Cours 11 - Prévention de la gestion de risque, résilience et promotion de la santé Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’article 7 de la charte Canadienne des droits et libertés assure ?

livre

A

Chacun à droit à la vie, à la liberté, et à la sécurité de sa personne; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu’en conformité avec les principes de justice fondamental.

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2
Q

Qu’est-ce que l’article 3 de la déclaration universelle des droits de l’homme assure ?

livre

A

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sureté de sa personne.

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3
Q

Comment se définit la sécurité selon le Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes, le Réseau de la santé publique et le Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec ?

livre

A

La sécurité est un état où les dangers et les conditions pouvant provoquer des dommages d,ordre physique, psychologique ou matériel sont contrôlés de manière à préserver la santé et le bien-être des individus et de la communauté. C’est une ressource indispensable à la vie quotidienne qui permet à l’individu et à la communauté de réaliser ses aspirations.

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4
Q

Quelle est la définition du rôle de criminologue en ce qui concerne la promotion de la santé, selon l’OPCQ ?

livre

A

Pour l’ensemble des professions du domaine de la santé mentale et des relations humaines, l’information, la promotion de la santé, la prévention du suicide, de la maladie, des accidents et des problèmes sociaux font également partie de l’excercice de la profession, auprès des individus, des famille et des collectivités.

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5
Q

En quoi consiste les saines habitudes de vie ?

3 aspects

livre

A
  • Actions habituelles, quotidiens, réguliers
  • Entraine une santé physique et psychologique
  • Assurent la survie et l’épanouissement de la personne
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6
Q

Nommez 3 déterminants sociaux en santé mentale.

7 possibles

livre

A
  1. Accès à des soins de santé
  2. Statut social / niveau de revenu
  3. Emploi / éducation
  4. Réseau de soutien
  5. Développement sain durant l’enfance
  6. Sécurité physique / logement
  7. Accès à des soins de santé
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7
Q

Donnez des exemples de bonnes haitudes de vie dans son travail en intervention.

livre

A
  • Marcher
  • Écouter de la musique
  • Programmes d’aide
  • Psychologue

Les éléments que l’intervenant peut faire pour décrocher de son travail, combler les besoins de base

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8
Q

Nommez et décrivez brièvement les trois niveaux de prévention

livre

A
  1. Primaire : Prévenir l’apparition de conséquences pour agir sur les facteurs de risque avant qu’ils ne surviennent
  2. Secondaire : Agir au niveau des conséquences
  3. Tertiaire : Réduire les effets négatifs, veut réduire la souffrance de l’individu pris avec un problème
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9
Q

Plusieurs programmes sociaux découlant du principe de la prévention se base sur quelle structure ?

livre

A

Soulever le problème en impliquant des acteurs qui mettront de l’avant la cause afin d’y trouver des solutions concrètes.

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10
Q

Quel était le niveau de prévention dans le vidéo visionné en classe avec un pigeon ?

Wooclap

A

Primaire, mais aurait pu être secondaire

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11
Q

Quel était le niveau de prévention dans le vidéo visionné en classe sur SOS violence conjugale ?

A

Secondaire, mais aurait pu être tertiaire

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12
Q

Quel était le niveau de prévention dans le vidéo visionné en classe sur le travail ?

Wooclap

A

Tertiaire

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13
Q

Quel était le niveau de prévention dans le vidéo visionné en classe sur le thé ?

Wooclap

A

Primaire

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14
Q

Comment se définit les comportements autodestructeur, seulon la litérature ?

3 aspects

livre

A
  • Il s’agit d’une blessure qu’on s’inflige à soi-même.
  • Elle doit impliquer de la violence physique et ne pas avoir comme intention de se donner la mort.
  • C’est un geste intentionnel pour ressentir une douleur physique afin de s’engourdir.
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15
Q

Comment s’explique le fait que les clients qui s’automutilent passent par-dessus la sensation de douleur, les amenant dans un mode dissociatif ?

livre

A

L’endorphine sécrété par leur corps lors de l’automutilation permet de s’engourdir les amenant ainsi dans un mode dissociatif

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16
Q

définissez brièvement le concept d’automutilation

livre

A

Se poser une douleur physique, de manière momentanée, pour compenser les douleurs psychologique, afin de sécrété de l’endorphine et de la dopamine pour se sentir mieux.

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17
Q

Vrai ou faux

L’automutilation se fait dans l’optique de se punir pour des actions ou des pensées pour lesquels nous ne sommes pas fière ou nous regrettons.

livre

A

Faux

Se fait dans l’optique de recherche de résultat instantané pour ce faire du bien maintenant. Pour compenser les douleurs psychologique. S’engourdir pour se sentir mieux

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18
Q

Comment se définit la dissociation?

A

Lorsque la personne est en mode automatique. Elle se voit au-dessus d’elle-même en train d’agir.

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19
Q

En quoi consiste l’endorphine ?

A

l’endorphine est un neurotransmetteur qui s’occupe de procurer du plaisir et de la relaxation.

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20
Q

Quelles sont les étapes d’interventions avec une personne lors de la commisson de l’acte d’automutilation?

4 étapes

livre

A
  1. Intervenir simplement et rapidement
  2. Arrêter le geste
  3. Offrir les besoins de base
  4. S’assurer d’un espace sécuritaire
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21
Q

Quelle est l’intervention qui doit être fait avec une personne suite au comportement d’automutilation ?

livre

A

S’assurer que la personen n’a pas besoins de soins

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22
Q

Quelles sont les attitudes à préconiser lors d’une intervention avec une personne suite au comportement d’automutilation ?

3 attitudes

livre

A
  1. Bienveillance
  2. Calme
  3. Sollicitude (attentifs, affectueux)
23
Q

Quelles sont les attitudes à éviter lors d’une intervention avec une personne suite au comportement d’automutilation ?

2 attitudes

A
  1. Dramatisation
  2. Banalisation
24
Q

Quel est le rôle de l’intervenant, une fois la crise d’automutilation est passée ?

5 aspects

A
  1. Analyser le comportement
  2. Effectuer un retour avec la personne en rencontre individuelle
  3. Cibler un comportement de réparation
  4. Contrat thérapeutique
  5. S’assurer que le client ait un suivi
25
Q

En quoi consiste un contrat thérapeutique ?

A

Ce que nous allons mettre en place pour avoir un consensus sur l’objetif de traitement et les rôles attendus de chacun.

Ex : On va établir ce qui va ramener la personne dans le moment présent quand elle est en dissociation

26
Q

Vrai ou faux

Tous les professionnels doivent essayer de suivre le même créneau thérapeutique, lorsqu’il est question d’une personne ayant des comportements autodestructeurs, afin que tous aient le même discours, dans le but que ce soit le plus rassurant possible pour l’aidé.

A

Vrai

27
Q

Lorsqu’il est question de l’évaluation du risque d’homicide conjugal, quels sont les principaux éléments analysés?

3 éléments

livre

A
  1. Éléments du risque d’homicide conjugale
  2. Éléments précipitants
  3. Éléments de protection
28
Q

Lorsqu’il est question de l’évaluation du risque d’homicide congual, l’outil principalement utilisé fait référence à trois niveau de risque.

Nommez et expliquer en quoi font-ils référence.

A
  1. Risque présent : Risque dans la personne en soi
  2. Aggravation du risque : Élément qui habite la personne
  3. Risque imminent : Présence d’un plan
29
Q

Nommez les facteurs associés au suicide.

4 facteurs

livre

A
  1. Facteurs prédisposant
  2. Facteurs contribuants
  3. Facteurs précipitants
  4. Facteurs de protection
30
Q

Nommez et définissez brièvement l’approche à préconiser en intervention auprès d’une personne présentant un risque suicidaire.

livre

A
  • AOS : Approche orientée vers les solutions
  • Approche qui met l’emphase sur les forces, compétences et capacités de la personne.
31
Q

Nommez 4 des 9 postulats qui définissent l’approche orientée vers les solution.

livre

A
  1. Toute personne dispose de ressources et de forces lui permettant de se libérer d’une préoccupation
  2. L’intervenant a comme mandat de trouver l’élément à changer et d’amplifier le changement
  3. Un petit changement peut être porteur d’autres changements
  4. Il n’est généralement pas nécessaire que l’intervenant en sache beaucoup sur la préoccupation elle-même pour aider la personne qui consulte à s’en défaire
  5. Il n’est pas indispensable que l’intervenant connaisse la cause d’une préoccupation pour aider la personne qui le consulte à s’en défaire
  6. La personne suicidaire fixe elle-même ses objectifs
  7. Il est possible d’obtenir rapidement des changements et de se libérer rapidement d’une préoccupation
  8. il n’existe pas de perception unique et correcte des choses, seulement une pluralité de points de vue tout aussi juste les uns que les autres
  9. L’intervention doit être axée sur ce qui est réalisable et peut être changé
32
Q

Qu’est-ce que le parasuicide ?

livre

A

Le parasuicide désigne tout comportement mortel dans lequel une personne se blesse intentionnellement ou simule une tentative de suicide, sans intention réelle de mourir.

33
Q

En quoi consiste l’urgence suicidaire?

livre

A

Lorsqu’une personne est sur le point de passer à l’acte.

34
Q

En quoi consiste les facteurs contribuants au suicide?

livre

A

Ce sont les éléments ou circonstances qui créent un contexte favorable au développement d’un problème ou d’une situation. Ils participent au processus, mais ne déclanchent pas nécessairement un événement en particulier.

35
Q

vrai ou faux

Les facteurs prédisposants sont les éléments ou événement qui déclanchent directement une action ou une situation problématique. Ils agissent comme un déclancheur dans un contexte où des facteurs contributeurs sont souvent déjà présents.

livre

A

Faux

Ceci fait référence au facteurs précipitants.

36
Q

En quoi consiste les idéations suicidaires?

livre

A

Les idéations suicidaires réfèrent aux pensées (cognitions) ou à l’intention de s’enlever la vie, mais sans qu’il y ait nécessairement de plan ou d’intention claire.

idées noires

37
Q

Définissez et donnez des exemples de manifestation ou verbalisation suicidaire.

A
  • Définition : La personne exprime clairement son malaise ou ses pensées suicidaires, que ce soit verbalement ou par d’autres moyens.
  • Exemple : Lettre, testament, vendre des choses qui ont une grande valeur émotive
38
Q

En quoi consiste la menace suicidaire ?

livre

A

La menace suicidaire est une déclaration ou un comportement qui suggère que la personne envisage de se suicider dans le but d’obtenir une réaction ou un changement de la part de son entourage

39
Q

En quoi consiste les facteurs prédisposants associés au suicide?

livre

A

Ce sont les éléments de fond ou les caractéristiques de la personne ou de son environnement qui augmentent sa vulnérabilité ou son risque de développer un problème

40
Q

En quoi consiste les facteurs de protection associés au suicide ?

livre

A

Ce sont les ressources ou éléments positifs qui réduisent les risques ou augmentent la résilience face à des facteurs de risque

41
Q

Vrai ou faux

Lorsqu’il est question de l’AOS, il est nécessaire que l’intervenant connaisse la cause de la préoccupation de la personne qui consulte pour l’aidé à s’en défaire.

livre

A

Faux

Il n’est pas indispensable que l’intervenant connaisse la cause d’une préoccupation pour aider la personne qui consulte à s’en défaire.

42
Q

Vrai ou faux

Lorsqu’il est question de l’AOS, l’intervention doit être axé sur ce qui est réalisable de changé et c’est l’intervenant qui fixe généralement les objectifs, comme la personne suicidaire est souvent dépassée par ce qui lui arrive.

livre

A

Faux

Il est vrai que l’intervention doit être axé sur ce qui est réalisable, mais c’est la personne suicidaire qui fixe elle-même ses objetifs.

43
Q

Quel est le mandat de l’intervenant lors d’une intervention auprès d’une personne suicidaire en appliquant l’approche orientée vers les solutions?

livre

A

L’intervenant a comme mandat de trouver l’élément à changer et d’amplifier le changement

44
Q

Quels sont les 4 grands principes à considérer lors de l’intervention auprès d’une personne suicidaire?

livre

A
  1. Adapter l’intervention
  2. Orienter ou référé ou accompagner
  3. Effectuer un suivi de courte durée
  4. Effectur un suivi étroit
45
Q

Quels sont les éléments important lors du processus d’intervention auprès d’une personne suicidaire ?

7 aspects

livre

A
  1. Accueillir et créer une alliance thérapeutique
  2. Effectuer une première et brève exploration de la situation
  3. Estimer la dangerosité du passage à l’acte
  4. Fixer un but à atteindre
  5. Trouver des solutions
  6. Définir et suivre un plan d’action
  7. Conclure en sécurité l’entretien
46
Q

Quelle est la différence entre le suivi de courte durée et le suivie étroit lorsqu’il est question de la mise en place d’un suivi auprès d’une personne suicidaire ?

livre

A
  • Suivi de courte durée favorise l’acceptation et l’adhésion à un suivi à moyen/long terme. Le danger de passage à l’acte est faible
  • Le suivi étroit permet la mise en place d’un suivi rapide et intensif pour une personne qui a été en danger grave de passage à l’acte
47
Q

Quelles sont les stratégies d’intervention lorsqu’il est question d’un suivi de courte durée auprès d’une personne suicidaire ?

3 aspects

livre

A
  • Faire preuve de patience, d’empathie et de détermination
  • Concevoir et évaluer ponctuellement un plan de traitement
  • Élaborer un plan d’action et donner une ressource 24/7
48
Q

Quelles sont les stratégies d’intervention lorsqu’il est question d’un suivi étroit auprès d’une personne suicidaire ?

4 aspects

livre

A
  • Première rencontre dans les 24/48h
  • Relancer la personne si elle ne se présente pas au rendez-vous
  • Rencontrer et évaluer la personne à chaque semaine
  • L’absence d’indice après trois rencontres pour la fin
49
Q

Il est important d’adapter l’intervention auprès de certaines clientèles lorsqu’il est question du risque suicidaire.

Nommez 4 clientèles pour lesquels l’intervenant doit adapter son intervention

livre

A
  • Hommes
  • Personnes âgées
  • Santé mentale et dépendance
  • LGBTQ+
  • Personnes parasuicidaires
  • Jeune de 15-24 ans
  • Personnes incarcérées
  • Population autochtones
50
Q

En résumé, quels sont les éléments importants à retenir concernant l’intervention auprès des personnes suicidaire.

5 aspects

livre

A
  1. Détecter : accueillir la personne et créer une alliance thérapeutique
  2. Évaluer
  3. Intervenir
  4. Commuiquer
  5. Assurer le suivi et référer
51
Q

Classez les étapes pour l’intervention auprès d’une personne commetant un acte d’automutilation

a) Arrêter le geste
b) Offrir les soins de bases
c) Intervenir simplement et rapidement
d) S’assurer d’un espace sécuritaire

Wooclap

A
  1. c) Intervenir simplement et rapidemment
  2. a) Arrêter le geste
  3. b) Offrir les soins de bases
  4. d) S’assurer d’un espace sécuritaire
52
Q

Associez la bonne définition avec le bon suivi : Suivi étroit et Suivi de courte durée

a) Ce suivi permet la mise en place d’un suivi rapide et intensif pour une personne qui a été en danger grave de passage à l’acte.
b) Ce suivi favorise l’acceptation et l’adhésion à un suivi moyen/long terme. Le danger du passage à l’acte est faible

Wooclap

A

a) Suivi étroit : Ce suivi permet la mise en place d’un suivi rapide et intensif pour une personne qui a été en danger grave de passage à l’acte
b) Suivi de courte durée : Ce suivi favorise l’acceptation et l’adhésion à un suivi moyen/long terme. Le danger du passage à l’acte est faible.

53
Q

Quelle approche est à préconiser pour l’évaluation du risque suicidaire ?

Wooclap

A

AOS : Approche orientée vers les solutions