Chapitre 8 Flashcards
Qu’est-ce qui différencie l’eau bleue de l’eau verte?
Eau bleue : ensemble des eaux exploitables que constituent les nappes, les lacs et les rivières.
Eau verte : eau de pluie stockée dans le sol (transpiration, évaporation, humidité du sol).
(pp. 290-292)
En quoi l’évapotranspiration marque-t-elle les hauteurs interannuelles du débit?
L’évapotranspiration varie considérablement au gré des saisons, pour être maximale l’été
(évaporation et transpiration liée à la croissance des végétaux). Par conséquent (bilan hydrique),
le débit de la rivière présente une saisonnalité remarquable.
(p. 2290)
Qu’est-ce que la demande évaporative?
Différence entre la tension de vapeur saturante à la surface et la tension de vapeur de l’air
ambiant.
(pp. 293-294)
Quels sont les deux principaux paramètres atmosphériques qui influent sur le taux
d’évaporation?
Le rayonnement solaire, la vitesse du vent, l’humidité et la température de l’air sont tous
importants.
(p. 293)
Quel est le processus qui conduit à la transpiration des plantes?
Captage du CO2 pour la photosynthèse.
p. 294
Quelles sont les différences entre l’évapotranspiration réelle et l’évapotranspiration
potentielle?
ET réelle : mesurée in situ.
ET potentielle : évapotranspiration pour un sol où la disponibilité en eau est illimitée.
(p. 295)
Comment peut-on lier l’évapotranspiration réelle et l’évapotranspiration potentielle?
On peut notamment l’évaluer à partir de l’ETP en recourant à un modèle qui simule la teneur en
eau du sol. (p. 296)
Qu’est-ce qui explique les différences dans la répartition latitudinale de
l’évapotranspiration continentale et de l’évaporation océanique?
La disponibilité en eau n’est pas illimitée en milieu continental. (p. 296)
Quelle est la principale différence entre l’évaporation à partir d’une masse d’eau et
celle à partir d’un sol?
La disponibilité en eau.
Quelles sont les contraintes de l’évaporation par bilan hydrique?
Il est très ardu en pratique de mesurer chacun des termes du bilan hydrique. L’incertitude sur la
valeur d’évaporation calculée est conséquemment très grande. (p. 298)
Comment peut-on concilier les observations d’un bac évaporatoire avec
l’évaporation à partir d’un lac?
À l’aide du coefficient de correction du bac (équation 8.6).
p. 299
Pourquoi les évapotranspiromètres ne possèdent-ils pas les mêmes carences que les
bacs évaporatoires?
Sa précision est excellente puisqu’il se fond dans le milieu à l’étude, étant enterré.
(p. 301)
Quels sont les paramètres qui interviennent dans l’estimation de l’évaporation par
bilan énergétique?
Voir équation (8.11). En somme :
• L’intrant net du rayonnement de courtes longueurs d’onde
• L’intrant net du rayonnement de grandes longueurs d’onde
• L’extrant net du flux d’énergie transmis au sol par conduction
• L’extrant net du flux d’énergie sensible qui s’échappe vers l’atmosphère
• L’intrant net du flux d’énergie véhiculée par les échanges d’eau
• La variation d’énergie stockée au sein de la masse d’eau
(p. 303)
Quel est l’intérêt de recourir au rapport de Bowen dans l’estimation de l’évaporation
par bilan énergétique?
Son estimation est alors plus directe.
Que sont les pyranomètres et pyrgéomètres?
Pyranomètre : appareil servant à mesurer le rayonnement ondes courtes.
Pyrgéomètre : appareil servant à mesurer le rayonnement ondes longues.
(pp. 304-305)