Cours 5 Flashcards

1
Q

Qui est l’auteur de la thérapie de la réalité?

A

William Glasser

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2
Q

Principes de la thérapie de la réalité

A

—L’ê humain est RESPONSABLE de ses cmpt, non pas la société, I’ hérédité ou son histoire passée
—
L’ê humain peut changer et poursuivre une vie + satis

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3
Q

Carac thérapie de la réalité:

A

Est une philosophie d’intervention qui vise à aider les gens à exercer un meilleur contrôle sur leur vie

S’attarde à la réponse aux besoins humains

Responsabilise l’humain à ses choix de cmpt, vise « l’atteignabilité » des souhaits

ns éloigne du contrôle externe

Se préoccupe cstM de l’estime de soi et de la confiance en soi des personnes

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4
Q

Distinction théorie du choix et thérapie de la réalité

A

Explication du cmpt humain vs Intervention

5 besoins fondamentaux vs favorise l’ambiance à la rln d’aide et donne une direction au plan

Représentation spéciale, Monde-Qualité, Vouloir vs Questionnement spécifique

cmpt global :
Action
Pensée
Émotion
Manifestation physiologique
VS
Questionnement spécifique

Auto-éval VS Questionnement spécifique

Retour au cmpt global VS Faire un plan

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5
Q

Élé de la Satisphère

A

Survie
Pouvoir
Appartenance
Plaisir
Liberté

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6
Q

Carac survie ds satisphère

A

Besoin physiologique

Nourriture accessible
ê et se sentir en sécurité physique et psychologique
Avoir un toit sur la tête
Accessibilité des soins
ê sécurisé face à ses peurs et à ses craintes
Dormir
Se reproduire

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7
Q

Carac appartenance ds Satisphère

A

Besoin psychologique

Aimer et ê aimé
Faire partie d’une famille, avoir des amis, ê entouré
Avoir et donner de l’affection
Se sentir accepté, accueilli (on apprécie ma compagnie)
ê en rln, collaborer

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8
Q

Carac pouv ds satisphère

A

Besoin psychologique

ê et se sentir reconnu
ê entendu, considéré
Avoir qq chose à dire et à faire qui soit d’une importance commune
Se sentir en contrôle de sa vie
Se reconnaître des forces, des cap et que les autres ns en reconnaissent également
Éprouver de la fierté

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9
Q

Carac plaisir ds satisphère

A

Besoin psychologique

Ce qu’on fait quand on n’a pas besoin de le faire
Jouer apprendre
Rire, s’amuser
Relaxer, décompresser, ventiler
Avoir du temps, prendre soin de soi

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10
Q

Carac liberté ds satisphère

A

Besoin psychologique

Se sentir libre parce qu’on est en contrôle de sa vie
Pouvoir faire des choix
Avoir la possibilité d’exprimer son opinion , de donner son avis
Avoir le droit à l’erreur
Se donner la permission de faire des choses

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11
Q

Monde de qualité

A

Tt les exp positives vécues ds notre vie sont emmagasinées ds un album et ns ns comportons tjs pr retrouver ou revivre ces exp
—C’est une portion du cerveau qui est réservée pr ces exp

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12
Q

Satisfaction des besoins

A

L’humain se comporte en fct de satis ses besoins fondamentaux en rln avec son “monde de qualité”

Son but ultime est d’atteindre ce qu’il veut vrm avec les meilleurs cmpt qu’il connait à ce moment précis

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13
Q

Questions susceptibles d’aider à trouver le vouloir ?

A

—Que veux-tu ?
—En quoi est-ce important pr toi ?
—Si tu avais le choix ?
—Si ceci n’existait pas, qu’est-ce qu’il y aurait d’autre à la place ? —
Comment aimerais-tu vivre cela ?
—Qu’aimerais-tu avoir ?
—Si tu avais ceci, qu’est-ce que cela te permettrait de faire ?
—Si tu faisais ceci, qu’est-ce que cela te permettrait d’ê ?

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14
Q

But ultime de la recherche du vouloir

A

—Amener nos clients à trouver d’autres cmpt pr répondre à leurs besoins
—
Ces cmpt seront donc considérés comme « des cmpt socialement acceptables »

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15
Q

Sys de cmpt : Quels sont les choix qui s’offrent ?

A

cmpt organisés : tous les cmpts que ns avons déjà utilisés et qui sont connus par ns

cmpt réorganisés : tous les nouveaux cmpts que ns utilisons pr satis nos besoins

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16
Q

Méthode de la Thérapie de la réalité modifiée à notre réalité

A

VASI
Vouloir, cmpt global, s’autoévaluer, plan

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17
Q

Cycle d’offense

A

Conflit > malaise > fantasmes > choix anodins > situation à risque > acte sexuel - récidive - rechute

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18
Q

L’appréciation mê de la dangerosité varie selon quoi?

A

contexte et la nat de l’agir délinquant.

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19
Q

Conception de la dangerosité repose sur quoi?

A

représentations sociales (lunettes subjectives à partir desquelles ns lisons la réalité).

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20
Q

Quel est le meilleur prédicateur du cmpt futur?

A

Cmpt passé

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21
Q

Facteurs de risque de récidive :

A

Un évé, une situation, un état, un contexte ou une cond qui, de par sa présence et en juxtaposition avec d’autres facteurs, peut augmenter les probabilités qu’une personne commette un crime.

Un facteur de risque cause pas un délit en soi, mais il peut en précipiter l’occurrence ou les circonstances.

L’état actuel de la recherche permet pas d’identifier ou de prédire avec certitude, les ind susceptibles de commettre un crime. C’est plutôt l’interaction de pls facteurs qui peut amener qqun à commettre un délit.

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22
Q

3 méthodes pr éval le risque :

A

Jugement clinique non-structuré
Méthode actuarielle
Guides de Jugement Professionnel Structuré (JPS)

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23
Q

Jugement clinique non-structuré

A

Basé sur l’exp et la connaissance du psychiatre ou du psy
Méthode non-structurée

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24
Q

Méthode actuarielle

A

Basée sur les facteurs les + statM liés à la violence
Les facteurs sont souvent des facteurs statiques
Principalement conçus pr prédire

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25
Q

Guides de Jugement Professionnel Structuré (JPS)

A

Adaptation des stratégies 1 et 2: une éval du risque standardisée basée sur les résultats de la recherche et l’expertise clinique

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26
Q

Carac Jugement professionnel structuré:

A

Permet de faire le pont entre la recherche scientifique et la pratique clinique

Doit ê utilisé par des cliniciens d’exp formés à l’utilisation de la méthode

Procédure de codificat* permet de structurer et de professionnaliser le jugeM clinique

Demande de faire + que la somme des facteurs de risque, mais demande une interprétation, pondération, combinaison et discussion des items

Demande une rééval périodique

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27
Q

Avantage Jugement professionnel structuré:

A

Offre lien avec littérature scientifique et un ancrage impo ds pratique clinique

Permet une étude fine des facteurs statiques et
dynamiques

Met une emphase tte particulière à la prévention par rap à la prédiction

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28
Q

Limites Jugement professionnel structuré:

A

Met emphase presqu’exclusive sur facteurs de risque et s’attarde actuelleM pas ou peu aux facteurs de protection (hormis SAVRY et START)

Nécessite un investissement + important en temps et en É

Peut poser certains pbs de fidélité

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29
Q

Facteurs criminogènes :

A

Personnalité antisociale
Attitudes procriminelles
Soutien social de la criminalité
Toxicomanie
rlns familiales et/ou conjugales
École/travail
Activités récréatives prosociales

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30
Q

Notions importantes associées aux facteurs de risque :

A

Précocité
Variabilité indelle
Niveaux de gravité
Combinaison (enchaînement)
Nombre

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31
Q

Pk devrait-on s’intéresser aux facteurs de protection ?

A

Éval actuelle est imprécise, biaisée et peut entrainer des conséquences nég et mê impo sur les popu délinquantes

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32
Q

Vision positive du délinquant

A

Ce dernier n’est + vu comme une accumulation de facteurs de risque, mais plutôt comme le résultat d’un processus visant l’équilibre entre des élé positifs et nég

Permet de réduire la stigmatisation et le fatalisme

Offre des pistes de tx + intéressantes pr le délinquant et donc, une augmentation potentielle de sa motiv

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33
Q

Approches basées sur les forces ou la psycho positive :

A

Good Lives Model (GLM-C)

Désistement

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34
Q

Good Lives Model (GLM-C)

A

Met emphase particulière sur forces des personnes, l’alliance thérapeutique et de travail. Il propose une lecture holistique et suggère qu’afin de réduire le risque de récidive et vivre une vie satis et entière, il est souhaitable de développer les cap et forces des personnes contrevenantes.

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35
Q

Désistement

A

Le désistement de la carrière criminelle est un processus complexe. Les délinquants persistants se décrivent comme des victimes des évé tandis que les délinquants qui se réinsèrent sont des agents de changement, autodéterminés et autonomes.

36
Q

SAPROF (Structured Assessment of Protective Factors for violence risk) :

A

Facteurs internes
Facteurs liés à la motiv
Facteurs externes

37
Q

Facteurs internes ds SAPROF

A

Intelligence
Attachement sécure ds l’enfance
Empathie
Habiletés d’adaptation
Maitrise de soi

38
Q

Facteurs liés à la motiv ds SAPROF

A

Occupation stable
Activités de loisir
Gestion des finances
motiv au tx
Attitudes envers l’autorité
Objectifs de vie
Médication

39
Q

Facteurs externe ds SAPROF

A

Réseau pro-social
rln intime saine
Soins professionnels
conds de vie
Contrôle externe

40
Q

Échelle de psychopathie de Hare :

A

Pas un outil actuariel, mais une mesure globale de la psychopathie

Outil dx de la psychopathie, c’est tt

Psychopathes sont + à risque de récidive générale

Pas un outil non + d’éval du risque

Études montrent association empirique entre psychopathie et récidive générale et spécifique (violence et + particulièrement violence sexuelle)

41
Q

Structure global de l’échelle de psychopathie de Hare

A

La forme la + utilisée de l’échelle de Hare comprend 20 items. L’éval de ch de ces cx doit se faire en tenant compte à la fois du dossier et des entretiens.

Scolarité
Vie professionnelle ou subsistance financière
Antécédents médicaux-psychologiques
Antécédents familiaux
rlns affectives maritales et sexuelles
cmpts antisociaux
Usage de drogue et d’alcool
Généralité

42
Q

2 types de facteurs ds échelle de psychopathie de Hare

A

F1 - Les traits de personnalité – égocentrisme, insensibilité et utilisation sans remord d’autrui. Donc le narcissisme et la déficience émotionnelle. Ce facteur est stable.

F2 – Ce facteur fait réf aux cmpts, style de vie déviant, antisocial et chroniquement instable. Il se résume donc par les termes : style de vie et cmpt antisocial. Ce facteur évolue avec temps, ds sens d’une diminut*, ce facteur est donc dynamique.

43
Q

Éval actuarielle

A

Échelles actuarielles reposent sur une méthodologie consistant à éval en %, pr une durée dét, le taux de récidive de diff gr de délinquants, ch gr étant déf selon une liste de cx précis.

44
Q

Cmpt violents
VRAG (Violence Risk Appraisal Guide)

A

D’abord conçu pr prévoir récidive violente, sexuelle ou non sexuelle, chez délinquants placés ds établisseM psychiatrique à sécurité max, le VRAG a suscité un vif d’intérêt en tant que prédicteur actuariel de la violence

45
Q

Délinquance sexuelle
Sex offender Risk Appraisal Guide – SORAG

A

Développé à partir de la VRAG, en modifiant certains items spécifiques à la question de la délinquance sexuelle.

Élaborée par l’équipe de Quinsey au début des années 90.

46
Q

Ds quels contextes Le LS/CMI peut ê utilisé?

A

Cadre présentenciel
Prisons/pénitenciers
Probation
Maison de transition
Libération condnelle

47
Q

Cx et considérations générales pr Le LS/CMI

A

Clientèle judiciarisée

Utilisé autant avec les H qu’avec les F

16 ans et + (en pratique, c’est surtout utilisé avec les adultes)

Version adaptée pr les ado (YLS/CMI)

48
Q

Principe RBR :

A

Principe du RISQUE
Principes des BESOIN
Principe de RÉCEPTIVITÉ

49
Q

Principe de RISQUE

A

Le niveau de service et d’intervention doit s’adapter au niveau de risque de l’ind

50
Q

Principes des BESOIN

A

Les objectifs de changements doivent ê bien établis et centrés sur les besoins criminogènes. On doit adapter les interventions selon les besoins. On s’occupe tjs des besoins qui cotent le + élevé.

51
Q

Principe de RÉCEPTIVITÉ

A

Strat d’intervention adaptées au style d’apprentissage, à la motiv et aux caracs démographiques du délinquant.

52
Q

Les cx du LS/CMI

A

Antécédents criminels
Éducation/Emploi
Famille/Couple
Loisirs/Activités récréatives
Fréquentations
pbs d’alcool/drogues
Attitude/orientation procriminelle
Type de cmpt antisocial

53
Q

RBAC-PCQ

A

visent à structurer et standardiser l’éval des personnes contrevenantes pr dét les besoins criminogènes sig associés à leur pbatique délictuelle.

guide et encadre le jugement du professionnel ds la détermination du niveau d’encadrement et la nécessité d’élaborer ou non un PIC.

vise à éval si un ind possède ou non des carac prises comme référence

dét si une personne condamnée cumule un nombre sig de besoins requérant une intervention correctionnelle.

54
Q

Cx évalués ds le bloc 1 (portrait sociocriminologique) du RBAC-PCQ

A

Âge
Bris et manquements
Infractions actuelles et antérieures
Incarcération
Expériences précoces

55
Q

Cx évalués ds le bloc 2 (besoin criminogènes) du RBAC-PCQ

A

Pb rlnels
Emploi
Consommation
Controle des émotion s
Allégeance délinquante

56
Q

Cx évalués ds le bloc 3 (volet clinique) du RBAC-PCQ

A

Délinquance
Santé
Victimisation
Disposition à l’intervention
Autres élé à considérer

57
Q

Une procédure d’éval du risque est considérée bonne quand…

A

Elle produit des résultats constants.
Elle est normative.
Elle est transparente.

58
Q

une bonne éval…

A

Protège les droits des clients.
Augmente la sécurité du public.
Assure la protection professionnelle de l’évaluateur.

59
Q

La dangerosité - Jean Pinatel

A

Probabilité, pr un ind, de commettre un acte délictueux à l’avenir

Il s’agit de prédire un cmpt futur à partir de carac de la personne et de son cmpt passé et présent.

Il faut aboutir à la conclu que la perpétration d’un crime est non slm possible, mais aussi vraisemblable et probable, ie que le délit soit perpétré l’emporte sur la probabilité contraire.

60
Q

Cap criminelle ou témébélité :

A

Perversité cst et agissante du délinquant et la quant de mal que l’on peut redouter de sa part

Agressivité
Égocentrisme
Labilité
Indifférence affective

61
Q

Indifférence affective

A

Dépourvu de sentiM moraux. Incap à compatir ou sympathiser avec autrui

62
Q

Labilité

A

Humeur capricieuse, instable, extrêmênt changeante et influençable

63
Q

Cap d’adaptation :

A

L’ens des carac de la personnalité qui peuvent ê développées de manière positive et les cond favorables du milieu de vie qui l’amèneront à fctner conforméM aux normes sociales.

64
Q

personnalité criminelle
Somenov et Yochelsom

A

Les délinquants naissent avec des modèles de pensée anormaux qui affectent leurs processus de prise de décision (52 erreurs)

65
Q

continuum criminel

A

Responsable
Irresponsable

66
Q

Carac du criminel :

A

Énergie chez le criminel
La peur chez le criminel
ÉTAT ZÉRO à trois composantes :
La colère chez le criminel
La fierté chez le criminel
La recherche du pouvoir
La sentimentalité chez le criminel
Le caractère influençable du criminel
L’isolement chez le criminel
La sexualité chez le criminel
Le mensonge chez le criminel

67
Q

L’intervention auprès des agresseurs sex

A

source de préoccup pr les intervenants qui reçoivent rarement ce type de clientèle.

68
Q

Que demande la prise en charge d’agresseurs sex

A

connaissance minimale afin de bien guider le client.

69
Q

Paraphilie

A

Attirance ou cmpt sexuel qui est différent ou atypique, qui n’est pas conforme aux modèles prévalents sanctionnés par la Loi ou les mœurs d’une société spécifique. (Para : à côté et Philie : amour)

70
Q

Délinquance sexuelle

A

ind qui ont commis une infraction sex au sens de la Loi et qui, habituellement, ont vu des accusations judiciaires portées contre eux.

71
Q

Catégories de délinquance sex

A

Violeur
Pédophile, hébéphile ou héphébophile
Attiré sexuellement par les garçons
Attiré sexuellement par les filles
Attiré sexuellement par les garçons et les filles
Type exclusif ou non exclusif

72
Q

Typologie délinquance sex et réalité clinique

A

Primaire: Fixation
Secondaire: Régression
Exclusif
Non exclusif
Intrafamilial: Inceste
Extrafamilial

73
Q

Primaire: Fixation

A

problématique est présente depuis environ le début de la vie sexuelle active de l’ind

74
Q

Secondaire: Régression

A

problématique est survenue + tard ds la vie de l’ind et après qu’il ait vécu un fctM adéquat au plan sexuel.

75
Q

Exclusif

A

Outre sa problématique, l’ind peut pas ê attiré sexM par un autre objet sexuel

76
Q

Non exclusif

A

L’ind a un intérêt déviant, mais il peut ê attiré par d’autres stimuli

77
Q

Intrafamilial: Inceste

A

délits surviennent ds un contexte familial (père, mère, beau-père, grand-père)

78
Q

Extrafamilial

A

délits sexuels sont pas commis envers des personnes de la mê famille

79
Q

Prévalence délinquance sex

A

Problématique difficile à estimer. Selon des données approximatives, environ 3% de la popu présenterait une ou pls paraphilies.

Ce sont surtout les H qui se livrent aux paraphilies

Slm 10% des paraphiliaques présenteraient 1 seule paraphilie (nb M de paraphilies par personne: 4,8)

80
Q

Ex de causes de la délinquance sex

A

Restaurer son sentiment de valeur
Rechercher une sécurité
Réparer les carences du passé

81
Q

Typologie des agresseurs sexuels :
Personne qui …

A

au fil des ans, ont développé une sexualité déviante
peuvent présenter des pb de sexualité dysfctnelle associée
ont des pbs importants à gérer leur colère
ont souvent commis des délits autres que sexuels
ont de la difficulté à recevoir des critique
ont une éducation sexuelle déficitaire
reconnaissent pas vrm avoir de pb ds leur vie avant d’ê arrêtés ou incarcérés
ont des pbs importants d’alcoolisme et de toxicomanie
ont des habiletés sociales et rlnelles déficitaires, à différents niveaux
ont été exposés à des modèles sexuels inadéquats
ont souffert de carence affective, de rlns familiales problématiques
ont aussi peur d’établir une rln d’égal à égal
développent de l’hostilité, méfiance, qu’ils ont tendance à blâmer les autres, peur de l’intimité, mais aussi peur d’ê abandonnés
peuvent avoir des pbs au niveau de l’emploi
ont peu de loisirs, qui sont assez superficiels finalement
ont investi de façon excessive la sexualité

82
Q

Qui sont les délinquants sex?

A

Des H (97%) et des F (3%) en souffrance
De tous âges
De tt les professions
De tt les classes sociales
+ de 86% connaissent leurs victimes
Les auteurs d’infractions sexuelles tendent à minimiser et à garder leurs secrets

83
Q

Facteurs de risque de récidive d’un délinquant sex

A

La récidive sexuelle est la + faible de tous les types de récidives

La probabilité de récidive diminue s’il y a des interventions thérapeutiques

De +, le taux augmente avec le passage du temps à la suite d’une thérapie

Le récidiviste type n’est pas un ê triste ou solitaire; c’est plutôt qqun qui mène une vie instable et antisociale et qui rumine des idées sexuelles déviantes

84
Q

Statique 99R :

A

Se base sur des facteurs de risque dont il a été démontré de façon empirique qu’ils étaient liés à la récidive sexuelle. Elle permet d’exprimer de façon objective et claire une probabilité de nouveau passage à l’acte ds le domaine sexuel.

Outil le + utilisé ds le monde de la délinquance sexuelle

85
Q

Facteurs cotés à la Statique-99R

A

ge
Situation conjugale
Infraction répertoriée avec violence non sexuelle
Infractions antérieures avec violences non sexuelles
Infractions sexuelles antérieures
Prononcés de peine antérieurs
Condamnations pr infractions sexuelles sans contact
Au - une victime sans lien de parenté avec le délinquant
Au - une victime qui était inconnue
Au - une victime de sexe masculin