Cours 5 - Identité et réseau social Flashcards

1
Q

qu’est-ce que le réseau social (2 définitions)

A
  1. ) En sciences humaines et sociales : Réfère à un agencement de liens entre des individus et/ou des organisations, constituant un groupement qui a un sens (ex : la famille, les collègues de travail, un groupe d’amis, un groupe communautaire, une équipe sportive, etc.). Les liens doivent avoir un sens pour la personne.
  2. ) Dans les médias sociaux numérique : Réfère aux différentes activités qui intègrent technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d’individus, et à la création de contenu
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2
Q

quels sont les deux types de réseau sociales ?

A

réseau potentiel (quantitatif)

et réseau réel (qualitatif)

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3
Q

expliquer la théorie du nombre de dunbar.

A

Nombre maximum de personnes que quelqu’un connaît et avec qui il entretient un contact social stable. Il n’inclut pas le nombre de personnes que quelqu’un connaît personnellement mais avec qui la relation sociale est rompue, ni les vagues connaissances sans relation sociale persistante. Ces personnes doivent avoir certaines caractéristiques.

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4
Q

quels sont les caracteristiques nécessaire au groupe de dunbar ?

A
  • On peut les reconnaître
  • Il faut la connaître assez pour savoir comment elle agit en général, on peut anticiper ces réactions, etc.
  • Une personne avec qui on a des contacts sociaux stable (au moins une fois par année)
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5
Q

qu’est-ce que l’effet du petit monde et la théorie des 6 poignées de mains?

A

Hypothèse selon laquelle la longueur de la chaîne des connaissances sociales requise pour lier une personne arbitrairement choisie à n’importe quelle autre personne sur Terre est généralement courte. Selon Karinthy, tout le monde sur terre est relié par 6 chaînons

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6
Q

Karinthy vient à la conclusion que tout le monde est relié par 6 chainons mais Milgram réfute, pourquoi?

A

Milgram remet une lettre à 60 personnes. Ils doivent la remettre à quelqu’un qui ne connaissent pas en passant par quelqu’un qu’ils connaissent. Combien de remises de main à main ça prenait pour que ça passe de A à B. Il faudrait plutôt penser en termes d’affinité.

Ex : dans la communauté artistique. Il existe donc plusieurs petits mondes.

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7
Q

sur quoi repose la valeur accordée au réseau social?

A

La valeur accordée à un réseau repose à la fois (1) sur une évaluation des membres individuels, des liens entre ces membres et (2) du réseau en tant qu’unité.

Mais, avant tout, il faut qu’un ensemble de personnes soit considéré comme un réseau. Ceci réfère à la perception d’entitativité.

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8
Q

qu’est-ce que l’entitativité ?

A

Degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle, une unité cohérente. Une entité qui a un sens pour nous.

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9
Q

La perception d’entativité dépend de l’évaluation de différentes classes de facteurs, nommez et décrivez les.

A
  • Les particularités chroniques du percevant (la personne a des crts qui va faire en sorte qu’elle ne va pas évaluer un groupe de la même façon qu’une autre personne)
  • Les facteurs contextuels
  • Les propriétés du groupe
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10
Q

expliquer l’interdépendance dans l’entativité

A

Degré auquel les membres du groupe dépendent les uns des autres pour atteindre leurs buts ou résultats.

lien fort

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11
Q

expliquer l’importance dans l’entativité

A

Degré auquel le groupe est important pour ses membres.

lien fort

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12
Q

expliquer la taille dans l’entativité

A

Nombre de personnes qui sont membres du groupe.

lien faible

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13
Q

expliquer la durée dans l’entativité

A

Temps pendant lequel les personnes continuent à constituer un ensemble groupaL.

lien fort

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14
Q

expliquer la perméabilité dans l’entativité

A

Degré auquel il est facile de joindre ou de quitter le groupe.

lien faible

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15
Q

expliquer la similarité dans l’entativité

A

Degré auquel les membres du groupe partagent des attributs les uns avec les autres.

Lien fort

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16
Q

expliquer la structure dans l’entativité

A

Degré auquel le groupe a développé descaractéristiques spécifiques (telles que les rôles, les statuts et les normes).

lien très fort

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17
Q

expliquer la cohésion dans l’entativité

A

Degré auquel les membres du groupe se sentent liés les uns aux autres et liés au groupe.

lien très fort.

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18
Q

qu’est-ce qu’un groupe intime ?

A

Ex : famille, amis qui font des activités ensembles ; gang de rue locale;voisins qui se côtoient ; colocataires.

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19
Q

qu’est-ce qu’un groupe de tache?

A

Ex : équipe sportive ; groupe de musique rock ; orchestre ; troupe de théâtre ; groupe de soutien ; club social de personnes aînées ; comité d’étudiants ; syndicat de travailleurs ; jury ; équipage d’un avion.

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20
Q

vrai ou faux, les groupes intimes et de taches ont tous des Entativité élevée, des membres qui s’identifient les uns aux autres et plus d’interactions interpersonnelles ?

A

vrai

-Entativité élevée + membres qui s’identifient les uns aux autres + plus d’interactions interpersonnelles

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21
Q

qu’est-ce qu’une catégorie sociale ?

A

Ex : femmes, étudiants universitaires ; Montréalais ; médecins québécois ; Juifs.

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22
Q

qu’est ce qu’un ensemble de lien ?

A

Ex : file de personnes qui attendent à l’arrêt d’autobus ; spectateurs à un concert ; vacanciers à la plage ; patients dans une salle d’attente, etc.

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23
Q

vrai ou faux, les ensembles de lien et les catégories sociales ont Entativité faible ou moyenne, un attachement symbolique et un phénomène de dépersonnalisation

A

vrai.

*Perception d’entativité du groupe (cohérence, sens)
–>
Augmente notre sentiment d’appartenance
–>
Identification (on s’identifie aux gens du groupe)
–>
Auto catégorisation

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24
Q

quels sont les différences entres l’insertion sociale, l’intégration sociale et l’assimilation sociale ?

A

Insertion sociale : inclusion d’un individu dans un réseau social. L’individu demeure différent des autres membres du groupe. Groupe d’activité p.ex. yoga. Possibilité d’entrer et de sortir.

Intégration sociale : incorporation d’un individu dans un réseau social. L’individu conserve ses particularités, mais il accepte les normes et croyances du groupe de façon à constituer un tout. Ça demande une plus grande flexibilité (le fait de s’adapter). Autant la personne doit s’adapter au groupe, pour y rester intégré, autant le groupe doit être flexible et s’adapter à cette personne qui est différente. Être ensemble tout en étant différents.

Assimilation sociale : accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même réseau social. L’individu ne se distingue pas des autres membres de son groupe (dépersonnalisation). Tout le monde devient pareil.

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25
Q

qu’est-ce que la cohésion?

A

Caractère d’un réseau dont les membres sont liés les uns aux autres et sont liés au groupe.

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26
Q

vrai ou faux : Plus la cohésion est faible, plus les membres éprouvent un sentiment d’appartenance au groupe, plus ils s’identifient à lui et plus ils en sont dépendants.

A

•Plus la cohésion est grande, plus les membres éprouvent un sentiment d’appartenance au groupe, plus ils s’identifient à lui et plus ils en sont dépendants.

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27
Q

vrai ou faux: Plus l’interdépendance est forte, plus les points de vue dans le groupe tendent vers l’homogénéité, et plus sont sanctionnés les écarts et les déviations.

A

vrai

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28
Q

est-ce que la cohésion favorise la conformité au groupe?

A

oui. Elle favorise aussi
- la perception stéréotypique
- La différenciation intergroupe
- L’ethnocentrisme

29
Q

quels sont les 3 différents types d’attraction sociales? Expliquez les.

A
  • Attraction personnelle : on est attiré envers quelqu’un, mais ce n’est pas nécessairement réciproque. Quelqu’un nous intéresse/attire. Ex : groupe de musique
  • Attraction interpersonnelle : équipe de travail/collaboration
  • Attraction sociale : Je veux faire partie de ce réseau/groupe parce que j’aime ses qualités.
30
Q

Est-ce que les 3 différents construits d’attractions sociales sont indépendants? (peuvent-ils se produire en meme temps ou sont-ils exclusifs?

A

Ces construits sont indépendants, mais ils peuvent se produire en même temps dans un groupe.
L’attitude positive entre les membres du groupe produit l’attraction sociale.
L’attraction sociale favorise la cohésion.

31
Q

vrai ou faux: plus on s’identifie au groupe, moins on veut en faire partie?

A

faux. Plus on s’identifie au groupe, plus on veut en faire partie.

Les gens qui font partie d’un groupe qu’ils considèrent comme ayant un statut élevé ont plus tendance à :
•Penser que le statut du groupe est légitime parce qu’il est lié à des caractéristiques internes des membres
•Penser que les groupes sont faiblement perméables
•Affirmer qu’ils ne changeront pas de groupe

32
Q

quand est-ce que la cohésion des membres du groupes est-il révélée?

A

-Seulement lorsque le contexte est saillant.

Les individus peuvent être différents dans la vie de tous les jours. Mais quand ils se comparent dans un contexte précis, ils peuvent relever des ressemblances, ce qui favorise l’attraction, puis la cohésion.

33
Q

est-ce que le contexte peut influencer la comparaison et la cohésion du groupe?

A

oui, quand le contexte intergroupe change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi.

De même, quand le contexte intragroupe change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi.

34
Q

définie l’exclusion sociale

A

le verbe exclure signifie de ne pas laisser entrer, ne pas admettre, chasser, tenir à l’écart. L’exclusion représente une condition dans laquelle un individu se trouve coupé de son réseau social.

  • La notion d’exclusion suppose l’existence de déterminants et de processus à la fois internes et externes. La personne vit sa situation en fonction de pressions objectives et subjectives.
  • La vulnérabilité d’une personne peut la mener à l’exclusion; et l’exclusion de la personne peut mener à la vulnérabilité

L’exclusion est vécue comme un traitement injuste.
La personne qui est exclue peut vraiment être exclue (objectif), mais ça peut être imaginé aussi (subjectif). En s’éloignant des autres, on devient vulnérable.

35
Q

qu’est-ce que la stigmatisation sociale?

A

-Le verbe stigmatiser désigne l’action de dévaloriser, de blâmer avec dureté et publiquement. La stigmatisation implique un attribut qui jette un discrédit profond sur un individu l’amenant à ne pas être considéré comme ordinaire et sain, mais comme impur et vicié.

36
Q

comment pouvons nous lutter contre l’exclusion?

A

en voyant comment les ressources externes dont dispose la personne s’articule avec ses ressources internes.

37
Q

il y a plusieurs niveaux avec lesquelles un individu peut lutter contre l’exclusion nommez les 4 niveaux

A

Indivuel, sociale primaire, communautaire, et collectif.

38
Q

expliquer le niveau individuel de la lutte contre l’exclusion et que signifie amamnèse ?

A
  • Prendre en compte l’état biologique, psychologique et social de la personne. (aide à comprendre les causes de son exclusion)
  • Voir si la personne peut lutter efficacement contre l’exclusion dont elle est victime.
  • Voir quel est l’effet de l’aide qu’elle reçoit ou qu’elle peut recevoir (certaines personnes ne veulent pas, ne s’impliquent ou ne participant pas)

*** Amamnèse : faire un portrait des ressources dont la personne dispose. Ex : elle chante super bien, on pourrait lui proposer de s’inscrire dans une chorale, etc. aussi sur le côté externe, est-ce qu’il y a des ressources?

39
Q

expliquer le niveau social primaire de la lutte contre l’exclusion

A

• Importance des personnes significatives
• Les réseaux primaires (famille et amis) bénéfique que s’il répond aux besoins et aux attentes de la personne confrontée à une situation aversive particulière.
• Dans certains cas, le soutien social, au lieu d’être bénéfique, tend à provoquer une accentuation du stress et des réactions agressives.
Il faut convaincre la personne que ce n’est pas une défaite de demander de l’aide.

40
Q

expliquer le niveau communautaire de la lutte contre l’exclusion

A

3- Niveau communautaire
• Les politiques publiques mises en place tentent de rapprocher les personnes exclues des droits ‘’ordinaires’’ dont elles ont été éloignées.

41
Q

expliquer le niveau collectif de la lutte contre l’exclusion

A

• Nous ne pouvons pas analyser l’exclusion sociale si nous ne prenons pas en compte simultanément la dynamique des attributions stigmatisantes fondées sur le racisme, le sexisme, l’homophobie, la gérontophobie, la xénophobie, etc.

42
Q

expliquer le modèle écologique et ses 7 composantes

ontosystème, microsystème, mésosystème, exosystème, macrosystème, technosystème, chronosystème.

A

Ontosystème (Niveau individuel et techno système)
C’est l’individu. Âge, sexe, bagage génétique, connaissances, capacités, déficits, attitude, valeurs, personnalité, tempérament, intérêt, etc.

Microsystème (Niveau social primaire et niveau communautaire)
C’est le système qui entretient une relation immédiate avec l’individu. Famille, garderie, groupe d’amis, école, etc.

Méso système(Niveau social primaire et niveau communautaire)
C’est le système qui est constitué de tous les microsystèmes. Il permet d’assurer une cohérence dans le contexte de vie de l’individu.

Exo système(Niveau collectif)
C’est le système des forces extérieures ayant des répercussions sur le microsystème : règlements, programmes éducatifs, situations financières, etc.

Macro système(Niveau collectif)
C’est le système des forces éloignées qui ont des influences subtiles et à long terme sur le microsystème : valeurs, culture, religion, idéologies politiques, etc.

Techno système
C’est le système des nouvelles technologies utilisées par l’individu : téléphone, radio, télévision, ordinateur, internet, médias sociaux, etc.

Chrono système
C’est le système des transitions vécues par l’individu tout au long de sa vie et qui tient compte de l’époque et du contexte historique.

43
Q

qu’est-ce que la stigmatisation sociale ?

A

Il s’agit de dénigrement et non seulement d’isolement.
La stigmatisation se manifeste par la discrimination d’une partie de la population par un groupe dominant.
Terme global qui comprend trois facettes essentielles :
1. Les méconnaissances (on ne connait pas assez l’autre groupe)
2. Les attitudes négatives (préjugés)
3. Les comportements discriminatoires (ce groupe est traité différemment)

44
Q

à quels niveaux la stigmatisation sociale peut-elle se faire?

A
  • La population
  • Les institutions
  • L’individu
45
Q

qu’est-ce que la privation de pouvoir social?

A

Plus les personnes sont mises à l’écart et moins ils ont la chance de participer et de donner leur opinion pour faire avancer les choses, etc.

46
Q

quels sont les 5 manières de lutter contre la stigmatisation

A
  1. Lutter contre l’étiquetage : ce n’est pas d’ignorer les caractéristiques de la personne, mais plutôt de les nommer d’une manière plus respectueuse. Les caractéristiques sont là et elles vont rester là.
  2. Lutter contre les stéréotypes : surtout le fait qu’on dit que ces gens là ont plus de défauts. Parler des caractéristiques positives, faire beaucoup de sensibilisation. Ce qui saute aux yeux, c’est le négatif.
  3. Lutter contre la déshumanisation : Sensibilisation
  4. Promouvoir la catégorisation croisée ou multiple : étudiant noir VS étudiant blanc = des étudiants, font des études, lisent beaucoup, etc. Se concentrer sur les choses qui se ressemblent.
  5. Mettre en place des groupes de pression et insérer les personnes stigmatisées dans la communauté : Fait plus référence à la perte de pouvoir social. Les gens stigmatisés, on doit les inciter à s’inclure dans les décisions et les groupes, etc.
47
Q

qu’est ce que l’autostigmatisation?

A

Certaines personnes stigmatisées peuvent acquiescer aux stéréotypes qui les stigmatisent. C’est ce qu’on appelle l’autostigmatisation

48
Q

qu’est ce que l’identité stigmatisée dissimulée.

A

Certaines personnes préfèrent garder une partie de leur identité cachée aux autres, afin d’éviter les préjugés et la discrimination (qu’elle acquiesce ou non aux stéréotypes véhiculés par les autres).

49
Q

quels sont les effets négatifs possibles de l’autostigmatisation?

A

faible estime de soi, faible confiance en soi, anxiété, dépression, problèmes de sommeil, insatisfaction dans la vie, difficulté à travailler ou à poursuivre des études, difficulté à faire face aux tracas quotidiens, etc.

Certaines personnes sont, au contraire, énergisées par la révolte envers le préjudice subi et remplies par une colère justifiée.

50
Q

dans l’étude de quinn et chaudoir, on postule qu’il y a 5 variables qui peuvent influencer la détresse psychologique ainsi que la santé mentale dams l’identité stigmatisée dissimulée, nommez et décrivez les.

A
  • Stigma anticipé : Degré avec lequel la personne pense que les autres vont la stigmatiser si elle leur révèle la caractéristique de son identité qu’elle cache.
  • Centralité : Degré avec lequel la personne pense que cette caractéristique de son identité la définit.
  • Saillance : Degré avec lequel la personne pense à cette caracté- ristique de son identité.
  • Stigma culturel : Degré de dévaluation sociale de cette caractéristique.
  • Détresse psychologique : Symptômes dépressifs et anxieux.
  • Santé physique : Symptômes et malaises physiques communs.
51
Q

qu’est ce que parler de soi peut apporter comme bienfait?

A
Parler de soi nous permet de...
 Nous connaître nous-mêmes.
 Prendre conscience de nos ressemblances avec les autres.  Prendre conscience de nos différences avec les autres.
 Se faire connaître par l’autre.
 Créer des liens avec l’autre.
52
Q

se connaitre et prendre la perspective de l’autre permet de communiquer clairement, mais communiquer clairement dépend de 3 variables (représentation de mon identité par moi, représentation de mon identité par l’autre et la rétroaction.) expliquer cette théorie

A

se connaitre : il faut avoir un idée claire de ce qu’on aime et n’aime pas afin de bien communiquer

en s’observant soi même et en faisant de l’introspection sont les méthodes pour se connaitre

prendre la perspective de l’autre: adapter son discours au niveau de l’autre personne
sur ses connaissances et son intellect.

représentation de mon identité par moi : vient clarifier cmt je me vois
et ca permet de clarifer mes idées et mes gouts

retroaction: rétroaction: la personne nous
manifeste qu’elle comprend ou
pas ce qu’on dit

53
Q

quels sont les 3 stratégies qui aident à définir notre propre identité?

A
  1. ) Se voir à travers l’autre.
  2. ) Se distancier de l’autre.
  3. ) Reconnaître sa position dans le réseau.
54
Q

qu’est ce que la stratégie de se voir à travers l’autre exige&

A
  • de s’engager dans l’interaction avec l’autre
  • de communiquer clairement ses idées;
  • que l’autre soit attentif au message et aux divers signaux; que l’autre réponde au message et aux signaux
55
Q

qu’est ce que la stratégie de se distancer de l’autre exige?

A
  • en contrastant ses propos de ceux de l’autre;
  • en adoptant une attitude différente de l’autre;
  • en critiquant l’autre;
  • en cessant sa relation avec l’autre
56
Q

qu’est ce que la stratégie de reconnaitre sa position dans le réseau exige?

A

L’individu non seulement reconnaît sa place dans le réseau, mais il définit aussi son identité selon ses rôles dans le réseau, hors du réseau et par rapport aux autres membres du réseau.

-on a différents roles dans la vie de tous les jours et quand on exprime nos roles, sa fait partie de nous, alors parler de nos roles nous informes sur nous.

57
Q

définie le soutien à l’identité sociale

A

Degré auquel une personne croit qu’une autre personne comprend, accepte et fournit un soutien pour les identités sociales qu’elle valorise.

58
Q

qu’est ce qui favorise le développement et le maintient d’une amitié forte et à long terme? et quels sont les explications proposées pour expliquer cela.

A

Le fait de recevoir du soutien à l’identité sociale favorise le développement et le maintien d’une amitié forte (meilleurs amis) à long terme. Mais cela ne prédit pas si des personnes auront un lien de simple amitié à long terme.
 Explications proposées :
• favorise l’intimité, la confiance et l’engagement;
• norme de réciprocité;
• maintien des contacts malgré la distance géographique.

59
Q

dans les médias sociaux, à travers quel contexte notre identité se développe t-il?

A

à travers nos communications

60
Q

quels sont les deux particuliarité des réseaux sociaux dans les réseaux numériques

A

leur espace et leurs temporalité.
:qd je rencontre qlq’un et que je la rencontre 2 ans plus tard, je peux avoir changer mais d’un point de vu numérique, elle restent là. cela peut continuer à nous influencer plusieurs années plus tards.

61
Q

quels facteurs jouent une plus grande influence sur nous, les réseaux sociaux ou les réseaux d’amis?

A

réseaux sociaux. En tant que membre d’un réseau social numérique, nous nous positionnons par rapport aux autres.
-Les réseaux sociaux numériques nous permettent également de présenter aux autres ce qui nous distingue et nous rend unique.

62
Q

pourquoi se construire un identité numérique?

A

1.) Pouvoir s’exprimer librement –>Le Moi se construit par un processus de socialisation qui le fonde (ce qui est acceptable socialement) et le limite (ce qui est inacceptable socialement).
2.) Échapper à la déception de ne pas atteindre le soi idéal –> La construction d’une identité numérique vise alors à combler le vide qu’expérimente la personne entre son Soi idéal et son Soi perçu.
•Du même coup ,au lieu de se référer aux autres,la personne cherche son identité en elle-même.
3.) obtenir la reconnaissance des autres : Cettereconnaissanceestbaséesurlapropositiond’une « personne idéale ».

63
Q

qu’est-ce que autrui généralisé?

A

consiste en l’intériorisation des connaissances à propos des différents rôles joués par chacun dans une interaction sociale.
•Lors de la construction de son Moi, la personne peut choisir les rôles qu’elle va jouer que parmi le « stock de rôles » que son groupe d’appartenance socioculturel lui propose.

• Or, le réseau social numérique permet à la personne de s’exprimer plus librement et de montrer ce qu’elle veut, sans subir le jugement direct d’autrui.

64
Q

quels sont les conséquences possibles de l’identité numérique?

A

 Enfermement virtuel.
 Dépression.
 Enfermement réticulaire.  Ouverture identitaire.

65
Q

qu’est-ce que l’enfermement virtuel

A

enfermement virtuelle : en lien avec diapo 49
elle arrete de se référé aux autres et arreteras de dév son moi.
le moi est important pour avoir une bonne image sociale (image de nous)

66
Q

qu’est ce que l’enfermement réticulaire?

A

identification trop forte à un réseau.
pas de « je ». quand une personne s’identifie trop a un réseau,
elle perd de son unicité.

67
Q

qu’est-ce que la dépression découlante de l’identité numérique ?

A

dépression découlant de l’anxiété.
qu’est ce que les autres vont penser de moi ?
la personne veut trop bien se présenter ce qui amène une pression sociale —> anxiété —> dépression

68
Q

qu’est-ce que l’ouverture identitaire dans l’identité numérique ?

A

permet à certaines personnes de pouvoir s’exprimer librement.
vivre dans une famille très stricte, on peut alors voir un autre monde
à travers les réseaux sociaux.