Cours 6 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la théorie de la désinhibition

A

Explication selon laquelle l’alcool a un effet dépresseur sélectif sur le cortex frontal, qui contrôle la prise de décision, tout en épargnant les régions sous-corticales, impliquées dans les comportements plus instinctifs comme le désir.
* « Trop ivre pour savoir ce qu’il/elle faisait »

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2
Q

Quelles sont les limites de la théorie de la désinhibition?

A

le comportement sous l’influence de l’alcool diffère souvent avec le contexte. il y a des environnements où la consommation d’alcool est liée au contraire à une augmentation de la performance, des personnes qui font preuve d’une attitude sociale correcte lorsqu’elles consomment de l’alcool chez elles peuvent perdre toute notion de la correction et devenir agressives lorsqu’elles se mettent à boire dans un bar… donc les comportements sous l’influence de l’alcool sont appris, le comportement appris est spécifique d’une culture, d’un groupe et de l’usage :normalisation de certaines violences sexuelles (boys will be boys)

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3
Q

Théorie de la myopie alcoolique

A

Correspond à une tendance qu’ont les gens ayant consommé de l’alcool à répondre à une série limitée de signaux immédiats et saillants, alors que les signaux plus lointains et les conséquences potentielles d’actes qui s’y rapportent sont ignorés.
* Les signaux rapprochés et saillants sont les signaux très forts et évidents qui sont pour ainsi dire à « portée de main »
* Cela explique les nombreuses erreurs de jugement qui conduisent à des comportements à risque, notamment l’agression, le viol, ou encore la conduite imprudente sous l’emprise de l’alcool.
- importance du contexte culturel, si le comportement est normalisé par l’entourage, ça augmente les risques de faire le comportement…

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4
Q

SAF : approche multidimensionnelle

A

Les effets les plus importants sont observables dans le premier trimestre, car très peu de personnes sont au courant qu’elles sont enceintes. (mais aujourd’hui on se rend compte que BCP de gens boivent au premier trimestre sans que le bébé développe le SAF). Syndrome qui est multidimensionnel où l’alcool joue un rôle mais aussi d’autres facteurs socio-économiques, donc est-ce que c’est une consommation précédant le grossesse? Combiné avec une dénutrition (réduction de l’appétit quand boit alcool)? D’autres phénomènes? D’autres conditions de santé? Le SAF peut aussi causer des problèmes neurodéveloppementaux, et a une corrélation importantes sur différentes échelles cognitives : impulsivité, agressivité. Dans les études, on va essayer de contrôler le facteur statut socio-économique dans des études pour en prendre note et enlever la variance associée. Sauf qu’en faisant cela, on ne regarde plus le lien entre le statut socio-économique et la consommation d’alcool…

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5
Q

Approche palliative vs approche multidimensionnelle

A

palliative : gérer les conséquences, une fois que c’est fait, c’est fait.
multidimensionnelle : stimulation environnementale TÔT dans le dév. pourrait éliminer certains effets, on aurait plus de contrôle que ce qu’on pense. Interventions aussi qui impliquent les parents et l’enfant, enrichissement de l’ilot familial au complet.

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6
Q

Approche multidimensionnelle : expérience rats

A

1 groupe alcool + activité physique
1 groupe alcool + pas d’activité physique
1 groupe témoin + activité physique
1 groupe témoin + pas d’activité physique
période avec bcp de myélinisation
Mesures motrices, cognitives, comportementales
L’activité physique diminuait les impacts sur la myélinisation du groupe alcoolc

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7
Q

effet amphetamine et cocaine sur le neurone

A

les 2 : bloque la recapture de dopamine
amphetamine seulement : stimule la libération de dopamine

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8
Q

effet chlorpromazine sur le neurone

A

occupe le récepteur D2 à la dopamine, bloque l’activation de ce récepteur

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9
Q

Qu’est-ce que le chlropromazine

A

Une des premiers antipsychotiques

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10
Q

Nouvelle approche TDAH

A

Approche multidimensionnelle. Maintenant, de plus en plus d’approches non-pharmacologiques en combinaison (ou pas) avec la médication
visent l’environnement familial et scolaire en plus de la personne
Autonomie + les bons outils réduiraient l’effet du TDAH.

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11
Q

Thérapie non-pharmaco contre le TDAH (3 sortes)

A

Behaviorale : interventions parentales, des professeurs, cognitivo-comportementale chez les patients
Mode de vie et régime : augmenter activité physique, changement au régime alimentaire (pas beaucoup de preuves)
Psychoeducation : éduquer patients et familles sur le TDAH, sessions de groupe, sessions privées

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12
Q

“le stress et la dépression sont des conséquences du TDAH” vrai ou faux

A

pas nécessairement vrai, car un enfant qui TDAH le sait, se rend compte de son inadéquation, ce qui peut causer stress, anxiété… c’est multi-factoriel et n’est pas relié directement au TDAH… cercle vicieux du tdah – effet comportemental, appréciation ou dépreciation sociale… effet sur le tdah… effet sur le comportement… dans le même ordre d’idée, la médication, modifie le comportement, ce qui affecte l’appréciation sociale, ce qui diminue le stress… MODIFIER L’ENVIRONNEMENT AU LIEU DE LA PERSONNE

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13
Q

Qu’est-ce qui permettrait à l’antidép d’être PLUS efficace ?

A

Un environnement de thérapie riche serait comme une période critique où la plasticité augmenterait et plus grande sensibilité à l’environnement

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14
Q

que sont les IMAO

A

Les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) sont une classe d’antidépresseurs plus anciens qui agissent en inhibant l’activité de l’enzyme monoamine oxydase, responsable de la dégradation de certains neurotransmetteurs tels que la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine. Bien qu’ils puissent être efficaces dans le traitement de la dépression, les IMAO peuvent avoir plusieurs effets indésirables et nécessitent une surveillance étroite en raison de leurs interactions potentiellement dangereuses avec certains aliments et médicaments.

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15
Q

que sont les ISRS

A

Les ISRS sont des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, une classe de médicaments largement prescrits pour traiter la dépression, les troubles anxieux, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les troubles de stress post-traumatique (TSPT), et d’autres conditions psychiatriques. Ils agissent en augmentant les niveaux de sérotonine dans le cerveau en inhibant sa recapture dans les synapses, ce qui prolonge et amplifie les effets de la sérotonine.

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16
Q

que sont les 5 principaux symptômes de la dépression

A

tristesse/culpabilité
anhedonie
retard psychomoteur ou agitation
pensées suicidaires
fatigue

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17
Q

quels sont les domaines affectés par la dépression (5)

A

libido et sommeil
impulsivité
activité motrice
sensibilité à la récompense
salience négative

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18
Q

Facteurs environnementaux de la dépression

A

stress, trauma, dynamique interpersonnelles

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19
Q

Quels sont les facteurs épigénétiques de la dépression (5)

A

Neurotransmetteurs (sérotonine, noradrénaline, dopamine, glutamate)
Connectivité altérée au PFC limbique
Neuroplasticité réduite
Inflammation
hyperactivité axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (réponse au stress, équilibre hormonal) stimulé de manière excessive et produit une réponse prolongée au stress

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20
Q

Que conclure du graphique sur les scores de dépression selon le temps?

A

l’ajout d’un traitement complémentaire, soit la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) ou un médicament antidépresseur, peut améliorer les résultats pour les patients souffrant de trouble dépressif majeur qui n’ont pas atteint la rémission avec une monothérapie initiale. l’ordre dans lequel la TCC et les médicaments antidépresseurs sont ajoutés ne semble pas avoir d’impact significatif sur les résultats à court et à long terme. des niveaux élevés d’anxiété peuvent prédire des résultats moins favorables, soulignant ainsi l’importance de la prise en compte des comorbidités et des facteurs de risque dans le processus de traitement.

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21
Q

Quelle était la méthodologie de l’expérience sur le traitement de la dépression?

A

Des adultes non traités auparavant pour un trouble dépressif majeur, qui ont été assignés de manière aléatoire pour recevoir de l’escitalopram, de la duloxétine ou une monothérapie par TCC et qui ont terminé 12 semaines de traitement sans atteindre la rémission, ont suivi 12 semaines de traitement combiné supplémentaires. Pour les patients qui n’ont pas atteint la rémission avec la TCC, de l’escitalopram a été ajouté (groupe TCC plus médicament) à leur traitement, et pour ceux qui n’ont pas atteint la rémission avec un antidépresseur, la TCC a été ajoutée (groupe médicament plus TCC) à leur traitement.

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22
Q

quels sont les symptômes de sevrage des antidépresseurs?

A

Symptômes s’apparentant à ceux de la grippe : fatigue, maux de tête, sueurs, douleurs physiques
Perturbation du sommeil : cauchemars, insomnie
Problèmes gastriques : nausées, vomissements, diarrhée
Instabilité : étourdissements, vertiges
Problèmes sensoriels : engourdissements, picotements, sensations de choc électrique au cerveau, dans les bras et dans les jambes
Symptômes psychologiques : irritabilité, anxiété, attaque de panique, crise de larmes, peur irrationnelle, confusion, pensées suicidaires
Autres : akathisie, troubles de la vision (embrouillée, stroboscopique), palpitations, acouphènes, tremblements

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23
Q

Qu’est-ce qu’on retient de l’article sur le sevrage?

A
  • les symptômes sont tellement incroyables qu’on dirait un problème de santé mentale
  • il y a des changements dans le milieu, avant on croyait qu’en deux semaines c’est fini et les médecins disaient que c’était juste la dépression et l’anxiété qui revenait, maintenant on sait qu’il faut prendre vraiment des précautions dans la prescription mais aussi dans l’arrêt du traitement
  • de plus en plus de gens prennent des antidépresseurs
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24
Q

Psilocybine comme traitement : qu’est-ce qu’on sait?

A

C’est une thérapie ponctuelle cad que c’est de concert avec d’autres thérapies et les doses sont minimes
Effets observés : + densité épines dendritiques déjà après 1 mois, améliore les comportements reliés au stress, promouvoit la neurotransmission excitatrice

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25
Q

Quelles sont les 4 grandes dimensions de l’abus de substance?

A

Manque de contrôle : périodes longues, quantités importantes, réduction infructueuse, temps excessif passé à obtenir, utiliser et récupérer, envies intenses qui dominent les pensées
Altération sociale : impact négatif sur le travail, l’école, la famille et les obligations sociales, utilisation malgré problèmes interpersonnels, abandon/réduction des activités en raison de l’utilisation
Utilisation risquée : utilisation répétée dans des situations physiquement dangereuses, malgré la conscience des dommages physiques et psychologiques
Indicateurs pharmacologiques : tolérance, sevrage

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26
Q

wanting vs liking

A

Dans de nombreux cas d’abus de substances, le “vouloir” peut rester intense même lorsque le “aimer” diminue. Cela signifie que les individus peuvent continuer à chercher et à consommer une substance, même si elle ne leur procure plus le même plaisir qu’auparavant. Cette dissociation entre le désir de consommer une substance et le plaisir qu’elle procure peut contribuer au développement de la dépendance et de comportements compulsifs liés à l’abus de substances. Au fil de la consommation, la personne cherche plus à éviter les effets de sevrage que le plaisir

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27
Q

Brain disease model of addiction, ce qu’il dit :

A

excès et intoxication – sevrage et effet négatif – preoccupation et anticipation — boucle infinie
influences : réponse à la drogue (neuroadaptation, épigénétique) et stress et récompense

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28
Q

qu’est-ce que la partie binge et intoxication dans le brain disease model of addiction

A

Sentiment d’euphorie, se sentir bien, s’échapper de l’état de mal-être

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29
Q

Qu’est-ce que la partie sevrage et effets négaitfs dans le brain disease model of addiction

A

pas d’énergie, pas d’excitement, se sentir depressed, anxieux, fatigué

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30
Q

qu’est-ce que la partie préoccupation et anticipation dans le brain disease model of addiction

A

avoir hate au prochain moment de consommation, désirer la substance, obseder et planifier d’en acheter

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31
Q

quels sont les changements comportementaux reliés à l’abus de substance selon le brain disease model of addiction

A

passage de volontaire à impulsif.
volontaire : abstinence ou contrôle de la consommation
middle stage : en prendre parfois alors qu’on avait pas prévu, parfois avoir de la misère à arrêter, en prendre plus que prévu
impulsif : relapse, consommation compulsive

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32
Q

Quelle partie du cerveau est reliée au sevrage et aux effets négatifs de l’abus de substance selon le brain disease model of addiction?

A

Amygdale et noyau basal de stria terminalis

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33
Q

Quelle partie du cerveau est reliée à l’excès et l’intoxication dans le brain disease model of addiction?

A

Thalamus, globus pallidus, striatum dorsal et ventral

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34
Q

Quelle partie du cerveau est reliée à la préoccupation et l’anticipation dans le brain disease model of addiction?

A

cortex orbitofrontal, hippocampe, cortex cingulaire antérieur

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35
Q

Quels sont quelques facteurs de risque pour l’abus de substance?

A

Statut socioéconomique
stress
génétique
expériences

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36
Q

Critique du brain disease model of addiction. exemple animal

A

ils font un peu comme si c’était un cercle vicieux dont on ne peut s’échapper, ne tient pas compte vraiment de la possibilité de consommer régulièrement sans développer de trouble et ne tient pas compte de l’environnement. exemple du rat qui pèse pour avoir une substance : on a oversimplifié l’environnement en mettant l’animal sel avec la substance, on a aussi simplifié l’effet et les autres facteurs. la substance a un effet dans un contexte (peu de choix, manque de contrôle, le fait d’avoir un choix ou non)

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37
Q

Expériences dans l’enfance et % accro au substances

A

suggère un seuil de 5 évènements néfastes qui entraîne un risque accru. cependant, si 5 néfastes arrivent, ça indique aussi qu’il y a probablement d’autres facteurs dans l’environnement… famille, pauvreté…
stress chronique entraînerait aussi un effet, est-ce que 5 évènements pourraient causer un stress chronique?
épidémiologique : non seulement augmenterait le risque de développer un TUS mais aussi un facteur de maintien

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38
Q

qu’est-ce que le livre dit sur la différence hommes et femmes sur l’abus de substance? et qu’est-ce qu’on sait réellement sur les hormones gonades?

A

Que l’escalation de la dose est plus rapide chez les femmes et l’effet du trouble aussi est amplifié
ce qu’on sait : grande quantité d’estrogène augmenterait l’effet des psychostimulants alors que la progéstérone diminuerait l’effet des psychostimulants. les hommes comme les femmes ont de l’oestrogène mais les patrons des récepteurs varient
biais scientifique : pourquoi toujours séparer fondamentalement hommes et femmes? les expériences de vies selon le genre sont tellement différentes pourquoi ne pas se fier la dessus

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39
Q

Émotions selon Paul Ekman

A

réponses automatiques et universelles à des stimuli internes ou externes. Il a identifié six émotions de base, universelles et innées, qui sont présentes dans toutes les cultures humaines : la joie, la tristesse, la colère, la peur, le dégoût et la surprise.
Ekman a développé une théorie appelée la théorie des émotions de base, qui suggère que ces émotions fondamentales sont associées à des expressions faciales distinctes et universelles, qui peuvent être reconnues par les gens du monde entier, quelle que soit leur culture. Selon Ekman, ces expressions faciales sont innées et ne nécessitent pas d’apprentissage culturel pour être comprises. Serait biaisé car il allait dans des endroits reculés oui mais il décrivait les catégories aux communautés, subjectif car comment on fait pour mesurer l’universalité dans une population éloignée sinon…

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40
Q

Que sont les émotions? Est-ce que les animaux ont des émotions?

A

La définition change selon qui l’étudie. Les émotions peuvent être définies comme des états subjectifs d’esprit qui sont souvent accompagnés de changements physiologiques et de comportements expressifs. Elles peuvent aussi être définies comme des agents de motivation. difficile à dire, car impossible de demander à un animal. mais si on considère que les émotions sont source de motivation, alors oui on en a tous. Exemple la peur : c’est une réponse à une menace potentielle, l’expérience de cette émotion engendre des actions qui vont motiver l’organisme à se mouvoir, dans ce contexte là tout le monde a des émotions

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41
Q

Émotion vs humeur

A

Humeur = plus long terme
État émotif = selon chaque moment

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42
Q

peut-on considérer motivation et émotion ensemble?

A

les deux sont avant tout des états affectifs, subjectifs avec des degrés de complexité varié. On peut être motivé pour agir avec un haut degré d’abstraction, exemple motivé à manger un hamburger. Mêmes chose pour les émotions. On considére les deux avec la douleur comme étant la science de l’affect : champ qui est trans-disciplinaire qui inclus beaucoup de biologie, de maths et de stats. On peut considérer les émotions comme un FACTEUR motivationnel. on peut les comprendre ou les articuler comme étant conscients ou inconscients, très débattu car beaucoup de gens maintiennent qu’il faut y avoir un état conscient pour avoir des émotions, d’autres disent qu’on peut avoir des émotions implicites qui motivent notre comportement. Au moment où on définit les émotions comme inconscientes, il devient très difficile de les séparer de motivations. Exemple de la douleur : la douleur : lorsqu’on expérimente de la douleur ça crée un état subjectif qui est associé à une expérience inconfortable qui peut donc par exemple motiver le retrait de la main sur le poêle (exemple intense)

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43
Q

Qu’est-ce que la persévérance d’un point de vue plaisir-désir?

A

associée à la différence entre plaisir et désir. le plaisir peut être décalé (récompense non-immédiate)

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44
Q

Physical-social pain overlap :

A

Nos structures sous-corticales associées au niveau physiologique de base sont aussi liés à des phénomènes sociaux. Les preuves observationnelles ont mis en évidence des similitudes entre la douleur physique et la “douleur sociale” - les sentiments douloureux associés à un dommage réel ou potentiel aux liens sociaux. Ainsi, les expériences de rejet social ou de perte sont souvent décrites avec des mots de douleur physique (“sentiments blessés” et “cœur brisé”), et tant la douleur physique que la douleur sociale sont des expériences hautement nocives.

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45
Q

Les expériences d’exclusion sociales activent principalement quoi?

A

La recherche en neuroimagerie a démontré que les expériences d’exclusion sociale activent principalement le cortex cingulaire antérieur dorsal (dACC) et l’insula antérieure (AI) - des régions connues pour jouer un rôle dans l’expérience pénible de la douleur physique.

46
Q

Quelle est un exemple de conséquence en lien avec le chevauchement de la douleur physique et sociale?

A

le Tylenol (paracétamol ; Johnson and Johnson), qui est connu pour réduire la douleur physique, peut également réduire la douleur sociale.

47
Q

la recherche de _____ est la motivation de base du ________

A

stimulations
mouvement

48
Q

Qu’est-ce que l’obésité hypothalamique?

A

L’obésité hypothalamique est une forme spécifique d’obésité qui est associée à des anomalies dans le fonctionnement de l’hypothalamus, une région du cerveau qui joue un rôle clé dans la régulation du poids corporel et de l’appétit. Les individus atteints d’obésité hypothalamique ont souvent des difficultés à réguler leur poids et leur appétit, ce qui peut entraîner un gain de poids excessif.

49
Q

ÉPITHÉLIUM OLFACTIF VOIR LIVRE

A

????

50
Q

Phéromones définition

A

signaux biochimiques sécrétés par un animal qui agissent comme des signaux chimiques et sont susceptibles d’affecter la physiologie ou le comportement d’un autre animal. signaux olfactifs particuliers parce qu’elles sont détectées par l’organe voméronasal (connecté à l’amygdala et l’hypothalamus)

51
Q

Qu’est-ce que l’androstadienone

A

Structure : C’est un stéroïde dérivé de la testostérone.
Effets : Elle est souvent associée à des réactions émotionnelles et sociales, telles que l’augmentation de l’attention, de l’humeur positive et de l’attraction sexuelle chez les femmes.
Fonction : Elle est pensée pour jouer un rôle dans les interactions sociales et les relations interpersonnelles.

52
Q

Qu’est-ce que l’androstenone?

A

Structure : C’est également un stéroïde dérivé de la testostérone, mais sa structure est différente de celle de l’androstadiénone.
Effets : Elle peut avoir une odeur forte et désagréable pour certaines personnes, tandis que d’autres la trouvent agréable. Son effet peut varier selon les individus.
Fonction : On pense qu’elle joue un rôle dans la communication chimique entre les individus, mais ses effets exacts et son rôle dans le comportement humain font encore l’objet de recherches.

53
Q

Expérience agression et adrostadienone

A

Nous avons spécifiquement distingué deux types d’agression, à savoir l’agression proactive et réactive. Deux cent six participants masculins et féminins ont reçu soit de l’androstadiénone, soit un transporteur de contrôle, dans un dispositif à double insu, contrôlé par placebo, entre-groupes. Les participants ont réalisé deux tâches d’agression, l’une sur l’agression réactive et l’autre sur l’agression proactive, tandis qu’ils étaient exposés aux stimuli olfactifs. Les résultats ont révélé que chez les hommes, sentir l’androstadiénone réduisait à la fois l’agression réactive et proactive, tandis qu’il augmentait l’agression réactive chez les femmes. Ces effets étaient présents malgré le fait que les stimuli olfactifs n’étaient pas explicitement discriminables. Ces résultats fournissent des preuves directes que l’androstadiénone module l’agression humaine de manière sexospécifique.

54
Q

que sont l’agression proactive et réactive ?

A

proactive : L’agression proactive est prévue et utilisée pour atteindre un objectif spécifique, tel que dominer une situation, obtenir un avantage ou défendre ses intérêts personnels.
réactive : L’agression réactive est une réponse à une menace perçue ou à une provocation, souvent dans le but de se défendre ou de protéger ses intérêts personnels.

55
Q

À quoi est associé la modification du comportement chez les souris dans l’expérience sur la douleur?

A

phéromones de l’homme spécifique à la présence du chandail, cause une augmentation du stress, donc augmentation du cortisol (analgésique) donc douleur diminue

56
Q

Qu’est-ce que l’obésité hypothalamique?

A

L’hypothalamus joue un rôle crucial dans la régulation de la faim, de la satiété, du métabolisme et du stockage des graisses. Si cette région du cerveau est dysfonctionnelle, cela peut perturber ces processus régulateurs et conduire à une prise de poids excessive.Les personnes atteintes d’obésité hypothalamique peuvent présenter une prise de poids rapide et sévère dès le plus jeune âge. Elles peuvent avoir des difficultés à perdre du poids malgré les efforts pour suivre un régime alimentaire et un mode de vie sains. De plus, d’autres symptômes liés à des dysfonctionnements hypothalamiques, tels que des anomalies de la croissance ou des troubles endocriniens, peuvent être présents.

57
Q

Quels sont les facteurs associés à l’obésité hypothalamique? (8)

A
  • jeune âge
  • haut IMC
  • invasion tumorale
  • retrait du tissu environnant pendant la résection
  • anormalités endocrines
  • tumeurs et chirurgies récurrentes
  • grosseur de la tumeur
  • prédisposition
58
Q

Quels sont les deux types de tumeurs qui peuvent causer l’obésité hypothalamique?

A

Craniopharyngiome : plus rare. près de l’hypothal et de la glande pituitaire
Adénome hypophysaire : plus commun. se forme dans la glande pituitaire

59
Q

Comment voyage l’info olfactive?

A

Fibres se terminant par des cils dans la muqueuse olfactive
Récepteurs aux molécules odorantes de l’épithélium olfactif (surface réceptrice de l’olfaction) (petit chez l’humain)
axones des C réceptrices se terminent dans glomérules dans le bulbe olfactif
synapses avec C mitrales
Vers le cortex piriforme et entorhinal
Vers le thalamus et le COF et l’hypothalamus
DONC olfaction régule comportements émotionnels, sociaux et alimentaires car connexion presque directe avec l’hypothalamus et COF

60
Q

Comment avec un nombre limité de récepteurs pouvont nous identifier de si nombreuses odeurs?

A

Une substance odorante stimule un ensemble particulier de récepteurs et c’est l’activité de l’ensemble de ces récepteurs qui produit notre perception d’une odeur singulière

61
Q

Que sont les phéromones?

A

signaux biochimiques sécrétés par un animal qui agissent comme des signaux chimiques et sont susceptibles d’affecter la physiologie ou le comportement d’un autre animal. signaux olfactifs particuliers parce qu’elles sont détectées par l’organe voméronasal (connecté à l’amygdala et l’hypothalamus)

62
Q

Pourquoi les phéromones sont des signaux olfactifs particuliers?

A

Ils sont détectées par un système spécifique de récepteurs olfactifs, l’organe voméronasal. un petit groupe de récepteurs sensoriels reliés par un conduit aux fosses nasales. Principalement connecté à l,amygdale et à l’hypothalamus, comportement de reproduction et intereactions sociales. Participe surtout à l’analyse des phéromones.

63
Q

Est-ce qu’on a le libre arbitre?

A

Exemple de Roger : mange de la colle, mange des fleurs… – tumeur avait envahi l’hypothalamus, il avait donc tout le temps faim. ses appétits et préférences alimentaires ne dépendent pas de son libre arbitre… c’est sont SN qui est responsable de son comportement. autre exemple : les chats qui chassent alors qu’ils n’en ont pas BESOIN. Circuit cérébral actif de tuer des proies est gratifiant

64
Q

Comportement et maintien d’un niveau de stimulation cérébrale

A

expérience sans stimulation : le cerveau en cherche vraiment
singes font tout en leur pouvoir pour ouvrir la porte et regarder l’autre côté quand mis dans une pièce sans lumière

65
Q

Que sont les supertasters

A

Personnes qui sont capables de détecter des quantités infimes de PROP (produit chimique amer particulier) et trouvent le goût de l’aliment extrêmement amer. Inconvénient : ils ne consomment pas bcp de fruits et légumes, pcq ils les trouvent trop amers. Ont aussi le plus de papilles gustatives. Ainsi la détection de l’amertume est liée à la fois au gène TAS2R38 et à l’anatomie de la langue.

66
Q

Que sont les non-tasters

A

ne perçoivent pas du tout le PROP (produit chimique amer particulier).

67
Q

Qu’est-ce qu’un MIL (3 exemples)

A

mécanisme hypothétique qui permet de détecter des stimuli sensoriels spécifiques et ordonne à un organisme de prendre une mesure particulière. exemple du chat : mécanisme intrinsèque qui déclenche le comportement de chasse et de mise à mort en réponse à un stimulus tel que la présence d’un oiseau. même chose pour le mécanisme d’accouplement. expérience avec des jeunes chatons qui se sentaient menacés par l’image d’un chat adulte qui n’était pas leur mère alors qu’ils n’ont été qu’en présence d’elle. expérience des bébés qui de façon innées font correspondre ces expressions faciales à des profils internes qui déclenchent un programme précâblé qui leur permet de reproduire les expressions sur leur propre visage. valeur adaptative car signaux sociaux importants.
Bébés souffrant d’une cécité visuelle congénitale produisent spontanément les mêmes expressions faciales que les personnes voyantes même s’il ne les ont jamais vues.

68
Q

MIL et vision darwinienne de l’évolution :

A

sélection naturelle favorise les comportements qui s’avèrent adaptatifs. chats sauvages qui sont capables de traquer leurs proies ou de réagir avec fermeté aux menaces ont plus de chances de survivre et de donner naissance à des bébés à qui ils transmettent ces circuits neuronaux. psychologues évolutionnistes disent la même chose des comportements comme l’homicide : quand deux hommes se battent en duel, ils se battent pour le maintient d’un statut. les hommes qui ont gagné ont transmis leurs gènes aux générations futures. au fil du temps, les traits associés à la force, à l’agressivité et à l’agilité se sont donc renforcés chez les humains, tout comme la propension à se battre.

69
Q

les nourrissons et les enfants craignent-ils vraiment les serpents et les araignées?

A
  • réponse physiologique mais pas d’évitement : hésitation observée est plutôt un comportement de curiosité, d’exploration, d’évaluation
  • les parents disent que leurs enfants ont peur
70
Q

Que font les psychologues évolutionnistes?

A

Ils formulent des hypothèses qui donnent à penser sur la façon dont la sélection naturelle A PU façonner le cerveau et le comportement. L’opérationnalisation de l’hypothèse évolutive sans falsification reconnaît que la science évolutive repose souvent sur des preuves indirectes ou sur des modèles probabilistes plutôt que sur des preuves définitives. Elle vise à fournir des données empiriques qui soutiennent ou infirment les prédictions découlant de l’hypothèse, tout en reconnaissant les limites inhérentes à la complexité des processus évolutifs et comportementaux.

71
Q

Critique de la psy évolutionniste

A

essaie toujours de pousser les variations entre les hommes et les femmes, s’en préoccupe trop

72
Q

Ratings by sex using entire international sampe, critique :

A

ils sur-estiment la valeur des données qu’ils veulent surestimer… au final les réponses sont très très semblables mais dans le bas de la file oui ça change un peu

73
Q

Qu’est-ce qu’un renforcement

A

tout évènement renforçant le comportement qui précède sa venue
association de stimuli à des renforçateurs

74
Q

Comportement complexes et adaptations évolutives

A

un pigeon peut apprendre pour de la nourriture, mais pas pour éviter un choc. Le cerveau n’est pas câblé pour ça. Sens adaptatif, car naturellement, un pigeon s’envole lorsqu’il est soumis à des situations nocives. Autre exemple : apprendre à des coyotes à ne pas manger d’agneaux avec de l’aversion gustative apprise

75
Q

Qu’est-ce qu’un mécanisme homéostasique?

A

Processus qui maintient les fonctions corporelles critiques à l’intérieur d’une plage étroite et fixe

76
Q

Décris le modèle de l’entonnoir

A

Système limbique + lobes frontaux — hypothalamus — circuits du tronc cérébral — comportement motivé

77
Q

Vrai ou faux, tous les comportements passent par l’entonnoir de l’hypothalamus

A

Faux, ce sont surtout les comportements motivés qui nécessitent l’implication de l’hypothalamus

78
Q

Quels sont les rôles de l’hypothalamus

A

Maintient de l’homéostasie en agissant sur le système endocrinien et le SNV pour réguler notre environnement interne. Influence sur la sélection des comportements par le reste du cerveau, notamment le système limbique. Contrôle une étonnante variété de comportements motivés, allant de la fréquence cardiaque au comportement alimentaire et à l’activité sexuelle

79
Q

4 étapes , 2 voies, hypothalamus

A
  1. les hormones sont sécrétées “en haut” et envoyées aux terminaisons axonales de la neurohypophyse, lobe postérieur de l’hypophyse
  2. Les hormones libérées par les terminaisons axonales de la neurohypophyse sont captées par les capillaires et transportées dans la circulation sanguine
  3. Les hormones de libération sont synthésisées “en haut” et déversées dans les capillaires qui les transportent vers l’adénohypophyse, lobe antérieur de l’hypophyse.
  4. Les hormones de libération quittent ensuite les capillaires et agissent sur les cellules de l’adénohypophyse qui sécrètent les hormones
80
Q

Principales hormones produites par l’hypophyse antérieure (6)

A

ACTH
TSH
FSH
LH
Prolactine
GH

81
Q

Qu’est-ce que l’ACTH

A

Hormone adrenocorticotrophique
contrôle les sécretions du cortex surrénalien

82
Q

Qu’est-ce que la TSH

A

hormone thyreostimulante
contrôle les secretions de la glande thyroide

83
Q

Qu’est-ce que la FSH

A

Hormone folliculostimulante
contrôle les sécretions gonades

84
Q

Qu’est-ce que la LH

A

Hormone luteinisante
ccontrôle les secretions des gonades

85
Q

Qu’est-ce que la prolactine

A

contrôle les secretions des glandes mammairese

86
Q

Qu’est-ce que l’hormone de croissance

A

favorise la croissance dans tout le corps

87
Q

Trois facteurs contrôlant l’activité hormonale hypothalamique :

A
  • boucles de rétroaction (contrôle la quantité d’hormone libérée, récepteurs qui détectent taux d’hormones)
  • contrôle nerveux (d’autres régions du cerveau, ex. système limbique influencent la libération d’hormones, ex. la vue d’un bébé peut +++, l’anxiété peut — l’ocytocine)
  • réponses empiriques (l’expérience peut modifier la structure et la fonction des neurones hypothalamiques, ex. ç productrices d’ocytocines augmentent lorsqu’une femme allaite)
88
Q

De quoi est composé la région latérale de l’hypothalamus?

A

noyaux et voies nerveuses qui traversent le cerveau, relie le tronc cérébral inférieur au cerveau antérieur. le faisceau principal est le faisceau médian du télencéphale

89
Q

Qu’est-ce que le FMT

A

Voie qui relie les structures du tronc cérébral à diverses régions du système limbique
forme les projections activatrices qui vont du tronc cérébral aux noyaux gris centraux et au cortex frontal
les fibres dopaminergiques du FMT contribuent au contrôle de nombreux comportements motivé (comportements sexuels, alimentaires, dépendance, impulsivité)

90
Q

Preuve expérimentale de l’implication de l’hypothalamus dans la genèse du comportement

A

Stimulation électrique de différents noyaux dans l’hypothalamus produira des comportements dirigés vers un but, comme manger, boire, creuser

91
Q

Quelles sont les différentes parties dans l’organisation du circuit limbique

A

CPF
CSA
CCING
THAL. ANT.
AMYGD
FORM. HIPP.
NOY. MAMM
HYPOTHAL

92
Q

Qu’est-ce que la valence

A

évaluation subjective de quelque chose en termes de son attractivité ou de son aversion, de sa positivité ou de sa négativité. En d’autres termes, la valence représente la qualité émotionnelle ou affective associée à un stimulus, un événement, une expérience ou une idée.

92
Q

Qu’est-ce que l’amygdale

A

Ensemble de noyaux en forme d’amande dans le système limbique
* Joue un rôle dans les comportements émotionnels et spécifiques de l’espèce.
* Reçoit des informations de tous les systèmes sensoriels.
* De nombreux neurones répondent à plus d’une modalité sensorielle (multimodal).
* Établit des contacts synaptiques principalement avec l’hypothalamus et le tronc cérébral
* Intimement lié au fonctionnement des lobes frontaux.

93
Q

Exemples d’impacts de l’amygdale

A
  • patient épileptique , lorsque l’amygdale est stimulée électriquement avant la chirurgie du cerveau, la personne devient craintive et anxieuse, comme si quelque chose de grave allait arriver
  • stimulation peut également inciter à la consommation de nourriture et d’alcool, homme qui buvait de l’eau chaque fois que la stimulation était activée alors qu’il n’avait pas soif
  • lésion de l’amygdale – Roger et son mangeage de fleurs
94
Q

rôles de l’amygdale (6)

A

Saillance
mémoire émotionnelle
réponse motrice (approche, évitement, réponse autonome)
apprentissage récompense
“awareness”, enhanced sensory response
social cognition (visages, voix (expression), langage corporel, évitement, sociabilité, groupes sociaux, confiance/méfiance, normes morales)

95
Q

Cortex préfrontal :

A

participe à la sélection des séquences motrices nécessaires à l’élaboration d’un mouvement particulier
contrôle la sélection des mouvements en fonction du moment et du contexte (peut être déterminée par infos internes, mémoire, émotions ou réponse au contexte) ex. on agit différement avec nos amis qu’avec notre famille, ton de voix, contenu des discussions

96
Q

Qui communique avec le CPF? (4)

A

Amygdale
Thalamus dorsomédian
Cortex senso associatif
Aire tegmentale ventrale (dopamine)

97
Q

Avec qui communique le CPF?

A

Hypothal
Cortex prémoteur
NGC
CCING
Cortex pariétal postérieur

98
Q

Par quel système est contrôlé la digestion

A

SNE

99
Q

Comment se nomme l’endroit où les aliments passent entre la cavité buccale et l’estomac

A

oesophage

100
Q

Qu’est-ce qui décompose les aliments en particules plus petite?

A

Acide Chlorydrique

101
Q

Qu’est-ce qui décompose les protéines en acides aminés

A

Pepsine (enzyme digestive)

102
Q

Où vont les aliments partiellement digérés?

A

à travers le duodénum jusqu’à la partie supérieure de l’intestin grêle où les ensymes produites dans la vésicule billiaire et le pancréas décomposent davantage les aliments, permettant au sang d’absorber les acides aminés, les graisses et les sucres simples

103
Q

Que fait le gros intestin

A

Absorbe la majeure partie de l’eau et des électrolytes qui restent dans les aliments

104
Q

Quels impacts ont les effets de lésions à l’hypothalamus latéral et HVM

A

Hypothalamus latéral dit de manger
HVM dit d’arrêter de manger (rat dont le HVM a été lésé est devenu obèse morbide)
changement de le niveau d’hormones, surtout l’insuline
réactivité sensorielle (modifications du goût et de l’attractivité des aliments
niveaux de glucose et de lipides dans le sang
taux métabolique (vitesse à laquelle le corps utilise l’énergie)

105
Q

Lésion amygdale

A

Modifie préférences alimentaires, abolissent l’apprentissage de l’aversion gustative (Roger)

106
Q

Lésion COF

A

le COF reçoit les infos du bulbe olfactif : lésion diminue la motivation à s’alimenter (diminution des réponses sensorielles aux odeurs et aux saveurs)

107
Q

Qu’est-ce que l’anticipation alimentaire?

A

dans le groupe des grands repas, les scores de faim de la routine constante ont augmenté avant les heures de repas prédites. Ces données soutiennent l’existence de l’anticipation alimentaire humaine.

108
Q

Quel était le premier indice de la présence d’un système de récompense?

A

découverte que les rats étaient capables d’apprendre à appuyer sur une barre pour s’administrer une brève décharge de courant électrique à des endroits précis. appelé “autostimulation intracérébrale” s’arrêtent seulement quand ils sont épuisés, alors que ce comportement n’a aucune valeur de survie.. pourquoi? car la stimulation cérébrale active le système à l’origine de la récompense.

109
Q

Quels endroits sont particulièrement efficace pour l’autostimulation?

A

FMT (active les voies dopaminergiques situés au niveau du mésencéphale dans l’ATV) et Hypothal latéral