CM1 Catégorisation Flashcards

1
Q

La catégorisation correspond à…

A

une nécessité pour l’Homme de se représenter de façon simple et synthétique, le monde avec lequel il interagit. Elle permet l’économie cognitive.

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2
Q

La catégorie correspond…

A

au regroupement d’un ensemble d’objets considérés comme similaires. Ensemble de propriétés qui sont partagées.

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3
Q

Un concept est…

A

la représentation mentale d’une catégorie.

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4
Q

L’extension d’une catégorie renvoie à…

A

l’ensemble des exemplaires qui constituent une catégorie d’un point de vue quantitatif.

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5
Q

Il existe 2 approches de la construction des catégories…

A

les similarités et les connaissances.

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6
Q

La théorie classique de Smith et Medin en 1981, les catégories ont des propriétés communes et varient selon 4 dimensions :

A

la couleur, la forme, le nombre, le nombre de bordures des figures de l’expérience.

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7
Q

La théorie du prototype, d’Eleanor Rosh en 1975.

A

Frontières des catégories floues car un élément peut appartenir à plusieurs catégories. Élément classé selon le degré de similitude appelé prototype.

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8
Q

Qu’est-ce qu’un prototype ?

A

C’est une sorte d’abstraction, de résumé de la catégorie qui représente la tendance centrale de la catégorie. Le prototype est donc l’élément qui possède le plus de propriétés en commun avec les autres membres de la catégorie.

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9
Q

Rosch et coll. avec le phénomène de typicalité qui signifie…

A

que certains membres d’une catégorie apparaissent comme de meilleurs représentants de cette catégorie que d’autres, plus typiques! en référence à la notion “d’air de famille”.

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10
Q

Rosch et coll. ont mis en évidence deux dimensions d’organisation des catégories :

A

La dimension horizontale : c’est la structure interne des catégories et concerne la distinction entre les concepts qui sont placés au même niveau d’inclusion.

La dimension verticale : fait référence au niveau d’inclusion d’une catégorie et au degré de sa généralité.

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11
Q

Il existe 3 niveaux d’inclusion :

A

Le niveau super-ordonné : animaux.
Le niveau de base : les différents animaux.
Le niveau subordonné : les exemplaires de chaque catégories : caniche, labrador, …

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12
Q

La théorie des exemplaires, Medin et Shaffer 1978.

A

La catégorie est organisée autour d’un exemplaire.

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13
Q

Les catégories “ad hoc” de Barsalou :

A

on regroupe des éléments issus de différentes catégories construites spontanément afin d’atteindre un but dans un certain contexte.

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14
Q

La théorie des schémas, de Barlett (1932),

A

Un schéma est un ensemble de connaissances organisées en réseau, relatives à un thème, à une situation ou à un événement.

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15
Q

Le schéma de type “script” :

A

une séquence élémentaire d’événements routiniers fréquemment vécus.

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16
Q

L’organisation de connaissances en catégories hiérarchisées, de Collins & Quillian 1969 :

A

Chaque catégorie est incluse dans la catégorie d’ordre supérieur et les KTG les plus englobantes correspondent aux KTG abstraites et génériques. (Principe de l’économie cognitive).

17
Q

La propagation de l’activation non-hiérarchisée de Collins et Loftus (1975). :

A

les connaissances sont liées les unes aux autres par des liens de nature différente, sous forme de graphes ou réseaux. Avec des nœuds en immense réseau de concepts interconnectés. Lorsqu’un concept est activité (de manière automatique), ce concept va devenir le point de départ de la propagation de l’activation à l’intérieur de ce réseau.

18
Q

Théorie générale de Piaget : base du constructivisme.

A

Il privilégie l’action; qd un sujet fait face à une nouvelle situation, il utilise bcp de structures cognitives nommées “schèmes opératoires”, permettant l’adaptation et la réponse du sujet. En clair, les connaissances se construisent à travers l’interaction entre le sujet et l’environmt par les processus d’assimilation, d’accommodation et d’équilibration.

19
Q

Selon Piaget, 4 facteurs conditionnant le dév de l’enfant :

A

l’hérédité ; l’environnement physique ; l’environnement social ; l’équilibre qui régule ces interactions.

20
Q

Le constructiviste de Piaget repris par Vygotski 1934 :

A

L’intelligence se dév grâce à des outils psycho de l’environmt tel que le langage ; intériorisés en activités mentales étant la source de la formation des concepts.

21
Q

Théorie générale de la cognition humaine d’Anderson 1983 ; ACT Adaptative Control Thought :

A

Programme informatique utilisant des règles de production : SI (condition)… ALORS (action)…
Distinction entre mémoire de travail, mémoire déclarative (=savoirs structurés en réseaux sémantiques) et mémoire procédurale (=savoir-faire représentés par des règles de production).

22
Q

L’acquisition des connaissances c’est…

A

l’interaction entre les deux types de mémoire, qui est à la base de la construction des connaissances. Les connaissances sont d’abord déclaratives puis tranformées en procédurales grâce à l’apprentissage par l’action, d’Anderson.

23
Q

Théorie de Hatano & Inagaki 2000 :

A

Ensemble de contraintes :
_ Innées : préférences de connaissances qui servent de mécanisme d’apprentissage (non pas de co. innées).
_ Socio-culturelles interactives : connaissances en relation avec la culture.
_ Internes cognitives : permettent d’apprendre par l’exploration.

24
Q

Les connaissances sont indépendantes/générales des domaines dans l’approche connexionniste / du traitement parallèle réparti TPR, Rumelhart & McClelland (1986).

A

Les connaissances sont organisées dans un réseau d’unités interconnectées et distribuées au niveau neuronal ; avec des nœuds où ils auraient des connexions entre eux. Activation simultanée des noeuds donc connaissances stockées de manière distribuées.

25
Q

Le principe d’autonomie, Fodor 1983 :

A

Le système cognitif est composé d’un ensemble de modules spécifiques et autonomes avec chacune une spécialisation dans une fonction cognitive.

26
Q

La théorie sensori-fonctionnelle (SFT) de Warrington & McCarthy (1987).

A
la mémoire sémantique a deux types de propriétés : 
_ sensoriel (la couleur, l'odeur, etc.)
_ fonctionnel (l'action, l'usage, le contexte d'utilisation) qui contribuent différemment pour distinguer les catégories naturelles (attribut sensoriel) et des objets fabriqués (attribut senso et fonctionnel).
27
Q

La catégorie perceptive c’est

A

toutes les caractéristiques extérieures comme la forme ou la couleur. (Soleil = Ballon, orange)

28
Q

La catégorie thématique c’est

A

un regroupement d’objets hétérogènes mais liés ensemble car ils appartiennent à la même scène. (école=cahier).

29
Q

La catégorie taxonomique c’est

A

la représentation abstraite de la catégorie exprimée par l’appartenance catégorielle ou par des propriétés communes. (EX: moyens de locomotions : train, vélo, voiture).

30
Q

La catégorisation chez l’enfant à deux approches :

A

_ hiérarchique : acquisition avec un dév progressif, acquisition des KTG par ordre et âge précis : catégorie perceptive, thématique puis taxonomique.
_ pluraliste : le dév des catégories non hiérarchisé ni lié à l’âge ; accès aux trois étapes de catégories simultanément et dépend de la tâche et des caractéristiques individuelles.

31
Q

Processus de catégorisation perceptif (bottom-up) ou conceptuel (top-down) :

A

_ Perceptif : on utilise les infos partielles pour arriver à l’abstraction vers un concept général, càd que le traitmt est considéré comme un processus de bas niveau avec des éléments isolés ; EX: s’il a de la barbe, alors c’est un homme.

_on part du concept/représentation, qui est un processus de haut niveau cognitif ; EX: c’est un homme alors il peut avoir de la barbe.

32
Q

Si on imbrique la catégorisation perceptive et conceptuelle (agissement simultané pour Mandler), il y a mise en place des :

A

catégories artificielles.