cours #10 Flashcards
Vrai ou Faux : 15 % des adolescents auraient obtenu un diagnostic de santé mentale.
Vrai
V ou F : Les symptômes anxieux et dépressifs sont fréquemment concomitants chez les adolescents?
Vrai
–> Vrai, si on a une dépression, on a plus de chance d’avoir trouble anxieux et vice-versa!
Vrai ou Faux? Les symptômes dépressifs chez les adolescents s’expriment davantage de manière exériorisé que chez les adolescentes.
Vrai
–> Les adolescentes sont davantage dans des problèmes intériorisées!!!
V ou F : Avant l’adolescence (à l’enfance), il n’y a pas de différence quant à la prévalence de détresse psychologique selon le genre?
Vrai
Les adolescentes présentent davantage de problèmes intériorisés que les adolescents. Pourquoi en est-il ainsi? 3 hypothèses…
1) Les adolescentes sont plus affectées par tout ce qui a trait au relationnel
2) La puberté plus difficile à vivre pour les adolescentes
3) Les adolescentes font plus appel à la rumination
V ou F : L’adversité vécue pendant l’enfance consiste en le facteur de risque le plus corrélé à tous troubles mentaux confondus, autant à l’enfance, à l’adolescence qu’à l’âge adulte?
Vrai
Quel % des parents au Québec rapportent avoir déjà crié et/ou menacé leur enfant?
50%
Les enfants ayant vécu de la maltraitance, une fois devenus adolescents, seraient plus vulnérables aux événements stressants négatifs, pourquoi?
Deux explications :
1) Explication d’ordre cognitive
2) Explication d’ordre psychoneuroendocrinologique :
1) Explication d’ordre cognitive :
Explication d’ordre cognitif : enfant qui a vécu de la maltraitance s’est crée des représentations mentales (schémas cognitif) comme quoi tt peut être un danger = tjrs à l’affut au niveau cognitif = plus à risque
2) Explication d’ordre psychoneuroendocrinologique :
Psychoneuroendocrinologique : enfant était en mode survie et donc développement de certaines structre cérébrale comme l’hypocampe a été altérée = plus vulnérable au stress, car peut moins bien traiter les informations stressantes = plus à risque
Principales conséquences des problèmes intériorisés chez la population adolescente (4)
- À l’âge adulte, recevoir un diagnostic de trouble mental;
- Consommer des substances;
- Abandonner l’école;
- Fortement corrélés aux conduites suicidaires.
V ou F : Les hommes ont 3 fois plus de risque de se suicider que les femmes?
Vrai
V ou F : Il faut être lâche ou courageux pour se suicider?
Faux
V ou F : Le suicide se produit sans avertissement?
- Faux, la plupart du temps il y a des signes avant
V ou F : Toute personne suicidaire paraît déprimée?
Faux
–> Faux, certaines personnes sont même autant performantes qu’avant ou bien personne était déprimée et maintenant elle se sent un peu mieux car elle a un plan suicidaire.
V ou F : Les personnes qui menacent de se suicider veulent attirer l’attention ou manipuler?
Faux
–> –L’appel à l’aide
Interrogations existentielles
La présence de préoccupations plus ou moins morbides pour la mort est normale à cet âge. Ces pensées peuvent être structurantes et nécessaires puisque l’adolescence est une période caractérisée par de nombreux deuils. Avez-vous des exemples?
Amour de nos parents, deuil moins de responsabilités quand j’étais enfant, deuil de notre corps d’enfant.
Idées suicidaires
Elles émergent lorsque la pensée se désorganise et que l’adolescent n’arrive plus à mentaliser sa souffrance. Dans ce contexte, la mort peut devenir une solution qui viserait à mettre un terme à une douleur psychique insupportable.
En quoi les idées suicidaires sont différentes des interrogations existentielles?
Idées suicidaires : bcp de contenu par rapport à un sentiment de vide et de désespoir qu’on ne retrouve pas dans une interrogation existentielle
Geste(s) suicidaire(s) ?
Automutilation sans intention de mourir.
V ou F : Le suicide est la deuxième cause de décès chez les 15-24 ans?
Vrai
Quelle est la première cause de décès chez les adolescents?
– Accident de la route
V ou F : Les adolescents sont plus à risque de décéder par suicide que les adolescentes?
Vrai, mais les adolescentes font plus de tentaives de suicides et sont plus hospitalisées que les adolescents
Facteurs de risques :
Comment les identifier?
L’autopsie psychologique : Consiste à reconstruire le fil des événements après un suicide afin d’identifier les facteurs de risque et les éléments déclencheurs.
1) Présence d’un trouble de santé mentale
2) Tentatives de suicide antérieures
3) Consommation abusive de drogues, d’alcool ou d’autres substances
4) Vulnérabilités personnelles (p.ex. impulsivité)
5) Historique des comportements suicidaires dans la famille
6) Événements de vie stressants (p.ex. pression de réussite scolaire ou échec amoureux)
7) Relations familiales conflictuelles et/ou rejets parentaux
8) Disponibilité d’une arme à feu
9) Intimidation par les pairs
Le risque est 6 fois plus élevé chez les enfants de parents qui ont tentés de mettre fin à leur jour…!
Comment expliquer ces faits?
Si le parent a déjà fait une tentative = davantage des startégies d’adaptation axées sur les émotions = tendance à ruminer, car me sent peu outilé à aller chercher statrégies des résolutions
Quel est l’affect le plus fréquemment ressenti chez les personnes à haut risque suicidaire?
– Désespoir et perception qu’il n’y a pas de solution à notre problème
Quel % de la communauté LGBTQ2+ représentent les jeune de 15 à 24 ans?
Le tier de la population