chapitre 9 (82-158) Flashcards
Question: Pourquoi est-il important de comprendre les facteurs qui influencent la satiété et la prise alimentaire ?
Réponse: Il est important de comprendre ces facteurs car tout déficit, excès ou déséquilibre nutritionnel peut entraîner des effets néfastes pour la santé, notamment en ce qui concerne l’obésité, qui est le désordre nutritionnel le plus important dans notre société, touchant même nos animaux de compagnie comme les chiens et les chats.
Question: Quelle est l’ampleur du problème de l’obésité dans le monde ?
Réponse: L’obésité représente une épidémie mondiale, avec une augmentation spectaculaire du nombre de personnes touchées. En 2014, il y avait environ 600 millions de personnes obèses dans le monde, et ce chiffre est passé à plus d’un milliard en 2022. Selon l’OMS, d’ici 2025, environ 170 millions de personnes auront une santé altérée en raison du surpoids ou de l’obésité. De manière alarmante, environ 45 millions d’enfants de plus de 5 ans étaient en surpoids ou obèses en 2015, avec une augmentation particulièrement importante dans les pays en développement et le
Question: Quels sont les coûts associés à l’obésité au Québec ?
Réponse: L’obésité représente un fardeau financier important pour le système de santé québécois. Selon une étude de l’Institut national de santé publique du Québec (INSP), l’obésité coûte environ 1,5 milliard de dollars par an en soins de santé au Québec. Une autre source mentionne que le coût annuel de l’obésité atteint 3 milliards de dollars au Québec.
Question: Quels sont les signes pouvant indiquer une dénutrition ?
Réponse: Une perte de poids rapide et inattendue est souvent un signe d’alerte de dénutrition. Cette condition peut être causée par divers facteurs et peut aggraver certaines situations cliniques.
Question: Quelle est la différence entre malnutrition et dénutrition ?
Réponse: La malnutrition se réfère à un apport insuffisant, excessif ou déséquilibré en calories et en nutriments, tandis que la dénutrition se caractérise par un apport insuffisant en énergie, en macronutriments (notamment en protéines) et en micronutriments.
Question: Quelles sont les méthodes courantes d’évaluation de la dénutrition ?
Les méthodes courantes d’évaluation de la dénutrition incluent :
L’examen physique pour évaluer les réserves adipeuses, la masse musculaire et les signes de carences en nutriments.
L’interrogatoire pour identifier les variations de poids, les symptômes digestifs, les changements alimentaires et l’impact sur l’état général.
Les marqueurs anthropométriques tels que le poids et le calcul de l’IMC.
Question: Quels aspects sont évalués lors de l’examen physique pour détecter la dénutrition ?
Réponse: Lors de l’examen physique pour détecter la dénutrition, on évalue l’apparence générale du sujet, notamment les anomalies des cheveux, des yeux, de la peau, etc. Cela permet de reconnaître immédiatement des signes tels que l’obésité, la maigreur, la déshydratation ou l’état œdémateux, qui peuvent indiquer des déficiences en énergie, en protéines, en vitamines ou en oligoéléments. Cependant, cette méthode est peu précise car certains signes physiques n’apparaissent que lors de malnutrition grave et prolongée, et plusieurs de ces signes peuvent résulter de causes non nutritionnelles telles que les allergies ou l’hérédité.
Question: Quelles informations sont recueillies lors de l’interrogatoire pour évaluer l’état nutritionnel ?
Réponse: Lors de l’interrogatoire pour évaluer l’état nutritionnel, l’anamnèse pondérale semi-récente (3 à 6 mois avant) et récente (2 semaines avant) sert à préciser le poids de référence pré-morbide. De plus, l’anamnèse nutritionnelle semi-quantitative récente des repas (normaux, réduits, nuls) est utilisée pour évaluer l’état nutritionnel. Les principales situations de dénutrition par carence d’apports peuvent être identifiées, telles que la diminution des capacités masticatoires, les troubles de la déglutition, les détériorations intellectuelles ou les démences, les thérapeutiques agressives (chimiothérapie / radiothérapie), les maladies du tube digestif (malabsorption intestinale), les insuffisances rénale, respiratoire ou cardiaque, les infections ou pathologies inflammatoires, l’hyperthyroïdie et la chirurgie majeure (polytraumatisme, brûlures, etc.).
Question: Quelle est l’importance du poids dans l’évaluation de la dénutrition ?
Réponse: Le poids est la composante la plus importante des mesures anthropométriques lors de l’évaluation de la dénutrition. Il est exprimé en kilogrammes ou en pourcentage, et une perte de poids est considérée comme un signe de dénutrition. La dénutrition est avérée si la perte de poids atteint 10 % du poids habituel. La vitesse de perte de poids, exprimée en kilogrammes ou en pourcentage par unité de temps, est également un facteur à prendre en compte. Selon ce critère, une dénutrition est suspectée si la perte de poids est de 2 kg ou 5 % en un mois, ou de 4 kg ou 10 % en six mois. Il est important de noter que chez les sujets en surcharge pondérale, une perte de poids peut être volontaire et ne constitue pas nécessairement un signe de dénutrition.
Question: Comment l’IMC est-il utilisé pour évaluer la dénutrition ?
Réponse: L’IMC, ou Indice de Masse Corporelle, est utilisé pour évaluer sommairement les réserves adipeuses et musculaires de l’organisme ou la croissance chez l’enfant. Il est calculé en divisant le poids de la personne par le carré de sa taille, et est exprimé en kg/m². Les valeurs de l’IMC peuvent être utilisées pour classifier différents niveaux de dénutrition. Par exemple, un IMC compris entre 18,4 et 17,0 indique un grade de dénutrition de type I, tandis qu’un IMC inférieur à 10,0 correspond à un grade de dénutrition de type V. L’intervalle de l’IMC optimal se situe généralement entre 18,5 et 24,9 kg/m².
Question: Comment l’IMC est-il utilisé pour évaluer l’obésité chez les enfants et les adolescents ?
Réponse: Chez les enfants et les adolescents, l’IMC est utilisé conjointement avec la courbe de corpulence pour identifier l’obésité ou un risque de développer cette condition. Un enfant est considéré comme obèse si son IMC est supérieur au 97ème percentile par rapport à d’autres enfants du même âge et du même sexe. De plus, la courbe de corpulence permet de surveiller la tendance de l’IMC au fil du temps. Par exemple, la remontée de l’IMC à l’âge
Question : Comment est déterminé le grade de dénutrition en fonction de l’IMC ?
Réponse : Le grade de dénutrition est déterminé en fonction de l’IMC, où différents intervalles d’IMC sont associés à des degrés de dénutrition. Par exemple :
Grade I : IMC entre 18,4 et 17,0
Grade II : IMC entre 16,9 et 15,0
Grade III : IMC entre 14,9 et 13,0
Grade IV : IMC entre 12,9 et 10,0
Grade V : IMC inférieur à 10,0
De plus, chez les personnes âgées de plus de 70 ans, une suspicion de dénutrition peut être envisagée si l’IMC est inférieur à 21 en raison de la prise de poids physiologique liée à l’âge.
Question : Quelle est l’importance de la circonférence brachiale dans l’évaluation de la masse musculaire ?
Réponse : La circonférence brachiale est importante car le muscle squelettique, qui constitue le site principal d’hydrolyse des protéines, fournit la majorité des acides aminés en cas de malnutrition protéino-énergétique. De plus, elle est utilisée comme marqueur de la masse musculaire chez l’adulte et l’enfant, représentant le compartiment protéique somatique (muscles et peau).
Question : Comment est mesurée la circonférence brachiale et quelles sont les valeurs normales ?
Réponse : La circonférence brachiale est mesurée à l’aide d’un mètre à ruban, en centimètres, à mi-distance entre l’acromion et l’olécrane. Les valeurs normales sont généralement de 20 à 23 cm chez la femme et de 25 à 27 cm chez l’homme.
Question : Comment peut-on évaluer la sévérité de la dénutrition en se basant sur la circonférence brachiale ?
Réponse : La dénutrition peut être évaluée en comparant la circonférence brachiale aux normes établies. Une dénutrition modérée est suspectée si la circonférence est de 60 à 80 % des normes, tandis qu’une dénutrition sévère est suspectée si la circonférence est inférieure à 60 % des normes.
Question : Comment est défini l’état de surpoids et d’obésité ?
Réponse : L’état de surpoids et d’obésité est défini comme un excès de masse adipeuse répartie de manière généralisée dans les différentes zones grasses du corps, ce qui peut avoir des conséquences néfastes sur la santé.
Question : Quelles sont les caractéristiques de la répartition de la masse adipeuse chez les individus en surpoids ou obèses ?
Réponse : Chez les individus en surpoids ou obèses, la masse adipeuse est généralement répartie de manière généralisée dans tout le corps, affectant différentes zones grasses telles que l’abdomen, les cuisses, les fesses, et d’autres parties du corps.
Question : Quelles sont les conséquences courantes de l’excès de masse adipeuse sur la santé ?
Réponse : L’excès de masse adipeuse est associé à un risque accru de développer diverses conditions médicales telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, les troubles respiratoires, les troubles articulaires, et d’autres problèmes de santé.
Question : Quelles sont les causes principales de l’obésité et du surpoids selon le texte ?
Réponse : Les principales causes de l’obésité et du surpoids sont un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Plus précisément, cela est attribué à deux facteurs :
Une plus grande consommation d’aliments très caloriques riches en graisses.
Une diminution de l’activité physique due à la nature de plus en plus sédentaire de nombreux types de travail, à l’évolution des modes de transport et à l’urbanisation.
Question : Quels facteurs autres que la consommation alimentaire contribuent à l’épidémie mondiale d’obésité et de surpoids ?
Réponse : En plus de la consommation alimentaire, l’épidémie mondiale d’obésité et de surpoids est également influencée par la diminution de l’activité physique. Cette réduction de l’activité physique est due à la nature de plus en plus sédentaire de nombreux types de travail, aux changements dans les modes de transport et à l’urbanisation.
Question : Quels autres facteurs peuvent contribuer à l’obésité et au surpoids selon le texte ?
Réponse : Outre les facteurs liés à la consommation alimentaire et à l’activité physique, le texte mentionne également des causes génétiques, hormonales ou psychologiques comme des influences possibles sur l’obésité et le surpoids.
Question : Quelles sont les principales conséquences du surpoids et de l’obésité sur la santé, selon le texte ?
Réponse : Les principales conséquences du surpoids et de l’obésité sur la santé sont les risques accrus de maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires (cardiopathies et accidents vasculaires cérébraux), le diabète, les troubles musculo-squelettiques tels que l’arthrose, et certains cancers hormono-dépendants comme ceux de l’endomètre, du sein et de la prostate.
Question : Quelles sont les conséquences pour les enfants obèses, selon le texte ?
Réponse : Les enfants obèses courent un risque accru de décès prématuré et d’incapacité à l’âge adulte, ce qui souligne l’importance de prévenir et de traiter l’obésité dès le plus jeune âge.
Question : Pourquoi est-il important de prendre des mesures pour prévenir et traiter l’obésité, en particulier chez les enfants ?
Réponse : Il est crucial de prendre des mesures pour prévenir et traiter l’obésité, en particulier chez les enfants, car l’obésité peut entraîner un risque accru de maladies graves à long terme et même de décès prématuré. En intervenant dès le plus jeune âge, il est possible de réduire ces risques et d’améliorer la qualité de vie future des enfants.
Question : Quels sont les deux types d’obésité décrits dans le texte ?
Réponse : Les deux types d’obésité décrits sont l’obésité androïde et l’obésité gynoïde.
Question : Comment se caractérise l’obésité androïde ?
Réponse : L’obésité androïde se caractérise par une accumulation de tissu adipeux dans la région abdominale, comprenant à la fois les dépôts sous-cutanés et les dépôts viscéraux.
Question : En quoi consiste l’obésité gynoïde ?
Réponse : L’obésité gynoïde se caractérise par une accumulation préférentielle de tissu adipeux dans la région glutéo-fémorale, c’est-à-dire au niveau des hanches et des cuisses.
Question : Quelles sont les différentes catégories de l’IMC (Indice de Masse Corporelle) et leurs plages de valeurs respectives ?
Réponse : Les différentes catégories de l’IMC et leurs plages de valeurs respectives sont les suivantes :
Sous la normale : <18.5 kg/m2
Étendue normale : 18.5-24.9 kg/m2
Surpoids : 25.0-29.9 kg/m2
Obèse (Classe I) : 30.0-34.9 kg/m2
Obèse (Classe II) : 35.0-39.9 kg/m2
Obèse morbide (Classe III) : >40.0 kg/m2
Question : Quels sont les risques de comorbidités associés à chaque catégorie d’IMC ?
Réponse : Les risques de comorbidités associés à chaque catégorie d’IMC sont :
Sous la normale : Faibles (mais plus grands risques pour d’autres problèmes cliniques)
Étendue normale : Risque moyen, poids idéal
Surpoids : Certains risques
Obèse (Classe I) : Risques modérés
Obèse (Classe II) : Risques élevés
Obèse morbide (Classe III) : Risques très élevés
Question : Pourquoi l’IMC est-il considéré comme la mesure la plus utile du surpoids et de l’obésité ?
Réponse : L’IMC est considéré comme la mesure la plus utile du surpoids et de l’obésité car son échelle est la même indépendamment du sexe ou de l’âge du sujet, ce qui facilite les comparaisons.
Question : Quelles sont les limites de l’utilisation de l’IMC ?
Réponse : Les limites de l’utilisation de l’IMC sont les suivantes :
L’IMC donne une indication approximative car il ne correspond pas forcément au même degré d’adiposité d’un individu à l’autre.
Il n’y a pas de stricte équivalence entre poids et obésité, car le poids inclut la masse grasse, le tissu osseux, l’eau et les muscles. Ainsi, une femme enceinte ou un sportif de haut niveau peuvent avoir un IMC élevé sans présenter d’excès de masse grasse.
Question : Pour mieux évaluer les risques de comorbidités liées à l’obésité, quelles mesures supplémentaires sont recommandées en plus de l’IMC ?
Réponse : En plus de l’IMC, il est recommandé de mesurer le Tour de la Taille (TT) et le Rapport Taille/Hanche (RTH).
Question : Comment diagnostique-t-on l’obésité androïde en termes de mesures du Tour de la Taille (TT) et du Rapport Taille/Hanche (RTH) ?
Réponse : L’obésité androïde est diagnostiquée si le Tour de la Taille (TT) dépasse 99 cm chez les hommes et 89 cm chez les femmes, ou si le Rapport Taille/Hanche (RTH) dépasse 1 chez les hommes et 0,85 chez les femmes.
Question : Pourquoi le diagnostic d’obésité androïde est-il crucial en termes de risques pour la santé ?
Réponse : Un diagnostic d’obésité androïde est crucial car il peut être une question de vie ou de mort en raison des risques importants pour la santé associés. Des valeurs élevées du Tour de la Taille (TT) ou du Rapport Taille/Hanche (RTH) sont des indices majeurs de risque de comorbidité et de mortalité. En outre, la graisse intra-abdominale, qui est caractéristique de l’obésité androïde, est la plus nuisible car elle est fixée sur les organes de la cavité abdominale, augmentant ainsi le risque de complications graves.
Question : Quelles complications peuvent survenir au niveau hépatique en cas d’obésité androïde ?
Réponse : L’obésité androïde peut entraîner plusieurs complications au niveau hépatique, notamment la stéatose hépatique, l’hépatite pseudo-alcoolique et la fibrose hépatique.
4 maladies graves:Les risques de maladies ____, _____ et de _____ et le ______.
Les risques de maladies cardiovasculaires, d’hypertension et de diabète et le tour de taille
Question : Quelles complications peuvent survenir en cas d’obésité gynoïde ?
Réponse : En cas d’obésité gynoïde, plusieurs complications peuvent se produire, notamment le calcul biliaire, l’arthrose (surtout au niveau des hanches et des genoux), ainsi que des troubles veineux tels que les varices, avec un risque accru de thrombophlébite.
Question : Quels risques supplémentaires sont associés à l’obésité gynoïde ?
Réponse : En plus des complications telles que la stéatose hépatique, l’hépatite pseudo-alcoolique et la fibrose hépatique, ainsi que l’apnée du sommeil, l’obésité gynoïde peut également évoluer vers une forme androïde, en particulier chez les femmes à la ménopause.
Qu’est-ce que l’équilibre énergétique selon le texte ?
Réponse : L’équilibre énergétique se produit lorsque les apports en énergie sont équivalents aux dépenses énergétiques.
Que se passe-t-il en cas de dépenses énergétiques supérieures aux apports ?
Réponse : Dans ce cas, on maigrit.
Comment le texte décrit-il le processus d’engraissement ?
Réponse : Le texte explique que l’engraissement se produit lorsque les dépenses énergétiques sont inférieures aux apports énergétiques.
Pourquoi les systèmes de régulation de l’équilibre énergétique semblent-ils favoriser la protection contre la perte de poids selon le texte ?
Réponse : Selon le texte, les systèmes de régulation semblent être conçus davantage pour protéger contre la perte de poids que contre les gains, ce qui signifie qu’ils tendent à favoriser le maintien du poids plutôt que la perte.
Comment le texte suggère-t-il d’illustrer la situation de l’équilibre énergétique à travers l’évolution du poids corporel dans différentes situations ?
Réponse : Le texte suggère d’illustrer la situation en examinant l’évolution du poids corporel lors de situations de surabondance, de famine et de disette.
Comment l’organisme réagit-il en cas de surabondance calorique selon le texte ?
En cas de surabondance calorique, l’organisme ne peut plus réguler le poids de manière efficace.
Quelle est la principale caractéristique de l’évolution du poids en cas de surabondance ?
La principale caractéristique est que le poids n’est pas stable et augmente continuellement.
Quels risques l’individu court-il si la situation de surabondance persiste, selon le texte ?
Si la situation de surabondance persiste, l’individu peut développer des complications graves telles que l’insuffisance hépatique ou l’arrêt de certains organes en raison de l’accumulation excessive de graisse.
Comment peut-on inverser le phénomène de prise de poids selon le texte ?
Le phénomène de prise de poids peut être inversé en ramenant l’apport calorique en dessous du niveau d’énergie consommé.
Quelles sont les conditions nécessaires pour que le poids redescende à sa valeur d’équilibre ?
Le poids redescend à sa valeur d’équilibre lorsque l’apport calorique est réduit et ramené près de la valeur normale de la DEJ conseillée.
Que signifie DEJ dans le contexte du texte ?
DEJ fait référence à la Dépense Énergétique Journalière.