Cours 10 - Mémoire & Cognition Flashcards
On sait que les organismes peuvent se souvenir de conditionnements sur de très longues durées. Cependant, on sait également que les organismes peuvent également oublier certaines informations à propos des conditionnements et que ceci peut amener une forme de généralisation.
Quel énoncé représente ce phénomène de généralisation ?
a. L’organisme va répondre au stimulus avec lequel il a été conditionné, mais aussi à des stimuli qui y ressemblent car il peut oublier des détails du stimulus conditionnel mais pas du stimulus inconditionnel.
b. L’organisme va répondre au stimulus avec lequel il a été conditionné, mais aussi à des stimuli qui y ressemblent car il peut oublier des détails du stimulus conditionnel et-ou du stimulus inconditionnel.
c. L’organisme va répondre au stimulus avec lequel il a été conditionné, mais pas aux stimuli qui y ressemblent car il peut oublier des détails du stimulus conditionnel et-ou du stimulus inconditionnel.
d. L’organisme va répondre au stimulus avec lequel il a été conditionné, mais pas aux stimuli qui y ressemblent car il peut oublier des détails du stimulus conditionnel mais pas du stimulus inconditionnel.
b. L’organisme va répondre au stimulus avec lequel il a été conditionné, mais aussi à des stimuli qui y ressemblent car il peut oublier des détails du stimulus conditionnel et-ou du stimulus inconditionnel.
Quel(s) résultat(s) sont en contradiction avec la théorie voulant que l’oubli soit le résultat de l’affaiblissement de la trace en mémoire?
a. Toutes ces réponses
b. Le fait que des réponses conditionnées qui semblent être plus faibles après un certain temps peuvent augmenter en intensité en utilisant des indices.
c. Le fait que le simple passage du temps peut faire en sorte qu’une réponse conditionnée que l’on a éteinte par une procédure d’extinction peut revenir.
d. Le fait qu’une odeur puisse nous rappeler un souvenir que l’on croyait avoir oublié.
a. Toutes ces réponses
Dans une expérience, on observe immédiatement après le conditionnement que l’intensité des effets sur le comportement des stimuli conditionnels A et B sont semblables. Cependant, deux semaines après le conditionnement, on observe que les effets du stimulus conditionnel A sont plus faibles que les effets du stimulus conditionnel B, que pourrait-on conclure en lien avec le type de conditionnement?
a. Que le stimulus conditionnel A a été utilisé dans un conditionnement excitateur alors que les stimulus B a été utilisé dans un conditionnement inhibiteur.
b. Que le stimulus conditionnel A et le stimulus B ont été utilisés dans le même type de conditionnement, mais que le stimulus conditionnel A est plus intense que le B.
c. Que le stimulus conditionnel A et le stimulus B ont été utilisés dans le même type de conditionnement, mais que le stimulus inconditionnel qui a été pairé avec le stimulus conditionnel A était plus intense que le stimulus inconditionnel pairé au stimulus conditionnel B.
d. Que le stimulus conditionnel A a été utilisé dans un conditionnement inhibiteur alors que les stimulus B a été utilisé dans un conditionnement excitateur.
d. Que le stimulus conditionnel A a été utilisé dans un conditionnement inhibiteur alors que les stimulus B a été utilisé dans un conditionnement excitateur.
Quelqu’un a commis un vol pour lequel il y a eu des témoins. S’il veut augmenter les chances d’être acquitté, il devrait demander à ce que son procès soit 1- en espérant que 2- viennent faire de 3- avec 4-_ des témoins.
a. 1) Le plus tard possible après les faits
2) L’information conflictuelle
3) L’interférence rétroactive
4) L’information cible
b. 1) Le plus tôt possible après les faits
2) L’information conflictuelle
3) L’interférence proactive
4) L’information cible
c. 1) Le plus tôt possible après les faits
2) L’information conflictuelle
3) L’interférence rétroactive
4) L’information cible
d. 1) Le plus tard possible après les faits
2) L’information cible
3) L’interférence rétroactive
4) L’information conflictuelle
a. 1) Le plus tard possible après les faits
2) L’information conflictuelle
3) L’interférence rétroactive
4) L’information cible
Dans une étude sur la mémoire, on demande à un groupe d’étudier des listes de chiffres assis sur une chaise et à un autre groupe d’étudier les mêmes listes couchés sur un lit. À quels résultats pourrait-on s’attendre lorsque l’on va tester la mémoire des participants ?
a. La performance va être meilleure pour les participants qui ont étudié sur une chaise, s’ils doivent répondre couchés sur un lit que s’ils sont assis sur une chaise.
b. La performance va être meilleure pour les participants qui ont étudié sur une chaise, s’ils doivent répondre assis sur une chaise que s’ils sont couchés sur un lit.
c. La performance va être égale pour les participants qui ont étudié sur un lit, peu importe s’ils doivent répondre assis sur une chaise ou couchés sur un lit.
d. Aucune de ces réponses
b. La performance va être meilleure pour les participants qui ont étudié sur une chaise, s’ils doivent répondre assis sur une chaise que s’ils sont couchés sur un lit.
Comme psychologue, si on veut s’assurer que les effets d’une procédure d’extinction chez notre client vont perdurer dans le temps et qu’ils vont s’observer dans le plus de contextes possibles, que devrait-on faire?
a. S’assurer que le contexte dans lequel on fait l’extinction est peu spécifique.
b. On peut faire ce que l’on veut avec le contexte puisqu’il n’a pas d’impact sur l’efficacité de la procédure d’extinction.
c. S’assurer que le contexte dans lequel on fait l’extinction est tout le temps le même.
d. S’assurer que le contexte dans lequel on fait l’extinction est très spécifique.
a. S’assurer que le contexte dans lequel on fait l’extinction est peu spécifique.
**Lors d’une étude sur le phénomène de désinhibition ou sur l’effet de renouveau, nous avons deux groupes:
Dans la première phase, pour les deux groupes, on les conditionne en présentant une image de banane (SN) avec un son très fort (SI) qui est associé à une réponse de peur (RI). Après plusieurs essais de conditionnement, on observe que lorsque l’on présente l’image de la banane (SC), les participants ont des comportements de peur (RC).
Dans la deuxième phase, pour le groupe A, on injecte la substance XYZ qui change l’état interne des participants et l’on fait des essais d’extinction où l’on présente l’image de banane sans le son très fort. Pour le groupe B, on n’injecte rien, et l’on fait des essais d’extinction où l’on présente l’image de banane sans le son très fort. À la fin de la deuxième phase on observe que la réponse conditionnelle de peur à presque disparue pour les deux groupes.
Dans la troisième phase, on injecte la même substance XYZ mais cette fois-ci aux deux groupes et on teste si l’effet de l’extinction est toujours présent en présentant l’image de la banane.
En vous basant entre autres sur l’étude de Bouton et King (1983) présentée en classe, que devrait-on observer?**
a. Des réponses de peur (RC) très faibles et de la même intensité pour les groupes A et B.
b. Des réponses de peur (RC) plus hautes pour le groupe B que pour le groupe A.
c. Des réponses de peur (RC) très intenses et de la même intensité pour les groupes A et B.
d. Des réponses de peur (RC) plus basses pour le groupe B que pour le groupe A.
e. Aucune de ces réponses.
b. Des réponses de peur (RC) plus hautes pour le groupe B que pour le groupe A.
Le phénomène de récupération spontanée est un phénomène qui montre que:
a. La réponse conditionnelle peut réapparaître en présence d’un nouveau stimulus neutre et donc que l’extinction ne détruit pas les traces du conditionnement.
b. La réponse conditionnelle peut réapparaître en présence d’un nouveau stimulus neutre et donc que l’extinction détruit les traces du conditionnement.
c. La réponse conditionnelle peut réapparaître après un certain temps et donc que l’extinction détruit les traces du conditionnement.
d. La réponse conditionnelle peut réapparaître après un certain temps et donc que l’extinction ne détruit pas les traces du conditionnement.
d. La réponse conditionnelle peut réapparaître après un certain temps et donc que l’extinction ne détruit pas les traces du conditionnement.