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Base biologique du comportement > Cours 12 > Flashcards

Cours 12 Flashcards

1
Q

“Revoir avec le livre diapo 47 et 48”
Un changement dans le comportement de
l’organisme en fonction de l’expérience.

A

Apprentissage

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Q

L’habileté à se rappeler ou à reconnaître des

informations antérieures.

A

Mémoire

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3
Q

Représentation d’une expérience passée.

A

Trace mnésique

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4
Q

Transformation de l’information externe ou interne en

format mémorisable.

A

Encodage

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5
Q

Processus par lequel l’information mémorable est

conservée entre deux utilisations.

A

Stockage (ou consolidation)

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6
Q

Transformation de la trace mnésique en information

utilisable.

A

Récupération
- Rappel: l’information est produite (avec ou sans indices)
- Reconnaissance: l’information est reconnue à partir d’une
reproduction partielle ou totale (avec ou sans distracteurs)

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7
Q

Vrai ou faux ? On peut créer un conditionnement classique avec le réflexe
palpébral.

A

Vrai

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8
Q

Conditionnement classique standard implique le

A

cervelet

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9
Q

Conditionnement de la peur implique

A

l’amygdale

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10
Q 
Apprentissage où les conséquences
(e.g., récompense ou punition) d’un
comportement (e.g., appuyer sur une
barre) augmentent ou diminuent la
probabilité de reproduire le
comportement.
A

Conditionnement instrumental ou

opérant

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11
Q

Utiliser l’information visuelle proximale et/ou

distale pour retrouver un objet dans l’espace.

A

Apprentissage visuospatial (ex. Tâche de Morris
• Le rat placé dans une piscine apprend rapidement à
retrouver une plateforme invisible)

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12
Q

Apprentissage d’une “règle” plutôt que d’une

association

A

Learning set (Aller vers la tache jaune pour retrouver la plateforme
lorsque les deux (tache et plateforme) se déplacent
ensemble)

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13
Q

Mémoire reflétant des connaissances
apprises mais qu’il n’est pas possible de
traiter consciemment, explicitement
- Apprentissage généralement inconscient, par
pratique

A

Mémoire implicite

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14
Q
  • Perte de mémoire explicite partielle ou totale
  • Généralement n’empêche pas un niveau de
    performance normal sur tâches implicites
A

Amnésie

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15
Q

Mémoire où l’on peut récupérer
consciemment et délibérément un item et
indiquer le niveau de confiance de notre
réponse

A

Mémoire explicite

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16
Q

La mémoire déclarative concerne

A

Les faits
- Nos connaissances générales, la date, l’endroit, et les
circonstances qui nous entourent

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17
Q

Habileté à se rappeler un mouvement ou produire un

geste ou comportement

A

Mémoire procédurale

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18
Q

Vrai ou faux ? Peu différencie la perspective implicite-explicite de
la perspective procédurale-déclarative.

A

Vrai

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19
Q 
est traitée de
façon “bottom-up” (piloté par les données)
- Information encodée telle que perçue
- Peu de réinterprétation
- Rôle passif
A

Information implicite ou procédurale

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20
Q 
traitée de manière “topdown”
(pilotée par les concepts)
- L’information est traitée et interprétée à divers degrés
avant le stockage
- Rôle actif
A

Information explicite

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21
Q
  • Durée de quelques minutes (c’est quoi encore le numéro
    du resto?)
  • Implication des lobes frontaux
A

Mémoire à court terme/ de travail

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22
Q
  • Durée indéfinie

- Implique lobes temporaux

A

Mémoire à long terme

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23
Q

Vrai ou faux ? Il n’y a pas d’endroit unique dans le cerveau
pouvant être considéré locus de la mémoire ou de
l’apprentissage.

A

Vrai

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24
Q

L’information est stockée en partie là où ?

A

traitée
- Information de chaque modalité sensorielle
(e.g., vision, audition) traitée à des endroits
différents

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25
Q

Vrai ou faux ? Martin et collègues (1995) ont montré que
• Rappel des couleurs: une région du lobe
temporal ventral
• Rappel de mots liés à l’action: région du gyrus
temporal médian

A

Vrai

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26
Q

Forme spéciale de mémoire explicite/déclarative:
- Information autobiographique pour les événements liés
à context précis (qui, quoi, où)
- Version flashbulb
- E.g., 11 septembre 2001

A

Mémoire épisodique

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27
Q
  • Incapacité à se rappeler d’expériences personnelles
  • Associée à problème des lobes frontaux
    (Lobes frontaux comme rétrospective personnelle)
A

Amnésie épisodique

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28
Q

Vrai ou faux ? H.M. ne pouvait plus se rappeler d’information explicite après
son opération:
- Amnésie antérograde
Il avait quelques déficits d’info explicite avant ses opérations:
- Amnésie rétrograde

A

Vria

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29
Q

Vrai ou faux ? Le QI de H.M. est demeuré moyen, sa performance à des
tâche perceptuelles était adéquate, et pouvait se
souvenir de son enfance et le début de l’âge adulte. Sa performance sur tests de mémoire implicite
intacte:
- Nouveaux apprentissages

A

Vrai

30
Q
  • Hippocampe
  • Amygdale
  • Cortex adjacents dans le lobe
    temporal
A

Son des parties du cortex de H.M. qui ont été sectionnées

31
Q

Vrai ou faux ? J.K. avait des dommages aux ganglions de la base.

A

Vrai

32
Q

Le patient J.K. avait des…

A

problèmes de mémoire implicite mais

mémoire explicite intacte (Aucun problème avec souvenirs explicites, mais difficile pour lui de fermer la radio)

33
Q

Quels sont les circuits principaux de la

mémoire explicite ?

A

Région temporale médiane:

  • Hippocampe
  • Amygdale
  • Cortex Entorhinal (Situé sur la surface médiane du lobe temporal)
  • Cortex périrhinal
  • Cortex parahippocampique
34
Q

Route importante pour input néocortical à
l’hippocampe:
- Fréquente détérioration dans la maladie
d’Alzheimer.

A

Cortex Entorhinal

35
Q
  • Cortex situé le long de la surface dorsale médiane du
    lobe temporal
  • Reçoit connections du cortex pariétal:
  • Traitement visuospatial (où + comment)
A

Cortex parahippocampique

36
Q

Cortex près de la fissure rhinale à la base du cerveau

  • Reçoit connections du système visuel ventral
  • Mémoire visuelle d’objets (quoi).
A

Cortex périrhinal

37
Q

Vrai ou faux ? Circuits principaux de la

mémoire explicite communique dans les deux sens.

A

Vrai

38
Q

produit déficits dans
le traitement de l’information concernant la
mémoire spatiale:
- E.g., localisation des objets

A

Lésion de l’hippocampe

39
Q

Vrai ou faux ? L’hippocampe chez les oiseaux et rongeurs
qui cachent de la nourriture est relativement
plus gros que chez ceux qui n’en dissimulent
pas.

A

Vrai

40
Q
  • Projections du cortex entorhinal aux aires
    corticales sensorielles maintiennent l’expérience
    sensorielle active plus longtemps qu’en réalité
  • Le cortex entorhinal garde le néocortex au courant
    de ce qui se passe dans les lobes temporaux
A

Sont des bénéfices des circuits réciproques entre le néocortex et le cortex entorhinal

41
Q
  • Mémoire pour la séquence des événements

- Impliqués dans mémoire(s) à court terme

A

Rôle des lobes frontaux

42
Q

Vrai ou faux ? Tous les systèmes sensoriels projettent aux lobes
frontaux:
- E.g., dans des tâches requérant de mémoriser de l’info
un bref instant, des neurones frontaux chez les singes
demeurent actifs durant tous le délai (certains s’éteignent avant les erreurs)

A

Vrai

43
Q

Syndrome de Korsakoff
- Perte permanente de l’habileté d’apprendre de
nouvelles informations (amnésie antérograde) et
de récupérer de la vieille information (amnésie
rétrograde). Causé par alcoolisme chronique ou malnutrition qui
produit une déficience en thiamine (vitamine B1). Les dommages ce situes au niveaux du ?

A
  • Diencéphale (le thalamus médian et
    les corps mamillaires de l’hypothalamus)
  • Cortex frontal
44
Q

Vrai ou faux ? Mishkin croit que les souvenirs implicites
sont inconscients pcq les connections entre
les ganglions de la base et le cortex sont
unidirectionnelles.

A

Vrai
- Ganglions reçoivent information du cortex, mais ne
projettent pas en retour au cortex
- Pour que les souvenirs soient conscients, il faut un
feedback (rétroaction) au cortex:
- Lobe temporal médian projette en retour au cortex, alors
souvenirs explicites sont conscients

45
Q
  • Mémoire des composantes affectives des stimuli
    ou événements
  • Peut être implicite ou explicite
  • Amygdale est essentielle
A

Mémoire émotionnelle

46
Q

Vrai ou faux ? Dommages à l’amygdale produisent perte de
mémoire émotionnelle mais peu ou pas d’effet sur
mémoires implicites ou explicites liées à autres
informations.

A

Vrai

47
Q

Vrai ou faux ? Les circuits de la mémoire émotionnelle sont réciproque.

A

Vrai

48
Q

Vrai ou faux ? Au niveau neuronal, la mémoire est associée avec
des changements synaptiques:
- La synapse est le moyen par lequel un neurone en
influence un autre

A

Vrai

49
Q

Deux approches pour l’étude

des changements synaptiques lié à la mémoire sont

A

1- Changements synaptiques dans le système nerveux
d’organismes simples
(Exemples: Aplysie (±20000 neurones), C. elegans (302
neurones), drosophile (100000 neurones))
2- Changements synaptiques dans le système nerveux des
mammifères

50
Q

Quels sont les mesures du changement synaptique ?

A

1- Modification des circuits existants

2- Création de nouveaux circuits

51
Q
  • Neurones changent leur structure en réponse
    aux expériences
  • Changements dans le nombre de dendrites
    utilisé pour inférer changements synaptiques: - Plus de dendrites = plus de connections
  • Nouvelles synapses entre neurones déjà
    connectés ou entre neurones non connectés
    au préalable
    Sont tous des
A

modifications des circuits existants

52
Q

Vrai ou faux ? Le cerveau des mammifères ne produit pas de
nouveaux neurones à l’âge adulte était la vue prédominante avant le milieu des années 1990 mais les nouvelles données suggèrent le contraire.

A

Vrai
Les nouvelles données montrent qu’ils y a création de nouveaux circuits
- Bulbe olfactif, hippocampe, et possiblement le
néocortex
- Raisons pour expliquer la neurogénèse pas
claires

53
Q
  • Poids du cerveau
  • Longueur des dendrites
  • Processus liés aux astrocytes
  • Volume vasculaire
  • Nombre de synapses par neurone
  • Volume mitochondrique: - Plus grande activité métabolique
  • Signes de neurogénèse additionnelle
A

Sont tous des effets associé au cerveau de rats élevés dans des environnements enrichis

54
Q

Nudo et collègues (1997): - Singes récupèrent nourriture de petits ou grands
orifices: - Les petits orifices requièrent une plus grande dextérité
pour réussir à sortir la nourriture. Quels effets à été observés ?

A

La représentation des doigts sur cortex moteur
des singes associés à petit orifice beaucoup plus
importante

55
Q
  • Mesure indirectement cartes sensorielles chez
    individus amputés
  • Lorsque le visage est touché doucement avec un
    cotton-tige, les amputés rapportent des
    sensations de toucher à leur main amputée
  • Peut expliquer la douleur aux membres fantômes
A

Ramachandran, méthode corrélationnelle

56
Q
  • Relation entre la complexité des arborisations
    dendritiques et la nature des computations
    réalisées par une région particulière
    (Exemple: Neurones recevant input des doigts versus
    ceux associés au tronc)
  • Expériences de vie altèrent aussi la densité /
    morphologie dendritique
    (Exemple: les gens avec un travail requérant dextérité
    ont un ratio d’élaboration dendritique doigt / tronc
    plus élevé que ceux travaillant dans la vente)
A

Autres changements liés à l’expérience Scheibel et collègues

57
Q

Vrai ou faux ? Les hormones gonadiques ont un effet sur la plasticité du cerveau.

A

Vrai

58
Q

Plus de dendrites dans l’hippocampe des rates

A

Niveaux élevés d’œstrogènes

59
Q

Plus de dendrites dans le néocortex et moins de
dendrites dans l’hippocampe
- Lié à problèmes de mémoire chez femmes ménopausées

A

Niveaux bas d’œstrogènes

60
Q

Plus de dendrites dans le néocortex

- Baisse des habiletés spatiales? Comment?

A

Bas niveaux de testostérone chez hommes d’âge

moyen

61
Q
  • Relâchées des glandes corticosurrénales en
    temps de stress
  • Aident au métabolisme des protéines et glucides
    et au contrôle des niveaux de sucre dans le sang
    et les cellules
  • Niveaux soutenus de glucocorticoïdes associés
    au stress prolongé peuvent être neurotoxiques: - Tuent des cellules de l’hippocampe
A

Hormones glucocorticoïdes

62
Q

Stimule les neurones à développer des dendrites
et synapses et, dans certains cas, augmente la
probabilité de survie des neurones

A

Nerve Growth Factor (NGF)

63
Q
  • Peut augmenter la plasticité, telles la croissance
    des dendrites et synapses
  • Niveaux plus élevés lorsque des animaux
    apprennent des problèmes.
A

Brain-Derived Neurotrophic Factor (BDNF)

64
Q

Vrai ou faux ? Augmentation de la réponse béhaviorale suite à
l’administration répétée d’un stimulant psychomoteur,
comme l’amphétamine, la cocaïne, ou la nicotine: - Sensibilisation comportementale
- Associée à une augmentation du nombre de
récepteurs, synapses, et dendrites

A

Vrai

65
Q

Vrai ou faux ? Par contre, animaux sensibilisés placés dans des
environnements complexes ne montrent pas les
changements plastiques typiquement associés à ces
environnements.

A

Vrai

66
Q

Quels sont les trois façons possibles de récupérer d’une lésion ?

A
  • Apprendre de nouvelles solutions
  • Réorganiser les circuits pour compenser
  • Créer de nouveaux circuits avec de nouveaux neurones
67
Q

Après l’amputation de sa main dextre, on peut
apprendre à écrire, jouer au badminton,
attacher ses chaussures avec la main restante

A

Méthode: nouvelles solutions

68
Q 
En réponse à une lésion, le cerveau peut
créer de nouvelles connections pour faire
“plus avec moins”
- La récupération est aidée par des
interventions ciblées
A

Méthode: nouveau circuit

69
Q

Vrai ou faux ? les cellules souches ne remplaceront jamais souvenirs perdus

A

Vrai

70
Q

Transplantation de cellules souches

- Succès mitigés à ce jour: - Plus pertinents lorsque peu de neurones à remplacer

A

Méthode: neurogénèse

71
Q

Replacement de cellules perdues
- Epidermal Growth Factor (EGF): - Facteur neurotrophique qui stimule la région
subventriculaire pour générer des cellules migrant dans le
striatum et se différenciant en neurones et cellules gliées

A

Méthode: neurogénèse
(Il est possible que, dans le futur, les facteurs
trophiques soient couramment utilisés dans le
traitement des lésions au cerveau)

Base biologique du comportement (7 decks)

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