cours 4 Flashcards

1
Q

Types de relations sociales

A
  • Relations sociales formelles :
    • Inclu toute sorte de gens que l’on croise et que l’on ne connait pas. Ex: professeur
    • Elle peut etre ponctuelle ou régulière. Ex : prof que l’on voit tout les mardis, si on croise la prof en dehors et qu’on reconnait quelqu’un et qu’on lui parle
    • Interaction implique les rapports transactionnels et utilitaires. Ex : serveuse au café (on pense que c’est moins important mais essentiel)
  • Relations personnelles :
    • Affinité sexuelle ou affective
    • Attachement emotionnel
    • Autorévélation
    • Une certaine signification de la relation avec l’autre
    • Sentiment d’appartenance au groupe d’amis
    • Inclu un vécu affectif gratiffiant pour les deux libre d’obligations
    • On élimine les rapports utilitaires
      • tableau
  • Relation parent-enfant : quand on est entre parent enfant il n’y a pas la liberté de la relation affective des relations personnelles, tu ne peux pas partir si la relation ne te convient plus
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2
Q

Les dimensions des relations interpersonnelles

A
  • Dimension projective: se basent sur des projections que tu va faire sur l’autre
  • Dimension historique: les expériences antérieures avec l’autre amène à la projection de ses réactions
  • Dimension potentielle: les deux autres amènent à elle -> les réactions attendues
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3
Q

Les caractéristiques des interactions

A
  • Durée de l’interaction: plus c’est long, plus on a de chance de se retrouver dans le personnel, pas suffisant juste la durée mais important tout de même ne prend pas en compte la qualité du contenu
  • Participation de deux partenaires
  • Signification

En bref : l’interaction nécessite une référence au contenu et à la qualité de ce contenu

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4
Q

Les interactions de l’individu avec son partenaire sont… (9)
+ 2 volets

A
  • Sélectives en fonction de ma perception de l’autre
  • Teintées par des attentes
  • Associées à une valeur: les valeurs de la conversation ex: parler de projet d’avoir des enfants; les gens vont vouloir diriger la conversation vers ce qui leur apporte de la valeur, ce qui va influencer l’interaction
  • Associées aux sentiments et aux émotions de chacun
  • Associées aux expériences antérieures accumulées (répertoire interactionnel)
  • Influencées par des normes (comportements partagés dans un groupe)
  • Actives
  • Dynamiques
  • Régulières:

Deux volets:
- Sélectif: unique à la relation et regulier
- Général: implique une généralité de mes relation, de qui je suis (ex: je suis drole)

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5
Q

Relations interpersonnelles et cadre social

A
  • Règles spécifiques à chaque type de relation
  • Règles de conduite en société
  • Systèmes sociaux impliquant des normes et des règles :
    o Tributaires d’un répertoire de comportements propres à la relation
    o Tributaires de rôles spécifiques aux protagonistes
    o Tributaires de lieux et environnements spécifiques
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6
Q

Les règles régissant la relation (4)

A
  1. Règle de satisfaction récompense:
    • On cherche ça, en théorie quand on a plus ça c’est la rupture, en pratique plus difficile (ex: violence conjugale)
  2. Régulation de l’intimité:
    • Se dire que c’est correct ou mettre de la distance, l’intimité est mesuré en fonction de si c’est approprié, complexe si les deux personnes ne sont pas au même niveau d’intimité= pour que se soit viable il faut qu’on soit sur la même longueur d’onde sur le niveau d’intimité
  3. Coordination et évitement des difficultés:
    • On vise l’atteinte de but commun désiré
  4. Comportements envers des tierces personnes
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7
Q

Étude sur les règles universelles en relation

A

Résultats: 4 règles semblent s’appliquer à tous les types de relation

  1. Le respect de la privacité d’autrui (régulation de l’intimité)
  2. La prescription de regarder l’autre dans les yeux au cours de la conversation
    (régulation de l’intimité)
  3. Ne pas divulguer les confidences dont on a fait l’objet (comportements envers des
    tierces personnes)
  4. Ne pas critiquer son partenaire ou ami.e devant autrui (coordination et évitement des
    difficultés)
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8
Q

Le rôle de l’attachement en relation - Socialisation (parents, école, fratrie, groupes)

A

o Formation de l’identité par la différenciation avec autrui
o Apprentissage de la reconnaissance
o Modélisation des comportements parentaux

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9
Q

L’importance des relations interpersonnelles

A
  • Épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie: l’amitié, la vie sociale et le fait d’être amoureux
  • Relations sociales satisfaisantes: meilleure santé mentale, physique et un sentiment de bonheur
  • Isolement et solitude: dépression, faible estime de soi
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10
Q

Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution :

A
  • Internes-stables: (p.ex., attribution à leur personnalité, leurs caractéristiques)
  • Internes-instables: (p.ex., attribution au manque d’effort)
  • Instables-externes: (p.ex., parce que je viens de déménager)
  • Stables-externes: (p.ex., les autres m’excluent intentionnellement)
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11
Q

3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation:

A
  1. Les théories de l’apprentissage
  2. La théorie de la comparaison sociale
  3. La théorie des échanges sociaux
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12
Q

Théories de l’apprentissage

A

Renforcement positif de deux expériences : gratification à être en compagnie de l’autre et le besoin d’approbation nécessaire à la formation de l’identité

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13
Q

Théorie de la comparaison sociale

A

La formation de l’identité se base sur sa comparaison à des standards de beauté et on va s’ajuster à des sujets similaires avec l’autre

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14
Q

Théorie des échanges sociaux

A

Permettent l’atteinte des buts, grace à l’autre (ex: avoir un enfant, on a besoin de l’autre) et on à besoin de l’autre pour la gestion du stress et les émotions désagéables

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15
Q

Le stress avec l’autre - Étude de Schachter, 1959 (Partie 1)

A

Est-ce que les femmes préfèrent être seules ou en compagnie d’autres femmes qui se trouvent dans la même situation qu’elles?

  • Résultats:
    o Groupe 1 (Chocs douloureux): 20 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui
    o Groupe 2 (Chocs à peine perceptibles): 10 sur 32 femmes préfèrent attendre en compagnie d’autrui
    o Interprétations: distraction ou comparaison
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16
Q

Le stress et l’autre - Étude de Schachter, 1959 (Partie 2)

A

Groupe 1:
-Choix 1: attendre en compagnie de sujets qui attendent un rendez-vous avec unprofesseur
-Choix 2: attendre seules

Groupe 2:
-Choix 1: attendre avec d’autres sujets qui recevront des chocs douloureux
-Choix 2: attendre seules

Résultats
o Groupe 1: les femmes choisissent d’attendre seules
o Groupe 2: les femmes choisissent d’attendre avec des compagnons d’infortune
o Interprétations: similitude de l’expérience et comparaison sociale
o Attention aux nuances..

17
Q

Niveau de développement - 3 niveaux

A
  • NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions
    • Voir tout le temps la même personne ou des interactions superficielles et instrumentales
  • NIVEAU II: L’exploration mutuelle
    • S’il y a de l’intérêt, souvent on va se voir dans un environnement différent de l’habitude (changement de cadre initial)
  • NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui (peut-être si ça te tente on va dans la réciprocité)
    • Autorévélation renvient en force, car il faut sortir de la superficie, plus comprendre l’autre, on l’apprécie, on le voit comme unique et on espére qu’il y a une réciprocité
18
Q

Facteurs déterminants l’attraction
mutuelle

A

 La proximité physique: créer l’effet de familiarité
 L’apparence physique
 Le rôle des valeurs et des attitudes
 Le rôle de la compétence d’autrui

19
Q

Similitude versus complémentarité en relation : similitude

A
  • La similitude sociodémographique
  • La similitude de l’attractivité physique
  • La similitude des attitudes
  • La similitude effective versus la similitude à l’idéal de soi
20
Q

Similitude versus complémentarité en relation - Complémentarité

A
  • La complémentarité des besoins
    • Domination/soumission: tendance à protéger/ à être protégé
    • Étude (Kerckhoff et Davis, 1962): la similitude est importante au début d’une relation alors que la complémentarité prend de l’importance ultérieurement (hypothèse de filtrage)
  • La complémentarité des ressources
21
Q

Hypothèse de filtrage (3)

A
  1. Au début, ce qui est important c’est les facteurs déterminants l’attraction mutuelle, estimer l’autre
  2. Par la suite la similitude
  3. Les besoins de complémentarité arrivent plus tard
22
Q

La réciprocité de l’attraction (4)

A
  • Comme facteur d’attraction et facteur de consolidation
  • Faire l’objet de jugements positifs augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la source de ces jugements
    - Étude de Walster en 1965: la réciprocité de l’attraction
  • Le rôle de la perception de soi et de la confiance
  • Nous ressentons à notre tour de l’attirance pour les personnes qui nous aiment (surtout envers celles qui nous le font savoir)
23
Q

Le rôle des attentes dans l’attraction - Étude de Tanke et Bershied, 1977 (4)

A

Résultats

  1. Les sujets attractifs sur les photos sont jugés plus positivement sur l’ensemble des caractéristiques sociales et de personnalité par les sujets masculins
  2. Les sujets masculins se montrent plus amicaux envers leur partenaire si celle-ci est attractive (selon la photo)
  3. Le comportement verbal des sujets féminins se module à l’attitude des sujets masculins
    « Les attentes influencent non seulement le comportement du sujet, mais également le comportement de la personne cible de ces attentes »
24
Q

Les théories des relations interpersonnelles (5)

A
  • Le processus relationnel
  • Les théories de l’apprentissage
  • Les théories de l’échange et de l’interdépendance
  • Les modèles de l’équité
  • Les théories cognitives
25
Q

Le processus relationnel de Schutz 1960

A

Théorie pulsionnelle de dire que toute relation est vue comme satisfaisante (def.)

  • Trois besoins fondamentaux:
    1. L’inclusion
    2. Le contrôle
    3. L’affection
  • Compatibilité harmonieuse
  • Psychanalyse versus psychologie sociale
26
Q

Inclusion

Trois besoins fondamentaux

A

On doit se sentir inclu dans sa relation avec le parent, l’effort que l’enfant va faire pour attirer l’attention du parent et éviter l’abandon

27
Q

Le contrôle

Trois besoins fondamentaux

A

Ses comportements génèrent une réaction chez les parents

28
Q

L’affection

Trois besoins fondamentaux

A

Besoin d’affection

29
Q

Exposition à autrui

Les théories de l’apprentissage

A
  • Attention au passage de l’amour passionnel à l’amour-compagnonnage
  • L’exposition à autrui explique seulement ce qui se produit au début d’une relation
30
Q

Conditionnement classique

A

Recherche des renforcements positifs (de plaisir), évitement des renforcements négatifs (de la douleur)

31
Q

Les théories de l’échange et de l’interdépendance (6)

A
  • La récompense (et son anticipation)
  • Le coût
  • Les bénéfices
  • Les ressources
  • La dépendance de la valeur
  • Les alternatives
32
Q

Les modèles de l’équité

A
  • Comparaison sociale dans la perception des bénéfices réciproques
  • Perception d’injustice en relation
  • Calcul coût-bénéfice pour soi et pour l’autre
  • Les individus cherchent à restaurer l’équité relationnelle
    * Manipulation des coûts-bénéfices
    * Dissonance cognitive