cm developpement Flashcards
perception et motricité avant naissance:
7ème semaine; capable de se mouvoir in utero.
Puis fait des mouvements (membre isolé puis doigts). Mouvements proximaux puis distaux
developpement psychomoteur avant naissance:
dans utérus: activité motrice et sensorielle.
il a des réflexes au début pas volontaires.
définition réflexe:
chaine comportementales associé à un stimulus
puis à une réponse stéréotypée. Gérés par structures sous-corticales.
les différents réflexes:
- réflexe de succion
- réflexes de babinski
- réflexes d’agrippement
- relève de rotation
- réflèxe de marche
réflexe de succion
quand un objet est dans la bouche
= adaptation transitoires à l’environnement
réflexes de moro
courbe le dos, bras en arrière. Disparait entre 4/6 mois.
réflèxe babinski
contact de la plante du pied, les orteils s’écartent.
réflexes d’aggripement
quand on touche la paume, main agrippe ce qu’elle touche
réflexes de rotation
toucher soit bouche/joue et tourne la tête de ce côté. Disparait vers 3/4mois
réflexes de marche
pied en contact du sol, il fait des pas. Disparait vers 2/3 mois.
= forme précurseurs des comportements volontaires
réflexes nécéssaire à la survie?
succion oui mais pas le reste.
disparition des réflexes
quand les mouvements coordonnés (proximo-distal) se développent
fonction des rélèxes
- vestiges de l’évolution
- adaptation transitoire à l’environnement
- forment les comportements volontaires
loi céphalo-caudale
progression du tonus axial. (du haut vers le bas) = commence à être assis
loi proximo-causale
progression du contrôle postural des parties proximales (épaules) vers les distilles (doigts)
a quel âge le bébé s’aide pour tenir assis?
6 mois
a quel âge il tient assis et se retourne?
8 mois
la Locomotion
0/2 mois
poussée (réflexes) sur les pieds/coudes et tourne tête
la locomotion
3/4 mois
roule sur le côté, se tiens sur les mains et genoux
la locomotion
6/7 mois
assis
la locomotion
7/9 mois
coordination membres inférieur et supérieur : ramper
la locomotion
9/10 mois
debout en s’aidant
la locomotion
12/14 mois
marche seul
la préhension:
de 0/7 mois
involontaire au début.
jusqu’à 7 mois: préhension est globale = préhension subito-palmaire.Sans le pouce, prise en râteau, entre la paume, l’index et le médius. Puis préhension radio-palmaire (le pouce intervient)
9 mois
pouce est opposé aux autres doigts.
1 an
position de la main
adapte la position des doigts à la taille des objets: anticipation. (effet de confort)
la vision du nourrisson à la naissance
focus n’est que de 50 cm. Donc = accommodation (de 1/3) car vision fovéale immature.
comment est l’oeil à la naissance?
comme un filtre qui laisse passer les basses fréquences.
Au début = flou
au bout de combien de temps le bébé ne voit plus flou?
8 semaines
conception de Bronson 1974
le bb voit par un contrôle sous-cortical.
=involontaire et automatique.
vers 2/3 mois il explore les objets = cf eye TRACKING.
On voit que le bb explore pas assez l’objet pour le reconnaitre.
quelles sont les préférences visuelles des bébés?
-Celle des contours extérieurs: ils aiment l’extérieure des formes.
Si trop complexe: regarde pas
ex: si petit: va regarder le damier simple.
Si plus grand= damier complexe
-les visages surtout des femmes (étude de Langlois et Coll)
les couleurs: Quelles couleurs voient les bbs?
dès la naissance: voient le jaune, vert…
Bleu = plus tard.
si il perçoit la couleur: il a un changement de comportement.
les frontières de catégories de couleurs: bébés vs adultes
les mêmes. 480nm = bleu 450nm = autre bleu 510nm = vert on habitue le bébé à 480 nm puis a 450 pour voir si il capte la diff.
phénomène constance de la forme
l’objet est perçu comme invariant (ne change pas) malgré les variations
= je tourne autour de la table, la projection retinienne est pas la même mais ça reste la mm table.
La rétine corrige les diff quand y’a des variations qui change la forme de l’objet.
perception de la profondeur: quand?
Durant la 1ère année.
Entre 3/7 mois s’améliorèrent par projection binnoculaire (car on à deux yeux. Si on a un oeil= plus dur).
les indices de profondeurs
-indices de mouvements (motion parallaxe) : quand je suis dans le train, le sol va défiler plus vite que les arbres.
- Indices binoculaires: lumière vient dans la rétine (projection différente selon la rétine droite/gauche).
- indice monoculaire (par un oeil): 4 mois.
= expérience de Gibson et Walk (bébé avance pas car il est sur une vitre et sait qu’il y a du vide)
les représentations: def :
- processus mentale
- capacité de se représenter qlq chose
caractéristique d’une représentation:
- toujours mentale
- personnelle
- à une attention
exemple de représentations
-lecture es lettres`
constitution de la représentation: médium et contenu:
médium:(le papier et les signes qui sont sur la représentation)
- contenu: ce qu’elle représente ( paysage…)
il faut un lien entre les 2 (ex: expliquer notre chemin)
types de représentations:
- Primaire par Joseph Perner 1993: elles ont un lien direct avec la représentation et l’objet. (quand je ferme les yeux je continu à voir l’objet)
Bower môtre que les enfants de 6 mois en ont
-secondaires: détachées car elle dépend de l’état de l’objet (la bouteille est dans ma main, puis sur la table)
meta-réprésentations
Meta= quand je réfléchis à un phénomène
C’est qlq chose que qlq utilise pour représenter autre chose que lui même.
comment savoir si le bébé à des représentations?
- utilise la permanence de l’objet.
- enfant 3 mois et demi
- René Baillargeon
- on fait disparaitre un objet, si le bébé ne cherche pas = pas de représentations
représentation: théorie des modèles mentaux
modèle mental: on se fait un modèle de ce existe dans la vie.
Même si on voit souvent 1 objet, y’a tjr des trucs qu’on a pas vu
But d’un model:
- représenter la réalité
- vérifier les conséquences d’une cause
- pas accessibles aux bb et adultes
Meta modèle:
Représentation d’une représentation.
- Savoir qu’elle n’est pas
La réalité
Expérience pour montrer les représentations mentales chez enfant:
-bower
- cache objet sous un bol et dans le noir
-quand l’amour
Lumière est éteinte, cherche objet.
Quand il est sous le nom = cherche pas.
Lumière= altère moins les représentations
A 5 mois il anticipe
Les conceptions de la meta représentation
1: relation arbitraire: entre symbole et ce qu’on lui réfère
2: ressemblance/ iconicité
Def symbole
Représente une photo d’un objet mais
Pas l’objet lui même
Cf étude de pressley et Carey (montre une photo de l’objet associé à son mot.l’enfant choisi l’objet, ce qui montre que à 18/24 mois l’enfant a des meta interprétations, et a compris que le plus
Important est l’objet lui même.
Symbole:
Soin intentionnel
- voulu par/pour
- l’objet de la référence d’un mot doit être clair
- l’enfant associe à ce qu’il veut (fait des dessins mal faits pour s’exprimer)
Le dessin chez l’enfant
-3/4 ans la qualité s’améliore pour s’exprimer
-9 mois confusion entre symbole et objet ( lèche une image de glace)
- but : représenter l’objet le
Mieux possible
Étude
«The model room»
Delaoche
-on lui montre le plan d’une pièce et on lui dit où est ce qu’il doit chercher l’objet.
2 ans= réussite mais pas tt le temps.
L’enfant peut s’aider des représentations qu’il a sur l’objet, sur le dessin .
Si enfant prends tout l’espace de la pièce = bonne représentation de l’espace
L’enfant comprends les symboles ?
Construction de la
Metarepresentation
Étude Wimmer et perner 1990:
- une boîte de chocolat.
- les enfants disent que dedans = chocolat.
Puis on ouvre et y’a une voiture dedans.
3 ans: quand on leur dit «tu avais dit que c’était du chocolat?» 80% disent qu’il ont dit voiture (c faux)
A 4 ans, ils disent la vérité.
Cette représentation dépends des infos qu’on a ( je peux me fier qu’au 1 regard de qlq chose)
A t-on un meta modèle a 3 ans?
Non.
Cf maxi et le chocolat.
(Pas capable de se représenter maxi qui se trompe).
Avant 4 ans: comprendre pas que esprit = médium de représentation ( système qui fabrique les représentations)
Âge des représentations
Selon O neil et astington 1989
-3 ans = limité
(Comprends pas les représentations)
- 4 ans : comprennent
Donc peuvent utiliser des meta modèle.
La catégorisation
Définition :
(Concept et categorie)
- classer à l’aide de concepts ( on classe par ressemblances physique ou fonctionnelles)
- concept= représentation mentale d’une catégorie.
- catégorie :ensemble d’objet sous le même concept
Concept chez enfant
-construits avant qu’il ait le langage
Développement conceptuel
= savoir catégoriser les objets
Niveaux 1 de catégorisation : niveau de base et prototypes
Dedans 2 niveaux :
- global (sur ordonné ) = animal
- intermédiaire : niveau de référence/ de base (ou on apprends la catégorie) = chien
- tres détaille (sois ordonné ) = berger allemand
Effet de typicalité
Quand les objets ont plus attributs
Que les autres alors qu’ils sont de la même famille (une tulipe est plus vite classer dans les fleur qu’une capucine).
Rôle du niveau de base
- sert à catégoriser
En prenant en compte les différences et ressemblance
Étudier la catégorisation par: L’habituation Ou la préférence visuel à la nouveauté
- pour voir comment ils apprennent de nouvelles catégories
Cf expérience de quinn, Eimas, Rosekrantz).
On leurs montres des chats (habituation) puis oiseau.
Ils vont plus regarder l’oiseau donc comprennent qu’il y a une nouvelles catégorie
Plus les objets sont différents (chien oiseau) plutôt que (chien chat) plus il est facile de catégoriser
Élément important pour catégoriser
- tete
- corps entier
Rôle du niveau sur ordonné
: Behl chadah 1996
- classer en grande catégorie (animaux, mamifers, fruits)
- des 3 mois les bébés sont capable de faire ces grandes catégories
Comment les enfants font pour ne pas se tromper dans les catégories dû niveaux sur ordonné ?
Cf gelman et coley 1990
- 2 ans
- des dessins: merles, dinosaures, dodo.
- lequel va sur un nid ?
- 2 niveau de réponses: sur une base perceptive ou non perspective)
Si perceptive = nid même pour les dino car il vole.
- à 2 ans : répondent au hasard
- si on dit que le dodo à la même priorité que le dino (voler), ils vont les mettres ensemble
Les enfants sont donc capable de catégoriser?
Oui
Selon leurs préférences
théorie naïve
- explication du monde
- un individu ne connaît pas tout donc il fait des théories naïves
- comprendre le monde sans connaissance scientifique
def théorie
- explication mentales
- ensemble organisé qui permet de donner de la cohérence à plusieurs faits, des entités auxquels elle se rapporte
les connaissances biologiques: étude de l’évolution de celle ci
- en analysant les inférences que les enfants font (ex il apprends des propriétés sur le chat, il les applique pour les chiens mais pas pour les reptiles. Il considère donc que les 1er forment 1 groupe séparé
- Analyser les transformations plausibles
(est ce qu’on peut transformer un chien en chat en lui donnant sa peau)
les enfants ont des théories naïves? :
Massey et Gelman
- oui en faisant distinction entre vivant/non vivant
- demande aux enfant: est ce que cet objet peut descendre seul une colline?
- pour bien répondre ls doivent connaître nature de l’objet
- doivent donc comprendre si les objets vivants ou non peuvent se mouvoir seul
- A 3 ans ils répondent bien
- comprennent l’entité “vivante” et “non vivante”
Autre théorie naïve
- la digestion
- les enfants pensent que la nourriture tombe/ marche seule
-pas forcément absurde
car qlq chose qui tombe va sur le sol= théorie naïve
différences entre monde psychologiques et monde biologique
- certaines de ses propriété peuvent être modifié comme courir plus vite (biologique)
- 4/5 ans comprennent que certaines propriétés ne changent pas
monde biologique: explication du vivant par les enfants:
types d’explications
- utilisent des explications intentionnalistes (explique le biologique par l’organisme).
ex= pq prend-t-on de l’air? il pourrait dire “pour se sentir bien”
mais explication vitaliste: “c’est parce que notre poumon prends de l’énergie vital dans l’air”.
- 5 ans ou moins: intentionnaliste
-6 ans = bcp explications vitalistes
essentialisme
- certaines catégories (lion par ex) ont 1 réalité sous jacente pas observable qui détermine de facon causale les propriété observables de la catégorie
- essence: propreté qui détermine la nature
certes objets semblables (fausse pomme vs vraie) mais savent qu’elles sont diff
chapitre 4: troubles des apprentissages
- problème neurologiques
- désignes un gré de problèmes
- désordre ds un processus psychologique
- impliqué dans oral ou écrit
- handicap perceptif, dyslexie
- dure toute une vie
approche syndromique
on met plsr maladie dans 1 grp
catégorie des “dys”
- dyslexie
- dyscalculie
- besoin d’orthophonistes
commorbidité
-des troubles qui en apparaissent avec d’autres
prévalence des troubles de l’apprentissage
- 5% entre 6 et 21 ans = 2 ans de retard sur les camarades
le diagnostique de ces troubles aujourd’hui
- moins de critères sur le retard mental (70 qi)
- plus de dépistage
- personnel mieux informé
cause des troubles des apprentissages
- lié au fonctionnement neurologique (pb e fonctionnement cérébrale)
- hérédité (un jumeau qui a un trouble, l’autre va aussi l’avoir)
- agents tératogènes (croissances anormale/malformation foetus)
- facteurs environnementaux (soins des parents et éducations mauvaise, condition socioéconomique pas bonne)
catégories des troubles des apprentissages:
Dyshpahsie
trouble du langage oral
catégories des troubles des apprentissages:
dyslexie
trouble de la lecture
catégories des troubles des apprentissages: dyscalculie
trouble du calcul
catégories des troubles des apprentissages: dysorthographie
trouble de l’orthographe
le trouble le plus important
dysphasie
car langage oral, et pour l’écrit on a besoin de l’oral…
le retard mentale def:
-limitation cognitive résultant d’un symptôme neurologique
besoin de quoi pour faire un diagnostique du regard mentale:
- un fonctionnement cognitif en dessous de la moyenne
-un début pendant la période de dvlp
(naissance à 16/21ans) - limite du retard mentale
- qi doit être entre 65/75
-Diagnostique peut être ensuite utilisée - utilisation des tests de déficience
SI QI est entre 50/70
léger retard
SI QI est entre 35/55
retard modéré
trisomie
SI QI est entre 20/40
Sévère retard
Si QI est inférieur à 20/25
Retard profond
au 20 ème siècle, les retardés mentaux sont en 2 groupes:
- les retards mentaux organiques
- les retards mentaux non organiques “socioculturels”
2 conceptions opposées au RM
- potion structurale: manière de se developper
- position developpementale: les enfants se développent pas au même moment
connaissances des causes du RM
- plus il est sévère plus elles sont connues = 43/70% des rm sévères
- plus c’est léger, moins elles sont connues: 20/24% pour rm légers
prévalence retard mentale
- 3% de la pop on un rm lourd
- plus de garçons
- niveau socio-économique bcp impliqué surtout pour le rm léger
les causes génétiques du RM
conditions prénatales (dans le ventre)
- plus de 500 maladies génétiques impliquées dans rm
- anomalie génétiques forment la plus part du temps le rm = trisomie 21
condition prénatale
liées au comportement de la mère pendant le grossesse
- tabagisme
- prise d’alcool (syndrome alcoolique foetal, sida, rubéole)
trisomie 21 appelée syndrome de Dow,
- 1 ère cause du rm
- fait partie du retard modéré/sévère
- retard du développement du langage
- déficit de la mémoire
caractéristiques physiques trisomie
- large langue
- trop grosse
- palais ogival (étroit et profond)
- couleur irrégulière de l’iris
- creux palmaire (de la main) de travers
- petites dents
- petites oreilles
- obésité
- petite stature
période pré-linguistique en trisomie
- retard dans l’apparition des vocalisations
- retard dans la pré-conversation(5/6 mois au lieu de 3)
- retard apparition du sourire social
- retard dans le contact oculaire avec sa mère
- vocalise en continu et laisse pas de place à sa mère
développement phonologique en trisomie ( des sons)
- pas de vocalisations dans la 1ère partie de la 1ère année
- puis normal dans la seconde partie
- babillage (gazouillis) retardé de 2 mois
développement lexical et sémantique en trisomie
- premiers mots vers 2/3 ans
- développement lexical normal mais en retard par rapport à l’âge
- la taille de vocabulaire évolue selon l’âge
développement morphologie-syntaxique en trisomie
- retard de développement du langage combinatoire
- Moyenne de production verbale = 5 mots
- absence de coordination, omission de morphèmes, oublis des accords, pronoms….
- comprends pas les phrases complexes
Syndrome De Williams-Beuren
- 1 cas sur 10000/20000 naissances
- retard mentale léger/modéré
- pas de problème de langage mais visuo spatial
- mémoire à court terme verbale normale
- mémoire court terme déficitaire
caractères physiques de Williams-Beuren
- lèvres épaisses
- long philitrum (fausseté entre la bouche et le nez)
- hypotontie (manques des dents)
- microdontie (petites dents)
- sourcils fournis
- problème pulmonaires et cardiaque
- hypocalcémie (trop calcium dans le sang)
- petite stature
parole et langage de Williams-Beuren
lexique: bien mais pas tout le temps (en situation expérimentale)
- morpho-syntaxe: problème ponctuels (phases superposées, mélangées)
-pragmatique: déficitaire. N’introduit pas de nouveaux sujets de conversation
discours vide de sens
Chapitre: La mémorisation
dés
- base de la cognition
étapes de la mémorisation
- encoder: avoir l’info en mémoire
- organiser l’info: stocker cette info
- récupération: retrouver cette info avec un indice
étape 1: encodage:
deux types de représentation: Littérales et essentielle
littérales (verbatim): tous les détails de la situation (mots exacts prononcés)
essentielles (gist): essence des évènement = qui à fait quoi et à qui.
Dure plus longtemps en mémoire
gist: représentation essentielles
- les trucs les plus importants sont retenus
- reste longtemps en mémoire
- ex je lis un livre je me rapp pas des mots mais de l’intrigue pendant longtemps
verbatim (littérales)
- les plus petits y font attention
- donc ont des moins bons résultats sur la mémoire car ils ne se rappellent pas de tout
- se concentrent pas sur le gist
les souvenirs
mélange de ce qu’on voit, et ce qu’on sait.
Etape 2: stockage
- les enfants âgés ont plus de stockage
- suggestibilité (on se fait influencé) importante chez les moins de 6ans
ils sont influencé par les évènements qu’ils sont ont train de vivre ce qui joue sur le rappel des évènements - ont du mal à distancer les faux souvenirs des faits réels
-le temps influence aussi les infos stockés : ils oublient avec le temps
Etape 3: La récupération
- chez les jeunes enfants: rappel exact mais
- besoin de questions pour la récupération d’infos
- récupération meilleure si les enfants sont encouragés
-autre influence: nombre de fois ou la question est posée (poser la questions deux fois les font changer de réponse)
-
qu’est ce qui se développe dans le développement de la mémoire:
- les capacités mnésique de base sont meilleures
- les stratégies sont plus nombreuses
- métaconnaissances sur le fonctionnement du système mnésique: utilisent mieux leurs capacités mnésiques
- le contenu des connaissances: plus importante
Rôle des capacités de base (6)
servent à:
- l’association en mémoire, la généralisation, la connaissance et le rappel.
1)capacité de base: mémoire implicite
- formation des souvenirs
- pas conscient
1)capacité de base: mémoire explicite
- formation des souvenirs
- peuvent perte décrits oralement
- conscient
2)capacité de base: association
- le plus important
- dès la naissance
- association entre stimulis et réponses
3) capacité de base: reconnaissance
- dès la naissance
- habituation par le regard: le bb voit plusieurs fois la même image: temps de fiction diminue. = habituation
- ## si nouvelle image: déshabituation
4) capacité de base: imitation et rappel
- rappel apparait à 18 mois PIAGET
- bébés imitant les adultes ouvrir la bouche ( parler)
4) capacité de base: imitation et rappel: l’imitation différée
- les activités q les bbs imitent et le moment où ils savent encore les reproduisent augmente ensuite
- cf expérience Meltzoff: enfants observe un truc puis le reproduisent qlq temps après
5) Amnésie infantile
c’est quoi?
- pas de souvenirs pendant leurs 3 premières années
- si il se souvient d’un truc c’est que c’était significatif (important)
5) amnésie infantile: explication de l’amnésie infantile
s’explique par:
- des changements physiologiques : concerne la mémoire, les lobes frontaux du cerveau sont en train de se developper donc peuvent pas encore retenir
- les dimensions cognitives de la mémorisation: incompatibilité entre la manière dont ils encodent l’info et la manière que les adultes les traitent
- le monde sociale:le fait qu’ils écoutent des histoires sur des évènements peut les aider à retenir mais à partir de 3 ans ils retiennent l’essentiel
6) Les capacités de traitement
jeunes vs vieux
- les jeunes retiennent moins que les vieux
6) les capacités de traitement: combien de chiffres et lettres les enfants savent A 2 ans?
- 2 ans = 2 chiffre
6) les capacités de traitement: combien de chiffres et lettres les enfants savent A 5/6 ans?
- 6 ans = 4/5 chiffres
- 5ans= 3 lettres
6) les capacités de traitement: combien de chiffres et lettres les enfants savent A 12 ans
- 12 ans= 6 chiffres
- 5 lettres
vitesse de traitements des infos
augmente Avec l’âge
Stratégie de mémorisation:
stratégie def
- activité cognitive sous le contrôle du sujet. Elle est employé pour augmenter les performances mnésiques
- utiliser dans toutes les étapes de la mémorisation (encodage, stockage)
- les plus vieux l’utilise un peu mieux car les petits sont rigides
exemple 1 de stratégie de mémorisation:
la répétition
- La répétition: répéter et répéter les infos.
- pour mieux retenir
exemple 2 de stratégie de mémorisation: la recherche d’objet
- trouver un objet sos une tasse par exemple
- plusieurs tasses
- ont besoin de faire un repère pour savoir sous quelle tasse est l’objet (8 ans)
- besoin de l’expérimentateur et ses allusions (5ans)
- ne le font pas a 3 ans
exemple 3 de stratégie de mémorisation: la récapitulation
- il se répète pour mémoriser
- se passe dans la tête
- bouge pas les lèvres
- coûts cognitifs
exemple 4 de stratégie de mémorisation: l’organisation des stimilis
- organiser les stimulas pour se souvenirs
- plusieurs mots, chat, chien, banane
- pour se rappelé font mémoriser les groupes (animaux, fruits)
- puis essayent de s’en souvenirs
- A 3 ans 10 objets: se rapp que de deux
exemple 5 de stratégie de mémorisation: Elaboration et imagerie
- utilise une imagerie mentale qui va regrouper les stimulas pour mieux mémoriser.
- 9/10 ans= succès
- Exemple Bruxelles= associe l’image de chou de Bruxelles pour s’en rappeler.
exemple 6 de stratégie de mémorisation:
utilisation des ressources cognitives
- savoir quelle est la chose la plus importante et la moins importante
- se concentrer sur le plus important
- les jeunes se contrent plus sur des choses pas importantes
- pas d’attention sélective chez les jeunes enfants
l’enfant fait attention à quoi?
- par les aspects saillants
- même si pas pertinents
pourquoi les enfants utilisent mal les infos? les Stratégies les moins efficaces
- les enfants jeunes font attentions aux trucs qui servent à rien
- problèmes entre les bénéfices et les coûts
- couts trop élevé et pas assez de bénéfices
La métamémoire
2 parties:
- la connaissance explicite consciente et factuelle (enfant savent que c plus facile de se souvenir de certains items que de tous)
- la connaissance implicite et inconsciente (on se rends pas compte qu’on lis moins vite quand un texte est dur)
métamémoire: connaissances explicites à propos de :
- des tâches: se rappelle plus du sens que de la forme
- des stratégies (récapituler, retenir tel quel)
- des personnes (adultes mémorisent mieux que les jeunes)
la métamémoire: connaissances métacognitives implicites
- commence tôt
- les enfants de 2 ans se corrigent automatiquement (grammaire…)
= self-monitoring - dure pas longtemps
(par exemple quand c dure ils lisent encore trop vite)
vaut mieux apprendre ce qu’on ne connait pas ou réviser ce qu’on a déjà vu?
- 9 ans: se concentrent sur ce qu’ils ne connaissent pas
- faible bénéfice
conclusion sur les stratégies, bénéfices
- comprendre quand il a faut
- stratégie existe pour améliorer
- comprendre le bénéfice tiré de la stratégie
Les connaissances:
enfants âgés vs plus jeunes
- plus âgés: connaissent plus de choses
- plus on connait des choses sur un sujet, plus on le retient
les connaissances: effets sur la quantité d’info retenues:
adultes vs enfants
- adultes ont plus d’infos que les jeunes
- mais parfois pas le cas (enfants bats un adultes aux échecs) cf chi
- grâce à la mémorisation des positions
les connaissances: effets sur ce dont les enfants se souviennent (faux souvenirs)
-ce que les enfants savent influence leurs souvenirs
- conduit à de faux souvenirs
- améliore parfois la mémoire
= se rappelle des choses
- les connaissances acquises fixent les nouvelles
les connaissances: incompétent vs compétant
- compétent = se rappellent des trucs important
- incompétent = se rappellent des faits non pertinents.
les connaissances: chi et Koeske
- enfant 5 ans
- 4§ variétés de dinosaures
- plus il connait des propriétés sur un Dino (alimentation, couleur) plus il le retient
- s’aide par des connexions
les connaissances: les scripts:
comment ils se construisent?
- on les construits et les utilisent pour la mémorisation
- histoires racontées par les parents et les questions que les parents posent aux enfants
- cela forme les scripts
les connaissances: a quoi les scripts servent? (les lectures)
- pour se souvenirs des histoires survenues à d’autres (contes de fées)
- plus il est jeunes; plus il va donner des petits détails en oubliant le plus important
- 5 ans= toutes les choses importantes
Les connaissances: comment elles aident la mémoire?
- développe la mémoire par la diffusion de l’activation t l’encodage des traits distinctifs
les connaissances: diffusion de l’activation
= activation des connaissances
- les gens pensent à un sujet,, il est activé car ils peuvent récupérer des infos sur celui-ci.
- je pense aux vacances, je pense aussi du coup avoir manger des moules (active de nouvelles connaissance)
- donc si après ont pose une question sur ce domaines (vacances) je vais répondre vite “les moules ont des coquilles” je vais répondre oui assez vite
les connaissances: activation de réseaux pour avoir des connaissances
- des connaissances facilitent l’apparition de nouvelles
- se sert de ce qu’il sait pour savoir et déduire
les connaissances: beaucoup se diffusion d’activation chez les enfants?
- pas bcp chez les enfants
- car pas bcp de connexions entre les items
l’encodage des traits distincts
- porter son attention sur certains traits permettent d’en découvrir d’autres
- les connaissances permettent de faire attentions à ces traits
- pour mieux retenir l’info
conclusion connaissances:
- fournissent un cadre qui donne du sens à une situation
chapitre sur le raisonnement:
types de raisonnements: Précoce
- raisonnement logique sur des choses familières
- Analogie: utilise une solution connue à un pb pour en résoudre un similaire
type de raisonnement: tardif
- raisonnement transitif: basé sur l’enchaînement de séquences : si A contient B et B contient C alors A et C sont lié
- Par Piaget
- considère que les enfants pré-opératoires sont pas capable de raisonner scientifique
- c’est faux car les enfants résolvent des trucs dur
- mais ils résolvent que les problèmes qui leurs sont familiers
raisonnement par analogie:
- très puissant
- permet la résolution de problèmes en identifiant les structures correspondantes dans les objets/événements à comparer
- on l’utilise quand on se rappelle d’ une situation familière pour en résoudre une nouvelle
- besoin de trouver une analogie entre le problème connu (expérience passée) et pb nouveau
- implique un raisonnement rationnel (utilise un truc qu’on connait pour comprendre le problème en faisait un lien)
raisonnement relationnel
(utilise un truc qu’on connait pour comprendre le problème en faisait un lien)
- analogie: capable d’en faire dès 1 an.
- fait des analogies en s’appuyant sur un model (oiseau avec nid, du coup il va mettre le chien Avec la niche et pas avec l’os)
- pas utilisé avant 3ans
le transfert comme résolution de problème
- A 1 et 2 ans comme ils ont pas le raisonnement rationnel
- Un problème B peut être résolu comme le A si la solution a été montrée à l’enfant
- Chen, Sanchez et Campbell : tous les problèmes sont liés (poupée trop loin, et et pour l’atteindre il faut enlever un obstacle) = 2 pb liés
raisonnement rationnel et analogie
-utilise l’analogie(les choses qui vont ensemble) pour raisonner plus facilement
l’identification de la relation de correspondance: “problème du génialissime”
-Brown, Kane et Echols 1986
-4/5 ans
- 1 géni= doit transporter des objets sans les abîmer
- besoin d’un tapis roulant
- des questions sont posées après la résolution du pb
“qu’a t-il eu besoin de faire
puis on pose un autre problème du même type
ceux qui ont eu la solution et les questions sur le 1 er pb réussissent plus
Logique et raisonnement: raisonnement syllogistique
def
- pour résoudre des pb
- ont a des prémisses: tous les chats abois, rex est-il un chat? Ce sont des questions/affirmations pas forcément vraies qui vous nous servir de bases pour réfléchir.
raisonnement syllabique: 2 types
DIAS et HARRIS 1988
- avec une conclusion certaine: TOUS les livres sont faits avec de l’herbe. Le mien est-il fait avec?
- Sans conclusion certaine: CERTAINS livre sont fais avec de l’herbe, est-il fait avec?
- A 4 ans capable de faire des raisonnements syllogistiques
logique et raisonnement: Le raisonnement conditionnel def WASON 1966
- Si et alors..
- contexte de permission :1 carte avec écrit “ALCOOL” au recto et on ne dit que ça correspond au 18ans. Donc on s’attend à ce qu’au verso il y ait “18 ans”
raisonnement conditionnel: situation de permission et neutre
Blay et Girotto 1989
- permission: “ la police dit que toutes le voiture doivent sortir du centre”
- neutre: dans ce jeu, tous les champignons doivent sortir du centre du jeu
raisonnement logique tardif: Le raisonnement transitif
- Piaget
- entraîne les enfants à retenir les permisses (le bâton bleu est plus grand que le rouge)
- présent dès 4ans
les prémisses
PERS ET BRYANT 1990
- prémisses plus mémoriser mais visuels (des curé de couleurs différentes)
ce qui peuvent faire varier notre raisonnement: Ding 199R
- étude avec des éléments verticaux et horizontaux
- plus dure de mémoriser les infos horizontales que verticales
Rôle des fonctions exécutives:
Critique GOSWAMI
-Utilise des items liés sémantiquement: quand A (chien) est activé, B (niche) est activé
rôle des fonctions exécutives: compréhension des analogies:
- dépend de la connaissance des enfants
- dépend du contrôle exécutif
- les relations sémantiques sont importante pour les analogies
- les processus exécutifs sont en jeu durant le raisonnement par analogie
associations et distracteurs
- association forte: bcp de distracteurs (plusieurs domaines mélanger avec des distracteurs qui ont tous pas de liens)
- association faible : 1 distracteur (1 enveloppe dans des animaux)