cours 2 (survol historique 1) Flashcards

1
Q

Nomme une des principales idées de la thérapie cognitivo- comportementale (TCC).

A

L’être humain acquiert ses comportements, adaptés ou inadaptés, par apprentissage.

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2
Q

Au début du 20e siècle, les conceptions traditionnelles en psychologie clinique s’appuient sur quelle idée ?

A

L’idée selon laquelle les problèmes psychologiques sont des signes d’un conflit intra-psychique dont la signification doit être révélée.

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3
Q

Qu’est-ce qui est responsable des conceptions traditionnelles en psychologie clinique au début du 20e siècle ?

A

Les écrits de Freud sont largement responsables de cette conception (le cas de Anna).

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4
Q

Pourquoi les béhavioristes critiquent la théorie psychodynamique ?

A

Notamment en raison du manque d’appui scientifique et d’objectivité.
En plus du caractère arbitraire des interprétations psychodynamiques, les béhavioristes remettent en question l’efficacité de la thérapie psychanalytique, qui donne des résultats semblables à la rémission spontanée ou, au mieux, qui donne des résultats à très long terme

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5
Q

Quelle est la différence entre efficace et efficiente ?

A

Efficace : fonctionne. La psychodynamique peut l’être ou non.
Efficiente : Fonctionne à moindre coût et en prenant le moins de temps possible. (TCC)

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6
Q

Au début du 20e siècle, à la même époque que Freud, qui menait des études sur la digestion chez le chien ?

A

Un physiologiste russe, Ivan Pavlov (prix Nobel en passant!).

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7
Q

Qu’est-ce qui intéressait plus particulièrement Pavlov lors de ses études sur la digestion chez le chien ?

A

Il s’intéressait plus particulièrement au réflexe, c.-à-d. à la relation entre un stimulus déclencheur (stimulus inconditionnel ou SI) et une réponse qu’il déclenche de façon régulière (réponse inconditionnelle, ou RI) grâce à un lien déterminé au plan biologique.

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8
Q

À quelle découverte les travaux de Pavlov ont accidentellement conduit ?

A

Les travaux de Pavlov ont conduit accidentellement à la découverte du conditionnement classique (ou pavlovien ou répondant), concept clé dans les théories de l’apprentissage.

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9
Q

Comment Pavlov a-t-il découvert le conditionnement classique (répondant) ?

A

Pavlov a en effet découvert qu’en associant de manière répétée un son à de la nourriture, les chiens en venaient à saliver seulement en entendant le son (et même en voyant son assistant).

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10
Q

Qu’est-ce que le conditionnement classique ?

A

Dans le conditionnement classique, un nouveau stimulus acquiert donc le pouvoir de produire une réponse après avoir été pairé à un stimulus qui déclenche cette réponse de manière inconditionnelle.

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11
Q

Donnez un exemple dans la vie quotidienne d’un conditionnement classique.

A

Exemple : Chaque fois que Julien se fait mal, il pleure. À chaque fois que Julien voit le chien du voisin, le chien le fait tomber, il se fait mal et pleure. Maintenant, à chaque fois que l’enfant voit le chien, il pleure.

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12
Q

IMPORTANT

Quelle est la contrepartie du conditionnement classique ?

A

L’extinction

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13
Q

IMPORTANT

Qu’est-ce que l’extinction ?

A

Elle consiste à présenter de façon répétée le stimulus conditionné sans le stimulus d’origine.

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14
Q

IMPORTANT

Nomme une technique importante qui découle de l’exposition.

A

Une technique importante qui en découle est l’exposition in vivo graduée.

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15
Q

IMPORTANT

Qu’est-ce que l’exposition in vivo graduée ?

A

Elle consiste à exposer l’individu à ce qui l’effraie de manière graduelle.

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16
Q

La thérapie béhaviorale (behavior therapy) ou comportemenale trouve son fondement philosophique dans ____________.

A

L’empirisme.

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17
Q

Quelle est l’idée de base de l’empirisme ?

A

L’idée de base de l’empirisme, c’est que les mots et les concepts prennent un sens seulement quand on les relie à une expérience directe.

Ainsi, pour un empiriste, des concepts comme le moi, la fixation, le complexe d’Œdipe, etc. sont difficiles à relier à une observation directe.

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18
Q

À l’origine, que représente le béhaviorisme comme tendance ?

A

À l’origine, le béhaviorisme représente la tendance des psychologues expérimentalistes à ne considérer que le comportement observable et à rejeter les observations ne pouvant pas être vérifiées de façon scientifique. On exclut donc ici l’étude de la « boîte noire », puisqu’on ne peut pas y avoir accès, du moins pas pour l’instant!

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19
Q

Qui est le pionnier du béhaviorisme ?

A

Watson est le pionnier du béhaviorisme.

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20
Q

Selon Watson, l’objet de la psychologie est __________________________ ? Qu’est-ce que la psychologie doit étudier ?

A

Selon Watson, l’objet de la psychologie est l’étude du comportement observable. Par conséquent, la psychologie doit être une science objective qui étudie les relations entre les stimuli de l’environnement et les réponses de l’organisme.

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21
Q

Selon Watson, comment le comportement humain s’élabore-t-il ?

A

Selon Watson, le comportement humain s’élabore progressivement, à travers des apprentissages successifs; des associations entre S et R acquises dans l’enfance.

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22
Q

Selon Watson, quelle est la seule méthode qui devrait être utilisée en psychologie ?

A

Toujours selon Watson, la seule méthode qui devrait être utilisée en psychologie est l’observation. L’introspection devrait être abandonnée parce qu’on ne peut pas la vérifier.

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23
Q

Comment Watson a-t-il démontré que l’on peut contrôler le comportement humain ?

A

Watson a démontré comment on peut conditionner expérimentalement une phobie chez un individu, avec le cas du petit Albert.

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24
Q

Qu’ont apporté les travaux de Watson au niveau de la compréhension de la psychopathologie ?

A

Les travaux de Watson ont permis d’apporter un nouvel éclairage à la compréhension de la psychopathologie. On pourrait même dire qu’ils ont entraîné une révolution!

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25
Q

Entre 1920 et 1950, les chercheurs tentent de développer et de mieux comprendre…

A

Entre 1920 et 1950, les chercheurs tentent de développer et de mieux comprendre les principes d’apprentissage (p. ex. : Hull, Tolman, Guthrie).

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26
Q

Qu’est-ce qui est alors vu (entre 1920 et 1950) comme le principe de base pour expliquer l’apparition des comportements ?

A

Le conditionnement classique est alors vu comme le principe de base pour expliquer l’apparition des comportements.

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27
Q

Est-ce que les principes d’apprentissage sont appliqués à l’explication de la psychopathologie chez l’humain (entre 1920 et 1950) ?

A

Cependant on n’applique pas encore ces principes à l’explication de la psychopathologie chez l’humain.

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28
Q

Comment les psychologues chercheurs en viennent-ils à appliquer les principes d’apprentissage à la psychopathologie ?

A

Peu à peu de nombreuses expériences en laboratoire vont porter sur l’étude du conditionnement des émotions et permettent de démontrer que les principes d’apprentissage peuvent également être utilisés dans l’étude de la psychopathologie.

29
Q

L’éclosion de la modification du comportement (ou thérapie béhaviorale) comme discipline distincte et unique voit le jour seulement dans les années…

A

1950.

30
Q

La thérapie béhaviorale suit, au début, trois courants distincts :

A

 l’école sud-africaine de Wolpe
 l’école anglaise de Eysenck et autres
 l’école américaine de Skinner

31
Q

Pourquoi Joseph Wolfe s’est-il tourné vers la littérature sur la névrose expérimentale ?

A

Au début des années 1940, Joseph Wolpe travaille dans un hôpital militaire qui reçoit des soldats traumatisés. Déçu par les résultats obtenus avec des procédures de traitement psychodynamiques, il se tourne vers la littérature sur la névrose expérimentale.

32
Q

Que fait Wolpe concrètement afin de trouver des solutions ?

A

Wolpe mène des études sur l’établissement et l’élimination d’une réaction névrotique d’anxiété chez le chat.

33
Q

Quel est le principe théorique qui ressort des travaux de Wolpe ?

A

À partir de ses travaux, il formule le principe théorique de “l’inhibition réciproque” qui peut se résumer ainsi : «Si une réponse inhibitrice de l’anxiété peut être émise en présence de stimuli évoquant l’anxiété, elle affaiblira le lien entre ces stimuli et l’anxiété».

34
Q

TRÈS IMPORTANT
Suite à la formulation du principe d’inhibition réciproque, Wolpe développe des applications cliniques. Donne un exemple d’une application clinique très importante.

A

La désensibilisation systématique

35
Q

TRÈS IMPORTANT

Qu’est-ce que la désensibilisation systématique ?

A

Elle consiste à exposer un individu à un stimulus anxiogène alors qu’il est en état de relaxation.

36
Q

TRÈS IMPORTANT

Donne un exemple concret de la désensibilisation systématique.

A

Pendant que le soldat est dans un état de relaxation profonde, on lui fait visualiser une situation de guerre. Puisque la situation de guerre est alors reliée à un état de relaxation profonde, on affaiblit le lien entre le Stimulus (situation de guerre) et la Réponse habituelle (anxiété).

37
Q

Nomme un moment crucial dans l’histoire de la thérapie béhaviorale.

A

Les travaux de Wolpe constituent un moment crucial dans l’histoire de la thérapie béhaviorale.

38
Q

Qui, tout comme Wolpe, remet en question la thérapie psychodynamique (article célèbre) ?

A

Eysenck

39
Q

Selon Eysenck, qu’est-ce qui est important dans le développement des comportements inadaptés ?

A

Eysenck insiste sur l’importance du conditionnement dans le développement des comportements inadaptés.

40
Q

Quelle est la principale différence entre les travaux de Wolpe et d’Eysenck ?

A

Contrairement à Wolpe qui a d’abord élaboré un modèle théorique pour ensuite l’appliquer à des cas cliniques, Eysenck a surtout développé son analyse à partir de cas cliniques individuels (expositions plus proches de la réalité du patient).

41
Q

En quoi consiste la thérapie d’Eysenck ?

A

La thérapie consiste donc principalement à briser ou à créer des liens conditionnels en utilisant les principes d’apprentissage de la psychologie expérimentale.

42
Q

Où et avec quelle patiente se développent les traitements par exposition d’Eysenck ?

A

C’est à l’Hôpital Maudsley que les traitements par exposition se développent (cas de la danseuse de 23 ans).

43
Q

Pourquoi dit-on que L’école américaine a joué un rôle majeur dans le développement de la thérapie béhaviorale ?

A

D’abord avec les travaux de Watson, puis avec ceux de B. F. Skinner sur le conditionnement opérant (ou skinnérien ou instrumental).

44
Q

Quelle est la théorie de Skinner ?

A

Le conditionnement opérant : tout comportement est contrôlé par ses conséquences dans l’environnement. Pour lui, tout comportement humain, qu’il soit adapté ou inadapté, est appris selon un même mécanisme, celui du conditionnement opérant.

45
Q

Selon Skinner, que faut-il faire pour comprendre un comportement ?

A

Pour comprendre un comportement, il faut faire une analyse fonctionnelle des liens entre ce comportement et l’environnement dans lequel il est émis.

46
Q

Nomme un concept clé dans le conditionnement opérant.

A

Un concept clé dans le conditionnement opérant est le renforcement.

47
Q

Qu’est-ce que le renforcement ?

A

Renforcer un comportement, c’est augmenter la probabilité d’apparition d’un comportement.

48
Q

Qu’est-ce qu’on renforce ?

A

On ne renforce jamais un individu, mais bien un comportement!

49
Q

Nomme deux programmes de renforcement.

A

Le programme de renforcement continu

Le programme de renforcement intermittent

50
Q

Explique le programme de renforcement continu

A

 Le programme de renforcement continu consiste à délivrer un renforçateur (ou agent de renforcement) à chaque réponse.
 Ce type de programme permet l’apprentissage d’un comportement plus rapidement.
 Mais il suffit que le renforçateur ne soit plus disponible pour que l’extinction se produise.
 Par exemple, si un enfant reçoit une récompense à chaque fois qu’il fait son lit, il est fort à parier que son comportement devienne moins constant si la récompense n’est plus donnée.

51
Q

Explique le programme de renforcement intermittent.

A

 Le programme de renforcement intermittent consiste à rendre l’agent de renforcement disponible seulement à la suite d’un certain laps de temps.
 Il constitue une méthode plus efficace si on considère que le comportement se maintient plus dans le temps.

52
Q

Donne deux exemples de renforcement intermittent.

A

1) La maman qui achète des chips à son enfant qui le demande pour la 10e fois.
2) Le papa qui répond à l’appel de son enfant couché après son 4e appel..

53
Q

Qu’est-ce que le renforcement positif et donnez un exemple.

A

Le renforcement POSITIF consiste à AJOUTER un stimulus suite à un comportement, pour AUGMENTER la probabilité d’apparition de ce dernier.

54
Q

Qu’est-ce que le renforcement négatif et donnez un exemple.

A

Le renforcement NÉGATIF consiste à ENLEVER un stimulus suite à un comportement qui va AUGMENTER la probabilité d’apparition de ce dernier.

55
Q

Qu’est-ce qu’une punition positive et donnez un exemple.

A

La punition positive consiste à diminuer la probabilité d’apparition d’un comportement en ajoutant un stimulus.

56
Q

Qu’est-ce qu’une punition négative et donnez un exemple.

A

La punition négative consiste à diminuer la probabilité d’apparition d’un comportement en retirant un stimulus.

57
Q

Lequel est plus efficace et lequel est à utiliser en dernier recours ?

A

Le renforcement est plus efficace que la punition. La punition est un outil à utiliser de dernier recours.

58
Q

Comment est né le mouvement pour la modification du comportement ?

A

Il faut attendre 1954 (Lindsey) et 1965 (Azrin) pour voir appliquer le conditionnement opérant dans les hôpitaux psychiatriques.

Puis les méthodes se diffusent à la psychothérapie, au domaine de l’éducation, de l’enseignement, à la solution de problèmes sociaux.

59
Q

Nomme une technique utilisée en thérapie de la modification du comportement, qui découle des principes mis en évidence par Skinner ?

A

Le FAÇONNEMENT d’un comportement par APPROXIMATIONS SUCCESSIVES.

60
Q

Avec quels types de patients sont utilisées les techniques de modification des comportements ?

A

Elles sont surtout utilisées avec des enfants avec des difficultés graves dans le but de structurer leurs comportements.
On les utilise aussi dans les institutions psychiatriques pour rééduquer des schizophrènes ou des déficients intellectuels

61
Q

Donne des exemples de procédures ou stratégies qui sont utilisées en thérapie de modification des comportements.

A

L’économie de jetons
La thérapie aversive
La désensibilisation systématique

62
Q

Qu’est-ce que l’économie de jetons ?

A

L’économie de jetons, basée sur le renforcement positif, sert à augmenter les comportements désirés chez des personnes autistes, déficientes ou schizophrènes (p. ex. hygiène de base, habiletés sociales de base).
 Elle consiste à accorder une récompense pour chaque amélioration du comportement. Par exemple, l’individu reçoit un jeton en plastique à chaque fois qu’il fait son lit ou se lave les dents. Il peut ensuite échanger ses jetons contre des agents de renforcement primaires : cigarettes, sorties, nourriture, etc.

63
Q

Qu’est-ce qu’un renforcement primaire ?

A

Puissant, immédiat et propre à chacun

64
Q

Qu’est-ce que la thérapie aversive ?

A

La thérapie aversive, basée sur le concept de punition (ajout de quelque chose de désagréable), sert à diminuer des comportements jugés indésirables (p. ex. alcoolisme, pédophilie). Elle a été utilisée longtemps (et de manière controversée!) pour modifier l’homosexualité.

Exemple dans la Rome antique : Dans la bouteille d’alcool, grosse araignée en train de pourrir.

65
Q

Qu’est-ce que la désensibilisation systématique ?

A

La désensibilisation systématique, basée sur le concept d’inhibition réciproque, aide les individus à diminuer leurs symptômes phobiques.

66
Q

Pourquoi est-ce que le terme « thérapie comportementale » (behavior therapy) a longtemps eu une connotation négative ?

A

Étude de Woolfolk et al. (1977) présentant une vidéo en classe (modification du comportement ou approche humaniste?).

67
Q

IMPORTANT

Qu’en est-il dans les faits ? La thérapie comportementale est-elle si déshumanisée ?

A

Dans les faits, la relation client-thérapeute est aussi importante en thérapie béhaviorale que dans d’autres approches! Elle est même fondamentale!

68
Q

Qui pense que l’on peut contrôler et prédire le

comportement humain, dans une certaine mesure ?

A

Watson