cours 4 Flashcards
CQ distinction figure-fond?
définition la plus élémentaire et primitive de la forme perceptive
Savoir détacher la forme du fond et trouver ce qui appartient à la forme
CQ 2 phénomènes physiologiques de l’oeil qui permettent de détecter la forme et la condition environnementale
les micromouvements oculaires
l’inhibition latérale
envi:
l’hétérogénéité de la stimulation
( la diversité et la variation des stimuli auxquels une personne, un groupe, ou même une cellule est exposée dans un environnement donné.)
Comment ont ils prouvés que bsn de micromouvement occulaire pour voir la forme?
DIspositif: colimateur et une lentille cornéenne
but: produire une stabilisation de l’image rétinienne
colimateur sert a mettre l’image sur le foyer
on présente une figure dans le système optique
la figure suit le mouvement de l’oeil donc tjr projeté sur la même zone rétinienne donc le sujet finit par ne plus voir l’image puisque fatigue des recepteurs
DANS D’AUTRES MOTS
Pastille sur un triangle
Accomodation pour que l’image projeté sur la rétine suit des micromouvements
La lentille bouge avec les micromouvements l’image du triangle tombe toujours sur les mêmes récepteurs donc ils se fatigue et l’iindividus ne voit plus le triangle au bout de quelques secondes
CQ inhibition latérale
Définition: toute cellule excitée par la lumière produit sur les cellules voisines une réduction d’activité entraînant une diminution de luminosité perçue.
Plus l’excitation est grande, plus forte est l’inhibition.
Elle rehausse la perception des contours et des contrastes.
Expplique ce qui se passe lorsque tu vois un dégradé de couleur, mais avec des blunts?
La différence réelle entre les couleurs est très concrête et change de manière brusque, alors que nous on percoit la couleurs de la bordure de droite comme plus foncé à cause de l’inhibition latérale. Puisqu’elle touche une couleurs plus pâle, Cela exagère les contrastes aux frontières, donnant une impression de changements de couleur ou de relief là où il n’y en a pas en réalité.
toute cellule excitée par la lumière produit sur les cellules voisines une réduction d’activité entraînant une diminution de luminosité perçue.
Elle rehausse la perception des contours et des contrastes.
Distinction figure fond : Quoi innée et quoi aquis?
innée: La capacité à différencier une figure d’un fond semble être présente dès la naissance. C’est une compétence perceptive essentielle pour naviguer dans l’environnement visuel
aquis: apprendre à identifier ce qui constitue la figure et ce qui constitue le fond, car cela dépend du contexte et des expériences culturelles et perceptives
VF Il y a diff culturelle dans perception forme
V -> interprétation forme
4 critère pour distinguer figure fond
Caractère d’objet pour la figure et de substance pour le fond :
La figure est perçue comme un objet distinct ayant une forme définie, tandis que le fond est une matière plus diffuse et continue. Exemple : un vase posé sur une table. Le vase semble distinct et tangible, alors que la table apparaît comme une surface continue.
La figure paraît plus proche que le fond :
La perception visuelle donne souvent une impression de profondeur où la figure semble en avant du fond. Exemple : en regardant un tableau, le personnage central semble plus proche que le paysage en arrière-plan.
Le fond semble se continuer derrière la figure :
Le cerveau a tendance à percevoir le fond comme une surface qui se prolonge derrière la figure, même si cela n’est pas visible. Exemple : une tasse posée sur une nappe donne l’impression que la nappe continue derrière la tasse.
Le contour appartient à la figure et non au fond :
Le contour est perçu comme faisant partie de la figure, ce qui aide à la distinguer du fond. Exemple : une silhouette découpée se définit par ses contours précis.
Différence entre la reconnaissance de la forme entre un lecteur optique et humain
LECTEUR
Lecteur-> si étiquette pas parfaite -> incapable de lire
HUMAIN:
Les humains lisent facilement plus rapidement, mais c’est un processus très complexe.
Il est possible identifier un objet en rotation. Sa forme change, mais le concept reste le même.
p. ex., un livre en rotation, ouvert-fermé, rangé avec d’autres
Les humains ont une capacité naturelle à reconnaître des formes malgré des variations telles que :
Rotation d’un objet.
Changement de taille ou d’orientation.
État de l’objet (ouvert ou fermé).
Cela est rendu possible grâce à notre capacité cognitive à conceptualiser une forme abstraite et constante même lorsque son apparence physique change.
CQ Agnosie
Agnosie -> incapacité de reconnaitre un object avec certains sens (visuel, auditif… dans les aires seondaires)
Étapes du processus de reconnaissance de la forme
1) L’individu emmagasine d’abord les caractéristiques physiques du stimulus (sa forme) dans la MS
2) Puis prête attention et finalement reconnaît.
Processus réalisé après la MS
3) La reconnaissance des formes tient aussi compte du fait que le mouvement d’un objet ou la distance qui nous en sépare en modifient sa forme.
Défini: Forme visuelle, contour, luminance
Forme visuelle : région dans l’espace délimitée par des contours
Contour : changement marqué dans l’intensité lumineuse reflétée par une surface
Luminance: quantité de lumière reflétée par une surface
Dépend de l’éclairage et de la réflectance (c.-à-d., de la quantité de lumière reflétée par la surface
p. ex., la clarté d’une couleur est fonction de la lumière présente et de la capacité de l’objet de réfléchir la lumière
La couleur, la texture, les ombres… contribuent aussi à percevoir la forme
CQ 3 hypothèse de la perception de la forme
Appariement à un gabarit
Analyse des caractéristiques
Objet vu comme un ensemble de composantes (géons)
CQ Appariement à un gabarit
Processus par lequel un modèle mémorisé est surimposé sur une forme donnée pour vérifier jusqu’à quel point ces formes se ressemblent.
La description de la forme se limiterait qu’à la présence de contours et ce serait très simple.
Ce système fonctionne, mais seulement dans certaines conditions.
Le gabarit n’est pas une solution
Caractère trop variable des formes
Nécessité de trop de gabarits
Analyse des caractéristiques
Il s’agit d’une hypothèse plus abstraite, anti-imagerie et sans l’utilisation de formes préétablies que celle des gabarits
Une forme est décomposée en ses divers éléments, puis il s‘agit d’établir le type de relation qui existe entre ces éléments selon un traitement séquentiel ou parallèle
Les modèles de caractéristiques définissent les stimuli comme des combinaisons de caractéristiques élémentaires.
Les lettres de l’alphabet décrites en fonction de leurs caractéristiques:
lignes horizontales
lignes verticales
les obliques
les intersections
les courbes
Pk Partie sup lettre plus facile lecture
accent, apostrophe er guillmets
qui est derrière le modèle des géons?
Hubel et Wiesel
CQ modèle hiérarchique de Hubel et Wiesel
Géons
la présence de détecteurs de caractéristiques au cortex visuel
Cellules simples = fente ou barre stationnaire
Cellules complexes = bord + mouvement rapide
Cellules hypercomplexes= forme (angle) + mouvement lent
Par contre, il est très difficile de décrire une forme naturelle avec ce genre de modèle. Il est alors proposé d’y arriver à l’aide d’une combinaison de barres aussi courtes que des points pour créer une courbe.
Quelles sont les cellules simples de V1 et que détectent-elles
Les cellules simples de V1 détectent des barres ou des lignes dans différentes orientations (horizontal, vertical).
À quoi servent les cellules complexes de V2 ?
Les cellules complexes de V2 intègrent les informations des cellules simples de V1 pour détecter des motifs ou des formes plus complexes, comme des contours.
Quelles informations traitent les cellules hypercomplexes
Les cellules hypercomplexes détectent des objets plus complexes (comme des tables ou des visages) et nécessitent des interactions avec des zones cérébrales plus élevées (comme le cortex frontal) pour donner un sens à ce qui est perçu.
Quelle est la hiérarchie du traitement visuel dans le cerveau ?
Les cellules simples de V1 détectent des motifs de base (barres), puis ces informations sont intégrées par des cellules complexes de V2 qui détectent des formes plus complexes, et finalement les cellules hypercomplexes traitent des objets et scènes plus sophistiqués.
Comment fonctionne la superposition des cellules dans ce modèle ?
Les cellules de niveaux supérieurs (complexes et hypercomplexes) dépendent des informations traitées par les cellules des niveaux inférieurs (simples). Chaque niveau supérieur affine et intègre les données des niveaux précédents.
Quel est l’exemple de la hiérarchie du traitement visuel (nombre de cellules simples, complexes et hypercomplexes)
Par exemple, 7 cellules simples de V1 détectent une barre, 2 cellules simples alimentent une cellule complexe de V2, et 2 cellules complexes alimentent une cellule hypercomplexe pour détecter un objet plus complexe comme une table.