chapitre 8 (1-81) Flashcards
Q: Quelles sont les recommandations caloriques quotidiennes pour un homme adulte de 25 ans?
R: Selon le GAC, un homme adulte de 19 à 50 ans devrait consommer environ 2500 kcal par jour.
Q: Quelle est la recommandation calorique quotidienne pour une femme adulte de 40 ans?
R: Pour une femme du même âge, environ 2000 kcal par jour sont recommandés selon le GAC.
Q: Que représente cette recommandation calorique en termes d’énergie à dépenser chaque jour?
R: Ces recommandations représentent l’équivalent d’énergie à dépenser chaque jour pour assurer le métabolisme de base, la thermogenèse postprandiale et l’activité musculaire.
Q: De quoi sont principalement composées les réserves énergétiques chez un adulte bien nourri?
R: Les réserves énergétiques chez l’adulte bien nourri sont principalement composées des lipides, des glucides et des protéines.
Q: À combien se chiffrent approximativement les réserves énergétiques chez un adulte bien nourri?
R: Les réserves énergétiques chez un adulte bien nourri se chiffrent à environ 126 000 kcal.
Q: Quelle est l’estimation du métabolisme de base (MB) selon l’équation de prédiction de Harris-Benedict pour un homme de 40 ans, pesant 65 kg et mesurant 165 cm?
R: L’estimation du métabolisme de base (MB) pour cet homme serait d’environ 1480 kcal/jour.
Q: Combien de glucose est-il nécessaire de consommer quotidiennement selon cette estimation?
R: Environ 370 g de glucose sont nécessaires chaque jour, car 1 g de glucose équivaut à 4 kcal.
Q: Quels sont les tissus gluco-dépendants qui consomment du glucose?
R: Les tissus gluco-dépendants comprennent les neurones, les érythrocytes (globules rouges), la rétine, l’épithélium des gonades et des reins.
Q: Quelle quantité de glucose est consommée en 24 heures par ces tissus gluco-dépendants?
R: Environ 180 g de glucose sont consommés en 24 heures par ces tissus gluco-dépendants.
Q: Quelle est la quantité de glucose consommée par le système nerveux central (SNC), les hématies et les muscles striés squelettiques?
R: Le SNC consomme entre 100 à 120 g/jour de glucose, les hématies 50 g, et les muscles striés squelettiques 40 g.
Q: Comment le tissu hépatique contribue-t-il à fournir du glucose en continu à ces tissus gluco-dépendants?
R: Le tissu hépatique stocke du glucose sous forme de glycogène et le libère en continu pour fournir du glucose aux tissus gluco-dépendants.
Q: Combien de glucose est stocké sous forme de glycogène au niveau hépatique?
R: Environ 75 à 100 g de glucose sont stockés sous forme de glycogène au niveau hépatique.
Q: Pourquoi cette réserve de glycogène hépatique est-elle à peine suffisante pour les besoins du système nerveux central (SNC) en 24 heures?
R: Cette réserve de glycogène hépatique est à peine suffisante pour les besoins du SNC en 24 heures car le cerveau ne produit pas de lactate, ce qui empêche le recyclage par le cycle de lactate-glucose (cycle de Cori).
Q: Pourquoi est-il recommandé de consommer entre 50 à 75 g de glucides par repas?
R: Il est recommandé de consommer entre 50 à 75 g de glucides par repas car cela assure une priorité en cas de privation calorique importante, en réservant le glucose pour les organes vitaux gluco-dépendants et en épargnant les protéines corporelles grâce à la présence d’insuline.
Q: Quelle est la priorité en cas de privation calorique importante selon le texte?
R: En cas de privation calorique importante, la priorité est de réserver le glucose pour les organes vitaux gluco-dépendants et d’épargner les protéines corporelles grâce à la présence d’insuline.
Q: Pourquoi le cerveau nécessite-t-il une quantité spécifique de glucose par repas?
R: Le cerveau nécessite une quantité spécifique de glucose par repas car il est un organe vital gluco-dépendant et dépend largement du glucose pour son fonctionnement.
Q: Quelle proportion des besoins énergétiques journaliers sont couverts par les glycogènes hépatique et musculaire entre les repas?
R: Entre les repas, les glycogènes hépatique et musculaire couvrent près de 60 % du besoin énergétique journalier.
Q: Pourquoi est-il nécessaire de consommer entre 50 à 75 g de glucides par repas selon le texte?
R: Il est nécessaire de consommer entre 50 à 75 g de glucides par repas car la réserve de glycogène hépatique, qui est de seulement 75 à 100 g, est à peine suffisante pour les besoins du système nerveux central en 24 heures.
Q: Pourquoi le glycogène musculaire ne peut-il pas fournir directement du glucose aux tissus gluco-dépendants?
R: Le glycogène musculaire ne peut pas fournir directement du glucose aux tissus gluco-dépendants car le myocyte (cellule musculaire) ne possède pas l’enzyme glucose-6-phosphatase nécessaire pour libérer le glucose.
Q: Comment le glycogène musculaire peut-il fournir indirectement du glucose?
R: Le glycogène musculaire peut fournir indirectement du glucose en étant transformé en lactate, qui est ensuite libéré dans le sang et transformé par le foie en glucose, dans ce qu’on appelle le “cycle lactate-glucose”.
Q: Pourquoi est-il important que le foie puisse transformer le lactate en glucose?
R: Il est important que le foie puisse transformer le lactate en glucose car cela permet de maintenir un approvisionnement adéquat en glucose pour les tissus gluco-dépendants, même lorsque la disponibilité directe de glucose est limitée.
Q: Quelle proportion des besoins énergétiques journaliers sont couverts par les graisses du tissu adipeux entre les repas?
R: Entre les repas, les graisses du tissu adipeux couvrent près de 40% du besoin énergétique journalier.
Q: Quelle est la principale source d’énergie de l’organisme selon le texte?
R: La principale source d’énergie de l’organisme est les lipides, notamment ceux stockés dans le tissu adipeux, avec environ 10-12 kg fournissant environ 100 000 kcal.
Q: Pourquoi les tissus gluco-dépendants ne peuvent-ils pas utiliser les acides gras libres (AGL) comme source d’énergie?
R: Les tissus gluco-dépendants ne peuvent pas utiliser les acides gras libres (AGL) comme source d’énergie car ils nécessitent une adaptation après plusieurs jours de déprivation protéino-calorique. Ils utilisent plutôt le glucose et les corps cétoniques comme sources d’énergie.
Q: Quelles sont les sources d’énergie utilisées par les tissus gluco-dépendants en l’absence de glucose?
R: En l’absence de glucose, les tissus gluco-dépendants utilisent les corps cétoniques comme sources d’énergie, en plus de pouvoir s’adapter à l’utilisation prolongée de glucose.
Q: Quelle proportion des besoins énergétiques journaliers est couverte par les protéines alimentaires selon le texte?
R: Les protéines alimentaires couvrent près de 20 % du besoin énergétique journalier.
Q: Les protéines alimentaires servent-elles normalement de réserves énergétiques?
R: En temps normal, les protéines alimentaires ne servent pas de réserves énergétiques.
Q: Dans quelles circonstances les protéines peuvent-elles être utilisées comme forme “alternative” de réserve énergétique?
R: Les protéines peuvent être utilisées comme une forme “alternative” de réserve énergétique lors du jeûne ou en cas d’augmentation des besoins énergétiques.
Q: Que se passe-t-il avec les muscles en cas de nécessité métabolique plus urgente selon le texte?
R: En cas de nécessité métabolique plus urgente, le muscle peut se transformer en réservoir des substrats énergétiques.
Q: Quelle est la principale source d’énergie à l’état “bien nourri”?
R: À l’état “bien nourri”, la principale source d’énergie est le glycogène, représentant environ 60% de l’apport énergétique total, suivi du tissu adipeux à hauteur de 40%.
Q: Quelle est la principale source d’énergie lors de déficits protéino-caloriques selon le texte?
R: Lors de déficits protéino-caloriques, la principale source d’énergie est le tissu adipeux, représentant environ 90% de l’apport énergétique total, dont 20-30% sont fournis par les corps cétoniques.
Q: Quelles sont les autres sources d’énergie utilisées lors de déficits protéino-caloriques?
R: Lors de déficits protéino-caloriques, les autres sources d’énergie comprennent le glycérol, le lactate et d’autres substrats, qui représentent environ 5% de l’apport énergétique total, ainsi que les acides aminés issus de la protéolyse musculaire, également à hauteur de 5%.
Question : Quelle est la répartition des sources d’énergie en état de stress aigu pathologique ?
R: En état de stress aigu pathologique, la répartition des sources d’énergie est de 45% provenant du tissu adipeux, 30% du glycogène, et 25% des acides aminés issus de la protéolyse musculaire.
Q: Quelle est la fonction principale du système de stockage et de libération de nutriments selon le texte?
R: La fonction principale du système de stockage et de libération de nutriments est de maintenir un apport continu de nutriments dans le courant sanguin, malgré la consommation intermittente d’aliments. Les nutriments sont stockés durant l’alimentation et libérés pendant la période de post-absorption et de jeûne.
Q: Quelles hormones participent à la régulation de brève durée entre les états post-prandial et post-absorption selon le texte?
R: Les hormones qui participent à la régulation de brève durée entre les états post-prandial et post-absorption sont :
Insuline
Glucagon
Adrénaline
Cortisol
Thyroxine
Insuline: Quel est l’effet de l’insuline sur la captation et l’utilisation du glucose dans les tissus périphériques?
R: L’insuline augmente la captation et l’utilisation du glucose dans les tissus périphériques, en particulier les tissus adipeux et musculaires.
Insuline: Quels sont les effets de l’insuline sur la lipogenèse hépatique et la lipolyse des chylomicrons et VLDL?
R: L’insuline stimule la lipogenèse hépatique et la lipolyse des chylomicrons et VLDL par la lipoprotéine lipase (LPL) du tissu adipeux.
Insuline
Insuline: Comment l’insuline affecte-t-elle la lipolyse adipocytaire?
R: L’insuline inhibe la lipolyse adipocytaire, ce qui entraîne une diminution de la β-oxydation et de la cétogenèse.
Insuline: Quels sont les effets de l’insuline sur la glycogénogenèse hépatique et musculaire?
R: L’insuline stimule la glycogénogenèse hépatique et musculaire.
Insuline:Quels sont les effets de l’insuline sur la captation des acides aminés et la synthèse des protéines?
R: L’insuline stimule la captation des acides aminés et la synthèse des protéines.
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Quels sont les effets des catécholamines sur la glycogénolyse et la glycolyse dans les muscles?
R: Les catécholamines stimulent la glycogénolyse (et la glycolyse) dans les muscles.
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Quel rôle jouent les catécholamines dans la libération de lactate musculaire et la gluconéogenèse hépatique?
R: Les catécholamines entraînent la libération de lactate musculaire pour la gluconéogenèse hépatique.
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Comment les catécholamines affectent-elles la lipolyse des chylomicrons et VLDL?
R: Les catécholamines stimulent la lipolyse des chylomicrons et VLDL par la lipoprotéine lipase musculaire et la β-oxydation.
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Catécholamines (adrénaline, noradrénaline):
Quel est l’effet des catécholamines sur la lipolyse adipocytaire et d’autres processus métaboliques?
R: Les catécholamines activent la lipolyse adipocytaire et favorisent la β-oxydation et la cétogenèse dans tous les tissus, ainsi que la cétogenèse hépatique.
Glucagon:
Quels sont les effets du glucagon sur la glycogénolyse et la gluconéogenèse au foie?
R: Le glucagon stimule la glycogénolyse et la gluconéogenèse au foie, tout en inhibant la glycolyse.
Glucagon:
Comment le glucagon influence-t-il la lipolyse adipocytaire?
R: Le glucagon stimule la lipolyse adipocytaire, ce qui entraîne une augmentation de la β-oxydation et de la cétogenèse.
Corticostéroïdes (Cortisol):
Comment les corticostéroïdes influencent-ils la mobilisation des acides aminés?
R: Les corticostéroïdes, tels que le cortisol, augmentent la mobilisation des acides aminés en favorisant la protéolyse des muscles squelettiques.
Corticostéroïdes (Cortisol):Comment les corticostéroïdes affectent-ils la lipolyse adipocytaire et d’autres processus métaboliques?
R: Les corticostéroïdes activent la lipolyse adipocytaire, favorisant ainsi la β-oxydation et la cétogenèse dans tous les tissus, ainsi que la cétogenèse hépatique.
Corticostéroïdes (Cortisol):
Quel est l’effet du cortisol sur la gluconéogenèse hépatique et l’utilisation du glucose par les tissus?
R: Le cortisol augmente la gluconéogenèse hépatique mais diminue l’utilisation du glucose par les tissus indépendants du glucose.
Thyroïdes (Thyroxine ou T4):
Quels sont les effets de la thyroxine sur la production d’énergie et la thermogenèse?
R: La thyroxine augmente la production d’énergie et la thermogenèse en stimulant la glycolyse, la glycogénolyse hépatique et musculaire, la lipolyse adipocytaire, ainsi que la β-oxydation et la cétogenèse dans tous les tissus, ainsi que la cétogenèse hépatique.
Thyroïdes (Thyroxine ou T4):
Comment la thyroxine influence-t-elle la captation des acides aminés et la protéosynthèse?
R: La thyroxine stimule la captation des acides aminés, suivie de la protéosynthèse.
Q: Quelle est la durée estimée pendant laquelle un homme moyen pourrait survivre sans manger, selon le texte?
R: Selon le texte, un homme moyen pourrait survivre environ 74 jours sans manger.
Q: Comment cette estimation a-t-elle été calculée?
R: L’estimation a été calculée en divisant les réserves énergétiques de base, soit 125 680 kcal, par les besoins énergétiques quotidiens, qui sont de 1700 kcal/jour.
Q: Quelle est la conversion de cette durée en mois et semaines?
R: La durée de 74 jours équivaut à environ 2 mois et demi, soit 2 mois et 2½ semaines.
Q: Pourquoi est-il précisé que cette estimation est théorique?
R: Cette estimation est qualifiée de théorique car elle ne prend pas en compte les variations individuelles, les conditions environnementales, ou d’autres facteurs qui pourraient influencer la capacité d’un individu à survivre sans manger.
Q: Pourquoi la durée de vie sans manger est-elle en réalité moins de deux mois, contrairement à l’estimation théorique?
R: La durée de vie sans manger est en réalité moins de deux mois en raison de la perte de plusieurs protéines essentielles au fonctionnement de l’organisme.
Q: Comment est régulée l’utilisation des réserves énergétiques dans le corps?
R: L’utilisation des réserves énergétiques est finement régulée dans le temps par plusieurs hormones et voies métaboliques, favorisant la meilleure utilisation des réserves par le biais d’interconversions, notamment au niveau hépatique.
Q: Quel est le rôle principal des hormones dans la régulation de l’utilisation des réserves énergétiques?
R: Les hormones jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’utilisation des réserves énergétiques en contrôlant les processus métaboliques tels que la libération et le stockage des nutriments, la lipolyse, la gluconéogenèse, et la synthèse protéique.
Q: Pourquoi est-il important que l’utilisation des réserves énergétiques soit finement régulée?
R: Il est important que l’utilisation des réserves énergétiques soit finement régulée pour assurer un approvisionnement adéquat en énergie pour les fonctions vitales de l’organisme tout en préservant les tissus et les systèmes essentiels à long terme.
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look
Q: Quels sont les substrats énergétiques circulants mentionnés dans le texte?
R: Les substrats énergétiques circulants mentionnés sont le glucose et les précurseurs du glucose et les lipides
Q: Comment le glucose circulant est-il principalement obtenu?
R: Le glucose circulant provient principalement de l’alimentation ou de la glycogénolyse, qui est la dégradation du glycogène stocké.
Q: Quels sont les précurseurs du glucose mentionnés dans le texte?
R: Les précurseurs du glucose sont le lactate, le glycérol, l’alanine et d’autres acides aminés glucogènes.
Q: D’où proviennent le lactate, le glycérol et l’alanine selon le texte?
R: Le lactate provient du catabolisme du glycogène dans le muscle et du glucose dans les hématies. Le glycérol est libéré à partir des triglycérides (TAG) adipocytaires. L’alanine et les autres acides aminés glucogènes, tels que la glutamine, la glycine et la sérine, proviennent de l’alimentation ou du catabolisme des protéines tissulaires, principalement des muscles.
Q: Quelles sont les différentes formes sous lesquelles les lipides peuvent circuler dans le corps, selon le texte?
R: Les lipides peuvent circuler sous quatre formes différentes :
Les acides gras (AG) à courte chaîne, provenant de l’alimentation.
Les acides gras à longue chaîne des triglycérides (TAG) transportés par les chylomicrons formés dans l’intestin en période postprandiale, ou par les VLDL produits au niveau du foie en période de post-absorption.
Les acides gras des triglycérides (TAG) des adipocytes.
Les corps cétoniques, tels que l’acétoacétate et l’hydroxybutyrate, formés par le foie à partir des acides gras, surtout lors du jeûne court ou prolongé.
Q: Quels sont les acides gras circulants provenant de l’alimentation?
R: Les acides gras à courte chaîne sont les acides gras circulants provenant de l’alimentation.
Q: Comment les acides gras à longue chaîne circulent-ils dans le corps?
R: Les acides gras à longue chaîne des triglycérides (TAG) circulent dans le corps soit via les chylomicrons formés dans l’intestin en période postprandiale, soit via les VLDL produits au niveau du foie en période de post-absorption.
Q: Quelle est l’origine des corps cétoniques et quel est leur rôle dans le corps?
R: Les corps cétoniques, tels que l’acétoacétate et l’hydroxybutyrate, sont formés par le foie à partir des acides gras, surtout lors du jeûne court ou prolongé. Ils peuvent être transformés en acétyl-CoA et être oxydés, notamment au niveau du cerveau, du rein et du muscle.
Q: Quels sont les organes consommateurs d’énergie mentionnés dans le texte?
R: Les organes consommateurs d’énergie mentionnés sont le foie, le cerveau, les muscles, le cœur et les reins, au repos.
Q: Combien de calories ces organes consomment-ils environ par jour?
R: Ces organes consomment environ 1200 à 1400 kcal par jour au repos.
Q: Quelle est la consommation énergétique approximative du cerveau par jour?
R: Le cerveau consomme environ 400 à 500 kcal par jour.
Q: Quelle est la source d’énergie principalement utilisée par le cerveau?
R: La principale source d’énergie utilisée par le cerveau est le glucose. Il consomme environ 5 g par heure, soit 100 à 120 g par jour en période postprandiale et post-absorption.
Q: Le cerveau peut-il utiliser d’autres sources d’énergie que le glucose?
R: Oui, le cerveau peut utiliser les corps cétoniques comme source d’énergie, mais il ne peut pas utiliser les acides gras.
Q: Quelle est la consommation énergétique approximative du muscle squelettique par jour, selon le texte?
R: Le muscle squelettique consomme environ 600 à 800 kcal par jour.
Q: Quelle forme de réserve énergétique possède le muscle squelettique?
R: Le muscle squelettique possède une réserve énergétique sous forme de protéines, mais uniquement en cas de besoin.
Q: Quelles sont les sources d’énergie utilisées par le muscle squelettique en présence d’insuline?
R: En présence d’insuline, le muscle squelettique utilise le glucose comme source d’énergie provenant des repas.
Q: Quelles sont les sources d’énergie utilisées par le muscle squelettique en présence de thyroxine ou d’adrénaline?
R: En présence de thyroxine en période postprandiale ou d’adrénaline (lors du jeûne, du stress ou de l’exercice physique intense), le muscle squelettique utilise le glycogène comme source d’énergie, transformé en glucose.
Q: Quelles sont les sources d’énergie utilisées par le muscle squelettique dans d’autres circonstances?
R: Dans d’autres circonstances, telles que la période post-absorption ou le jeûne, le muscle squelettique utilise les acides gras et les corps cétoniques comme sources d’énergie.