Cours 3 : La Renaissance classique Flashcards
Aileron à volutes
Élément décoratif de forme plus ou moins triangulaire servant à établir une transition entre un niveau inférieur plus large et un niveau supérieur plus étroit dans une élévation, notamment dans les façades d’églises de style jésuite.
Élément décoratif de forme plus ou moins triangulaire servant à établir une transition entre un niveau inférieur plus large et un niveau supérieur plus étroit dans une élévation, notamment dans les façades d’églises de style jésuite.
Aileron à volutes
Bastion
Élément d’une enceinte fortifiée qui s’avance en pointe, selon un plan polygonal, et qui sert à positionner les canons couvrant les fossés et les glacis. Ils sont généralement disposés en série et alternent avec des courtines, selon le principe de flanquement.
Élément d’une enceinte fortifiée qui s’avance en pointe, selon un plan polygonal, et qui sert à positionner les canons couvrant les fossés et les glacis. Ils sont généralement disposés en série et alternent avec des courtines, selon le principe de flanquement.
Bastion
Chapelle latérale
Chapelle ouverte sur un côté de la nef ou du bas-côté d’une église, qu’elle soit exprimée à l’extérieur ou non. Lorsqu’elles sont disposés en série et communiquent entre elles, on parle de chapelles communicantes.
Chapelle ouverte sur un côté de la nef ou du bas-côté d’une église, qu’elle soit exprimée à l’extérieur ou non. Lorsqu’elles sont disposés en série et communiquent entre elles, on parle de chapelles communicantes.
Chapelle latérale
Courtine
Dans une enceinte fortifiée, portion rectiligne de mur entre deux bastions adjacents.
Dans une enceinte fortifiée, portion rectiligne de mur entre deux bastions adjacents.
Courtine
Fronton
Couronnement d’une élévation, d’une ouverture, ou d’une niche, de forme triangulaire ou cintrée et encadré de corniches. Sa forme classique est un triangle isocèle, comme on peut le voir dans les façades des temples antiques. Sa partie intérieure, nommée “tympan”, peut recevoir différents ornements, incluant de grandes scènes sculptées.
Couronnement d’une élévation, d’une ouverture, ou d’une niche, de forme triangulaire ou cintrée et encadré de corniches. Sa forme classique est un triangle isocèle, comme on peut le voir dans les façades des temples antiques. Sa partie intérieure, nommée “tympan”, peut recevoir différents ornements, incluant de grandes scènes sculptées.
Fronton
Ordre composite
Ordre qui est le dernier de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Selon les auteurs, il peut avoir les mêmes proportions que le corinthien, ou être légèrement plus élancé. C’est aussi l’ordre le plus richement décoré. Il se distingue surtout par son chapiteau, qui allie la corbeille à feuillage du corinthien avec l’échine et les volutes de l’ionique. C’est donc une forme hybride.
Ordre qui est le dernier de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Selon les auteurs, il peut avoir les mêmes proportions que le corinthien, ou être légèrement plus élancé. C’est aussi l’ordre le plus richement décoré. Il se distingue surtout par son chapiteau, qui allie la corbeille à feuillage du corinthien avec l’échine et les volutes de l’ionique. C’est donc une forme hybride.
Ordre composite
Ordre corinthien
Ordre qui est le quatrième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Il se distingue par des proportions plus élancées que celles de l’ionique et un décor généralement plus riche. On lui attribue aussi un caractère féminin avec un surcroît d’élégance par rapport à l’ionique. Son chapiteau se compose habituellement d’une corbeille à feuilles d’acanthe terminée par des crosses aux angles (ne pas confondre avec les volutes de l’ordre composite).
Ordre qui est le quatrième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Il se distingue par des proportions plus élancées que celles de l’ionique et un décor généralement plus riche. On lui attribue aussi un caractère féminin avec un surcroît d’élégance par rapport à l’ionique. Son chapiteau se compose habituellement d’une corbeille à feuilles d’acanthe terminée par des crosses aux angles (ne pas confondre avec les volutes de l’ordre composite).
Ordre corinthien
Ordre dorique
Ordre qui est le deuxième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Les auteurs lui attribuent généralement un caractère masculin. On le reconnaît d’abord à sa frise composée d’une alternance de triglyphes et de métopes. Son chapiteau est comparable à celui de l’ordre toscan, mais peut recevoir un décor plus riche.
Ordre qui est le deuxième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Les auteurs lui attribuent généralement un caractère masculin. On le reconnaît d’abord à sa frise composée d’une alternance de triglyphes et de métopes. Son chapiteau est comparable à celui de l’ordre toscan, mais peut recevoir un décor plus riche.
Ordre dorique
Ordre ionique
Ordre qui est le troisième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Les auteurs lui attribuent généralement un caractère féminin, parce que ses proportions sont plus élancées que celles du dorique. Il se distingue par son chapiteau à volutes et sa frise habituellement nue, pouvant recevoir une inscription.
Ordre qui est le troisième de la séquence classique des cinq ordres d’architecture. Les auteurs lui attribuent généralement un caractère féminin, parce que ses proportions sont plus élancées que celles du dorique. Il se distingue par son chapiteau à volutes et sa frise habituellement nue, pouvant recevoir une inscription.
Ordre ionique
Ordre toscan
Ordre qui est le premier et le plus trapu des cinq ordres d’architecture classique. Il est habituellement très dépouillé, par contraste au dorique, qui peut parfois recevoir un décor assez riche. Son chapiteau est très semblable à celui du dorique, avec un gorgerin qui poursuit simplement la forme du fût dont il est séparé par l’astragale, et une échine en quart de rond. La distinction se perçoit surtout au niveau de l’entablement, dont la frise est nue.
Ordre qui est le premier et le plus trapu des cinq ordres d’architecture classique. Il est habituellement très dépouillé, par contraste au dorique, qui peut parfois recevoir un décor assez riche. Son chapiteau est très semblable à celui du dorique, avec un gorgerin qui poursuit simplement la forme du fût dont il est séparé par l’astragale, et une échine en quart de rond. La distinction se perçoit surtout au niveau de l’entablement, dont la frise est nue.
Ordre toscan
Pilier
Terme très large qui désigne tout support vertical libre, de proportions variables, autre que la colonne ou la colonnette. Son plan peut être simple (carré, rectangulaire, circulaire) ou composé (amalgame de plusieurs éléments : colonnes, pilastres, etc.).
Terme très large qui désigne tout support vertical libre, de proportions variables, autre que la colonne ou la colonnette. Son plan peut être simple (carré, rectangulaire, circulaire) ou composé (amalgame de plusieurs éléments : colonnes, pilastres, etc.).
Pilier
Plan centré
Plan qui est symétrique selon au moins deux axes. Ceci inclut les figures comme le cercle, l’octogone et le carré, mais aussi des formes plus complexes comme la croix grecque, l’ellipse, etc.
Plan qui est symétrique selon au moins deux axes. Ceci inclut les figures comme le cercle, l’octogone et le carré, mais aussi des formes plus complexes comme la croix grecque, l’ellipse, etc.
Plan centré
Plan en croix grecque
Plan en croix dont les quatre branches sont égales. Ce plan appartient à la catégorie plus générale des plans centrés.
Plan en croix dont les quatre branches sont égales. Ce plan appartient à la catégorie plus générale des plans centrés.
Plan en croix grecque
Plan en croix latine
Plan en forme de croix dont une branche est plus longue que les autres. Dans une église, la branche la plus longue correspond à la nef, et les autres aux deux bras du transept et au chœur. Ce plan associe symboliquement l’église à la passion du Christ.
Plan en forme de croix dont une branche est plus longue que les autres. Dans une église, la branche la plus longue correspond à la nef, et les autres aux deux bras du transept et au chœur. Ce plan associe symboliquement l’église à la passion du Christ.
Plan en croix latine
Plan rayonnant/radiocentrique
Plan conçu selon une structure radiale ou rayonnante, par exemple dans une ville planifiée où les rues principales convergent vers le centre.
Plan conçu selon une structure radiale ou rayonnante, par exemple dans une ville planifiée où les rues principales convergent vers le centre.
Plan rayonnant/radiocentrique
Travée rythmique
Composition faisant alterner les travées plus larges et plus étroites, selon un rythme a-b-a. La travée plus large (b) est souvent une arcade. Le motif est dérivé des arcs de triomphe antiques, et son invention est attribuée à Donato Bramante.
Composition faisant alterner les travées plus larges et plus étroites, selon un rythme a-b-a. La travée plus large (b) est souvent une arcade. Le motif est dérivé des arcs de triomphe antiques, et son invention est attribuée à Donato Bramante.
Travée rythmique
Type basilical
Édifice caractérisé par un plan en longueur et une nef surélevée flanquée de bas-côtés. La partie haute de la nef est ouverte par une claire-voie.
Édifice caractérisé par un plan en longueur et une nef surélevée flanquée de bas-côtés. La partie haute de la nef est ouverte par une claire-voie.
Type basilical