Chapitre 3 : la perte de zineb et le repas des mendiants aveugles Flashcards
Q1. Quand le narrateur retourna-t-il à l’école après son long “congé” ?
* A. Le vendredi matin.
* B. Le vendredi après-midi.
* C. Le jeudi matin
Réponse : B. Le vendredi après-midi.
Q3.Quel signe annonçait la fin de la journée au Msid le vendredi ?
* A. Réciter des vers de Bnou Achir.
* B. Chanter la première sourate du coran.
* C. Faire les ablutions.
Réponse: A. Réciter des vers de Bnou Achir
Q2. Par quel mot le narrateur qualifia-t-il les heures passées au Msid ?
* A. Le bonheur.
* B. Le plaisir.
* C. Les souffrances
Réponse: C. Les souffrances. «Nous étions heureux quand
commençaient ces litanies. Elles signifiaient la fin de nos
souffrances » Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie
avec impatience
Q4. Quel objet Fatma Bziouya venait-elle d’acquérir ?
* A. Une table ronde.
* B. Une lampe à pétrole.
* C. Un chandelier de cuivre.
Réponse: B. Une lampe à pétrole
- Q5. De quoi Lalla Zoubida essaya-t-elle de convaincre son mari ?
- A. De la nécessité d’avoir une lampe à pétrole.
- B. De la nécessité d’avoir du charbon en réserve.
- C. De la nécessité d’avoir un nouveau poêle.
Réponse: A. De la nécessité d’avoir une lampe à pétrole « les bougies devenaient
de moindre qualité, qu’il en fallait une tous les trois jours/ la pièce paraissait
lugubre avec toutes ces ombres qui s’amassaient dans les angles. »
Q6. Comment le narrateur qualifia-t-il la manière avec laquelle sa mère procédait
pour convaincre son mari ?
* A. Gauche.
* B. Habile.
* C. Maladroite.
Réponse: B. Habile «J’admirais intérieurement l’habileté
de ma mère
Q7. Quel malheur avait frappé Rahma ?
* A. Sa fille Zineb s’était cassé la jambe.
* B. Son mari l’avait répudiée.
* C. Sa fille Zineb avait disparu.
Réponse: C. Sa fille Zineb avait disparu « Zineb
s’était volatilisée, le sol l’avait engloutie et il n’en
restait pas la moindre trace.
Q8. Dans quelle circonstance Rahma avait-elle perdu sa fille ?
* A. Zineb s’était perdue dans la foule à Rsif.
* B. Zineb s’était perdue en allant faire des commissions.
* C. Zineb s’était perdue sur la route du Mausolée Sidi Ali Boughaleb.
Réponse:A. Zineb s’était perdue dans la foule à Rsif.
Q9. De quelle façon les femmes exprimaient-elles leur chagrin en compassion avec
Rahma?
* A. En gardant le silence.
* B. En pleurant et en se lamentant
Réponse: B. En pleurant et en se lamentant
Q10. Que constitua la disparition de Zineb pour Lalla Zoubida ?
* A. Une occasion de se réconcilier avec Rahma.
* B. Une occasion de visiter Moulay Idriss.
* C. Une occasion de visiter la Chouafa
Réponse: A. Une occasion de se réconcilier
avec Rahma.
Q11. Quel sentiment éprouvait le narrateur pour Zineb ?
* A. Il l’appréciait.
* B. Il l’adorait.
* C. Il ne l’aimait pas.
Réponse: C. Il ne l’aimait pas. « Je n’aimais pas Zineb,
sa disparition me réjouissait plutôt. »
Q12. Quelle était la raison profonde qui poussa Sidi Mohammed à pleurer ?
* A. Il avait faim.
* B. Il avait mal aux yeux.
* C. Il avait du chagrin pour Zineb.
Réponse: A. Il avait faim. « Cela m’est égal qu’on ne
retrouve pas Zineb, je pleure parce que j’ai faim! »
Q13. Où Zineb avait-elle été retrouvée ?
* A. À la maison des orphelins.
* B. À la maison des Idrissides.
* C. À la maison des aveugles.
Réponse: B. À la maison des Idrissides.
Q14. Qu’organisa Rahma pour remercier Dieu d’avoir retrouvé sa fille ?
* A. Une cérémonie pour les voisines.
* B. Une séance de Gnaouas.
* C. Un repas pour les mendiants.
Réponse: C. Un repas pour les mendiants
Q15. À quoi recourait Sidi Mohammed une fois seul et triste ?
* A. Aux bras de sa maman.
* B. À sa boîte à merveilles.
- C. À sa voisine Zineb.
Réponse: B. À sa boîte à merveilles.
Q16. La boîte à merveilles avait-elle toujours le même effet
sur le narrateur ?
* A. La boîte avait perdu sa métamorphose.
* B. La boîte le plongea dans l’admiration.
* C. La boîte le transporta dans le monde invisible.
Réponse: A. La boîte avait perdu sa métamorphose. « J’ouvris la
Boîte… afin de jouir plus intensément du spectacle.
L’enchantement disparut, je trouvai simplement un cabochon de
verre, des boutons et des clous sans âme et sans mystère. »