Chapitre 4 à 9 Flashcards
Lorsque l’on regarde «ce qui à été fait» et qu’il y à une inégalité (≠) avec «ce qui fallait faire», comment faire pour déterminer ce qui en est la cause?
Une méthode de fonctionnement appelé (principale limitatif), qui consiste à utiliser des tâche expérimentales mettant en jeu un seul des sous systèmes: (soit l’acquisition, le traitement ou la transmission de l’information) comme ça on peux isoler les composantes requises pour une tâches et déterminer si elle est limitante (si c’est cette composante qui pose problème et qu’il faudrait l’améliorer)….
(Cadre de cours on prend pas en compte les variables morphologiques, physiologiques, etc… seulement les variable touchant au traitement de l’information
Quels sont les 3 catégories qui ont un impact sur le traitement de l’information
L’acquisition de l’information
Le traitement de l’information
La transmission de l’information
Nomme les étapes/les cases du modèle du traitement de l’information
Imput = stimulus ou information nouvelle
Qu’est ce que le traitement de l’information
Suite d’évènement produit par le SNC pour traiter une information (série des transformations réalisées d’une étape à l’autre)
Ex: (Par exemple et par analogie), on remarque qu’une information véhiculée de bouche à oreille tend à se déformer lorsqu’elle passe d’un interlocuteur à un autre. Si chaque interlocuteur est considéré comme une étape de notre modèle de base, on dit que chacun des interlocuteurs « traite » l’information qui lui a été transmise.
Qu’est ce que la transmission de l’information
Transmission d’une information (stimulus, réponse ou technique) provenant d’un environnement (ex de qq1 provenant d’un contexte) à un autre environnement
~le nombre de fois que cette transmission est faite
+
~la correspondance (similitude des environnements ou de la réponse/à faire dans se contexte/commise)
=
Fort lien entre cette information/réponse et l’environnement.
Qu’est ce qu’un rétroaction
C’est quoi boucle ouverte/boucle fermée
Rétroaction: «feedback», informe l’individu sur son résultat et sa performance disponible avant, pendant et/ou après l’exécution d’un geste. Le feedback peux être intéroceptif (sentiment intérieur) ou extéroceptif (provenant de la vision, d’un entraîneur, etc)
Boucle fermée: individu peux corriger sa posture/son mouvement grâce au feedback, PENDANT l’exécution de celui-ci
Boucle ouverte: le feedback sera utilisé pour corriger lors de la prochaine répétition seulement.
Qu’est ce que la connaissance de la performance
C’est la connaissance sur la manière de faire/exécuter le geste
(Genre de Connaissance technique)
Qu’est ce que la connaissance du résultat
Connaissance sur l’information concernant les critères de réussite (se que ça prend pour être performant) lors d’un mouvement
(C’est pas comment faire le mouvement, mais c’est plus ce qu’il faut pour que notre mouvement soit performant, ex un service au tennis peux être bon, mais la connaissance sur le résultat est que il faut frapper la balle pour qu’elle aille le plus près possible de la ligne pour que se soit dure pour l’adversaire de la frapper/réagir….
Qu’est ce qui représente l’attention
Et dit c’est quoi l’attention globalement
Fait référence à l’état d’éveil, l’état de vigilance ou l’état d’activation
L’état d’éveil est l’habileté à atteindre et à maintenir un degré optimal d’alerte de telle sorte que le système de traitement de l’information permette l’atteinte de la meilleure performance possible. L’état d’éveil peut donc être considéré comme un état dans lequel le SNC est prêt à recevoir et à traiter un stimulus à vitesse optimale. Toute déviation de cet état optimal du SNC entraîne une performance moindre de l’individu.
Nomme des facteurs susceptibles de modifier l’état d’éveil (l’attention) d’un individu (4)
La motivation
La charge de travail
La fatigue
Le stress
Quel est le niveau d’activation (d’attention) optimal pour que la performance de l’individu soit optimale également?
-nomme aussi des exemples de pourquoi c’est mauvais les autres que la bonne réponse…?
-la valeur de l’état d’éveil pour un niveau optimal de performance fluctue en fonction de quoi (2)
La performance optimale ne serait donc obtenue que pour un état d’activation « moyen ». (Ne s’applique pas exactement en U inversé pour tous les individus, mais c’est un bon prédicateur de performance…!)
-(FLUCTUE SELON L’INDIVIDU ET LA CARACTÉRISTIQUE DE LA TÂCHE): la valeur de l’état d’éveil fluctue d’un individu à l’autre (une certaines activité peut amener un niveau d’éveil supérieur chez un individus comparé à un autre), AUSSI, la valeur de l’état d’éveil pour une performance optimal fluctue en fonction de la caractéristique de l’activité (plus les tâches sont fines et complexes, plus la valeur absolue de l’état d’éveil demandé serait basse, et plus la tâches motrices est globale et simple, il faudrait une valeur absolue d’éveil plus élevé pour atteindre une performance optimale.
Par exemple, concernant la motivation, considérons un individu « A » participant à une compétition de lancer du javelot. Si cet individu remarque qu’il n’y a aucun adversaire de son calibre lors d’une compétition provinciale, on peut supposer qu’il ne sera pas très motivé ou, en d’autres mots, qu’il sera sous-
activé. Suivant cette théorie, cet état de sous-activation entraînera une performance moindre que celle à laquelle on est en droit de s’attendre de cet individu.
Maintenant, si « A » participe pour une première fois à une sélection nationale, il se peut que cette situation entraîne une trop grande activation chez celui-ci. Si tel était effectivement le cas, suivant cette théorie il pourrait en découler une performance déficiente.
Qu’est ce qui accompagne normalement/souvent l’état d’éveil ex: une augmentation de l’état d’éveil est souvent accompagné de: ?
Explique la réponse c’est quoi aussi…
Souvent accompagné d’un rétrécissement du champ attentionnel
Par exemple, au hockey sur glace, on peut penser que le gardien de but est centré sur les déplacements de la rondelle et qu’il en vient à ignorer les éléments autres que ces déplacements. Il y a donc une très grande focalisation lors de l’activation optimale. Si le gardien n’est pas suffisamment activé, on peut proposer que le rétrécissement du champ attentionnel n’est pas assez grand et que le gardien porte attention à des événements non-pertinents (l’arbitre, par exemple), il en résulte une diminution de la performance. Toutefois, si le rétrécissement attentionnel devient trop élevé, il se
peut que le gardien se centre trop sur la rondelle et ne remarque pas un adversaire placé près de lui, prêt à faire dévier la rondelle. Il risque alors de se faire déjouer. Schmidt (1991) précise que ce rétrécissement du champ attentionnel n’est souhaitable que si c’est l’événement attendu qui se produit. Dans tous les autres cas, il serait préférable que l’individu soit moins activé et ainsi considérer l’ensemble de la situation plutôt que seulement certains de ses éléments.
Limite de la détection: Si nous considérons que l’individu a un état d’activation optimal, celui-ci est prêt à traiter et percevoir les stimuli présentés dans son environnement.
Quelles sont les limites du système perceptuel
- quel est le niveau le plus bas qu’un stimulus peut être perçu
- Quel est le niveau le plus bas qu’un stimulus identifié
- Le seuil de détection: plus petite intensité qu’un stimulus peut être détecté
- Le seuil de reconnaissance: plus petite intensité quel le stimulus px être identifié.
Que signifie la courbe du bruit:
La courbe du bruit représente le niveau d’activation (d’attention) interne d’un individu lors de la présentation d’un stimulus X (ex: elle est variable puisque lorsqu’on regarde rapidement une montre on entend pas le tic tac mais après 30 sec environ on l’entend
La courbe du bruit est représenté dans la photo mais sans les X…!
Que signifie la courbe de bruit + signal
C’est la courbe du bruit, mais que le stimulus X vient augmenter notre niveau d’activation (d’attention) peux importe le niveau d’activation qu’on était
~ Ceci indique qu’en certaines occasions, le sujet confondra le bruit avec le
signal; la possibilité d’une erreur est d’autant plus grande que le stimulus présenté est faible (voir la figure 6.4). Tel est le cas parce que plus le stimulus est faible, moins les courbes « bruit » et « bruit+signal » sont éloignées l’une de l’autre. Dans de telles situations, l’individu peut donc commettre au moins deux types d’erreurs. Premièrement, le sujet omet de considérer des stimuli et de produire la réponse appropriée. Deuxièmement, le sujet produit une réponse alors qu’aucun signal ne lui a été présenté.