi correspond un niveau superficiel ?
À quoi correspond un niveau profond ?
C’est donc la _____ et non la _____ de traitement qui détermine la rétention.
Concernant la profondeur de traiter vs temps d’étude :
Qu’est-ce qui est mesuré ?
À quelle analyse est associé la tâche suivante :
« Le mot est-il en majuscule ? »
« Le mot va-t-il dans la phrase suivante ? »
Puis la personne doit réaliser un test de __________
Quels sont les résultats de l’expérience ?
La profondeur de l’analyse augmente le ______ de ______ et augmente la proportion de bonnes ________
Niveau structural (analyse des caractéristique physiques)
Niveau sémantique (ex : extraction du sens)
Qualité et quantité
Mesure du temps de réaction (durée du traitement cognitif) à un mot présenté initialement dans une tâche d’orientation après avoir posé une question
Analyse structurale
Analyse sémantique
Reconnaissance
- La proportion de réponses correctes augmente en fonction de la profondeur d’analyse. (un codage sémantique produit une mémorisation 4 fois supérieurs è un encodage structural).
- Un encodage sémantique prend 200 ms de plus qu’un encodage structural
- C’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée
Temps, réaction et réponses
Concernant la profondeur de traitement :
Quels sont les trois processus à utiliser pour augmenter la profondeur de traitement ?
Concernant l’encodage par élaboration :
De quoi l’élaboration est-elle le résultat ?
Vrai ou faux, pour élaborer, il faut que le matériel ait une valeur sémantique. L’analyse sémantique produit une trace élaborée sur le mot analysé est compatible avec le contexte d’encodage créé par la phrase présentée au participant ?
Que créé un encodage élaborée ?
Par quels deux éléments la profondeur est-elle définie ?
Vrai ou faux, le rappel est meilleur si l’information à encoder fournit un contexte qui permet l’élaboration ?
- Encodage élaboré (enrichissement des traces mnésiques)
- Encodages distinctif (rendre différent)
- Encodage organisé (créer des groupes)
De l’association entre l’item traité dans la MCT et le contenu de la MLT
D’une mise en relation de l’item avec le contexte (MS) d’encodage
Vrai
Un trace profonde et enrichie
- Par rapport au traitement de l’item isolé (sémantique = plus profond)
- Par rapport à sa relation avec les autres informations disponibles (le contexte)
Vrai
Concernant la profondeur de traitement :
Concernant l’encodage distinctif :
Vrai ou faux, à un niveau superficiel, l’encodage produit une trace mnésique peu distinctive (PE, focaliser sur la lettre « e ») ?
L’encodage distinctif est réalisé sur du matériel de valeur _______ (profond)
Que permet l’encodage distinctif ?
En bref, on distingue les mémoires les unes des autres en les rendent _________
Concernant l’encodage et la reconnaissance de visages :
Résume l’expérience.
Quels sont les résultats ?
Vrai
Sémantique
Permet de préciser l’encodage, de réduire les confusion et de faciliter la récupération
Particulières
Expérience : Les participants regardent des photos de visages humains dans une procédure de mémorisation incidente.
* Condition 1 : juger de l’honnêteté des visages (sémantique)
* Condition 2 : identifier le sexe (structurales)
Il est mieux de poser un jugement sur la personne (analyse sémantique) et donc mieux s’en rappeler.
Par contre, les visages auraient pu être mieux mémorisés en fonction de leurs aspects structuraux plutôt que de leurs aspects de « personnalité »
Concernant la profondeur de traitement :
Concernant l’organisation et l’encodage :
Vrai ou faux, le principe de l’organisation est diamétralement opposé à celui de l’élaboration et de la distinction ?
Que produit l’organisation par rapport à l’élaborait et la distinction ?
Quels sont les 4 types d’organisation et la meilleur ?
Concernant l’efficacité de l’organisation :
Résume l’expérience de Bower avec un diagramme de mots.
Quels sont les résultats ?
Concernant l’efficacité d’autres types d’organisation :
Il est aussi possible d’apprendre avec facilité des organisation où les relation entre les mots sont ______, _______ ou _______
Vrai
Un encodage relationnel, comparé à des traces individuelles
- Hiérarchique (plus puissant)
- Perceptuelles (analyse des caractéristiques, ex : taille des objets)
- Fonctionnelle (analyse du rôle, ex : ustensiles pour manger)
- Conceptuelle (analyse catégorielle ou par association, ex : outils, meubles, pain/beurre)
2 groupes de participants :
* Groupe 1 : information organisée hiérarchiquement
* Groupe 2 : information présentée aléatoirement
Les participants observent les arbres durant 4 minutes et doivent rappeler les mots en 4 essais.
Résultats de l’expérience :
* Groupe organisé : performance parfaite aux essais 3 et 4 (112 mots)
* Groupe aléatoire : seulement ¼ à ½ des mots rappelées en fonction du nombre d’essais
L’organisation hiérarchique est donc importante pour mémoriser efficacement un contenu.
Associatives, perceptives ou fonctionnelles
Concernant l’organisation subjective :
Vrai ou faux, le fait que le matériel soit organisé démontre que la mémoire l’est ?
Le Tableau 6.1 est une liste de mots à apprendre et de rappel libre (animaux, outils et métier).
Nous remarquons une utilisation d’une organisation subjective _______ indépendant des références ________ et des structures ______
Vrai ou faux, l’organisation subjective facilite la rétention ?
Concernant l’organisation du matériel vs encodage distinctif :
Quels sont les 2 processus actifs dans l’encodage ?
Le traitement _________ produit un encodage spécifique et une trace distinctive très efficace pour reconnaître un item (plus récupérable).
La reconnaissance d’un item dépend d’un encodage _______
* Le _______ profite des deux : encodage relationnel (organisation) et d’un encodage distinctif (sémantique, profond)
Faux
Autodéterminée, externes, imposées
Vrai
- Distinction : différence entre les items à retenir
- Organisation : similarité entre les items à retenir
Traitement sémantique, reconnaissance, rappel
Concernant l’encodage et l’autorépétition :
Quels sont les 2 types d’autorépétition dans la BA ?
Quel sont les effets du type 1 et du type 2 sur la MCT ?
Vrai ou faux, le type 1 permet de procéder à la reconnaissance ?
- Type 1 : autorépétition de maintien au cours du traitement de l’information en MCT, donc à court terme.
- Type 2 : autorépétition élaborative pour former des traces mnésiques relativement permanente en MLT, donc à plus long terme. Elle ne se produit pas dans la MLT, mais permet d’y accéder. (ex : apprendre un nouveau code postal)
Type 1 : trace faible sur la MLT
Type 2 : trace plus forte sur la MLT
Faux, au rappel