Chapitre 3: Perception de groupes Flashcards
définitions de base (3)
- stéréotypes: croyances & opinions (sans jugement)
- préjugés: l’affect & l’émo (issu du stéréotype dans un 2. pas)
- discrimination: Comment cela se montre observablement dans le comp. (traitement différentiel)
Lippman dit que
les stéréotypes renvoient à des images dans la tête de tt le monde, donc gens ne répondent pas à réalité mais qu’une représentation (navigation)
4 types de groupes (catégorisation sociale)
- groupes intimes
- association fortuite
- groupes à tâches (ch. 12)
- catégories sociales (ch. 13)
Paradigme: Qui dit quoi ?
Discussion entre 2 groupes de 2 sexes/races, on fait entendre les participants la discussion afin de leur présenter une tâche de mémoire inattendue afin de révéler des erreurs/biais systématiques liés à l’appartenance d’un groupe
-> Erreurs intra-catégoriellea > Erreurs inter-catégorielles
Expérience de Brewer montre que
la séparation de personnes sur base de photos en fonction de leur apparence physiques et de traits de presonnalité est prédite assez bien par les catégories ÂGE, SEXE & RACE
facteurs d’accessibilité de catégorisation sociale (4)
- effet solo (sensible à ce qui sort du lot)
- objectifs du moment
- accessibilité cognitive temporaire (News, attentat & musulmans pE)
- accessibilité cognitive chronique (schémas personnels)
facteurs de similitude (catégorisation sociale) (3)
- typicité physique de cible
- situation / comportement de cible
- importance du contexte
- adéquation normative (opinions politiques plutot que sexe dans conversation)
- adéquation comparative (Canadiens vs. Brésiliens/Allemands)
Les réplications de l’étude de Katz & Braly (1933) montrent que
ça devient de plus en plus compliqué à révéler les stéréotypes des gens (désirabilité sociale)
Conséquence: difficile à qualifier le groupe par mesures auto-apportées, il faut donc utiliser des mesures physiologiques, spontanées/implicites
(Katz & Braly, 1933, ont présenté des traits de personnalité et des nationnalités & les gens deaient les “ordre”)
L’activation de stéréotypes vs. l’application de stéréotypes
L’activation de stéréotypes requiert de ressources cognitives tandis que l’application de stéréotypes ne requiert que peu de ressources cognitives
Attributs des stéréotypes
- noyau de vérité mais faux si appliqué aveuglement à tt les membres (avant tt 1 probabilité)
- niveau moyen et variabilité d’un attribut
- stéréotypes descriptifs (ce qu’ils sont) vs stéréotypes prescriptifs (ce qu’ils devront être)
Origine des stéréotypes (15)
- Observations directes / Exp. personnelles (Infos qui sortent du lot)
- Corrélations illusoires
- Surestimer cooccurence de faits rares (appartenance groupe minotiraire & comp. négatifs)
- Infos peu nombreuses moins bien traitées et surestimées (faible échantillon)
- Infos sur nouveaux groupes plus remarquables
- Explications motivationnelles & identitaires
- Confirmation d’hypothèse
- sources indirectes (parents, pairs, etc.)
- environnement/contexte
- opinions d’autrui
- bandes dessinées
- manuels scolaires
- publicités
- séries
- Medias
Chaleur sur base des…
- relations d’interdépendance
- compétition
- coopération
Compétence sur base de…
- pouvoir
- statut
Etudes pour la mesure de stéréotypes
- amorçage conceptuel (sémantique)
- tâche d’association implicite
- tâche de catégorisation/production de dessin
- tâche de corrélation inversée
Stéréotypes & légitimation
- stéréotypes jouent rôle dans justification de l’ordre social (d’autant plus si traiter groupes comme entités significatives et essentialiser leurs comp.)
- l’entitativité du groupe (Grupp verschmelzt an een)
- l’essentialisme (Grupp huet eng Essenz)