COURS 1 COGNITION Flashcards

1
Q

expectations en francais

A

les attentes

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2
Q

à quoi servent les Processus cognitifs

A

à passer de strangers des relations

Les processus cognitifs facilitent la transition des étrangers aux partenaires intimes, en traitant efficacement les indices et comportements pour guider les interactions

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3
Q

vrai ou faux les premieres impressions sont importantes

A

vrai

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4
Q

quels sont nos premiers indicateurs dans la formations d’impression d’un étranger

A

son physique et les indices situationnelles, ex: ce quil faut au moment ou on voit la personne

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5
Q

c’est quoi connaitre une personne selon Bargh

A

c’est prédire son comportement, surtout dans les interractions Cette capacité de prédiction est cruciale pour la coordination des comportements et la transition vers une interaction fluide dans les relations établies.

quand on connait vrm bien une personne on peut meme ^rédire ce quelle fera dans une situation dans laquelle on ne la jamais vu

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6
Q

Influence des partenaires proches sur l’auto-concept

A

Selon Andersen et Baum (1994), les partenaires proches jouent un rôle significatif dans la formation de l’auto-concept et l’estime de soi, illustrant l’impact profond des attentes relationnelles sur la perception de soi.

donc vu que on assume que les gens prochent de nous connaissent le vrai nous, l’opnion qu’ils ont de nous influence bcp notre sel esteem.

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7
Q

vrai ou faux on peut connaitre qq a 100%

A

Faux. souvent on pense connaitre qq a 100% mais en fait souvent on le voit dans les memes settings et donc son comportement est plus influencé par ces settings et normes socisls que sa propre volonté. c pourquoi les attentes sont importantes. ca nous donne une bonne approximation vu quon connait pas la personne a 100%

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8
Q

les attentes

A

Tolman (1932) a introduit le concept d’attente en psychologie, soulignant son rôle dans la prédiction du comportement des autres. Ces attentes influencent profondément les interactions sociales, guidant nos comportements et perceptions.

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9
Q

nomme les 4 dimensions des attentes

A

accessibilité
certaineté
importance (a quel point le comportement prédit est important pour nous) he expectancy that Jim will be receptive to an interaction attempt + important to someone looking date than for someone who already has plans with a friend.
explicité (ecq on en est conscient)

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10
Q

nomme 3 choses sur quoi on se base pour former des attentes

A

beliefs: (1) their own
experiences; (2) other people’s beliefs (via social
interaction and the media, for example); and
(3) logical derivations from other beliefs and expectancies

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11
Q

on a plus de processus conscient ou inconscients dans notre cerveau

A

inconscient

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12
Q

c quoi l’attention focale

A

dans le fond ca dit que notr conscience c caractérisé par sur quoi on met notre attention

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13
Q

le premieres impressions sont importantes vrai ou faux

A

vrai

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14
Q

a quel point on a besoin de connaitre qq

A

Juste assez pour que ce soit chill avec notre bien etre

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15
Q

qui a introduit le concept d’attente

A

tolman

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16
Q

pouquoi ne peut on pas utiliser l’introspection pour étudier l’espirt

A

car la majorité de nos processus mentaux sont inconscients.

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17
Q

le “mystère ultime” pour les psychologues, c quoi et qui a dit ca

A

william james et c’est la conscience

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18
Q

mission principal de la psychologie cognitive

A

comprendre Comprendre la structure psychologique et les processus opératoires de l’esprit humain

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19
Q

explique ce qu’est la psychologie cognitive social

A

ca focus sur la manière dont nous traitons les infromations socials, la facon dont nous les structurons et la manière par les quels on y accede pour les utiliser pour faire des prédictions sur les autres

Focus sur la manière dont nous traitons les informations relatives aux personnes, structurons et organisons ces informations en mémoire, et accédons aux connaissances accumulées pour prédire les comportements

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20
Q

différence entre perception des objets et des gens

A

-réciprocit de la perception. ya aussi le fait de savoir quon est percu. ca va changer comme on agis car on sait que ca va changer comment la prsonn va interragir avec nous.

-lautoperception= on a une perception de nous meme et souvent on assume que les gens sont similaire a nous donc on a tendance a percevoir les gens comme similaire a nous, ce qui nest pas le cas pour les objets

-défi de la perception précise: c plus difficle de percevoir comment une personne est qun objet. une pomme = rouge, rond. une personne = la capacité des individus à tromper délibérément sur leurs attributs

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21
Q

de où nous viendrais notre façcon de traiter cognitivement les informations social

A

de l’évolution et du besoin de nos ancetre de bien communiquer avec les autres et crer une map social des gens qui les entourent

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22
Q
A
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23
Q

Cosmides and Tooby (1992) explain, our ancestors needed construct an accurate cognitive “social map of the persons, relationships, motives, interactions, emotions, and intentions that made up their social world

A
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24
Q

nomme une caractéristiaue de notre traitement de l’information social

A

on traite l’information social avec deux différents stytemes (Théories du double processus)

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25
Q

nomme les deux processus par lesquels on traite l’info social.

A

processus automatique/ associatif

processus contrôlé/ basé sur des règles

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26
Q

nomme les 4 caractéristique du traitement associatif/automatique selon bargh

A

1=non intentionel= pas un choix
2=non accessible= inconscient
2=incontrolable. =on peut pas sen empecher
3=efficace (on peut faire autre chose en meme temps car prend presque rien de notre attention

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27
Q

trois systemes de memoire

A

Trois syst de memoire, mémoire sensorielle, a long terme et a court term

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28
Q

définition du traitement automatique/associatif

A

Caractérisé par Bargh (1994, 1996) comme étant rapide et hors de la conscience, ce type de traitement permet une réponse immédiate basée sur des associations préalables, facilitant ainsi la reconnaissance et la réaction face à de nouvelles rencontres.

donc chat noir= chat noir que jai vu dans le passé et je l’associe avec tout ce que je connais sur les chats noirs que jai vu dans le passé

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29
Q

définition traitement controlé/basé sur des règles

A

Ce mode de traitement, plus lent et délibéré, permet une analyse plus profonde et est utilisé lorsqu’il y a une forte motivation pour faire des prédictions précises sur le comportement d’autrui ou dans des situations nécessitant un effort cognitif conséquent

30
Q

surtout pour quel traitement ecq nos expériences passées sont importantes

A

pour le traitement automatique/associatif pcq avec ce traitement on porte un jugement rapidement en se basant sur personnes connus du passé pour attribuer leur caractéristique a la personne devant n ous

31
Q

c quoi la memoire associative

A

memoire a long terme

32
Q

la memmoire associative apprend vite ou slow

A

slow

33
Q

questce que la memoire associative enregistre bien

A

les régularité dans l’environnement qui nous permettent ensuite de créer des attentes stables

34
Q

pk c bon que la memoire associatve apprend pas vite et necessite bcp de répétion d’un évenement poursen rapperler

A

car ca permet de créer des attentes qui sont stables dans le temps et qui on été prouvés. ca permet de ne pas se fier sur des cas rarees pour faire nos attentes

35
Q

nomme un exemple de régularité que notre cerveau enrefistre dans notre environnement social

A

les dispositions des gens, cad la maniere dont behave in certain
ways across many different situations

36
Q

quel tyoe de memoire est utilisé par le traitement controlé

A

Le traitement contrôlé tire profit de la mémoire à long terme pour les connaissances établies et de la mémoire à court terme pour les informations récentes, permettant une flexibilité cognitive et une adaptation aux nouvelles situations (Smith et DeCoster, 2000).

37
Q

quand utilisons nous le traitement controlé

A

quand ona le temps et quand on est motivé a prédire le comportement des autres.

38
Q

la mémoire a courte terme apprend vite

A

oui mais oublie vite

39
Q

les deux systemes peuvent il etre utilisés en meme temps

A

oui

40
Q

a quel genre de personne on est motivé a utillisé traitement controlé

A

outcome

41
Q

memoire court terme pour les regles nouvellement acquises et longterme pour expériences du passé

A
42
Q

cherhceurs en lien avec les types de memoire

A

smith et decoster

43
Q

2 raisons pk les premieres impressions sont importantes pour les interractions futures

A

1)les attentes qu’on se fait de la personne influence le fait de ci on va revoir la personne ou non

2)la façon dont on percoit la personne va inlfuncer cpmment on va interagir avec elle et elle comment elle interragis avec nous(prophétie qui s’autoréalise)

44
Q

catégorisation sociale

A

La catégorisation sociale lors de la première rencontre repose souvent sur la similitude avec des individus connus, facilitant la formation d’attentes et la préparation aux interactions

45
Q

catégorie vs schéma

A

schéma = plus vague

46
Q

le membre d’une catégorie qui représente l mieux les autres membres

A

prototype

47
Q

stereotype

A

le contenue d’une catégorie qui est partagé par tout le monde. ex: stereotype sur les vieux= ils chialent etc.

48
Q

comment réagis-ton quand on voit qq quon ne peut pas vrm associé a une catégorie car on a jamais vu qq du genre

A

on vas pas se sentir vbien et si on est en closed field, on va utilisé traitement controlé pour bien analysr la mersonne et si open field, on va fuire l’interraction

49
Q

kess ce qui influence l’accessibilité d’une catégorie

A

fréquence et recence d’utilisation

50
Q

kess ce qui influence le fait de mettre une certaine personne dans une certaine catégorie

A

Similitude et catégorisation: Bruner (1957) souligne l’importance de la similitude entre un étranger et des individus déjà connus pour accéder à notre réserve de connaissances sociales, facilitant ainsi la catégorisation sociale rapide.

Accessibilité des catégories: L’accessibilité des catégories est influencée par la fréquence et la récence d’utilisation. Des catégories socialement accessibles sont plus susceptibles d’être utilisées pour catégoriser des étrangers (Fiske & Taylor, 1991).

51
Q

parle d’aspects de catégorie accessibilité

A

plus une catégorie est accessible, moins la personne a beosin de ressemler aux gens de la catégorie

plus les traits d’une personne sont flou, plus on a tendance a la mettre dans une catégorie accessible

52
Q

catégorie accesible chroniquement

A

Chronically accessible social categories, schemas, and person constructs are presumed to be unique to the individual, developing from frequent and consistent experiences within his or her history of social interaction

53
Q

amorçage

A

To study the effects of categorization in general, and category accessibility in particular, cognitive psychologists often prime a category; that is, they increase the accessibility of a particular social category (or person construct), often by presenting the category or construct subliminally, below the individual’s threshold of awareness. In semantic priming, for example, the name of the category (say, “lecher”) or words associated with the category (“womanizer,” “philanderer”) are presented on a computer or a slide for such short exposures that the individual is not aware that a word has been presented priming amorcage

54
Q

kess ce qui influence l’accessibilité d’une catégorie

A

attentes ex: on dit aux qu’il parlent a une femme chaude
motivation. ex des dudes horny apres livre erotiqu
fréquence de la catégorie
récence de la cat.

55
Q

si je dis. mon ami que je vais le voir ce soir a 19h dans la rue, et que cet information facilite sa reconnaissance de moi meme comment peut on expliquer ca

A

ses attentes (je vais etre la) rend acessible la catégorie rapahel et donc il va tout de suite me reconnaitre.

56
Q
A

hus, Zadny and Gerard demonstrated that categorization produces expectancies that often direct our attention to events congruent with those expectancies, causing us to overlook events that would disconfirm them. In this experiment, as in others that have shown that expectancies direct attention, the participants’ expectancies were strong

57
Q

avantages et désavantages de l’amorcage de nos attentes sur l’accessibilité des catégories

A

facilite l’interaction sociale rapide et efficace. Ce processus souligne l’efficacité de notre cognition à ajuster nos perceptions et interactions en fonction des attentes préalables (Zadny & Gerard, 1974; Olson et al., 1996).

désavantages:
mpact des attentes sur l’attention et l’interprétation: Les attentes issues de la catégorisation influencent ce qui capte notre attention et comment les événements sont interprétés, démontrant comment nos préjugés cognitifs dirigent notre focus et peuvent biaiser notre perception des interactions (Snyder & Stukas, 1999).
Nature auto-réalisatrice des attentes: Les attentes peuvent créer une réalité conforme à elles-mêmes, illustrant le potentiel des attentes à façonner les interactions de manière à confirmer ces mêmes attentes, un concept central en psychologie sociale (Kelley & Stahelski, 1970; Snyder, Tanke, & Berscheid, 1977).

ex:n a follow-up experiment, Zadny and Gerard demonstrated that the expectancies generated by the initial categorization influenced whether the observers even saw the object dropped or heard the class mentioned; that is, people failed to report events in the incongruent social categories not because their memories failed them but because they simply hadn’t seen the objects incongruent with their expectancies in the first place. Thus, Zadny and Gerard demonstrated that categorization produces expectancies that often direct our attention to events congruent with those expectancies, causing us to overlook events that would disconfirm them. In this experiment, as in others that have shown that expectancies direct attention, the participants’ expectancies were strong

58
Q

zadny and Gerard

A

experience des matiere scolaires

59
Q

nouveau vs ancien modeles cognitifs

A

Évolution des modèles cognitifs: Les avancées en neurosciences cognitives ont généré de nouveaux modèles de cognition, dépeignant l’esprit non comme un entrepôt d’unités de connaissance fixes, mais comme un ensemble de motifs d’activité cérébrale uniques à chaque expérience (Smith, 1998; Damasio, 1994).
Implications pour la cognition sociale: Ces modèles offrent des nuances et implications que les modèles traditionnels n’avaient pas, s’accordant mieux avec les connaissances actuelles sur le cerveau et les relations interpersonnelles, enrichissant ainsi la compréhension des interactions sociales et des dispositions relationnelles (Damasio, 1994).
Perception contextuelle et dynamique: Les modèles suggèrent que les représentations mentales de notre environnement social sont reconstruites de manière contextuelle, indiquant que notre interaction avec le monde est influencée par des états internes et des situations spécifiques, plutôt que par des catégories fixes (Damasio, 1994).

ex: ton image de grand maman va pas etre la meme quand t triste vs heureux ou quand tu pense a elle en ski que a la maison

60
Q

schéma relationnel

A

Baldwin (1992) et Planalp (1987) introduisent le concept de schéma relationnel comme des structures cognitives représentant les régularités des patterns d’interaction interpersonnelle, incluant un schéma de soi, un schéma pour le partenaire, et un script d’interaction

61
Q

vrai ou faux, différents schéma relationnels peuvent influencer comment on se voit

A

L’activation d’un schéma relationnel spécifique peut modifier l’auto-évaluation d’une personne en fonction de sa perception de soi dans cette relation (Baldwin, Carrell, & Lopez, 1990; Hinkley & Andersen, 1996)

62
Q

nomme une crhonically accessible relatino ship shema commun

A

adult attachement style

ca influence comment on interragis ake les autres

63
Q

vrai ou faux on a un shéma par relation

A

faux. différent shéma selon différentes situaitons

64
Q

scripts d’intteraction

A

n interaction script is viewed as the partners’ expectancies about the temporal ordering of their own and each other’s behavior and other events in a particular setting

65
Q

Rôle des schéma d’interraction dans l’automatisation des interactions

A

Avec la répétition, ces scripts permettent une exécution automatique de séquences d’interaction complexes, soulignant l’importance des schémas relationnels dans la régulation des comportements dans les relations à long terme (Surra & Bohman, 1991).

66
Q

effet Pollyanna

A

les souvenirs négatifs semblent s’atténuer au profit des souvenirs positifs, un effet connu sous le nom de principe de Pollyanna (Matlin & Stang, 1978). Cette tendance peut contribuer à l’amélioration du bien-être subjectif et à une perception plus positive des expériences relationnelles passées

67
Q

nomme les biais que nous avons des memoires relationnelles

A

tendance à surévaluer sa propre contribution (Ross & Sicoly, 1979) et de l’effet de congruence d’humeur sur le rappel (Forgas, 1991).

68
Q

quel type de souvenir avons nous plus tendance a se souvenir et pk

A

Les événements relationnels provoquant des émotions, surtout ceux inattendus et significatifs, tendent à être bien mémorisés. Ce phénomène est en partie expliqué par l’hypothèse de mobilisation-minimisation de Taylor (1991), qui suggère une meilleure mémorisation initiale des événements négatifs pour mobiliser des ressources face à l’adversité.

69
Q

sex influence les souvenirs

A

femme meilleurs pour souvenirs relationnels

70
Q

bank de mémoie commune

A

memoire partag.e par femme et marie

71
Q

c quoi les récit

A

c une reconstruction d’un souvenir négatif qui nous peremt der mieux cope avec la fin d’une relation due au divorce ou mort par exemple.

72
Q
A