CM : Nourriture Flashcards
Qu’est-ce que survivre ?
se nourrir, éviter les prédateurs et animaux dangereux et éviter les parasites
-> nos descendants devaient survivre
Expliquer l’appétence des humains pour le gras et le sucré.
Pénurie nutritionnelle et calorique -> penchant pour nourriture grasse ou sucrée pour accumuler les calories nécessaires à la survie.
La nourriture peut être un stimulus perturbateur.
Mismatch -> L’appétence pour le sucre et le gras aujourd’hui crée chez nous des problèmes de santé et d’obésité.
Qu’est-ce que le décalage évolutionnaire, “mismatch” ?
L’idée que des stimuli dans un passé apportaient des réponses adaptatives et permettaient de mieux survivre
Expliquer le noyau accumbens et la nourriture ?
Le niveau d’activation du noyau accumbens prédisait à six mois la prise de poids. Les individus qui manifestaient une activation plus intense du noyau accumbens (gauche) lors de la perception d’images de nourriture étaient plus enclins à avoir pris du poids six mois plus tard.
Expliquer le rapport de la nourriture avec la mémoire.
La mémoire fonctionne mieux pour les aliments les plus gras/riche. Dans le passé, il était plus intéressant de se souvenir d’où se trouvait les aliments riches. Les femmes réalisent mieux la tâche que les hommes.
Qu’est-ce que le dégoût ?
= adaptation pour éviter d’ingérer des aliments qui peuvent nous mettre en danger (pourriture, non comestible) nous vient du passé ancestral
= émotion héritée qui nous protège de l’ingestion de toxines, ou lorsqu’ingérées, nous pousse à leur expulsion
Vient du passé ancestral (important de savoir détecter la nourritue comestible)
-> Il suffit d’une seule expérience négative avec une nourriture pour qu’elle devienne aversive !
Quels sont les deux systèmes immunitaires permettant de lutter contre les pathogènes ?
- Biologique : permet de lutter contre les pathogènes contre ceux-ci ont pénétré notre organisme
- Comportemental (SIC) : système pro-actif qui va permettre de détecter la présence éventuelle de pathogène dans notre environnement. Ça n’est pas un système qui fonctionne parfaitement. Il veut éviter des erreurs fatale (cf. référence à la métaphore du détecteur de fumé). Il peut s’alarmer pour rien. Il est calibré de sorte à faire des faux-positif (= s’alarmer pour rien) pour éviter les faux-négatifs (= ne pas s’alarmer alors que c’est nécessaire). On peut avoir des surgénéralisations.
Sommes-nous ce que nous mangeons ?
Un certain nombre d’étude montrent que notre régime culinaire va avoir un impact sur notre vie. Par exemple, notre alimentation peut avoir un impact sur la dépression.
Couleur de peau peut par exemple dépendre du régime alimentaire
Est-ce qu’on mange plus seul ou à plusieurs ?
La simple anticipation d’une interaction sociale (par exemple avec un ami) suffit à ce que les gens mangent plus comparativement à l’anticipation de la prise d’un repas seul
Comment se passe notre assimilation de nourriture dans un contexte stressant ?
Tout se passe comme si, s’il y a de l’insécurité, mon organisme doit stocker. Critique de l’étude : ça n’est que des échelles, est-ce que les gens feraient la même chose dans un comportement réel. On peut lier ça avec l’hypothèse de l’assurance.
Qu’est-ce que l’hypothèse de l’assurance ?
les humains et les autres vertébrés possèdent des mécanismes évolutifs les protégeant contre les pénuries alimentaires.
Selon cette hypothèse de l’assurance, les signaux environnementaux liés à l’insécurité alimentaire incitent les gens à manger et à stocker plus de graisses.
