Chapitre 1 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : une contrainte ‘‘sigma’’ est le rapport d’une surface ‘‘S’’ à une force ‘‘F’’.

A

Faux (sigma = F/A)

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2
Q

Vrai ou faux : Si la longueur initiale ‘‘L’’, égale à 200 mm, subit un allongement ‘‘delta L’’ de 24 mm, la déformation ‘‘epsilon’’ est égale à 1,2 %.

A

Faux (A% = 12 %)

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3
Q

Vrai ou faux : Le cisaillement ‘‘gamma’’ est produit par la composante de la contrainte normale au plan de cisaillement.

A

Faux (contrainte parallèle au plan de cisaillement)

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4
Q

Vrai ou faux : Le module de Young d’un matériau est égal au rapport de la contrainte de traction ‘‘sigma’’ à la déformation principale ‘‘epsilon’’ dans le domaine élastique.

A

Vrai (E = sigma / epsilon)

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5
Q

Vrai ou faux : Le module de Coulomb (ou de cisaillement, ou de rigidité) ‘‘G’’ est égal au rapport du cisaillement ‘‘gamma’’ à la cission ‘‘tau’’ dans le domaine élastique.

A

Faux (G = tau / gamma)

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6
Q

Vrai ou faux : Le module de Young ‘‘E’’ et le module de Coulomb (ou de cisaillement) ‘‘G’’ d’un matériau sont deux grandeurs totalement indépendantes l’une de l’autre.

A

Faux (G = E/2(1 + ν))

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7
Q

Vrai ou faux : Pour un solide soumis à une traction simple, le coefficient de Poisson ‘‘nu’’ est la valeur absolue du rapport de la déformation transversale (‘‘epsilon x’’ ou ‘‘epsilon y’’) à la déformation principale de traction (‘‘epsilon z’’).

A

Vrai

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8
Q

Vrai ou faux : La limite proportionnelle d’élasticité ‘‘Re’’ est une grandeur que l’on définit sans ambiguïté sur une courbe de traction.

A

Faux, c’est pourquoi on utilise plutôt Re0,2, soit la contrainte à laquelle correspond une déformation plastique permanente égale à 0,2%.

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9
Q

Vrai ou faux : Àa sa limite conventionnelle d’élasticité ‘‘Re0,2’’, un matériau a subi une déformation élastique réversible égale à 0,2%.

A

Faux, c’est une déformation permanente (non réversible).

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10
Q

Vrai ou faux : La striction observée dans les matériaux ductiles en limite leur emploi en compression.

A

Faux

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11
Q

Vrai ou faux : Quand un matériau manifeste un comportement élastique linéaire, la contrainte ‘‘sigma’’ est proportionnelle à la déformation ‘‘epsilon’’.

A

Vrai (loi de Hooke)

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12
Q

Vrai ou faux : Dans le domaine de déformation plastique, la déformation ‘‘epsilon’’ est directement proportionnelle à la contrainte ‘‘sigma’’, c’est-à-dire que ‘‘epsilon’’ = k*'’sigma’’, où k=cte.

A

Faux

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13
Q

Vrai ou faux : Dans le domaine de déformation élastique, la déformation du matériau est irréversible.

A

Faux (déformation élastique = déformation réversible)

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14
Q

Vrai ou faux : Dans le domaine de déformation plastique homogène, la section de l’éprouvette de traction reste constante tout le long de l’éprouvette.

A

Vrai (voir p.13, il y a striction seulement dans le domaine de déformation plastique (après Rm).

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15
Q

Vrai ou faux : Dans le domaine de déformation plastique inhomogène, la section de l’éprouvette de traction reste constante tout le long de l’éprouvette.

A

Faux (il y a striction).

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16
Q

Vrai ou faux : Définie sur la courbe de traction d’un matériau, la résistance à la traction ‘‘Rm’’ du matériau est toujours égale à la contrainte pour laquelle se produit la rupture de l’éprouvette de traction.

A

Faux

17
Q

Vrai ou faux : Pour toute valeur de la contrainte, la déformation totale d’une éprouvette de traction est la somme d’une déformation élastique et d’une déformation plastique.

A

Vrai

18
Q

Vrai ou faux : La surface sous la courbe de traction est égale à l’énergie par unité de volume dépensée pour déformer le matériau jusqu’à sa rupture.

A

Vrai

19
Q

Vrai ou faux : Pour une valeur donnée à la déformation, l’énergie par unité de volume de matériau est la somme d’une énergie élastique et d’une énergie de déformation plastique

A

Vrai

20
Q

Vrai ou faux : À la rupture, le matériau restitue (libère) son énergie de déformation plastique accumulée.

A

Faux

21
Q

Vrai ou faux : L’énergie de déformation élastique accumulée est toujours restituable si la contrainte appliquée est supprimée.

A

Vrai

22
Q

Vrai ou faux : L’essai de flexion est principalement utilisé pour caractériser les propriétés mécaniques des matériaux fragiles.

A

Vrai

23
Q

Vrai ou faux : La microscopie optique permet d’obtenir des images ayant un pouvoir (limite) de résolution de l’ordre de 2 nanomètres.

A

Faux (ordre de 0,2 micromètre)

24
Q

Vrai ou faux : En microscopie électronique à balayage, les élections primaires tombant sur l’échantillon sont directement utilisés pour former l’image apparaissant sur l’écran cathodique du microscope.

A

Faux, ils sont collectés par un détecteur et le signal électrique obtenu est ensuite amplifé et sert à moduler l’intensité du faisceau d’électron (spot) d’un écran cathodique.

25
Q

Vrai ou faux : En microscopie électronique à balayage (MEB), la limite de résolution spatiale des images en électrons rétrodiffusés est de l’ordre de grandeur du diamètre du faisceau d’électrons primaires balayant l’échantillon.

A

Faux (le faisceau se déplace (balayage)).

26
Q

En microscopie électronique à transmission (MET), le contraste des images peut être dû à la différence d’absorption des électrons par les différentes régions de l’échantillon.

A

Vrai

27
Q

La tension ‘‘sigma’’ s’exerçant dans un plan, dont la normale fait un angle (pi-alpha) avec la contrainte nominale appliquée, est :

  • Parallèle au plan
  • Normale au plan
  • Directement proportionnelle à la contrainte nominale
  • Proportionnelle au cosinus de l’angle ‘‘alpha’’
  • Proportionnelle au carré du sinus de l’angle ‘‘alpha’’
A

Voir p.10
Normale au plan
Directement proportionnelle à la contrainte nominale
Proportionnelle au carré du sinus de l’angle ‘‘alpha’’

28
Q

La déformation élastique provoquée par une tension ‘‘sigma’’ dans un matériau ayant un comportement élastique linéaire est :

  • fonction du temps d’application de la charge;
  • instantanée;
  • proportionnelle à la contrainte appliquée;
  • proportionnelle au module d’Young du matériau;
  • partiellement permanente;
  • réversible.
A

Proportionnelle à la contrainte appliquée
Réversible
Instananée

29
Q

L’énergie de déformation plastique provoquée par une tension ‘‘sigma’’ dans un matériau est :

  • Restituable
  • Une énergie élastique
  • Dépensée de façon irréversible
  • Partiellement permanente
  • Proportionnelle au module d’Young du matériau
  • Directement proportionnelle à la contrainte appliquée
A

Dépensée de façon irréversible.

30
Q

L’énergie de déformation élastique d’un matériau soumis à une contrainte ‘‘sigma’’ est égale :

  • [contrainte] x [déformation élastique];
  • [contrainte] x [déformation plastique];
  • [contrainte] x [déformation élastique] * 1/2;
  • [contrainte^2] x [Module d’Young] * 1/2;
  • [carré de la déformation élastique] x [Module d’Young] *1/2.
A

Voir p.17

  • [contrainte] x [déformation élastique] * 1/2;
  • [carré de la déformation élastique] x [Module d’Young] *1/2.
31
Q

Un essai de flexion à trois points d’appui a les caractéristiques suivantes :

A
  • La contrainte est maximale sur les deux faces opposées normales à la force appliquée
  • La contrainte maximale de compression est située au point d’application de la force.
32
Q

À quelle méthode de dureté s’appliquent les caractéristiques suivantes :
1 - Pénétrateur conique
2 - La dureté en fonction de la profondeur de l’empreinte
3 - L’essai requiert l’application d’une précharge
4 - Le paramètre mesuré est la profondeur de l’empreinte

A

Rockwell C

33
Q

À quelle méthode de dureté s’appliquent les caractéristiques suivantes :
1 - Pénétrateur sphérique
2 - La dureté d’exprime en unités de contrainte
3 - L’essai de requiert pas de précharge
4 - Le paramètre mesuré est le diamètre de l’empreinte

A

Brinell

34
Q

À quelle méthode de dureté s’appliquent les caractéristiques suivantes :
1- Pénétrateur pyramidal
2 - La dureté d’exprime en unités de contrainte
3- L’essai de requiert pas de précharge
4- Le paramètre mesuré est la diagonale de l’empreinte

A

Vickers

35
Q

À quelle méthode de dureté s’appliquent les caractéristiques suivantes :
1 - Pénétrateur sphérique
2 - La dureté en fonction de la profondeur de l’empreinte
3 - L’essai requiert l’application d’une précharge
4 - Le paramètre mesuré est la profondeur de l’empreinte

A

Rockwell B

36
Q

Quel est le pouvoir de résolution spatiale associé à la microscopie optique ?

A

0,2 micromètre

37
Q

Quel est le pouvoir de résolution spatiale associé à la microscopie électronique à balayage ?

A

2 nanomètres

38
Q

Quel est le pouvoir de résolution spatiale associé à la microscopie électronique à transmission ?

A

0,2 nanomètres

39
Q

Vrai ou faux : Les matériaux à très forte énergie de cohésion ont une température de fusion basse.

A

Faux