Concepts du cours Flashcards
Revoir les différents concepts et voir ce qu'on a compris.
Les cellules communiquent entre elles par des produits chimiques
Ex 1.1.1 Le récepteur Notch.
Ex 1.1.2 Les jonctions de type GAP.
Ex 1.1.3 Les molécules diffusibles dans l’environnement.
Résumé La communication chimique est le seul moyen par lequel les cellules peuvent communiquer entre elles.
Les signaux chimiques diffusent d’une source et sont captés par des récepteurs spécifiques.
Ex 1.2.1 Le monoxyde d’azote (NO).
Ex 1.2.2 L’acétylcholine.
Ex 1.2.3 L’œstradiol.
Résumé La communication chimique implique plusieurs étapes.
Les molécules informatives hydrophobes traversent la membrane plasmique et leur récepteur intracellulaire est un facteur de transcription (FT).
Ex 1.3.1 L’isolation du récepteur au cortisol
Ex 1.3.2 La caractérisation du récepteur au cortisol
Résumé Les signaux hydrophobes traversent la membrane
Les récepteurs transmembranaires avec un domaine cytoplasmique kinase fonctionnent par dimérisation et autophosphorylation.
Ex 1.4.1 Les récepteurs tyrosine kinase (RTK), les «facteurs de croissance» et la cascade MAPK.
Ex 1.4.2 Les récepteurs sérine/thréonine kinase (RS/TK)
Les récepteurs transmembranaires peuvent affecter la dégradation des protéines.
Ex 1.5.1 Wnt/Wg et Frizzled
Ex 1.5.2 Hedgehog et Patched
Les récepteurs transmembranaires peuvent être des canaux ioniques (2e grosse classe).
Ex 1.6.1 Le récepteur de l’acétylcholine (ceci est la forme «nicotinique», un des deux formes d’AChR).
Ex 1.6.2 Le récepteur de l’IP3.
Résumé Les canaux d’ions sont des protéines transmembranaires.
Les récepteurs transmembranaires peuvent activer une protéine G (3e grosse classe).
Idée Une protéine G est un médiateur entre le récepteur et l’activité enzymatique.
Ex 1.7.1 Le récepteur de l’adrénaline
Ex 1.7.2 Le récepteur à la prostaglandine.
Ex 1.7.3 Le récepteur à l’acétylcholine (de type «muscarinique»)
Les seconds messagers peuvent réguler la transcription de gènes.
Ex 1.8.1 CRE-B
Ex 1.8.2 NF-kB
Ex 1.8.3 Ras
Résumé Les effets à long terme exploitent un contrôle sur l’expression des gènes.
L’utilisation d’enzymes dans les voies intracellulaires permet l’amplification d’un signal (cascade enzymatique).
Ex 1.9.1 L’adrénaline
Ex 1.9.2 Le NF-kB
Résumé Une cascade d’enzymes solubles.
La désensibilisation permet aux cellules de répondre à des changements de concentration d’un signal chimique.
Ex 1.10.1 Le récepteur de l’EGF
Ex 1.10.2 La morphine
Ex 1.10.3 La chimiotaxie
Résumé Une fois que le signal a été transmis, la cellule n’a plus besoin de savoir que le signal est encore là.
Des combinaisons de facteurs cellulaires assurent la spécificité des signaux chimiques à l’intérieur des cellules.
Idée Deux voies de signalisation peuvent utiliser les mêmes composantes.
Ex 1.11.1 Le contrôle combinatoire de la transcription
Ex 1.11.2 Les composantes distinctes dans la voie
Résumé Capacité d’intégrer les effets de plusieurs signaux vs assurer la spécificité du signal.
La fusion des vésicules synaptiques et la communication entre cellules nerveuses sont contrôlées.
Ex 1.12.1 La jonction neuromusculaire
Ex 1.12.2 Les SNAREs
Ex 1.12.3 NSF et SNAP
Résumé Le Ca++ entre dans le neurone par le même mécanisme que le Na+.
Les modifications du comportement reflètent des modifications dans des synapses spécifiques
Ex 1.13.1 L’accoutumance
Ex 1.13.2 La sensibilisation
Ex 1.13.3 Le réflexe conditionné classique
Ex 1.13.4 CREB chez la Drosophile
Ex 1.13.5 CaM kinase et le récepteur NMDA chez la souris
Résumé L’apprentissage et les modifications dans les synapses.
Dans l’entrée sensorielle, les transducteurs changent un signal quelconque en signal électrique.
Ex 1.14.1 Les mécanorécepteurs (l’ouïe);
Ex 1.14.2 Les cellules en bâtonnet (la vision);
Ex 1.14.3 Récepteurs d’odeurs (l’odorat);
Ex 1.14.4 Récepteurs de chaleur (température).
Résumé La transformation des signaux
Chaque type de filament est formé de monomères protéiques particuliers.
Ex 2.1.1 Les filaments d’actine (8 nm) et les règles générales
Ex 2.1.2 Les filaments intermédiaires (10 nm)
Ex 2.1.3 Les microtubules (25 nm).
Les filaments d’actine forment un cortex cellulaire dont le comportement dépend des interactions entre plusieurs protéines différentes de liaison à l’actine.
Ex 2.2.1 Le cortex cellulaire
Ex 2.2.4 La réaction acrosomienne.
Ex 2.2.5 La famille Rho
Ex 2.2.6 Le complexe ARP
Résumé Les structures statiques ou dynamiques
Les filaments intermédiaires jouent principalement un rôle structural.
Idée Les FI n’ont pas de polarité.
Ex 2.3.1 Les desmosomes
Ex 2.3.2 La lamine nucléaire
Ex 2.3.3 La plectine
Résumé Les FI sont des filaments structuraux
Le comportement des microtubules dépend de l’interactions entre plusieurs différentes protéines de liaison.
Background La tubuline hydrolyse son GTP.
Idée Le comportement des microtubules est similaire à l’actine.
Ex 2.4.1 Le MTOC et gamma-tubuline.
Ex 2.4.2 MAPs et EB-1.
Résumé Les protéines accessoires.
Les moteurs protéiques sont des ATPases qui exploitent les réseaux de filaments polaires.
Ex 2.5.1 La circulation cytoplasmique;
Ex 2.5.2 La kinésine;
Ex 2.5.3 Dynéine cytoplasmique dans les cils et flagelles.
Toutes les cellules d’un tissu sont liées par une matrice extracellulaire (MEC).
La MEC des animaux
- Polysaccharides - Protéines
La matrice extracellulaire et la forme d’une cellule animale s’influencent mutuellement
Idée Les protéines transmembranaires lient la MEC au cytosquelette.
Ex 2.8.1 Les cellules influencent la MEC via les intégrines;
Ex 2.8.2 La MEC influence les cellules via les FAK;
Ex 2.8.3 La MEC et les cellules s’influencent mutuellement.