Chapitre 4 Flashcards
Quels sont les principaux modes de parcours de l’eau au sein d’un bassin versant?
Écoulement souterrain, ruissellement, écoulement hypodermique, ruissellement par saturation.
Quels sont les principaux modes de parcours de l’eau dans un contexte nordique?
Écoulement par le sol, écoulement par la couverture nivale, écoulement combiné.
Quelles sont les différentes forces qui agissent sur l’eau dans les sols?
Gravité capillarité et adsorption.
Qu’est-ce qu’un piézomètre?
Orifice seulement à l’extrémité du tuyau
Donne la charge hydraulique totale à un point précis
Permet le suivi de nappes confinées
Qu’est-ce qu’un puits d’observation?
Plusieurs orifices le long de la section
Donne la charge hydraulique totale intégrée le long du tuyau
Dans quel sens est l’écoulement?
De haute pression à basse pression.
Qu’elles sont les trois zones du processus d’infiltration?
Zone d’humidification, zone de transmission, zone de saturation
Qu’est ce que la pluie nette?
Partie d’une averse qui contribue directement au ruissellement. Pluie qui n’est pas “perdue” par infiltration, rétention en surface ou interception. Elle est égale au ruissellement direct. Sa somme est déduite des observations du débit.
Qu’elle est la différence entre une nappe libre et une nappe confinée?
Nappe libre : niveau supérieur en contact avec l’atmosphère et fluctue en fonction du climat.
Nappe confinée : sous pression, coincée entre deux couches imperméables.
(p. 126)
Quels sont les hypothèses pour appliquer la loi de Darcy à un écoulement non confiné?
La pente de la nappe est faible (écoulement presque horizontal) et l’écoulement en permanent (ne varie pas en fonction du temps)
Qu’est ce que la transmissivité?
C’est la facilité avec laquelle un acquière laisse passer un débit.
Quels sont les objectifs de la commission de planification de la régularisation de la rivière des outaouais? (CPRRO)
Assurer la sécurité de public, assurer la sécurité des aménagements, respecter les ententes avec le milieu, produire de l’électricité pour les besoins québécois et exporter les surplus.
Quelle conception du parcours hydrologique Horton a-t-il proposé?
Ruissellement : excédent de pluie que le sol ne parvient pas à absorber par infiltration. Cette eau
s’écoule à la surface des sols sous l’action de la gravité jusqu’au réseau de drainage local (Fig.
4.1a). (p. 98)
Quelle conception du parcours hydrologique Cappus a-t-il proposé?
Ruissellement par saturation : ruissellement dans le bas de la pente (sol saturé) et infiltration dans
le haut de la pente (sol non saturé). (p. 100)
Pourquoi les écoulements hypodermiques peuvent-ils, en certaines circonstances, être
beaucoup plus rapides que les écoulements en milieux saturés?
Ces écoulements sont accélérés par la présence de petits canaux souterrains creusés par les
plantes, les animaux et les insectes, nommés macropores. (p. 100)
Comment le climat peut-il influer sur les écoulements dominants dans un bassin
versant en réponse à une précipitation?
Voir figure 4.2. Par exemple, pour un climat aride, le ruissellement de surface est un écoulement
dominant alors que pour un climat humide, l’écoulement dominant est plutôt l’écoulement
souterrain. (p. 100)
Quelle est la différence entre la porosité et l’indice des vides?
La porosité est le rapport entre le volume des vides et le volume total (eqn 4.2) alors que l’indice
des vides est le rapport entre le volume des vides et le volume occupé par la partie solide (eqn
4.3). Typiquement, la porosité oscille entre 0.25 à 0.4 alors que l’indice des vides varie entre 0.5
et 2.0. (p. 102)
Quand une eau peut être qualifiée de libre, d’hygroscopique, de capillaire, de
gravitaire, de disponible aux plantes ou encore de souterraine?
Eau libre : eau libre de circuler (percoler) dans le sol
Eau hygroscopique : eau retenue par adsorption à la surface des grains
Eau capillaire : eau retenue par capillarité entre les grains
Eau gravitaire : eau qui va éventuellement s’écouler par gravité
Eau disponible aux plantes : entre la capacité au champ (quantité d’eau retenue dans le sol après
que l’eau gravitaire se soit écoulée) et le point de flétrissement permanent (teneur en eau
pour laquelle les feuilles des plantes qui poussent sur ce sol commencent à flétrir de façon
permanente), voir fig. 4.8.
Eau souterraine : eau contenue dans le sol
(pp. 102-106)
Par quels mécanismes la matrice du sol peut-elle retenir de l’eau?
Par capillarité et par adsorption. (p. 102)