Cours 1 Flashcards

1
Q

Pk dit-on que la stimulation sensorielle fournit des données permettant la formulation d’hypothèse sur l’organisation du monde intérieur

A

Car la relation entre les objets du monde dans lequel on vit et notre perception de ceux-ci est très indirect

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2
Q

Nomme des trucs qui ont une impact sur le monde dans lequel on vit

A

-erreurs d’illusion
-nos connaissances
-notre expérience passée
-nos attente

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3
Q

Traitement ascendant

A

Est seulement composé de données sensorielles.

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4
Q

Traitement descendant

A

Informsation de haut niveau donc : expérience passé, attentes, connaissances

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5
Q

Dans l’illusiion optique du chien, une fois ue le prof nous a dit que cetait un chien, c’est le traitement ascendant ou descendant qui nous permet de percevoir l’image

A

Descendant

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6
Q

Dans l’illusion opique des faces de madame jeune vs vielle, qu’est-ce qui fait en sorte que on a de la difficulté à voir la madame vielle dans la 2e image.

A

Le traitement descendant et nos attentantes car on vient de voir un image qui montre plus une jeune femme

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7
Q

Nomme les différents aspects cognitifs, qui influence notre perception

A

Attentes. Connaissances. Expériences, donc traitement descendant

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8
Q

Nomme les 3 déterminants de la perception

A

Les propriétés physiques de l’environnement

  • Les propriétés des récepteurs sensoriels captant les signaux environnementaux et l’organisation du système nerveux responsable du traitement de ces informations.

-informations.- Nos connaissances, expérience passée et attentes.

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9
Q

Notre expérience est déterminé par une certaine interraction de ces 3 facteurs et cette intéraction varie d’un animal à l’autre

A
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10
Q

Nomme différentes applications des connaissances sur la perception

A

Adaptation de l’environnement à nos capacités perspectives ex: image du tableau de direction qui n’est pas adapter à notre peception

Développement de systèmes perceptifs artificiels ex: appariel photo, enregistreur

Évaluation des troubles perceptifs ex: optométrie

Développement de TECHNOLOGIES s’adressant à nos sens. Ex: il faut comprendre notre vision pour développer la réalité virtuelle.

Adaptation pour les troubles percpectifs ex: implants cocléaire pour les sourds

Arts

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11
Q

Approche physiologique de l’étude de la perception

A

Approche physiologique: Étude de la constitution physique de notre système perceptif et de l’organisation fonctionnelle du système nerveux impliqué dans la perception.- Anatomie- Enregistrement de l’activité nerveuse- Effets de lésions ou de perturbations du fonctionnement cérébral

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12
Q

Nomme deux subdivisions de l’approche comportementale

A

-approche cognitive

-approche psychophysique

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13
Q

Approche cognitive

A

Étude de l’effet des connaissances, de l’expérience passée et des attentes sur l’expérience perceptive. Étude également de l’interprétation que l’on fait des données perceptives.

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14
Q

Approche psychophysique

A

Étude de l’effet des connaissances, de l’expérience passée et des attentes sur l’expérience perceptive. Étude également de l’interprétation que l’on fait des données perceptives.

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15
Q

Théorie classique du seuil

A

Il existe un point de transition très net entre l’intensité à laquelle un stimulus ne peut être détecté et celle où il est détectable.

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16
Q

Qu’est-ce qu’on considère comme étant le seuil

A

Par convention, le seuil correspond à l’intensité à laquelle le stimulus est détecté dans 50% des essais.

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17
Q

Méthode des limites

A

on fait écouter des stimulis de différentes intensités en ordre descendant ou ascendant. Quand c’est descendant, c’est tu plu intense au moins intense et la personne doit dire quand elle entend plus rien. Quand c’est ascendant, c’est fu moins intense au plus intense et la personne doit dire quand elle commence à entendre. Ensuite on fait la moyenne entre la fréquence à laquelle la personne a dit qu’elle entendait et celle à laquelle elle a dit qu’elle n’entendais plus.(on fait plusieurs trials et pour chaque trials on fait une fois un ascendant et une fois un descendant.

Point de transition: Valeur moyenne entre l’intensité de la stimulation où une série est interrompue et l’intensité du stimulus précédent.

Seuil: moyenne des points de transition entre plusieurs séries

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18
Q

Méthode des stimulis constants

A

on fait écouter différents stimulis de différentes intensitées dans un ordre aléatoire et les gens doivent dire si ils l’entendent ou pas. On fait répèter différentes intensités plusieurs fois car notre audition n’est pas parfaite. Quand c’est finit on fait la moyenne d’intensité percu comme seuil absolu. Le probleme c que la majeure partie du temps les gens écoutent des stimuli bcp plus haut ou bcp plus bas que leur seuil absolue Habituellement, on utilise 5-9 intensités prédéterminées. Chacune est présentée un nombre égal de fois.

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19
Q

Méthode d’ajustement

A

pareil comme la méthode des limites mais c la personne qui contrôle donc c’est un peu comme mettre le volume de la tv au volume qui nous convaint mais dans ce cas on cherche à atteindre le seuil absolue. Le problème avec cette méthode c’est que notre perception auditive n’est pas parfaite. Elle change d’une fois à l’autre donc la personne ne va pas ajuster le volume à la meme intensité d’un essaie à l’autre.

C’est rapide mais grande marge d’erreur

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20
Q

Théorie d’application générale qui vise à expliquer et à mesurer la sensibilité d’un observateur à un signal quelconque en tenant compte de biais de réponse possibles. La théorie postule que l’intensité avec laquelle tout stimulus est représenté par notre système perceptif varie aléatoirement selon une distribution normale et que toute performance de détection se fait en présence d’un “bruit de fond” (interne, toujours; externe, souvent). C’est quoi le nom de cela

A

La théorie de détection du signal

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21
Q

Qu’est- ce qu’indique la valeur d‘

A

La sensibilité de l’observateuur.

22
Q

Comment est mesuré la valeur d’

A

En calculant la probabilité de détectoin correcte vs de fausses alarme

23
Q

Que veut dire un d’ de 0

A

Que on ne perçoit aucune différence entre le son ambiant et le stimuli

24
Q

Kess ce que le critère de décision b betaoptimal

A

C’est la meilleure performance possible et il est à l’intersection des deux courbes normales. On peut le changer selon le contexte. Si on le met vrs la gauche, on va avoir plus de fausses alarmes. Si on le met plus vers la droite, on a plus de chance d’avoir un miss

25
Q

Qu’est-ce que le ROC (receiver operating characteristics”), nous démontre

A

illustre les proportions de détections correctes et de fausses alarmes pour une valeur donnée de d’, peu importe le critère de décision.

26
Q

Le jnd est directement proportionnel à l’intensité du stimulus standard, sauf si le stimulus standard a une intensité près du seuil. Ce ui veut dire que plus le stimulus standard est grand, plus la différence minimale qui peut être perçu entre deux stimulis est élevé.

Donc c pour ca qu’on dit que plus les stimuli sont intense plus il est difficile de percevoir une différence

A
27
Q

Loi de weber jnd/s=k

S= intensité du stimulus standars

K= la pente

A
28
Q

Méthode d’estimation de magnitude

A

Méthode d’estimation de magnitude: Le sujet attribue à un stimulus une valeur numérique correspondant à l’intensité subjective de la stimulation. La mesure est répétée pour une grande étendue d’intensités physiques du stimulus.

Ca nous permet de voir comment le ration intensité-perception change d’un sens à l’autre

29
Q

Nomme les différentes possibilités de ratios de perception intenstié du stimuli

A

Compression de la réponse: L’intensité perçue augmente moins rapidement que l’intensité physique (n < 1). Observé par exemple avec des variations d’intensité lumineuse. Réponse linéaire: L’intensité perçue est directement proportionnelle à l’intensité physique (n = 1). Observé par exemple dans l’estimation de la longueur. Expansion de la réponse: L’intensité perçue augmente plus rapidement que l’intensité physique (n > 1). Observé par exemple avec des chocs électriques.

30
Q

Cross-modality matching

A

cross-modality matching : The ability to match the intensities of sensations that come from different sensory modalities. This ability allows insight into sensory differences. For example, a listener might adjust the brightness of a light until it matches the loudness of a tone. Pour les gens avec leurs 5 sens en santé, les réponses sont normalement similaire mais pour le gout, ca peut varier. Ca permet de voir que ya des différences individuelles dans la perception.

31
Q

Vrai ou faux, les récepteurs sont des neurones spécialisés?

A

Vrai

32
Q

Stimulus distal vs proximal

A

Distal: les objets de notre environnement
Proximal:énergie

Exemple de stimuli procimal vibration de l’air ambient (audition) éléments chimques (gout, odorat)

33
Q

Quel est la majeure partie du travail perceptif

A

L’interprétation de l’influx nerveux par le cerveau

34
Q

tout ce que le neurone peut faire est soit rester au repos, ou transmettre une décharge électrique! Comment un ensemble d’unités aussi rudimentaires arrive-t-il à produire la richesse de notre expérience perceptive?

A
  • Traitement de l’information: donc le fait que l’information est transformée(ça passe d’un simple pixel à la perception de qq qu’on connait par exemple).
  • Division du travail: Chaque différents neurones ont une spécialité spécifique. Donc chaque neurone est seulement limité à une fonction mais ensembles, ca créer une perception riche. Donc ya vrm bcp de neurones qui sont involved.
35
Q

à quoi es tconsacre la majorité de notre cerveau

A

perception

36
Q

transduction

A

Une partie de l’énergie envoyée par les stimulus distales va être capté par nos récepteur qui la convertissent en influx nerveux.

37
Q

la majeure partie du ‘travail’ perceptif

A

traitement et interprétatoin du signal

38
Q

kess qui explique que des trucs aussi simple comm des neurones peuvent produire une experience aussi riche

A

traitement de l’information: le traitement de l’information se fait graduellement. (ex: commence par juste lumière ou pas apres par forme en bande) (PLUS SIMPLE AU PLUS COMPLEXE)

division du travail: donc c’est pas juste un neurone qui s’occupe de toute par exemple. ex: la’ire v1 s’occupe de la forme, le v2 s’occupe des couleurs

39
Q

kess ce que les illusions prouvent sur la perception

A

prouvent que ce que c qu’il y a dans l’environnemet est indirect a notre perception

40
Q

Les expériences nous donnent des attentes et des connaissances

A
41
Q

Théorie de détection du signal

A

explique kess ce qui fait que le seuil absolue on l’entend seulement 50% du temps. selon cette théorie:

Plus t’as de chance de faire des fausses alarmes= plus de chance de faire un hit= moins t’as de chance de faire un miss et moins t’as de chance de faire un correct rejection

Plus t’as de chance de faire un correct rejection= plus t’as de chance de faire un miss= moins t’as de chance de faire un hit et moins t’as de chance de faire un false alarme

donc hit et false alarm vont ensemble et correct rjection et miss vont ensemble.

Le niveau de sensibilité pour détecter le ssignal est désigner par d prime. plus les courbes sont loin plus le d est élevé

le critère de décision b va augmenter chance de faire false et alarme et hit ou inverse.

42
Q

le meilleure critère de performance de b serait ou

A

entre lea courbe de bruit externe et la courbe de bruit externe+ stimuli

43
Q

vrai ou faux le pourcentage de miss va tjs etre le meme que le pourcentage de correct rjection

A

vrai

44
Q

c quoi la courbe de roc

A

en lien avec la theorie de détection du signal

(“receiver operating characteristics”), qui illustre les proportions de détections correctes et de fausses alarmes pour une valeur donnée de d’, peu importe le critère de décision.

45
Q

nomme les différentes options dans la théorie de méthode d’estimation de magnitude

A

Compression de la réponse: L’intensité perçue augmente moins rapidement que l’intensité physique (n < 1). Observé par exemple avec des variations d’intensité lumineuse. Réponse linéaire: L’intensité perçue est directement proportionnelle à l’intensité physique (n = 1). Observé par exemple dans l’estimation de la longueur. Expansion de la réponse: L’intensité perçue augmente plus rapidement que l’intensité physique (n > 1). Observé par exemple avec des chocs électriques.

46
Q

Le JND est directement proportionnel à l’intensité du stimulus standard, sauf si …

A

l’intensité du stimulus standard est proche du seuil asbolue

47
Q

loi de weber

A

On a un stimulus standard (qui garde tjs la meme valeur et un stimulus de comparaison auquel on change graduellement la valeur.

Si notre stimulus standard est d’une petite intensité, il y aura peu d’ajustement a faire au stimulus de comparaison pour atteindre le seuil différentiel.

Si notre stimulus standart est d’une grande intensité, il va falloir bcp plus changer l’intensité du stimulus de comparaison. La loi de weber est en lien avec ce principe. Cette loi nous donne la relation entre intensité du stimulus standard et le seuil différentiel

48
Q

k= jnd/s

A

loi de weber

49
Q

Loi de puissance de Stevens

A

dans son equarion n= si plus percue par nous ou dans lenvironnement

50
Q
A