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CRPE HISTOIRE > Connaissances > Flashcards

Connaissances Flashcards

1
Q

Principales idées luthériennes reprises par Calvin. 2 entrées.

A
  • Sacerdoce universel (pas de hiérarchie cléricale.)

- Autorité de la seule Bible.

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2
Q

Edit d’Ecouen.

A
  1. Henri II. Répression de “l’hérésie calviniste”. Exécution des protestants.
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3
Q

Evolution entre NOTION MÉDIÉVALE du roi et la CONCEPTION DU POUVOIR ROYAL sous François Ier. 3 entrées.

A
  • De premier SUZERAIN > SEUL SOUVERAIN.
  • Traits empruntés au droit romain: le roi est le seul souverain dans son royaume. Pas de comptes à rendre à ces sujets.
  • Limites: devoirs envers Dieu, respect des lois fondamentales du royaume (ex: loi salique).
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4
Q

Sous François 1er (1515-1547) Perfectionnement de l’administration monarchique. 3 entrées.

A
  • Uniformisation de l’organisation de la justice.
  • Actes officiels en français (ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539)
  • Accroissement du nombre des agents de l’Etat
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5
Q

CRISES de la seconde moitié du XVIe (entre François 1er et Henry IV). 4 entrées.

A
  • Crise religieuse: quarante ans de guerre entre Protestants et Catholiques.
  • Crise politique: succession de rois incapables de jouer leur rôle d’arbitre.
  • Crise économique: climat de guerre civile préjudiciable à la production agricole et artisanale, au commerce.
  • Crise sociale: misère, recul de la population (1560-1580)
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6
Q

Conséquences des 20 ans de règne d’Henri IV (1589-1610), le Pacificateur.

A
  • Restauration du pouvoir monarchique.
  • Redressement financier et économique (grâce à Sully).
  • La paix retrouvée.
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7
Q

Contenu de l’Edit de Nantes (1598). 3 entrées.

Cause de l’Edit de Nantes? 1 entrée.

A
  • Liberté de conscience,
  • L’égalité des droits,
  • La liberté de culte pour les protestants.
  • Réalisme politique, pas vraiment un acte de tolérance. Attention aux images d’Epinal.
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8
Q

Assassinat d’Henry IV.

A
  1. Ravaillac, fanatique religieux.
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9
Q

Conséquence de la mort d’Henri IV.

A

Période de régence. Louis XIII est trop jeune (8 ans). Marie de Médicis sa mère. Richelieu “chef du Conseil” (1624).

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10
Q

Oeuvre de Richelieu pour l’affirmation de l’autorité royale, ministre de Louis XIII. 4 entrées.

A
  • Anéantissement puissance militaire des protestants (siège de la Rochelle, 1628).
  • réduit les nobles à l’obéissance. (démantèlement de nombreux châteaux, duels interdits.)
  • reprise de la guerre contre l’Espagne.
  • Effort fiscal qui pèse surtout sur le monde rural. (soulèvements paysans nombreux. “les croquants” 1636-1637).
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11
Q

Signes de l’autorité royale sous Louis XIV (1661-1715). 4 entrées.

A
  • Il tient sa fonction de Dieu. Le “Roi-Soleil”. “Tout pouvoir vient de Dieu.”
  • Révocation de l’Edit de Nantes. 1685. Volonté d’unité religieuse.
  • Tout manquement à ses décisions est puni. (Répressions des révoltes paysannes.) Férocité des forces royales.
  • Les “Grands” sont rabaissés; l’affaire Fouquet (château de Vaux-le-Vicomte”)
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12
Q

Instruments du pouvoir royal sous Louis XIV. 2 entrées.

A
  • Conseils : entourés de collaborateurs dévoués (dont le contrôleur général des Finances, Colbert.)
  • En Province: les intendants sont devenus des fonctionnaires permanents, fixe. “Le roi dans la Province.”
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13
Q

Limites du pouvoir de Louis XIV. 3 entrées.

A
  • Respect des lois fondamentales du royaume (ex. la loi de succession.)
  • Respect des libertés des nobles, du clergé.
  • Respect des officiers, titulaires de leur charge (45000 propriétaires d’offices.). Indépendance vis à vis du pouvoir royal.
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14
Q

Spécificité des Lumières françaises. 1 entrée.

A
  • Mouvement philosophique de remise en cause des croyances traditionnelles au nom de la Raison.
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15
Q

Progrès scientifique du milieu XVIIe. 6 noms ou couples de noms. 4 nouvelles machines/techniques.

A
  • Descartes, l’un des fondateurs de la science moderne.
  • Buffon, Histoire naturelle.
  • Lavoisier, père de la chimie moderne. Composition de l’air et de l’eau.
  • Pascal, d’Alembert, Monge. Mathématiques.
  • Maupertuis, Laplace. Astronomie.
  • James Watt, machine à vapeur.
  • Machines textiles, fonte du minerai de fer, suppression de la jachère, développement de l’élevage.
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16
Q

Diffusion des Lumières. Progression générale du savoir. 4 entrées.

A
  • Multiplication des petites écoles, grâce au clergé. “entre-deux-culturel” urbain et rural. 350 collèges.
  • Les nouvelles idées, contenus culturels sont davantage accessible à l’élite sociale.
  • Augmentation du nombre de journaux, de livres.
  • Bibliothèques, cabinets de lecture, académies et clubs.
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17
Q

La France face au monde à la veille de la Révolution. 4 entrées.

A
  • Etat puissant et prestigieux. Première puissance au monde (partagée avec l’Angleterre).
  • Population nombreuse, économie développée.
  • Grand rayonnement culturel. Français langue de référence. Idées des Lumières qui circulent.
  • Etat en crise.
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18
Q

Crises de l’Etat avant la Révolution. 5 entrées.

A
  • Peu d’autorité de Louis XIV.
  • Marie Antoinette, frivole, hautaine: manifestations xénophobes qui ternissent l’image de la royauté.
  • Luxe et fêtes de la cour décriées.
  • Caisses de l’Etat vides. Budget en déficit. Peu de marges de manœuvres (impôts déjà élevés, beaucoup de dettes contractées).
  • Crispations autour des privilèges. Contestation de la société d’ordre. Blocage systématique de toutes réformes de la part des privilégiés (Ex: réforme de Turgot, 1774-1776).
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19
Q

Difficultés économiques depuis 1775. 4 entrées.

A
  • Mauvaises récoltes de 1787 et 1788. Misère.
  • Pouvoir d’achat des paysans s’effondre, réduction de la consommation, crise manufacturière.
  • Chômage.
  • Augmentation du prix du pain.
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20
Q

Convocation des Etats généraux par Louis XVI.

A

Mai 1789.

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21
Q

Réunion des Etats Généraux.

A

5 mai 1789 à Versailles.

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22
Q

Les députés se proclament Assemblée Nationale.

A

17 juin 1789.

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23
Q

Serment du jeu de Paume.

A

20 juin 1789.

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24
Q

Assemblée constituante.

A

9 juillet 1789.

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25
Q

Révolutions populaire de 1789. 2 entrées.

A
  • Prise de la Bastille, 14 juillet 1789.

- Grande Peur: révolte paysanne en Province contre les propriétés des nobles. Juillet/Août 1789.

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26
Q

Abolition des privilèges et droits seigneuriaux. Destruction de l’Ancien Régime.

A

4 août 1789.

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27
Q

Confiscation des biens du clergé, mise en vente.

A

Novembre 1789.

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28
Q

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Principes principaux. 3 entrées.
Une limite.

A

26 août 1789.

  • Les hommes naissent libres et égaux en droit.
  • Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation.
  • La propriété reste un droit imprescriptible.
  • L’esclavage n’est pas abolie.
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29
Q

La loi Le Chapelier.

A

14 juin 1791.

Liberté du travail, interdit le compagnonnage et la grève.

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30
Q

Première Constitution.

4 entrées.

A

1791.

  • Large pouvoir au roi (pouvoir exécutif, droit de veto).
  • Élection de l’Assemblée législative par les citoyens actifs (les possédants).
  • Division du territoire en départements, cantons et communes. (Élus locaux)
  • Réforme fiscale. Suppression ancien système d’impôts. 3 nouveaux: foncier, mobilier, patent.
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31
Q

Développement de la res publica, la chose publique dans la période révolutionnaire. 3 entrées.

A
  • Sentiment national : les grandes décisions ne sont plus la seule affaire du roi et de l’Assemblée mais des citoyens.
  • Émergence de clubs où se préparent les actes politiques (Jacobins, Cordeliers)
  • Développement de la presse (Ami du peuple, Marat)
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32
Q

Fête de la Fédération.

A

14 juillet 1790.
Proclamation de la fidélité à la nation, à la loi, au roi.
Unité de façade.

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33
Q

Nouvelle monarchie constitutionnelle et censitaire. Premiers problèmes. 1 entrée (à compléter)

A
  • Émigration de la noblesse auprès de princes étrangers. Recherche de refuge, de soutien armé.
  • Inquiétude des puissances étrangères qui craignent le développement des idées de souveraineté du peuple.
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34
Q

Fuite de Louis XVI.

A

20 juin 1791.
Repris à Varennes.
Ruine son peu de prestige restant.

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35
Q

Révolution Française, une nation en guerre contre l’extérieur.

A

20 avril 1792, guerre déclarée au roi de Bohème et de Hongrie.

  • volonté de diffuser la Révolution à l’extérieur, l’affermir à l’intérieur (les Girondins).
  • espérance de Louis XVI d’une victoire des princes étrangers.
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36
Q

Révolution française: Chute de la royauté.

A

10 août 1792

  • Manifeste du duc de Brunswick qui demande la libération de Louis XVI. Juillet 1792.
  • la ville de Paris s’insurge, érection en commune insurrectionnelle,
  • arrestation et destitution de Louis XVI. 10 août 1792.
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37
Q

Arrestation et destitution de Louis XVI.

A

10 août 1792.

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38
Q

Bataille de Valmy contre la Prusse.

Conséquence. 1 entrée.

A

20 septembre 1792.

Proclamation de la République, le lendemain.

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39
Q

La Terreur. 4 entrées.

A
  • Lutter contre les ennemis intérieurs et extérieurs de la République.
  • Mise en place d’un régime d’exception : le gouvernement révolutionnaire.
  • Mesures exceptionnelles: création du Comité de salut public, du Comité de sûreté générale et du Tribunal Révolutionnaire.
  • la loi des suspects: septembre 1793.
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40
Q

Exécution de Louis XVI.

A

21 janvier 1793.

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41
Q

Bataille de Fleurus. 2 entrées.

A

26 juin 1794.

Victoire française contre coalisés (Royaume-Uni, Hanovre, Autriche)

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42
Q

Mouvement contre-révolutionnaire. Guerres de Vendée.

A

De 1793 à 1796.

Royalistes contre Républicains. Guerre intérieure.

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43
Q

Société et la Terreur. Date et 3 entrées.

A

1793-1794

  • Mise en place du calendrier révolutionnaire.
  • la Religion devient un objet d’hostilité ouverte.
  • Certaines communes sont renommés pour supprimer les références à l’Ancien Régime; (Mont-Saint-Eloi > Mont La Liberté)
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44
Q

Chute de Robespierre.

A

27 juillet 1794. (9 thermidor an II)

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45
Q

République thermidorienne.

A

1794 - 1799.

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46
Q

Coup d’Etat de Bonaparte.

A

9 novembre 1799. 18 Brumaire an VIII. Directoire renversé.

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47
Q

Premier régime sous Bonaparte.

A

Le Consulat. Il est Premier consul.

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48
Q

L’administration sous Bonaparte. 6 entrées.

A
  • Centralisée.
  • Préfet à la tête de chaque département. “empereurs au petit pied”.
  • Banque de France.
  • Système de prélèvement d’impôt rigoureux.
  • Code Civil: les lois sont les mêmes pour tous, dans toute la France.
  • Création des lycées.
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49
Q

L’Empire marque l’arrêt de la Révolution. 5 entrées.

A
  • Libertés reconnues par la DDHC non respectées.
  • Police toute puissante.
  • Presse censurée.
  • Rétablissement d’une noblesse.
  • Réapparition de la cour.
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50
Q

Empire et guerre de conquête. 4 entrées.

A

Austerlitz (2 décembre 1805)
Iéna (1806)
Eylau (1807)
Wagram (1809)

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51
Q

Napoléon est maitre de la moitié de l’Europe.

A
  1. L’Empire des 130 départements.
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52
Q

Oppositions à Napoléon. 3 entrées.

A
  • insoumis et déserteurs en France,
  • résistances nationales en Espagne,
  • coalitions européennes animées par l’Angleterre.
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53
Q

Étapes qui mènent à la chute de Bonaparte. 4 entrées.

A
  • Campagne de Russie (juin à décembre 1812)
  • Première abdication (6 avril 1814)
  • Waterloo (18 juin 1815)
  • Seconde abdication (22 juin 1815)
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54
Q

A la place de “révolution industrielle du XIXe”, il vaut mieux parler… 3 entrées.

A
  • “D’évolution industrielle”.
  • Il s’agit d’une marche lente, progressive, heurté,
  • inégale selon les temps, les lieux, les secteurs.
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55
Q

Les bouleversements des “révolutions industrielles” 4 entrées.

A
  • Pas seulement économique/ technique.
  • évolution démographique: nouvelles répartitions dans l’espace. “Exode rural.”
  • évolution sociale: nouveaux rapports de forces, relations entre les classes sociales.
  • évolution sociologique : nouvelles mentalités, conceptions de vie…
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56
Q

État social et de la production en France de la seconde moitié du XIXe siècle. 3 entrées.

A
  • puzzle géographique complexe,
  • dessin social hétérogène,
  • multiples formes historiques de la production. 4 niveaux. La production familiale des paysans (autoconsommation paysanne sans rapport au marché), travail à domicile (serruriers, fileurs, fabricants. En 1914, 28%) et travail des négociants (fournisseurs de matières premières), l’artisanat et les ateliers, le patron et ses “compagnons”, l’usine.
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57
Q

Développement de la France au XIXe. 5 entrées.

A
  • démographie stagnante,
  • industrialisation moins rapide (en comparaison avec Angleterre et Etats-Unis). Effet des guerres de la Révolution et de l’Empire?
  • urbanisation lente.
  • développement classe ouvrière.
  • la bourgeoisie se renforce de l’apport des classes moyennes. “Couches sociales nouvelles” - Gambetta
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58
Q

Seconde moitié du XIXe : Deux phases de croissance. 2 entrées.

A
  • la période 1850 - 1870. Effets de la révolution industrielle du charbon, de la machine à vapeur, du chemin de fer et de la métallurgie.
  • la période 1890 - 1914. Électricité et automobile.
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59
Q

Croissance du XIXe plus faible en France qu’en Angleterre. Hypothèses explicatives. 4 entrées.

A
  • Conséquences des guerres de la Révolution et de l’Empire.
  • Ralentissement démographique de la France.
  • Poids trop lourd du secteur agricole.
  • Données socioculturelles propres à la France.
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60
Q

Deux raisons administratives et techniques de la croissance remarquable de l’industrie durant la seconde moitié du XIXe. 2 entrées.

A

La révolution bancaire.
- création du Crédit industriel et commercial, 1859.
- Crédit lyonnais, 1863.
- Société générale, 1864.
Le chemin de fer.
- désenclavement des campagnes, développement des échanges.

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61
Q

Procédés industriels nouveaux, seconde moitié du XIXe. 1 entrée.

A

Sidérurgie au bois > Hauts fourneaux.

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62
Q

Régions industrielles, seconde moitié du XIXe. 3 entrées.

A
  • Le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
  • Les foyers sidérurgiques du Creusot et de Saint-Etienne.
  • Les centres textiles: Lille, Rouen, Mulhouse, Roubaix, Turcoing, Lyon.
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63
Q

Le monde rural durant la seconde moitié du XIXe. 5 entrées.

A
  • Production de céréales : quatrième rang mondial.
  • Augmentation rendements et production: engrais, disparition de la jachère.
  • Plus de risque de disette.
  • Lente influence de la révolution industrielle sur l’agriculture. (Aucune utilité de la machine à vapeur. Seule la machine à explosion motorisera le travail des champs. Traction animale avant)
  • Influence de la révolution des transports : désenclavement des campagnes, ouverture vers la ville, facilitation de la vente des produits, de la concurrence.
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64
Q

Crise de 1880-1890. 5 entrées.

A
  • krach de 1882.
  • faillites dans les entreprises, les banques,
  • déclin du commerce extérieur.
  • misère, chômage, grèves.
  • de la seconde puissance commerciale à la quatrième (Angleterre, Etats-Unis, Allemagne)
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65
Q

Redémarrage de l’économie française en 1890.

A
  • Industrie de pointe : automobile (Peugeot, Renault), caoutchouc (Michelin), aéronautique.
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66
Q

Évolution démographique au XIXe. 3 entrées.

A
  • début XIXe, forte augmentation : baisse mortalité, meilleure alimentation, disparition des grandes épidémies (sauf choléra, 1830).
  • Puis, diminution des naissances, ralentissement croissance. Limité par l’immigration positive (Belges, Italiens, Espagnols). Stagnation démographique (1840-1914)
  • Mauvais chiffre comparé avec le reste de l’Europe.
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67
Q

Caractérisation de l’Exode rural du XIXe. 4 entrées.

A
  • Fait majeur mais éviter la caricature : la population rurale reste majoritaire.
  • 75% en 1815. 53% en 1911.
  • Pas de lien mécanique entre urbanisation et industrialisation. Un facteur d’explication parmi d’autres. Deux seuls centres industriels de plus de 100000 habitants: Roubaix et Saint Etienne.
  • Attrait grandissant pour la ville, évolutions des mentalités.
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68
Q

Croissance urbaine et problèmes au XIXe. 4 entrées.

A
  • Surpeuplement.
  • Insalubrité de certains quartiers.
  • Problèmes de logement.
  • Problèmes d’approvisionnement et de transport.
69
Q

Les villes dans la seconde moitié du XIXe.

A
  • Division sociale de l’espace urbain. Distinction quartier chics et populaires. Haussmann à Paris.
  • La densité augmente.
  • Annexion générale des communes voisines.
70
Q

Les classes dirigeantes au XIXe siècle. 4 entrées.

A
  • Petite fraction de la population,
  • Anime la vie économique, politique et culturelle.
  • Durant la monarchie censitaire (Restauration, Monarchie de Juillet) : 100 000 à 250 000 électeurs. En 1900 : 200 000 à 300 000 notables et chefs de familles bourgeoises.
  • Rapprochement niveau et style de vie entre haute bourgeoisie (dont banquiers, négociants, professions libérales, etc…) et noblesse.
71
Q

Classe moyenne au XIXe.

A
  • nouvelles professions : vendeurs, personnels de bureaux, de banque, etc…
  • démarcation avec le monde ouvrier.
72
Q

Colonisation et XIXe. 2 entrées.

A
  • domination politique et économique par l’Europe, d’espaces immense en Afrique, en Asie, dans le Pacifique.
  • toute son ampleur, dernier quart de siècles.
73
Q

France et les colonies au XIXe. 3 entrées.

A
  • grande puissance coloniale. N°2. (Angleterre, n°1)
  • territoires 15 fois plus grand que la France.
  • 80 millions d’hommes.
74
Q

“Utilité colonies” selon Lavisse, historien début XXe. 2 entrées.

A
  • utiles au commerce et à l’industrie.
  • utilités humanistes : empêcher les africains de se battre entre eux, civiliser et instruire les barbares, offrir des infrastructures…
  • Pour Ferry : utilité militaire. Avoir des ports pour notre marine.
75
Q

Conditions de travail dans les colonies.

3 entrées.

A

Selon Gevrey, 1870.

  • travail de 5h jusqu’au coucher du soleil. 13h/jour.
  • pas de repos le midi ou dominical. Peu de nourriture.
76
Q

Quelques jalons pour approcher la naissance de la France.

3 entrées.

A
  • Traité de Verdun en 843 et l’élection d’Hugues Capet.

Ou

  • Thèse royaliste : baptême de Clovis, royaume des Frances. 496.
  • Thèse territoriale : nous sommes les enfants de la vieille Gaule. Empreinte de la Troisième République : Vercingétorix plutôt que Clovis.
77
Q

Traité de Verdun. Date et 4 entrées.

A

843.

  • sanctionne le démembrement définitif de l’empire de Charlemagne.
  • Charles le Chauve : Francia occidentalis, à l’origine de la France.
  • Louis le Germanique : Francia orientalis, à l’origine de l’Allemagne, à l’est du Rhin et Nord des Alpes.
  • Lothaire : partie centrale, la Lotharingie.
78
Q

Accession au trône de Hugues Capet, premier capétien. 2 entrées.

A
  • Mort de Louis V, descendant de Charlemagne, 22 mai 987. Pas d’héritier direct mais un oncle Charles de Lorraine.
  • Election à Senlis de Hugues Capet, duc des Francs en 987.
79
Q

Puissants atouts de la monarchie capétienne. 4 entrées.

A
  • Domaine royal bien située (même si plus petit que le domaine de certains seigneurs vassaux. 8000m2) bassin parisien, riche.
  • Le roi n’est le vassal de personne.
  • Prestige du sacre : souveraineté de droit divin.
  • Présence continue d’héritier jusqu’en 1328.
80
Q

Agrandissement du domaine royal capétien. 5 entrées.

A
  • Objectif majeur : source de revenus.
  • Agrandissement majeur de 1180 à 1314.
  • Philippe Auguste (1180-1223): triple le domaine royal (à l’Ouest contre la puissance anglo-angevine, au Nord contre le comte de Flandres.)
  • Louis VIII (1223-1226): extension vers le Sud.
  • Saint Louis (1226-1270) : fin de l’extension.
81
Q

Progrès du pouvoir monarchique au XIIIe. 3 entrées.

A
  • extension du domaine royal. (Quintuplé à la fin du XIII)
  • Philippe III le Hardi (1270-1285) et Philippe IV le Bel (1285-1314): mise en avant des idées de souveraineté, d’Etat. Le roi de France est “empereur en son royaume.”
  • utilisation de l’appui de l’opinion publique dans les conflits avec les derniers grands fiefs indépendants (Guyenne et Flandre). Grandes assemblées de barons, d’ecclésiastiques, de bourgeois en 1302 à Paris
82
Q

Administration du domaine royal jusqu’à la fin du XIIe. 4 entrées.

A
  • confiée à des agents locaux, les prévôts : gestion des terres du roi, des questions judiciaires et militaires en son nom, perception des revenus. Charge héréditaire.
  • à partir de Philippe Auguste : les baillis. Administrateurs itinérants. Inspectent les prévôts.
  • durant le XIII : fixation des baillis (dans le Midi, les Sénéchaux) dans les baillages.
  • administration centrale se développe à Paris.
83
Q

Trois institutions fondamentales qui émergent au XIIe et XIII.

A
  • le Conseil du Roi : traite les affaires politiques du royaume. (XIIe)
  • le Parlement de Paris : cour supérieure de justice. (Milieu XIIIe)
  • la Chambre des comptes (fin XIIIe) : vérifie les dépenses et recettes de la monarchie.
84
Q

Signes qui traduisent le développement de l’autorité du roi au XII - XIIIe. 2 entrées.

A
  • Doublement des revenus monarchiques.

- Institution d’un monopole royal de la monnaie au détriment des monnaies seigneuriales.

85
Q

Les épreuves du XIVe et XVe. 4 entrées.

A
  • La guerre de 100 ans. (1337-1453)
  • Conflit entre Louis XI (1461-1483) et Charles le téméraire, duc de Bourgogne.
  • La régression démographique (dû notamment à la Grande Peste, 1347-1350.)
  • dépression économique.
86
Q

Deuxième moitié du XVe. Temps de la reconstruction. 4 entrées.

A
  • La France retrouve son rang de grande puissance.
  • augmentation de la population.
  • redressement de l’économie.
  • nouveaux gains territoriaux sous Louis XI (1461-1483) (duché de Bourgogne, la Picardie, le comté de Provence) et Charles VIII (1483-1498) (la Bretagne).
87
Q

Renforcement du pouvoir royal, deuxième moitié du XVe. Reconstruction après les épreuves. 6 entrées.

A
  • nouveaux parlements,
  • nouvelles chambres des comptes,
  • nouvelles circonscriptions militaires et fiscales.
  • envoi de commissaires réformateurs dans les provinces.
  • la création d’un service des postes.
  • création d’une armée et d’une fiscalité permanente.
88
Q

Apport de Charles VII. (1422-1461) 3 entrées.

A
  • obtient des états généraux une taille constante pour l’entretien de son armée.
  • achève la mise en place du système fiscal (taille, aides, gabelle du sel) qui durera jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.
  • crée les compagnies d’ordonnance : premières unités militaires permanentes à la disposition du roi.
89
Q

Foi religieuse et influence de l’Eglise dans la vie quotidienne au Moyen-Age. 3 entrées.

A
  • vie des hommes rythmée par le calendrier agro-liturgique (fêtes religieuses : Noël, Avent, Pâques, Saint-Jean, etc.), ou par les cloches des églises qui indiquent les différents moments de la journée et célèbrent les grandes étapes de la vie (baptêmes, mariages, enterrements).
  • pèlerinage pour être pardonné de ses péchés. Sur le tombeau du Christ à Jérusalem, ou saint Pierre à Rome, ou saint Jacques à Compostelle.
  • foi des hommes se manifestent par la construction de milliers de monastères, églises, cathédrales. “Blanche robe d’églises”. Gaber.
90
Q

Deux courants artistiques principaux pour la construction des églises. 2 entrées.

A
  • le roman : XIe et XIIe.

- le gothique : né en Ile de France. Seconde moitié du XII. Se diffuse partout à partir du XIIIe.

91
Q

Caractéristique de l’art roman. 3 entrées.

A
  • l’art roman : simplicité des lignes, équilibre des volumes. L’Eglise a la forme d’une croix. Choeur orienté vers l’est, vers Jérusalem.
  • structure intérieure : simple, formes courbes, arcs en plein cintre et voûtes en berceau.
  • murs épais renforcés par des contreforts.
  • décor sculpté: inspiration Nouveau et Ancien Testament, extrêmement riche. Sculptures et fresques : livre d’image pour éducation religieuse des fidèles.
92
Q

Caractéristique de l’art gothique. 2 entrées.

A
  • croisée d’ogives, arcs-boutants: permettent d’évider les murs, pénétration lumière.
  • structure légère, construction toujours plus haute.
93
Q

Différence entre cathédrale, abbayes, monastères, clergé séculier, clergé régulier. 3 entrées.

A
  • cathédrale : église principale d’un diocèse. Siège de l’évêque.
  • clergé séculier : vit dans le siècle au milieu des autres hommes. Prêtres des paroisses.
  • clergé régulier : suit une règle. Retiré du monde, vie communautaire. Les moines dans les monastères.
94
Q

Mahomet entend un archange lui ordonner de réciter, au nom d’Allah, la loi de Dieu. Nom de l’archange, âge de Mahomet et date.

A
  • 610.
  • 40 ans.
  • Archange Gabriel
95
Q

Héritage de Mahomet.

A 
Le judaïsme (Ancien Testament)
Le christianisme (Nouveau Testament)
96
Q

Fuite de la Mecque, la ville natale de Mahomet par ce dernier. Nom, date, cause et destination.

A

L’Hégire. 622. Les dirigeants refusent sa prédication. Médine.

97
Q

Retour de Mahomet à la Mecque?

A

Près de 10 ans après l’Hégire. Début du djihad, la guerre sainte pour convertir les pays voisins à l’islam.

98
Q

5 Préceptes de l’islam.

A
  • Prier 5 fois par jour,
  • faire l’aumône,
  • pèlerinage à la Mecque,
  • le ramadan : un mois de jeun entre le lever et le couche du Soleil.
  • croire en Allah et son prophète.
99
Q

Mort de Mahomet.

A

632.

100
Q

Développement de l’islam après la mort de Mahomet. 5 entrées.

A
  • Conquête de tous les pays voisins de la péninsule arabique : Perse, Syrie, Égypte.
  • puis côte du nord de l’Afrique jusqu’à l’Atlantique.
  • passage en Espagne par le détroit de Gibraltar.
  • Fondation d’un empire en Espagne.
  • Progression arrêtée à Poitiers en 732 par Charles Martel.
101
Q

Rencontre des civilisations chrétiennes et musulmanes.

A
  • conflits autour de la Méditerranée, notamment autour des lieux saints de Jérusalem.
  • mais aussi échanges des produits et idées: aliments (orange, pêche, abricot, melon, lentille, etc…), l’algèbre, la médecine, la philosophie grecque.
102
Q

Les croisades. Motivations.

A
  • religieuses : Occident empreint de mysticisme et de messianisme. Désir d´expansion et de conquête spirituelle. Désir de faire des pèlerinages vers les lieux saints. Protéger le tombeau du Christ.
  • militaire: reconquête des terres prises par les musulmans. Idée soutenue par la papauté au XIe (désir de reconquérir son autorité sur l’Eglise orthodoxe)
  • matérielle : manque de terre. Calamités, inondations et sécheresses des dix années avant la première croisade expliquent la réceptivité populaire.
103
Q

Appel du pape pour la première croisade. Nom et date.

A

Urbain II (1095). 1096-1099.

104
Q

Pèlerinage des chrétiens à Jérusalem.

A
  • Dès le VIIe: les Arabes tolèrent et facilitent les pèlerinages chrétiens à Jérusalem.
  • Début du XIe: situation détériorée. Les HÉRÉTIQUES FATIMIDES sont plus exigeants et parfois persécuteurs.
  • 1078: la Palestine tombe aux mains des Turcs seldjoukides (musulmans intransigeants). Reprise de l’idée de guerre sainte. Tension.
105
Q

Nombres de croisades.

A

8 croisades. 1096-1270.

106
Q

Première croisade.

A

1096-1099.
Voyage de 4000 km. 150 000 hommes au départ. 15 000 à l’arrivée. Croisés commandés par Godefroy de Bouillon.
Succès. Installation d’un système féodal dans la région: division de la Palestine en plusieurs régions. Mais royaume de Jérusalem (roi Baudouin, frère de Godefroy de Bouillon) fragile.

107
Q

Deuxième croisade.

A

1147-1149. Protection du royaume de Jérusalem. Échec.

108
Q

Troisième croisade.

A

1189-1192.

  • Perte de Jérusalem en 1187 au profit des Musulmans. Volonté de reconquête.
  • Participation de: Philippe Auguste, Richard Coeur de Lion, roi d’Angleterre, Frederic I Barberousse.
  • Reprise de Saint Jean d’Acre, capitale du royaume de Jérusalem.
109
Q

Quatrième croisade.

A

1202-1204.

- Conquête de Constantinople. Fondation de l’Empire latin de Constantinople.

110
Q

Cinquième croisade.

A

1217-1221.

Aucun résultat.

111
Q

Sixième croisade.

A

1221-1229.

- Accord pour l’accès des chrétiens à Jérusalem.

112
Q

Septième croisade.

A

1248-1250.

  • Participation de Louis IX. Il est fait prisonnier. Versement d’une rançon.
  • Conquête de l’Egypte.
113
Q

Huitième croisade.

A

1263-1270.

  • Participation et décès de Louis IX.
  • Fin des croisades.
114
Q

Bilan des croisades.

A
  • Religieux: Pas de conversion du monde musulman et d’implantation de la foi catholique.
  • Politique : échec de la tentative d’expansion de l’Occident. Affaiblissement de l’empire byzantin.
  • Economique/Culturelle: toute relative.
115
Q

Quelle bataille menée par Philippe Auguste a consacré la puissance de la monarchie française en Europe Occidentale et tripler l’étendue du domaine royal?

A

Bouvines. 1214.

116
Q

Fin de l’âge du bronze.

A

Vers -1200

117
Q

Origine des Celtes. 4 entrées.

A
  • Vastes migrations de peuples assez mal connues.
  • Ne constituent ni une race, ni un peuple.
  • Un ensemble hétérogène, traits communs : langue et guerre.
  • Civilisations nouvelles ; rites funéraires (incinération et non plus l’inhumation)
118
Q

Premier âge du fer ou civilisation de Hallstatt.

A

Vers -750.

119
Q

Mouvement expansion celtique. 1 date et 2 entrées.

A

Vers -450.

  • Les Celtes se répandent dans toute l’Europe.
  • Second âge du fer, civilisation de la Tène jusqu’en -58 (conquête romaine).
120
Q

Territoire gaulois. Trois grands ensembles de la Gaule celtique, d’après la Guerre des Gaules de César.

A
  • la Belgique au nord de la Seine.
  • la Celtique (entre la Seine et la Garonne)
  • l’Aquitaine au sud de la Garonne.
121
Q

Les deux Gaules.

A
  • la Gaule celtique dite Gaule chevelue. Indépendante avant la conquête de Rome (-58).
  • la Gaule du Sud dite Gaule transalpine. Sous l’influence de Marseille et de Rome.
122
Q

Siège du pouvoir et lieu de résidence de la noblesse au temps des gaulois.

A

L’oppidum.

- Centralisation progressive des fonctions religieuse, politique, artisanale.

123
Q

La société gauloise selon César. 5 entrées.

A
  • Hiérarchisée.
  • Noblesse : aristocratie guerrière qui possède le pouvoir politique.
  • les hommes libres : clientèle de la noblesse.
  • les esclaves.
  • les druides : savants, médecins, prêtres polythéiste, éducateurs.
124
Q

Production des gaulois. 3 entrées.

A
  • agriculture : céréales (blé, avoine, orge, sarrasin), légumes (lentilles, petits pois, choux, navets), plantes textiles (chanvre, lin).
  • élevage : porcs, sangliers, charcuteries.
  • artisanat : ex. Le tonneau.
125
Q

État de la Gaule à la veille de la conquête romaine. 3 entrées.

A
  • Pays riche.
  • Agriculture dynamique, artisanat remarquable aux productions raffinées.
  • Circulation soutenue : réseaux de chemins et de rivières.
126
Q

L’évolution particulière de la Gaule du Midi. 4 entrées.

A
  • Présence de colonies grecques sur le littoral.
  • Développement précoce de sociétés indigènes.
  • influences méditerranéennes.
  • Marseille : place commerciale essentielle de la Gaule du Sud. Fonction de transit entre l’Italie, la Grèce et l’Orient méditerranéen.
127
Q

Fondations par Marseille de comptoirs. 1 date et 3 entrées.

A

Vers -600

  • Antipolis (Antibes)
  • Nikaia ( Nice)
  • Agathé (Agde)
128
Q

Adversaire des Romains au IIIe siècle avant J.C.? 3 entrées.

A
  • Carthage (puissance qui domine l’Afrique du Nord), une partie de l’Espagne.
  • Guerres puniques : victoire de Rome.
  • Domination de Rome dans le Bassin méditerranéen et en Gaule transalpine.
129
Q

Qui conquit la Gaule chevelue? Quand?

A

Jules César en - 58.

130
Q

Où se joue la guerre des Gaules menée par Jules César? La conquête est-elle totale?

A
  • Dans le Massif central, en pays arverne.

- Non, dernières révoltes gauloises au 1er siècle après J.C.

131
Q

Concept de ROMANISATION de la Gaule. 4 entrées.

A
  • Objet de débat.
  • Thèse de l’indépendance de l’évolution culturelle: Construction d’une nouvelle identité culturelle établie sur des bases peu déterminées par Rome.
  • Thèse de l’intégration des conquis à la civilisation romaine: programmée, complète, homogène. Extension de la citoyenneté romaine, municipalisation, constructions romaines (théâtres, thermes, aqueducs), culte impérial.
  • Point d’accord: le changement ne s’est pas fait sans résistance et frustration gauloise, de manière homogène dans l’espace et le temps (Différence majeure entre la Narbonnaise, déjà romanisée, et la gaule chevelue).
132
Q

Les nouveaux cadres administratifs de la société gallo-romaine. 3 entrées.

A
  • le système provincial : 4 provinces confiés à un gouverneur, mainteneur de l’ordre, leveur des impôts. (La Narbonnaise (l’ancienne Gaule transalpine), l’Aquitaine, la Lyonnaise, la Belgique.)
  • large autonomie locale des anciennes cités gauloises, cités libres, fédérées ou stipendiaires. Conseil des décurions gère les affaires administratives de la cité.
  • intervention du pouvoir central très réduite.
133
Q

Epoque gallo-romaine: que se passe t’il tous les ans à Lyon?

A

Les délégués des cités gauloises se retrouvent à Lyon où s’élève l’Autel de Rome et d’Auguste.

134
Q

L’aristocratie gauloise et l’assimilation culturelle à Rome. 3 entrées.

A
  • Rôle déterminant.
  • Quelques rebelles: départ vers pays danubiens ou terres anglaises.
  • Grande majorité s’allie à César par intérêt (acquisition de la citoyenneté romaine notamment). Domination romaine libérale et respectueuse des croyances religieuses indigènes.
135
Q

Caractérisation de la domination romaine sur la Gaule. 3 entrées.

A
  • Libérale.
  • Respectueuse des croyances indigènes.
  • Apport de la paix: fin des combats des chefs, protection contre les incursions d’outre-Rhin.
136
Q

Dernières révoltes des gaulois. Deux entrées.

A
  • Premier siècle après J.C.: 21 et 68-69.

- Pas l’expression d’un nationalisme gaulois, mais mécontentements face à l’impôt et les recensements.

137
Q

Qu’est ce que “vivre à la romaine.”? Deux entrées.

A

Vivre en ville.

Prépondérance de la ruralité mais la civilisation gallo-romaine est liée à la ville.

138
Q

Caractéristiques des villes romaines. 3 entrées.

A
  • souvent en plaine.
  • plan régulier.
  • conception orthogonale.
139
Q

Population des villes romaines. Deux entrées.

A
  • Relativement faible.

- Lyon (60 000), Bordeaux (20 000), Paris (5000 à 7000).

140
Q

Monuments de la ville romaine. 3 catégories.

A
  • le forum: centre de la vie politique. Bâtiments publics: basilique (salle de réunion), curie (salle de réunion pour les membres du sénat), temples officiels.
  • monuments religieux:
  • constructions destinées à l’agrément de la population: théâtres, cirques, amphithéâtres. Monuments des eaux: aqueducs, thermes.
141
Q

Langue officielle de l’administration romaine? 3 entrées. 3 entrées.

A
  • Le latin.
  • Utilisée par l’administration provinciale et municipale, l’armée, les tribunaux.
  • La masse du peuple parle un jargon, mélange du celtique et du latin.
142
Q

Le monde agricole et la romanisation. 1 entrée (à compléter).

A
  • Mise en place du cadastre. Découpage du sol en lots de 50 hectares.
143
Q

Apogée économique et romanisation. 2 entrées.

A
  • Aux Ie et IIe siècles après J.C.
  • Prospérité économique: stimulée par la Pax romana (paix romaine) et la Via romana (voies de circulation).
  • Agriculture et artisanats sources de revenus.
144
Q

Romanisation et religion. 3 entrées.

A
  • Enrichissement mutuel des cultes gaulois et romains: permanences et fusions. Fusion entre le panthéon local et le panthéon romain.
  • Druides écartés mais divinités gauloises acceptées.
  • Le christianisme apparaît à la fin du 1er, en Gaule méridionale.
145
Q

Émergence du christianisme. Deux entrées.

A
  • Deux phénomènes explicatifs: croyance dans le message de Jésus et organisation par Paul de Tarse de la nouvelle religion vue comme universelle.
146
Q

Vie de Jésus. 4 entrées.

A
  • Né à Béthléem.
  • Passe sa jeunesse à Nazareth.
  • Vers ses 30 ans, il parcourt la Palestine, territoire romain où vivent les Hébreux en attente du messie.
  • Il répand le message de Dieu : “la Bonne nouvelle.”
147
Q

Paul de Tarse. 5 entrées.

A
  • Saint Paul.
  • Juif et citoyen romain, converti au christianisme en 38 après J.C.
  • Nombreux voyages sur le pourtour méditerranéen pour répandre le message d’amour de Jésus.
  • Crée des communautés chrétiennes.
  • Vocation du christianisme à l’universalité fondée sur l’idée de Peuple des Croyants.
148
Q

Christianisation de la Gaule. 6 entrées.

A
  • Progression malgré les persécutions: Lyon en 177, sainte Blandine.
  • Conversion de 312 de l’empereur Constantin.
  • Edit de Milan: 313. Christianisme officiellement reconnu.
  • Christianisation des villes de la Gaule. Mise en place d’une organisation ecclésiastique.
  • Mais la campagne se convertit peu jusqu’à saint Martin de Tours (fin du IVe) qui christianise les campagnes.
  • A la veille des invasions germaniques, l’évangélisation est loin d’être achevée.
149
Q

Adversaire des Romains au IIIe siècle avant J.C.? 3 entrées.

A
  • Carthage (puissance qui domine l’Afrique du Nord), une partie de l’Espagne.
  • Guerres puniques : victoire de Rome.
  • Domination de Rome dans le Bassin méditerranéen et en Gaule transalpine.
150
Q

Qui conquit la Gaule chevelue? Quand?

A

Jules César en - 58.

151
Q

Où se joue la guerre des Gaules menée par Jules César? La conquête est-elle totale?

A
  • Dans le Massif central, en pays arverne.

- Non, dernières révoltes gauloises au 1er siècle après J.C.

152
Q

Concept de ROMANISATION de la Gaule. 4 entrées.

A
  • Objet de débat.
  • Thèse de l’indépendance de l’évolution culturelle: Construction d’une nouvelle identité culturelle établie sur des bases peu déterminées par Rome.
  • Thèse de l’intégration des conquis à la civilisation romaine: programmée, complète, homogène. Extension de la citoyenneté romaine, municipalisation, constructions romaines (théâtres, thermes, aqueducs), culte impérial.
  • Point d’accord: le changement ne s’est pas fait sans résistance et frustration gauloise, de manière homogène dans l’espace et le temps (Différence majeure entre la Narbonnaise, déjà romanisée, et la gaule chevelue).
153
Q

Les nouveaux cadres administratifs de la société gallo-romaine. 3 entrées.

A
  • le système provincial : 4 provinces confiés à un gouverneur, mainteneur de l’ordre, leveur des impôts. (La Narbonnaise (l’ancienne Gaule transalpine), l’Aquitaine, la Lyonnaise, la Belgique.)
  • large autonomie locale des anciennes cités gauloises, cités libres, fédérées ou stipendiaires. Conseil des décurions gère les affaires administratives de la cité.
  • intervention du pouvoir central très réduite.
154
Q

Epoque gallo-romaine: que se passe t’il tous les ans à Lyon?

A

Les délégués des cités gauloises se retrouvent à Lyon où s’élève l’Autel de Rome et d’Auguste.

155
Q

L’aristocratie gauloise et l’assimilation culturelle à Rome. 3 entrées.

A
  • Rôle déterminant.
  • Quelques rebelles: départ vers pays danubiens ou terres anglaises.
  • Grande majorité s’allie à César par intérêt (acquisition de la citoyenneté romaine notamment). Domination romaine libérale et respectueuse des croyances religieuses indigènes.
156
Q

Caractérisation de la domination romaine sur la Gaule. 3 entrées.

A
  • Libérale.
  • Respectueuse des croyances indigènes.
  • Apport de la paix: fin des combats des chefs, protection contre les incursions d’outre-Rhin.
157
Q

Dernières révoltes des gaulois. Deux entrées.

A
  • Premier siècle après J.C.: 21 et 68-69.

- Pas l’expression d’un nationalisme gaulois, mais mécontentements face à l’impôt et les recensements.

158
Q

Qu’est ce que “vivre à la romaine.”? Deux entrées.

A

Vivre en ville.

Prépondérance de la ruralité mais la civilisation gallo-romaine est liée à la ville.

159
Q

Caractéristiques des villes romaines. 3 entrées.

A
  • souvent en plaine.
  • plan régulier.
  • conception orthogonale.
160
Q

Population des villes romaines. Deux entrées.

A
  • Relativement faible.

- Lyon (60 000), Bordeaux (20 000), Paris (5000 à 7000).

161
Q

Monuments de la ville romaine. 3 catégories.

A
  • le forum: centre de la vie politique. Bâtiments publics: basilique (salle de réunion), curie (salle de réunion pour les membres du sénat), temples officiels.
  • monuments religieux:
  • constructions destinées à l’agrément de la population: théâtres, cirques, amphithéâtres. Monuments des eaux: aqueducs, thermes.
162
Q

Langue officielle de l’administration romaine? 3 entrées. 3 entrées.

A
  • Le latin.
  • Utilisée par l’administration provinciale et municipale, l’armée, les tribunaux.
  • La masse du peuple parle un jargon, mélange du celtique et du latin.
163
Q

Le monde agricole et la romanisation. 1 entrée (à compléter).

A
  • Mise en place du cadastre. Découpage du sol en lots de 50 hectares.
164
Q

Apogée économique et romanisation. 2 entrées.

A
  • Aux Ie et IIe siècles après J.C.
  • Prospérité économique: stimulée par la Pax romana (paix romaine) et la Via romana (voies de circulation).
  • Agriculture et artisanats sources de revenus.
165
Q

Romanisation et religion. 3 entrées.

A
  • Enrichissement mutuel des cultes gaulois et romains: permanences et fusions. Fusion entre le panthéon local et le panthéon romain.
  • Druides écartés mais divinités gauloises acceptées.
  • Le christianisme apparaît à la fin du 1er, en Gaule méridionale.
166
Q

Émergence du christianisme. Deux entrées.

A
  • Deux phénomènes explicatifs: croyance dans le message de Jésus et organisation par Paul de Tarse de la nouvelle religion vue comme universelle.
167
Q

Vie de Jésus. 4 entrées.

A
  • Né à Béthléem.
  • Passe sa jeunesse à Nazareth.
  • Vers ses 30 ans, il parcourt la Palestine, territoire romain où vivent les Hébreux en attente du messie.
  • Il répand le message de Dieu : “la Bonne nouvelle.”
168
Q

Paul de Tarse. 5 entrées.

A
  • Saint Paul.
  • Juif et citoyen romain, converti au christianisme en 38 après J.C.
  • Nombreux voyages sur le pourtour méditerranéen pour répandre le message d’amour de Jésus.
  • Crée des communautés chrétiennes.
  • Vocation du christianisme à l’universalité fondée sur l’idée de Peuple des Croyants.
169
Q

Christianisation de la Gaule. 6 entrées.

A
  • Progression malgré les persécutions: Lyon en 177, sainte Blandine.
  • Conversion de 312 de l’empereur Constantin.
  • Edit de Milan: 313. Christianisme officiellement reconnu.
  • Christianisation des villes de la Gaule. Mise en place d’une organisation ecclésiastique.
  • Mais la campagne se convertit peu jusqu’à saint Martin de Tours (fin du IVe) qui christianise les campagnes.
  • A la veille des invasions germaniques, l’évangélisation est loin d’être achevée.

CRPE HISTOIRE (12 decks)

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