Comportements sexuels Flashcards

1
Q

Dans la majorité des recherches qu’est-ce qu’on suggère quant à aux débuts des actes criminels chez les délinquants ?

Comment appel-t-on la trajectoire que prennent les délinquants jusqu’à la trentaine, voire toute une vie ?

A

On suggère que la majorité des délinquants sexuels ont commencés leur carrière criminelle lorsqu’ils étaient adolescents.

On appel cette trajectoire persistante

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2
Q

Selon les modèles béhavioristes, comment la déviance est-elle apprise ?

A

À partir des trois modes d’apprentissages : classique, opérant et par observation

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3
Q

Selon les modèles béhavioristes, si la déviance est apprise, elle peut être… ?

A

Désapprise, par un apprentissage différent.

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4
Q

Vrai ou faux : Les modèles de la déviance sexuelle reposent sur les mêmes mécanismes d’apprentissage que la sexualité normale ?

A

Vrai !

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5
Q

Selon le conditionnement classique la déviance est instaurée par …

A

Pairage enfant avec le plaisir sexuel

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6
Q

Selon le conditionnement opérant la déviance est instaurée par …

A

Masturbation en pensant à des enfants et éprouve du plaisir, renforce positivement ou parce que ça lui enlève ses émotions négatives.

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7
Q

Selon le conditionnement vicariant la déviance est instaurée par …

A

Le fait de s’être fait abuser devient un modèle du comportement sexuel et dans la pornographie qui « montre » comment la sexualité de déroule.

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8
Q

Selon le modèle hydraulique la déviance provient de…
Explique le principe selon l’approche

A

La déviance provient d’une excitation sexuelle déviante.

Principe : Si on réduit l’excitation déviante, une excitation normale va apparaître.

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9
Q

Selon le modèle sexuel la déviance provient de…

A

La déviance provient d’une excitation sexuelle déviante. Il y a également un manque d’excitation sexuelle normale. Également un manque d’habiletés hétérosociales

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10
Q

Définit les habiletés hétérosociales

A

Les habiletés hétérosociale sont les habiletés sociales appliquées aux sexes opposés.

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11
Q

Qu’est-ce que les recherches rapportent sur les comportements hétérosociaux des agresseurs d’enfants VS de femmes ?

A

Les agresseurs de femmes adultes ne sont pas du tout gêné, ils ont une attitude macho et prennent beaucoup de place.

Alors que les agresseurs d’enfants sont eux-mêmes extrêmement immature, parce qu’un enfant c’est comme un amour inconditionnel et le fait d’approcher une adolescente serait beaucoup trop intimidant.

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12
Q

Selon le modèle multifactoriel, la déviance provient de …

A

Avec l’ajout des dimensions non sexuelles, donc plutôt qu’être centré sur l’excitation sexuelle déviante, on observe que le manque d’habileté à résoudre ses problèmes est liés à un manque d’habiletés sociales, donc augment le stress relationnel et ce stress induit un comportement sexuel déviant.

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13
Q

Fait moi le portrait ABC d’un déviant sexuel selon le modèle multifactoriel qui se fait rejeter ses avances à une jeune adolescente.

A

L’antécédant : Fait une avance à une adolescente

Manifestation : PAS D’HABLETÉ DE RÉSOLUTION DE PROBLÈME POUR SE RÉGULER !, donc humiliation et colère ressenti et se démontre par le fait de fantasmer de faire du mal. La pornographie violente lui permet de ventiler le sentiment d’humiliation, donc l’idée d’humilier une femme est pairé avec le plaisir sexuel.

Conséquence : Réduction des émotions négatives et renforcement négatif

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14
Q

En (augmentant/diminuant) _______ les ______ de _______ de _________ on verra (plus/moins) ________ de recours à la déviance sexuelles selon le modèle ABC

A

En augmentant les habiletés de résolutions de problèmes, on verra moins de recours à la déviance sexuelle.

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15
Q

Si on optimise les habiletés de résolutions de problèmes, à quel composante du modèle ABC on intervient ?

A

B : La manifestation

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16
Q

Révision : Pour le conditionnement classique la déviance est établie par le pairage entre quoi ?

A

L’enfant et le plaisir sexuel

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17
Q

Révision : Pour le conditionnement opérant, la déviance est établie par quel comportement ? Et puni par quels comportements ?

A

Le comportement de masturbation augmente par ajout d’un orgasme (renforcement positif) et retrait d’une conséquence aversive de tension (renforcement négatif).

Punition positive : aller en prison, ajout de la culpabilité
Punition négative : Retrait de la liberté, perte de joie

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18
Q

Une étude liée à l’apprentissage social en lien avec les films pornographiques. Décrit l’étude et les conclusions de celle-ci.

A

4 groupes d’hommes regardaient des films pornographiques :
a. Pornographique (hard) avec viol mais fin appréciée par la femme
b. Pornographique (hard) avec viol mais fin détestée par la femme

Ensuite on leur demande de corriger une travail fait par une femme et on leur donne la possibilité de donner des chocs aux femmes.

Résultats :
* Les films pornographiques augmentent les chocs donnés par les hommes aux femmes.
* Il y a une tendance (non significative) à donner plus de chocs lorsque la fin est appréciée par la femme que lorsque la fin est détestée.

Cela conduirait à une banalisation de la douleur infligée aux femmes dans ces types de films pornographique.

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19
Q

L’étude sur la relation entre l’agression commise comme agresseur et la nature de l’agression subie comme victime à obtenu quels types de résultats ?

A

Il faut comprendre que la victime d’un abus sexuel va avoir tendance à commettre son abus sexuel de la même manière dont elle a été victime.

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20
Q

Souvent, quand un individu vit une agression sexuelle, quelle est le sentiment qui l’accompagne lors de son premier geste d’agression envers une victime ?

A

La confusion

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21
Q

Quelle serait la variable #1 lié au facteur de l’environnement des jeunes agresseurs sexuels ?

A

L’explication aux parents que le matériel pornographique ne doit pas être accessible aux enfants.

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22
Q

L’environnement familial joue un rôle dans le développement de comportement d’agressions sexuelles, quelles sont les 5 éléments principaux qui contribuent à cet environnement ?

A

1) La présence de beaucoup d’instabilité familiale
2) L’échec dans l’établissement des liens entre parent - enfant
3) Exposition à du matériel et comportement sexuel dans la famille
4) Risques élevé d’abus
5) Manque de ressources pour composer avec l’abus dévoilé

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23
Q

Explique l’impact de la présence de beaucoup d’instabilité familiale dans l’environnement

A

Le facteur de risque le plus grand est la recompositions familiales. Ce serait les nouveaux conjoints qui représente un facteur de risques sexuels et non sexuels.

On ajoute également le manque de ressources financières et psychologiques

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24
Q

Explique l’impact de l’échec dans l’établissement des liens entre le parent et l’enfant (4)

A

Les parents ont de la difficulté à assumer le rôle parental
–> Souvent dans le cas de parents trop jeunes ou avec des problèmes de consommation qui n’arrivent pas à remplir adéquatement le rôle.

Les parents trouvent leurs enfants décevants

Les parents développent des interactions négatives avec l’enfant

Les parents se sentent distants des enfants (attachement)

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25
Q

Explique le risque élevé d’abus dans l’environnement de jeunes agresseurs

A

On rapporte plus d’abus sexuels et physiques dans l’environnement familial des jeunes qui deviennent agresseurs

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26
Q

Explique le manque de ressource pour composer avec l’abus dévoilé

A

Les parents vont avoir des pratiques parentales inadéquates lors d’un dévoilement d’un abus, donc déni qui aura deux conséquences

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27
Q

Plus précisément lié au manque de ressources pour composer avec l’abus dévoilé, quelles sont les deux conséquences lié aux réactions inadéquates des parents ?

A

L’abus laisserait une trace au niveau du partenaire que le parent apporterait dans la famille. Quand le parent a été victime et qu’il ne s’en ai jamais perçu, il utilisera encore plus le déni parce que ce fut une expérience insurmontable dans sa propre vie.
a. Réexacerbation du trauma
b. Détachement de l’enfant de son parent

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28
Q

Définit les facteurs de risques dynamiques et donne un exemple

A

Facteurs dynamiques : Modifiables, changement possible

Exemple –> L’isolement social : plus des délinquants sont isolés, plus ils plongent dans la pornographie.

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29
Q

Définit les facteurs de risques statiques et donne un exemple

A

Facteurs statiques : Non modifiables

Exemple –> Antécédents criminels à caractères sexuels : plus ils sont important en nombres, plus il y a un risque de récidive.

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30
Q

Avons-nous une possibilité d’intervenir sur les facteurs de risques statiques ?

A

Les facteurs de risques statiques ne peuvent pas être modifiés directement. Cependant, il est possible d’agir sur les variables modératrices, comme la perception du risque d’arrestation.

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31
Q

Nomme les 6 facteurs de risques dans la récidives démontrés empiriquement

A

1) Intérêt sexuel déviant
2) Antécédent criminel
3) Agression sur plus d’une victime
4) Agression contre une victime inconnue
4) Isolement social
5) Agresseurs qui n’ont pas de traitement ou qui ont abandonné le traitement

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32
Q

Quel est le principal facteur de risque dans la récidive démontré empiriquement

A

L’intérêt sexuel déviant serait lié au fait que le multirécidiviste à quelque part ses types de comportements parce qu’il aime sexuellement cet objet.

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33
Q

Vrai ou faux : Le modèle ABC ne prend pas compte de la composante de l’intérêt sexuel déviant

A

Vrai, le modèle ABC manque cette variable

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34
Q

Les récidivistes (sont/ne sont pas) ________ tous des agresseurs sexuels, mais les agresseurs sexuels (sont/ne sont pas) _______ tous récidivistes.

A

Les récidivistes sont tous des agresseurs sexuels, mais les agresseurs sexuels ne sont pas tous récidivistes.

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35
Q

Facteurs de risques dans la récidive démontrés empiriquement

Explique le facteur d’antécédents criminels (sexuels)

A

Le meilleur prédicteur d’un comportement futur est le comportement du passé.

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36
Q

Facteurs de risques dans la récidive démontrés empiriquement

Explique le facteur d’agression sur plus d’une victime

A

Témoigne du fait de la gravité de délinquance particulièrement

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37
Q

Facteurs de risques dans la récidive démontrés empiriquement

Explique le facteur d’agression contre une victime inconnue

A

Cela suggère que la personne à fait le tour des victimes déjà connues et elle va voir ailleurs. La pulsion déviante est donc plus importante, car le risque accru d’être pris n’est pas considérée.

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38
Q

L’isolement est-il un facteur dynamique ou statique ?

A

Dynamique

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39
Q

Facteurs de risques dans la récidive démontrés empiriquement

Explique le facteur d’isolement social

A

À cause de l’isolement, le délinquant se détache encore plus de la société et il va adopter plus de comportements antisociaux. Les réseaux sociaux sont très peu développés parce qu’ils ont moins d’habileté de résolution de problème et sociale

40
Q

Donne la définition d’antisocial

A

Contre la société

41
Q

Facteurs de risques dans la récidive démontrés empiriquement

Explique le facteur d’agresseurs qui n’ont pas de traitement ou qui ont abandonné le traitement

A

En thérapie suite à une première offense, le critère de reconnaître avoir fait une agression sexuelle est demandée, sinon, si une personne est dans le déni, cela empêche le groupe d’avancer. Ce déni est présent en raison de l’absence motivation au traitement.
Ou bien l’abandon par manque de désir de changer.

42
Q

Quels sont les deux facteurs de risques dans la récidive en voie de validation empirique

A

1) Relation conflictuelle parent – enfant
2) Attitudes/Cognitions supportant l’agression

43
Q

Donne deux exemples de cognitions qui supporte l’attitude d’agression sexuelle

A

1) Blâmer la victime
* « C’est de la faute à la victime »

2) Minimiser les conséquences
* « Elle s’en remettra rapidement”

44
Q

Facteurs de risques dans la récidive possibles :
* Environnement familial avec un stress élevé
* Impulsivité de l’adolescent
* Orientation antisociale (fait de commettre d’autres crimes)
* Association pairs déviants
* Préoccupation sexuelle élevée
* Agression envers enfant plutôt qu’un adolescent
* Menaces et violence lors de l’agression
* Environnement propice à la rechute

Renomme en 4

A

Impulsivité de l’adolescent
Orientation antisociale
Agression envers enfant plutôt qu’un adolescent
Environnement propice à la rechute

45
Q

Facteurs de risques dans la récidive peu probants

A
  • Histoire personnelle de victimisation
  • Histoire d’agression non sexuelles
  • Pénétration
  • Déni face à la victime (cpt contraire plutôt suite aux conseils de l’avocat)
  • Empathie (la plupart cible l’empathie mais ce ne serait pas la cible optimal en terme de réduction de cpt sexuels inadéquats)
46
Q

Selon le modèle ABC, sur quels composantes devons-nous intervenir auprès des agressseurs sexuels ?

A

Sur les antécédant dans la vie de l’agresseur sexuel, qui sont des stress relationnels. Ils se soulagent (conséquence) en regardant de la pornographie violente (manifestation), puis la pornographie ne suffira plus, à cause de l’habituation, la personne passera à l’acte.
On cherche à travailler sur les antécédant ou trouver un comportement plus adapté pour la gestion émotionnelle des agresseurs.

47
Q

Les interventions

Les programmes basés sur le modèle hydrolique visent et ciblent quoi ?

A

Ils visent la modification des préférences sexuelles (pour faire parvenir l’excitation sexuelle normale) et ciblent la déviance sexuelle.

48
Q

Les programmes basés sur le modèle hydraulique

Quelles sont les deux méthodes de ces programmes ?

A

Méthode aversive et non aversive

49
Q

Les interventions

Les programmes basés sur le modèle multifactoriel ciblent quoi ?

A

Ils ciblent un ensemble de variables à partir du modèle ABC. Donc on tente de trouver une manifestation plus appropriée.

50
Q

Selon le modèle ABC, le visionnement de la pornographie comme manifestation agit selon quel mécanimse ?

Pairage, renforcement ?

A

C’est un renforcement positif et négatif

51
Q

Sachant que les interventions ciblent la modification des préférences sexuelles, pour quelle raison ciblent-t-elles précisément les préférences sexuelles déviantes ?

A

Parce que les préférences sexuelles déviantes est la variable qui distingue les récidiviste des non agresseurs.
&
C’est inclus dans la définition des paraphilies

52
Q

Quelles sont les 2 types de mesures en intervention ?

A

Mesures autoraportées et mesures objectives

53
Q

En quoi consiste la mesure autoraporté du client ? Et quelles sont les deux limites ?

A

On lui demande de nous inquiquer jusqu’à quel point il se sent excité par une idée.

Limites : Dissimulation & déni

54
Q

En quoi consiste la mesure objective ? Et quelle est sa limite ?

A

Pléthysmographie pénienne : Anneau mis autour du pénis. Des images déviantes sont montrées. L’amplitude de l’érection sera mesurée face au stimulus présenté.

Limite : Dissimulation - Tenter de penser à autre chose ou regarder ailleurs lors de la présentation des stimuli.

55
Q

La dissimulation lors de la pléthysmographie peut-être contrée ?

A

Oui par la réalité virtuelle !

56
Q

Moyens utilisés pour modifier les préféfences sexuelles

L’association par conditionnement

A

Choc lorsqu’il y a érection devant stimulus inapproprié (photo d’un enfant). Aucun lorsqu’il y a érection devant stimulus approprié (relation normale entre adultes).

Pairage SC (fantaisie sexuel déviante) avec une situation de déplaisir. [SI aversif (Choc, odeurs d’ammoniac) RI (anxiété, déplaisir)]

57
Q

Association par conditionnement

Outre le pairage avec le stimulus aversif, quel autre principe peut-être compris par le délinquant sexuel ?

A

Il peut comprendre la capcité de contrôle sur son érection. Donc qu’il a le choix d’aliementer son excitation sexuelle par ses pensées. Ils peuvent considérer la possibilité de changer en changeant leur cognititons

58
Q

Moyens utilisés pour modifier les préféfences sexuelles

La sensibilisation voilée

Y-a-t-il une limite ?

A

Production d’un stimulus aversif (arrestation), par le biais de l’imagination, qui sera pairé au stimulus sexuel inadapté (fantaisie pédophile).
– Facile d’utilisation

Limite : Aucune possibilité de vérification

59
Q

Moyens utilisés pour modifier les préféfences sexuelles

Rétroaction biologique

A

Informer le participant sur l’amplitude de son érection.
* Aucune efficacité réelle

60
Q

Moyens utilisés pour modifier les préféfences sexuelles

L’exposition

A

Présenter des stimuli sexuels non déviants
* Film décrivant des activités sexuelles entre adultes consentants
* Cette méthode serait efficace pour rendre l’excitation sexuelle normale

61
Q

Moyens utilisés pour modifier les préféfences sexuelles

Reconditionnement orgasmique

A

Le client se masturbe en pensant à des fantaisies déviantes. Il change de fantaisie au moment de l’approche de l’orgasme pour des fantaisies normales
– Introduction graduelle de plus en plus tôt puis fantaisies normales seulement

62
Q

Question d’examen

Est-ce que le conditionnement orgasmique et la satiation fonctionne pour changer les préférences sexuelles déviantes ?

A

OUI ET NON
Le reconditionnement orgasmique à augmenter les préférences sexuelles pour les femmes adultes, mais il reste à 50% de son érection maximale. Alors que pour les enfants ça allait cherche plus haut. On parvient à modifier les préférences sexuelles, mais on n’atteint jamais le même niveau que pour les fantaisies sexuelles déviante.
Oui on peut l’enlever et augmenter (créer jusqu’à un certain point) l’excitation sexuelle non déviante. Mais l’excitation non déviante n’atteindra jamais le même niveau d’érection que le niveau d’excitation sexuelle déviante , il y aura toujours une différence entre ces deux excitations. La conscience de cette différence reste présente pour le délinquant (les variables liées à la suppression des pensées déviante pourraient compenser la « perte »).

63
Q

Selon l’étude de cas du pédophile, dans laquelle on utilisait la punition signalée, quel a été le résultat ? Y-a-a-t-il tout de même une limite pour cette étude ?

A

Par la rétroaction biologique avec un choc quand l’érection ne doit pas être présente, il y a eu une modification des cognitions :
– Croyait qu’il était maintenant possible d’être prit pour un délit
– Modification de sa capacité à maîtriser son excitation

Mais la généralisation des résultats est plus ou moins envisageable. Dans des lieux contrôlés ont obtiens ces résultats, mais dans la vie de tous les jours….

64
Q

Les interventions d’approche sur le modèle multifactoriel est le modèle le plus utilisé : Vrai ou Faux

A

Vrai

65
Q

Quels sont les 4 grandes composantes dans le modèle multifactoriel ?

A

1) Prévention de la récidive (et rechute)
2) Similarité à la toxicomanie
3) Chaîne délictuelle de l’agression
4) PACIS

66
Q

Modèle multifactoriel

Quelles sont les 6 éléments similaires à la toxicomanie selon le modèle multifactoriel ?

A

1) Recherche d’une gratification immédiate

2) Coûts personnels et sociaux

3) Manque de preuve d’une étiologie unique

4) Difficulté en post traitement

5) Réprobation sociale

6) Similitude à la compulsion

67
Q

La prévention de la récidive

A

Pour la déviance sexuelle et la toxicomanie, les thérapies sont similaires

68
Q

Interventions similaire à la toxicomanie

La recherche de gratification immédiate

A

Les gestes de consommation et d’agression sont souvent fait parce que l’individu cherche une satisfaction à court terme (contiguité) au détriment des conséquences à long terme

69
Q

Interventions similaires à la toxicomanie

Les coûts personnels et sociaux

A

Pour les agresseurs : Victimes
Pour les toxicomanes : Entourage

70
Q

Interventions similaires à la toxicomanie

Manque de preuve d’une étiologie unique

A

La cause biopsychosociale contient une variance sur les 3 éléments

Bio –> Gènes
Psycho –> Cognition et personnalité
Socio –> Milieu/environnement

71
Q

Interventions similaires à la toxicomanie

Difficulté post traitement

A

Suite à la thérapie, rechute ou récidive

72
Q

Interventions similaires à la toxicomanie

Réprobation sociale

A

Les deux sont désapprouver par la société

73
Q

Interventions similaires à la toxicomanie

Similitude à la compulsion

A

Quand l’alcoolique rechute il prend une brosse. Quand l’agresseure rédivive, il regarde des heures de pornographie.
–> Rechute intense

74
Q

Quel est le principe de connaître la chaîne délictuelle de l’agression

A

Avant une agression, la personne passe par un nombre d’étapes. Le principe est d’évaluer les étapes et de cibler les futures portes de sorties selon les étapes afin d’éviter que le comportement se poursuive.

75
Q

Quelles sont les 6 étapes de la chaîne délictuelle de l’agression ?

A

1- Conflit
2- Malaise
3- Fantaisies sexuelles déviantes
4- Choix apparement anodins
5- Situation hautement à risque
6- Acte sexuel déviant

76
Q

1- Conflit

A

Le conflit mène aux difficultés relationnelles qui font vivre des émotions négatives

77
Q

2- Malaise

A

Le malasie est associé à des émotions désagréables. La personne cherchera à reganger du contrôle

78
Q

Quelle est la différence entre du coping centré sur la résolution de problème et le coping centré sur les émotions ?

A

Le coping centré sur la résolution de problème est sain alors que celui centré sur les émotions est basé sur un coping d’évitement

79
Q

3- Fantaisie sexuelles déviantes

A

Utilisation du modèle ABC
Puisqu’ils n’ont pas d’habileté de résolution de problèmes, les déviants ont beaucoup plus de chance de se réfugier dans les fantaisies où tout est possible. c’est une des seules manières dont ils reçoivent une gratification. La masturbation offre un renforcement et les distortions cognitives en lien avec les fantaisies les soutiennent.
Ex. : L’agression sexuelle est un jeu d’amour ou d’éducation

80
Q

4- Choix apparement anodins

A

Les déviants à cette étape :

Font de la planification passive, de la recherche inconsciente : Sans y réfléchir, il se met dans une situation où il risque de rechuter.

Ils vont se cnovaincre qu’il ne peut faire autrement que de rechuter : c’est malgré lui

Ils font de la rationnalisation et de la projection : c’est à cause de l’enfant, il était là en même temps que moi

81
Q

5- Situation hautement à risque

A

Étape où si le déviant est convaincu de pouvoir s’en tirer sans conséquences, il commettra son geste

82
Q

6- Acte sexuel déviant

A

Soulagement temporaire et retour au point de départ

83
Q

Quelles sont les deux étapes lors desquelles l’entourage à un rôle à jouer ?

A

4- Choix apparement anodins
5- Situation hautement à risque

Si personne n’est au courant à par sa famille immédiate. Il y a un party ou tous les enfants jouent dans le sous-sol. Un parent lui demande d’aller chercher quelque chose dans le sous-sol. Cela le met dans une situation à risque. Il faut que les parents soient allumés et envoient quelqu’un d’autre.

La voisine demande à la mère si son enfant peut garder l’enfant. La mère devra dire qu’il n’est pas disponible pour éviter l’étape de situation qui met à risque.

84
Q

Le PACIS

A

Programme pour adolescent ayant commis des infractions sexuelles

85
Q

PACIS

Le consentement éclairé

A

Une réflexion est expliquée explicitement pour que le jeunes sache distinguer une relation avec VS sans consentement, sachant qu’il peut venir d’un famille où le consentement n’était pas la norme

86
Q

PACIS

Les distortions cognitives

A

On fait une restructuration par la remise en question sachant que ces cognitions sont véhiculées par la pornographie.

87
Q

PACIS : les distortions cognitives

Quel est le lien entre les vidéos pornographiques et les distortions cognitives ?

A
  • Plus les agresseurs regardent les vidéos pornographiques, plus les distorsions sont fortes.
88
Q

PACIS : les distortions cognitives

On utilise un raisonnement ____ avec les distortions cognitives

A

Un raisonnement Socratique : Preuve et contre-preuve

89
Q

PACIS

Les scénarios sexuels

A

On offre des exemples explicites dans lesquelles il y a du consentement éclairé vs celle qui n’en n’ont pas dans les scénarios sexuels adéquats et inadéquats

90
Q

PACIS

La sensibilisation aux torts causés

A

Basé sur le développement de l’empathie on questionne la personne : quelles ont été les réactions des autres personne (parents) quand ils ont appris ton geste ? Et sur la victime ? Et lui-même ?

91
Q

PACIS

Pensées émotions et comportements

A

En lien avec la thérapie cognitivo comportementale

92
Q

PACIS

Prévention de la récidive

A

Son type de personnalité et ses déclencheurs à lui seront à cibler pour comprendre son mode opératoire donc, sa manière de commettre le délit.

93
Q

Prévention de la récidive

Quels sont les 3 types d’agresseurs sexuels

A

Violeur sadique : Émotions négatives envers sa mère

Violeur opportuniste : Antisocial et narcissiques à l’affut d’une opportunité

Violeur colérique : Antisocial, dépendant et schizoïde entre les deux types (travailler sur son impulsivité)

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Q

PACIS

La lettre de clarification

A

Permet d’évaluer de comprendre à quel point le déviant à compris ou pas, si sa réflexion est présente.

Écrire une lettre à la victime pour s’excuser ce qu’il a fait et la raison pour laquelle il a fait cela. Il décrit donc son cycle de délit.

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Q

PACIS

L’éducation sexuelle

A

Les parents et l’école ont leur rôle. Les agresseurs ont peut-être eu de l’éducation à l’école mais pas assez avec les parents.