Cours 2 Flashcards

1
Q

Émotion globale et durable qui colore la perception du monde. Oscillant, chez tout individu, entre la position pessimiste (abattement, dépression, tristesse, désespoir) et la position optimiste (enthousiasme, euphorie). Contrairement à l’affect, plus global et plus stable.

A

Humeur (thymie)

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2
Q

V/F

L’humeur est d’une plus longue durée que l’affect.

A

Vrai

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3
Q

État dans lequel une personne éprouve d’intenses sentiments de dépression, de mécontentement et dans certains cas, une indifférence au monde qui l’entoure.

A

Dysphorie

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4
Q

Surévaluation exprimées sans réticence, se rapportant à la personne du patient, son aspect physique, son niveau social, sa fortune, sa lignée, sa parenté, ses relations et sa puissance. Leur dimension est parfois grandiose, colossale, voire cosmique.

A

Idées de grandeur

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5
Q

Flot accéléré et quasiment ininterrompu du discours comprenant de brusques changements de sujet, qui repose habituellement sur des associations compréhensibles, des distractions par des stimuli divers ou des jeux de mots. Lorsque la fuite des idées est importante, le discours peut être désorganisé et incohérent.

A

Fuite des idées

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6
Q

Doit présenter un épisode maniaque.
Peut présenter des épisodes hypomaniaques ou dépressifs.
N’est pas mieux expliqué par un trouble psychotique.

A

Trouble bipolaire de type 1

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7
Q

A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante.
Avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie.
Persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine.

B. Au moins 3 des symptômes suivants au cours de la période de perturbation :
Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeurs.
Réduction du besoin de sommeil.
Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
Fuite des idées ou sensation subjectives que les pensées défilent.
Distractabilité
Augmentation de l’activité orienté vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (non orienté vers un but).
Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (achat inconsidérés, conduites sexuelles inconséquentes, investissement déraisonnable, consommation)

C. Suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation.

D. L’épisode n’est pas imputable à une substance ou à une affection médicale.

A

Épisode maniaque

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8
Q

A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante.
Avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie.
Persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.

B. Au moins 3 des symptômes suivants au cours de la période de perturbation :
Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeurs.
Réduction du besoin de sommeil.
Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
Fuite des idées ou sensation subjectives que les pensées défilent.
Distractabilité
Augmentation de l’activité orienté vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (non orienté vers un but).
Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (achat inconsidérés, conduites sexuelles inconséquentes, investissement déraisonnable, consommation)

C. Modifications indiscutables du fonctionnement.

D. La perturbation est manifeste pour les autres.

E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération maquée du fonctionnement.

F. L’épisode n’est pas imputable à une substance.

A

Épisode hypomaniaque

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9
Q

Quelles sont les 2 différences entre l’épisode maniaque et l’épisode hypomaniaque

A
  1. La durée

2. La notion de dysfonctionnement

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10
Q

A. Au moins cinq des symptômes suivants, pendant 2 semaines :
Humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours.
Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour presque toutes les activités.
Pert ou gain de poids significatif en l’absence de régime, ou diminution/augmentation de l’appétit.
Insomnie ou hypersomnie
Agitation ou ralentissement psychomoteur
Fatigue ou perte d’énergie
Sentiment de dévalorisation ou culpabilité excessive
Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer, ou indécision
Pensées de mort récurrentes, idées suicidaires, tentatives de suicide

B. Induit une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autre domaine importants.

C. L’épisode n’est pas imputable à une substance ou une affection médicale

A

Épisode dépressif caractérisé

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11
Q

Doit présenter un épisode hypomaniaque et un épisode dépressif.

N’a jamais eu d’épisode maniaque

N’est pas mieux expliqué par une trouble psychotique

L’alternance des épisodes entraîne une souffrance important ou une altération du fonctionnement

A

Trouble bipolaire de type 2

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12
Q

A. Existence pendant au moins 2 ans
Symptômes hypomaniques, sans épisode hypomaniaque
Symptômes dépressifs, sans épisode dépressif

B. Ces épisodes ont été présents durant la moitié de ces deux années

C. Les critères pour un épisode maniaque, hypomaniaque ou dépressif n’ont jamais été réunis.

D. N’est pas mieux expliqué par un trouble psychotique

E. N’est pas mieux expliqué par une substance ou une affection médicale

F. Induit une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autre domaine importants.

A

Trouble cyclothymique

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13
Q

A. Perturbation thymique persistante; élévation de l’humeur, un humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités.

B. L’examen physique montre:
Les Sx se sont développés pendant ou peu après l’intoxication.
La substance est capable de produire les Sx.

C. La perturbation n’est pas mieux expliqué par un autre trouble.

D. La perturbation ne survient pas uniquement au cours d’un état confusionnel

E. Les symptômes entrainent un détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement

A

Trouble bipolaire induit par une substance

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14
Q

A. Une période d’humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie.

B. L’examen physique montre que la perturbation est la conséquence d’une affection médicale

C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental.

D. La perturbation ne survient pas uniquement au cours d’un état confutionnel.

E. Les symptômes entrainent un détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement

A

Trouble bipolaire dû à une autre affection médicale

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15
Q

A. Symptômes caractéristiques des troubles bipolaires

B. Détresse cliniquement significatives ou altération du fonctionnement

C. Ne répond pas entièrement aux critères des troubles bipolaires

A

Autre trouble bipolaire spécifié

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16
Q

A. Symptômes caractéristiques des troubles bipolaires

B. Détresse cliniquement significatives ou altération du fonctionnement

C. Ne répond pas entièrement aux critères des troubles bipolaires

D. Le clinicien décide de ne pas communiquer la raison particulière

A

Trouble bipolaire non spécifié

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17
Q

Quelle est la conséquence négative la plus fréquente chez les individus souffrant d’un trouble bipolaire?

A

Le suicide

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18
Q

Quelle est la prévalence des troubles bipolaires dans la population générale?

A

Environ 3%

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19
Q

V/F

Les troubles bipolaires sont plus présents chez les femmes que chez les hommes

A

Faux. Ratio de 1 pour 1.

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20
Q

V/F.
La prévalence des troubles bipolaires dans la population générale est plus grande que les troubles du spectre de la schizophrénie.

A

Vrai

21
Q

Quelle groupe a la plus faible espérence de vie entre:

a) les individus ayant un trouble bipolaire
b) les individus ayant un trouble du spectre de la schizophrénie

A

B) spectre de la schizophrénie

22
Q

Quelles sont 3 façons possibles de défénir la normalité ?

A

Normalité normative
Normalité idéale
Normalité fonctionnelle

23
Q

Avec quelles types de “normalités” fonctionne le DSM principalement?

A

Normalité normative et fonctionnelle

24
Q

Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendue dans la culture de l’individu. Cette déviation est manifeste dans au moins 2 des domaines suivants:
Cognition (soi-même, autrui, événements)
Affectivité (diversité, intensité, labilité, adéquation)
Fonctionnement interpersonnel
Contrôle des impulsions

Durable, rigide, envahissant

Souffrance cliniquement significative, altération du fonctionnement

Stable, prolongé, depuis début âge adulte

A

Trouble général de la personnalité

25
Q

V/F

Pour diagnostiquer un trouble de la personnalité, il faut qu’il soit présent depuis le début de l’adolescence.

A

Faux. Depuis le début de l’âge adulte.

26
Q

Quels sont les 3 grands groupes de troubles de la personnalité

A

A. distant (bizarres et excentriques)
B. impulsif (théâtrales, émotifs, capricieux)
C. anxieux (anxieux et craintifs)

27
Q

Quels troubles de la personnalité sont inclus dans le groupe DISTANT?

A

Paranoïaque
Schizoïde
Schizotypique

28
Q

Quels troubles de la personnalité sont inclus dans le groupe IMPULSIF?

A

Antisocial
Borderline
Histrionique
Narcissique

29
Q

Quels troubles de la personnalité sont inclus dans le groupe ANXIEUX?

A

Évitante
dépendante
obsessionnelle-compulsive

30
Q

Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes. (au moins 4) :
S’attend à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent
Doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité
Réticent à se confier par crainte que l’information soit utilisée contre lui
Discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes
Garde rancune
Perçoit des attaques, prompt à la contre-attaque, réagit avec colère
Met en doute la fidélité de son conjoint

A

Personnalité paranoïaque

31
Q

Détachement par rapport aux relations sociales et restriction de la variété des expressions émotionnelles (au moins 4) :
N’apprécie pas les relation proches
Choisi des activités solitaires
Peu d’intérêt pour les relations sexuelles avec les autres
N’éprouve du plaisir que dans de rares activités
N’a pas d’amis proches
Semble indifférent aux éloges ou à la critique
Fait preuve de froideur

A

Personnalité schizoïde

32
Q
Déficit social et interpersonnel, gêne aigüe et compétences réduite dans les relations proches, distorsions cognitives et perceptuelles, conduite excentriques (au moins 5) :
Idées de référence
Croyances bizarres
Perceptions inhabituelles
Pensée et langage bizarres
Idéations méfiantes
Inadéquation ou pauvreté des affects
Comportements ou aspect bizarre
Absence d’Amis
Anxiété excessive en situation sociale
A

Personnalité schizotypique

33
Q

POurquoi la personnalité schizotypique ne fait pas partie du spectre de la schizophrénie?

A

Les symptômes ne sont simplement pas assez significatifs

34
Q

Mépris et transgression des droits d’autrui (au moins 3):
Incapacité de se conformer aux normes sociales (légales)
Tendance à tromper pour profit ou plaisir; mensonge, escroquerie.
Impulsivité ou incapacité à planifier d’avance
Irritabilité et agressivité
Mépris pour sa sécurité et celle d’autrui
Irresponsabilité persistance (emploi, obligations financières)
Absence de remords.

A

Personnalité antisociale

35
Q

Instabilité des relations interpersonnelles, de l’image de soi, des affects. Impulsivité marquée (au moins 5).
Efforts effrénés pour éviter les abandons.
Relations interpersonnelles instables et intenses. Alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation.
Perturbation de l’identité. Instabilité de l’image de soi.
Impulsivité (dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile, boulimie)
Répétitions de comportements suicidaires ou automutilation.
Instabilité affective.
Sentiment chronique de vide.
Colères intenses.
Idéations persécutoires ou Sx dissociatifs.

A

Personnalité borderline

36
Q

Réponse émotionnelle excessive et quête d’attention (au moins 5).
Mal à l’aise lorsqu’il n’est pas au centre de l’attention
Comportement de séduction sexuelle inadapté ou attitude provocante.
Expression émotionnelle superficielle et changeante.
Utilise son aspect physique pour attirer l’attention
Discours subjectif mais pauvre en détail.
Dramatisation, théâtralisme et exagération de l’expression émotionnelle
Suggestibilité (influencé par autrui)
Considère les relations plus intimes qu’elle ne le sont

A

Personnalité histrionique

37
Q

Fantaisies ou comportements grandioses, besoin d’être admiré et manque d’empathie (au moins 5) :
Le sujet a un sens grandiose de sa propre importance.
Fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté d’amour.
Pense être spécial et unique. Ne peut être compris que par des gens de haut niveau.
Besoin excessif d’être admiré.
Pense que tout lui est dû (traitement particulier)
Exploite les autres; les utilise pour arriver à ses fins.
Manque d’empathie.
Envie les autres et croit que les autres l’envient.
Attitudes arrogantes et hautaines.

A

Personnalité narcissique

38
Q

Inhibition sociale. Sentiment de ne pas être à la hauteur. Hypersensibilité au jugement négatif d’autrui. (au moins 4) :
Évite les activités sociales, par crainte d’être critiqué, désapprouvé ou rejeté.
Réticence à s’impliquer.
Réservé dans les relations intimes par crainte d’être exposé à la honte ou au ridicule.
Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales.
Inhibé dans les situations interpersonnelles par crainte de ne pas être à la hauteur.
Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur.
Réticent à prendre des risques par crainte d’éprouver de l’embarras.

A

Personnalité évitante

39
Q

Besoin général et excessif d’être pris en charge. Comportement soumis et «collant», peur de la séparation. (au moins 5)
Du mal à prendre des décisions sans être rassuré ou conseillé de manière excessive.
Besoin que d’autre assument les responsabilités
Du mal à exprimer un désaccord de peur de perdre leur soutien
Du mal à initier des projets.
Cherche à outrance à obtenir le soutien, au point de faire volontairement des choses désagréables.
Se sent mal lorsqu’il est seul (crainte).
Se cherche de manière urgente une autre relations suite à une rupture.
Préoccupé de manière irréaliste à être seul (débrouiller)

A

Personnalité dépendante

40
Q

Préoccupation par l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel, aux dépens d’une souplesse, d’une ouverture, et de l’efficacité (au moins 4) :
Préoccupation par les détails, les règles, l’organisation ou les plans; au point où le but de l’activité est perdu.
Perfectionnisme qui entrave l’achèvement des tâches.
Dévotion excessive pour le travail et la productivité
Trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des questions de morale, d’éthique ou de valeurs.
Incapacité de jeter des objets usés
Réticence à délégué des tâches
Avare avec l’argent
Rigide et têtu.

A

Personnalité obsessionnelle-compulsive

41
Q

A) Quel groupe est le plus présent dans la population générale?

B) Quel groupe est le moins présent?

A

a) Impulsif

b) distant

42
Q

Les Troubles liés à une substance et troubles addictifs regroupent quoi ?

A

10 classes de drogue + jeu d’argent pathologique

43
Q

A. Ingestion récente de la substance

B. Changement comportementaux ou psychologique problématiques, cliniquement significatifs

C. Symptômes (spécifiques à chaque substance)

D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance

A

Intoxication par une substance

44
Q

A. Mode d’usage problématique d’une substance conduisant à une altération du fonctionnement ou une souffrance cliniquement significative caractérisé par la présence d’au moins deux des manifestations suivant au cours d’une période de 12 mois
La substance est souvent consommée en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu.
Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation.
Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir et utiliser la substance, ou à récupérer de ses effets
Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer
Consommation répétée conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école, ou à la maison
Consommation continue malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets
Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites
Consommation répétée dans des situations où cela peut être physiquement dangereux
L’usage est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
Tolérance
Sevrage

A

Trouble de l’usage

45
Q

A. Arrêt ou réduction d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé

B. Certaines manifestations se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (spécifiques à chaque substance)

C. Les signes B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social professionnel ou dans d’autres domaines importants

D. Les signes B ne sont pas du à une autres affection, substance, trouble

A

Sevrage d’une substance

46
Q

Quelle est le seul type de substance qui peut causer un trouble persistant?

A

hallucinogènes

47
Q

Quelle est la seule substance qui ne peut PAS causer de trouble de l’usage?

A

La caféine

48
Q

Quelle est la seule substance qui ne peut PAS causer une intoxication?

A

Le tabac

49
Q

Quelles sont les 2 substances qui ne peuvent PAS causer de sevrage?

A

Hallucinogènes + substances inhalées