Cours 2 - Caractéristique Flashcards
Qu’est-ce qu’on doit analyser dans la sévérité de la symptomatologie ?
- Degré de détresse
- Degré de désorganisation
- Chronicité
Quand on sait tout ça, on a des attentes plus claires : On s’attend a ce qu’il y ai des moments dur, des moments de doute, je mattend a ce que se soit intense…
Pourquoi la sévérité de la symptomatologie est importante à considérer ?
- Elle aide à définir les priorités de traitement
- Elle permet d’ajuster un cadre en priorité
- Elle permet de prendre en compte de ps mettre un patient psychotique a la fin car il est moins stimulé
- Une symptomatologie peut impliquer de la médication, qui elle-même aura des impacts sur le suivi. La médication px avoir influence sur P,
Ex : Un P qui pense que tt lmonde est contre lui ect, bah le medicament calme ce genre de pensée. Donc sur le coup, les symptômes diminuent symptome ms à L-T ps du tt, donc psy prefere quil soit ds un incofort travaille avc lui ds un état deveil que medoc…
De façon générale, que font les enjeux de personnalité chez les patients dans le processus thérapeutique ?
Ils sont considérés comme un facteur qui complique le processus thérapeutique
Pourquoi une bonne évaluation du style de personnalité est essentielle ?
Pour orienter le traitement.
Vrai ou Faux. L’aide thérapeutique n’incite jamais à la régression
FAUX. elle peut inciter à la régression car il est important de casser kkch et après rebâtir. La régression est une bonne chose lorsqu’il y a un effondrement des défenses. Comme lorsque la P manipulatrice a avouer quelle faisait comme sa mère et pleurait pour de vrai. Elle devait passer par là… Garder en tête que la régression est nécessaire et qu’il est impossible de faire une pratique thérapeutique sans régression.
PAR CONTRE, il ne faut pas rester dans cet état de regression, donc il faut mettre un cadre ou le P n’a pas le choix de retrouver ses capacités donc on donne pas cette prise de charge COMPLÈTE (comme pour ceux avec des enjeux d’abandon qui développent une dépendance à la relation d’aide car mènent à parte de stratégie de régulation.
À quoi réfère les capacités d’introspection ?
Réfère à la capacité de l’individu à réfléchir sur son propre fonctionnement interne (pensées, cognitions, émotions, désirs) et relationnel. Le fait de developper la conscience de nous est importante dans le processsus thérapeutique.
Par exemple, la patiente manipulatrice a ft de l’introspection pour avancer dans la thérapie.
À ne pas confondre avec l’intellectualisation « ah mais oui je sais g ft ça pcq ma mère ft ça » oui mais ça s’arrête pas là… ski s’est vrm passée, pk cet état s’est déclencher, pk elle n’a pas pu agir autrement… C’est ça réfléchir et continuer l’intellectualisation.
Quels autre caractéristiques individuelle influence la capacité d’introspection ?
- Les aptitudes intellectuelles
- Les aptitudes cognitives
- Les expériences antérieures en psychothérapie (ps tjr avantageux, il sait quil faut reflechir mais pense que c finit, ui je ss cm ça mais c nrml g fja reflchit à ça) reflechit pas à ça car elle pense quelle a déjà reflechit et c fiinit, c pas une introspection complète, c de lintelectualisation
Vrai ou Faux. Si les capacités ne sont pas apparentes, c’est qu’elles sont absentes.
Faux. parfois les capacités ne sont pas apparentes, mais mobilisables ! Ca vx pas dire quelle ne sont pas là. Parfois, a les capacité ms ne les utilise pas.
Ex : experience traumatique. : qqn de tlm traumatisé donc cogntivemen ne fct plus et ne retiens pas info et reflechi ps adequemment : ex : oublie tjr rdv. « mhmm nn il va pas avancer lui » mais il faut fr un meilleur pronostype pr fr un traval théraputique + profond.
Que dire sur les capacités relationnelles du patient ?
C’est la capacité du patient à nouer des relations stables et de qualité. Ce qui comprend :
- Nouer un lien d’attachement (idéalement sécure)
- Entretenir une relation intime (pas superficielle), une vrai relation ou il se passe de vrai chose : « je nai pas accès à vous » ms jme ss ps vrm en contact avc elle… elle est tor superficielle et parlr pas de ses truc intime
- La capacité à donner et recevoir de l’autre. Patient a du mal a recevoir soin, attention, amour. Pr certain, qd qqn sapproche des faills et vulnérbailité, ce nest pas possible elle a du mal avec ça
. - Bâtir une relation satisfaisante, qui ft d bien, on a envie detre disponible pr lautre, c du donannt donnant,
- Entretenir des relations diversifiées, charles nen a pas…. Il a son petit noyau et c tt, avoir des sphères differentes c important pcq ça apporte des choses differentes. C un indicateur dun bon fonctionnement relationnelle.
Pourquoi est-il important de considérer les capacités relationnelles du patient ?
Pour avoir une idée de la qualité du lien qui pourra se développer entre le patient et le thérapeute.
À quoi est relié les capacités relationnelles ?
Cette aptitude est fortement reliée au style d’attachement (sécure, détaché, anxieux-évitant, préoccupé).
Quels sont les 3 éléments à détecter dans l’attitude du patient face à la psychothérapie ?
1) Motivation : qu’est-ce qui amène initialement l’individu à consulter ? C frquent que le coinjiont incite… ou consulter pr aller en cours c non !
2) Engagement: implication du patient dans son suivi (en séance et hors séance) / 4 ans a avoir accès a ses emotions, nn pas manque denagement mais associé à sa personnalité, mais au final, elle la questionner sur manque dengagement, et lui a dit ui ms jm ps avoir mes angoisse face à moi.
3) Adhérence à l’approche proposée. « faut parler du deuil de ton père au lieu de dependance ».
Dans la motivation, on parle de quoi exactement ?
- La volonté de diminuer les symptômes pathologiques
- La volonté d’avoir du support dans cette démarche de changement
- L’influence d’un tiers
- Gain secondaire (lettre thérapeutique avt daller en cours)
- à juger à cas par cas, c pas pcq quil vx reduire ses symptomes quil va avoir un bon engagement,
Comment peut être la demande ?
1) Explicite (bjr jr viens consuler pr x)
2) Latente (consciente (pr un gain ms le disent ps) ou inconsciente (consulte pr dépendance ms réalise que c le deuil qui est la vrai dmd)
3) Impossible… « que moi et mon conjoint on rste ensemble »
Il faut évaluer si la demande est …
1) Réaliste
2) À votre portée (très important, c’est une obligation déontologique) car parfois realiste ms ps à ma porté alors on doit le référer.
3) A la porté du cadre que jai mis en place et que je ss a l’aise à travailler.
Ex : anorexie qui na pas de suivie medical, je ne px ps assumer ça tt seule… et jpp la forcer a consulter donc orienter la dmd « faudrait aller consulter dabord »
Que dire de l’adaptation et de la résilience ?
Ce sont des «alliées» importantes dans le processus thérapeutique: sachez les repérer
Adaptation (situation imprévue, kske jfais..)
Résilience (capable de survivre apres une situation dadversité)
Attention: trouver l’équilibre entre mobiliser les forces et reconnaître les souffrances… ? on vx dire quoi par là
Les caractéristiques externes sont importantes ?
Oui, faut tenir compte de tous les elemnts internes (la demande, la personnalité, l’introspection, la résilience, la motivation, les capacité relationnelle) ET les caractéristiques externe, donc dans quelle environnement est la personne.
Qu’est-ce qu’on regarde dans l’environnement social ?
1) l’étendue et la qualité du réseau social :
- Cohésion / intimité
- Ouverture aux émotions
- Mode de communication et de gestion conflits
- Réseau social supportant
2) Contexte culturel
- Perception de la psychopathologie (dépression n’existe pas)
- Perception de la psychothérapie (famille arabe pense ça sert à rien)
- Expression de la souffrance
Qu’est-ce qui peut faire interférer avec la thérapie ?
Le contexte de vie du patient rencontre différent stress qui peuvent interférer avec la thérapie.
Qu’est-ce qu’on peut faire lorsqu’il y a des évènements stressant et traumatiques dans la vie d’un patient ?
Lorsque les interventions habituelles ne sont plus une option, deux possibilités:
- Intervention de crise spécifique à la situation
- Interruption du suivi ou report du début de la thérapie
L’interruption d’un processus thérapeutique n’est pas à voir comme un échec. Ça dpd kskon on est entrain de travailler.
D’abord, il faut stabiliser le mieux, une fois que c’est stable et sécuritaire, là on travaille processus thérapie.
Que dire des ressources financières ?
C’est un aspect très important à considérer en bureau privé.
Je sais que je travaille au long terme et si le P a pas les $$, je m’embarque
En contexte institutionnel, les patients ne payent pas directement le thérapeute…mais la précarité financière peut amener d’autres contraintes qui auront des répercussions sur la thérapie.
Quelles sont les contraintes externes ?
- Temps / disponibilité
- Lieu de résidence vs lieu de thérapie: une trop grande distance à parcourir pour se rendre en thérapie serait parmi les principaux facteurs d’interruption (désengagement rapide)
- Situation familiale. (mere monoparentale avc 3 enfants.. Jpx venir avec mes 3 enfants…NON)
!Externe, font partie de dsa vie et quotien c pa sla faute DU patient