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ExamenIntra 2 > COURS 5- Agressions sexuelles > Flashcards

COURS 5- Agressions sexuelles Flashcards

1
Q

Les théories de l’agression sexuelle :

A
  • Les théories biologiques comprenant :
  • Théorie génétique
    *Théorie Endocriniens
    *Théorie neurologique

-Les théories psychanalytiques
comprenant :
*Les traumatismes psycho/affectifs
*La victimisation sexuelle

-Les théories comportementales comprenant :
*Conditionnement classique (répondant)
*Conditionnement opérant
*L’apprentissage par observation

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2
Q

Théorie génétique :

A

-Gène de l’agresseur sexuelle (pas vrai) :
-Le gène peut faire en sorte qu’ils sont + impulsif
-Mais pas de lien direct avec le fait de commettre des agressions sexuelles.
-Théorie peu utile

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3
Q

Théorie Endocriniens :

A

-Hormones (comme testostérone) + élevé que la moyenne.

-Souvent quand agressions sexuelles répétitives.

-Traitement possible qui va neutralise la sécrétion d’hormone, canalise les actions non-appropriées

-Souvent quand les agresseurs = pu surveiller, ils arrêtent med, car veulent ravoir le plaisir de quand il avait trop d’hormone

-Explique uniquement une minime partie des A.S

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4
Q

Théorie neurologique :

A

-Lésions lombes frontaux, affecte une partie qui filtre nos pulsions/impulsivité/mécanisme de contrôle

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5
Q

Les traumatismes psycho/affectifs :

A

Ex : déplacement de la colère envers sa mère d’un jeune envers les femmes en général
-(Pulsions agressive va devenir + forte que pulsions sexuelle)

-On ne peut pas prouver le lien direct

-Pas science exacte : La plupart des études proviennent d’auto-révélation basé sur des questionnaires, sans savoir si ce sont des informations véridiques qui nous sont données.

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6
Q

La victimisation sexuelle :

A

-Quelqu’un qui a déjà été abusé sexuellement dans le passé, devient l’agresseur.

-C’est rare que c’est le cas (rare que l’abuseur ai déjà été abuser). Vrai pour uniquement une mini partie des abuseurs.

-Pas de liens causals entre le fait d’avoir été abusé et le fait de devenir un agresseur.

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7
Q

La pédophilie - Sa configuration émotionnelle :

A

Il présente un sentiment d’infériorité par rapport aux adultes, il préfère donc la compagnie des enfants. Il se sent apprécié et non jugé. Il se perçoit en position de contrôle et de pouvoir, ce qui n’est pas le cas avec les adultes

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8
Q

Pédophilie : - Excitation sexuelle

A

Exciter envers les enfants prépubère (pas développer, pas de pilosité, seins, ect..). On une réponse sexuelle (attirer et exciter sexuellement) uniquement envers les enfants.

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9
Q

Pédophilie - Déficience sociale

A

Difficulté à entrer en relation et/ou avoir des rapports sexuels avec des partenaires adultes consentants

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10
Q

Pédophilie : Les désinhibiteurs (provocateurs)

A

l’alcool, les distorsions cognitives pro- pédophiliques.

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11
Q

3 motivations des violeurs :

A

-La colère : va être exprimer dans l’enquête par de la violence

-Le pouvoir : va être démontrer par l’humiliation faite envers la VIC

-La sexualité : Reproduction de fantaisies sexuelles.

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12
Q

La tendance à commettre un viol vient des effets additionner ou interactif de 1 ou plusieurs de ces facteurs :

A

-Une préférence pour les activités sexuelles coercitives; ( L’agresseur aime la VIC, puisqu’elle va résister)

-Une personnalité antisociale (avec hostilité et manque d’empathie); La personne pense à ses besoins/ ce qu’elle désire, s’en fou de l’autre

-Des facteurs biologiques (endocriniens, neurologiques);

-Des désinhibiteurs transitoires (affects négatifs, alcool, pornographie);

-Des distorsions cognitives

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13
Q

Types de violeurs :

A

Opportuniste
Coléreux
Sadique(sexuel)
Vindicatif ( vengeance ) :

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14
Q

Violeur opportuniste :

A

est là pour un autre raison, mais en a profité de l’occasion pour faire une agression sexuelle en même temps (aspect sexuelle est secondaire).

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15
Q

Violeur Coléreux :

A

-La violence est plus marquée que l’aspect sexuelle. On plus de plaisir avec la violence qu’avec la sexualité.

-Très impulsif : + le crime est impulsif, + il y a de chances que l’on trouves de preuves ( scènes désorganisées surement)

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16
Q

Violeur Sadique(sexuel) :

A

-agression est ritualisée, a un type de VIC en particulier (est un chasseur), plus organisée (prudent).

-Un plaisir que la personne ressent lorsque la VIC souffre physiquement/psychologiquement. Souvent de la torture présente. EX l’agresseur qui faits crimes sériels dans rosemont/plateau

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17
Q

Violeur Vindicatif ( vengeance ) :

A

Utilise la sexualité pour se venger.

18
Q

Les paraphilies (anomalies) sexuelles :

A

Fétichisme
La pédophilie
L’exhibitionnisme
Le voyeurisme :
Le sadisme sexuel
Paraphilies non spécifiés

19
Q

Le fétichisme :

A

attirer par les objets/vêtements. Peut-être la source première de plaisir, mais aussi une source secondaire (en ajout) au plaisir.

20
Q

L’exhibitionnisme :

A

(le trouble le + fréquent) : Veux choquer/provoquer (montrer son pénis à une femme dans une rue pas rapport, sans qu’elle n’ai rien demandé)

21
Q

Le voyeurisme

A

: se promène et regarde les gens sans être vue. Emmagasinage des images et ensuite se faits du plaisir

22
Q

Fausses victimisation sexuelle :

A

-Mensonge délibéré par une présumée victime accusant une personne d’un crime qui ne s’est pas produit. Il peut aussi s’agir d’une allégation imaginaire que la personne croit être vrai

-Volontaire : faite dans le but de nuire à l’autre. (EX : vengeance)
-Involontaire : Lorsque la VIC, croit avec certitude qu’elle a été victime.

23
Q

Pièges lors d’enquête de F.A:

A

-Faire attention à nos préjugés

-On doit rester neutre dans l’enquête

-On ne doit pas causer préjudices à un individu en prenant un côté de l’histoire.

24
Q

Critères (3) pour classée la plainte comme «non-fondée» :

A
  1. La plaignante admet que ses allégations sont fausses et fait une déclaration écrite/filmée à cet effet;
  2. Les faits allégués sont contredits par l’enquête, des preuves scientifiques, un examen médical ou un témoin indépendant;
  3. La crédibilité de la victime (trouble délirant, allégations pour une raison spécifique et inappropriée, etc.) MAIS Ce n’est pas pcq la VIC a un trouble mental que sa déclaration est fausse.
25
Q

Motivations à faire une F.A

A

Fournir un Alibi
Vengeance
Besoin d’attention
Autres motivations

26
Q

Motivations F.A : Fournir un Alibi

A

Inventer une histoire pour expliquer/motiver une situation. (Pour se sauver la face)

27
Q

Motivations F.A : Vengeance :

A

Par haine/frustration/vengeance; Suite à un rejet (réel ou non). On identifie toujours le sus, car le but est de le faire chier lui précisément.

28
Q

Motivations F.A : Besoin d’attention

A

: Besoin d’attention/sympathie, détresse

29
Q

Motivations F.A : Autres motivations possibles

A

Gain financier,
Trouble psychotique/délirant,
Faux souvenirs/syndrome de la mémoire retrouvée.

30
Q

Les indicateurs de F.A :

A

La plainte initiale :
Leur description de l’agresseur :
Nature des actes sexuels :
Éléments de preuve et rappel des détails
Blessures physiques :
La personnalité et les antécédents de la plaignante

31
Q

Inficateurs de F.A :

La plainte initiale :

A

-Les plaignantes ayant fait de fausses allégations sont plus nombreuses à avoir contacté une autre personne que la police (familles, tiers, médecin).

-Long délai pour faire une plainte à la police. (Certaines ne veulent pas porter plainte à la police ou sont difficilement joignables).

32
Q

Inficateurs de F.A :

Leur description de l’agresseur :

A

-Absente, vague, stéréotypée;

-Décrit parfois l’agresseur comme étant très costaud. Plus fréquent d’avoir plusieurs agresseurs

-A reçu des menaces (écrites ou par téléphone) avant ou après l’agression sexuelle, harcelé/suivi par l’agresseur

33
Q

Inficateurs de F.A :

Nature des actes sexuels :

A

Ne peut décrire les détails et la séquence des actes sexuels dont elle a été victime

34
Q

Inficateurs de F.A :

Éléments de preuve et rappel des détails

A

Yeux fermés au moment du crime, perte de conscience, sous l’influence d’une drogue ou de l’alcool, amnésie liée au traumatisme, ne se souvient plus du lieu où s’est produit le crime. Pas de preuves concrètes

35
Q

Blessures physiques

A

Les plaignantes ayant fait de vraies allégations sont plus nombreuses à rapporter de la violence et des blessures, ainsi que plus d’actes sexuels.
Les plaignantes ayant fait de vraies allégations rapportent aussi souvent que celles ayant fait des F.A. avoir résisté à leur agresseur.

36
Q

La personnalité et les antécédents de la plaignante

A

-Problèmes personnels/consommation abusive d’alcool/drogue;

-Antécédents psychiatriques ou trouble de la personnalité (hystérique, borderline). Peut avoir la réputation d’être menteuse ou d’exagérer;

-Victimisation antérieure pour un ou des crimes semblables;

-Allégations faites suite à la publicisation d’un crime similaire;

-Antécédents médicaux abondants pour des maladies « spectaculaires » ou des blessures;

-L’entourage rapporte que le comportement post-trauma de la plaignante n’est pas compatible avec ses allégations.

37
Q

Être prudent avec les F.A

A

-Rester très prudent dans l’interprétation des éléments de preuve afin d’éviter le piège de la vision tunnel

-On demande toujours une opinion externe (expertise croisée). Validations afin de voir si nos collègues ont les mêmes opinions

-Cela aide à être + objectif. Et l’objectivité est HYPER importante dans ce genre de dossier !!! – Pour ne pas causer de préjudice.

38
Q

Faux souvenirs :

A

Phénomène psychologique qui se produit lorsqu’une personne se remémore un événement qui, en fait, n’a jamais eu lieu.

39
Q

Erreurs de contrôle de la réalité :

A

Renvoie à notre capacité les évènements imaginés des évènements vus/entendus. Donc, il y a erreur lorsque on incorpore nos pensée à un évènement.

-Incapable d’établir une distinction entre les deux
-Souvenir contaminer par des détails de notre pensée.

40
Q

Différencier un vrai d’un faux souvenir :

A

-Un faux souvenir peut-être aussi clair, précis, vif, émotionnel, qu’un vrai.

-Il n’y a aucun moyen de le vérifier en dehors d’une confirmation extérieure.

41
Q

Indices d’un faux souvenir ;

A

-Apparition dans un contexte thérapeutique / hypnose

-Flash back / visions

-Interprétations / associations purement subjectives (gratuites)

-Souvenirs < l’âge de 4 ans

-Souvenir non continue

-Aucun fait corroboré

-Vulnérabilité psychologique du témoin

ExamenIntra 2 (8 decks)

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