Chap 10 Flashcards
localisation d’un son
2 oreilles : essentielles pour déterminer les emplacements auditifs.
Différences de temps interaurales
différence de temps entre un son arrivant à une oreille par rapport à l’autre (ITD).
Azimut : angle d’une source sonore sur le plan horizontal par rapport à un point au centre de la tête entre les oreilles. angle augmente dans le sens des aiguilles d’une montre, 180 degrés étant directement derrière.
localisation sonore :
Physiologie de l’ITD : Olives médiane supérieure = entrées des 2 oreilles contribuent à la détection des ITD. ITD forment des connexions à partir d’entrées provenant de 2 oreilles au cours des premiers mois de vie.
2 modèles pour détecter les différences temporelles
1er : différences entre les longueurs des axones neuronaux provenant des 2 oreilles pourraient fournir un délai pour détecter de minuscules différences de temps pour localiser les sons.
2eme : onde sonore se déplacer le long de membrane basilaire. cerveau utilise de petites différences de fréq entre les 2 oreilles pour mesurer le temps.
localisation du son
● La première synapse est au noyau cochléaire.
● La deuxième synapse est dans les MSO. (tronc c)
Différence de niveau interaurales (ILD) : différence de niveau (intensité) entre un son arrivant à une oreille par rapport à l’autre.
Pour les fréquences supérieures à 1000 Hz, tête bloque une partie de l’énergie atteignant l’oreille opposée = une ombre sonore
ILD = + grand à 90 degrés et -90 degrés; inexistant pour 0 et 180 degrés
ILD + grand pour sons de fréq + élevée.
pas de différences entre les fréq basses.
physiologie des ILD :
olives supérieur latéral = entrée des 2 oreilles qui contribuent à la détéction de l’ILD.
connexions excitatrices a l’olive proviennent de l’oreille ipsilatérale.
connexions inhibitrices a l’olive proviennent de l’oreille controlatérale
cerveau les compare pour voir de ou vient le son.
localisation sonore
Après une synapse dans le noyau cochléaire, les infos de chaque oreille sont transmises à la fois à l’olive supérieure médiane (MSO) et à l’olive supérieure latérale (LSO) de chaque côté du tronc cérébral. Le noyau médiane du corps trapézoïdal (MNTB) génère des entrées inhibitrices de l’oreille du côté opposé de la tête
probleme pour l’utilisations des itd et ild :
Cône de confusion
- Cône de confusion : région de positions dans l’espace où les sons produisent les mêmes ITD et ILD.
mvts de la tête : ITD et ILD des sources sonores changent, et une seule reste correspondante avec les anciennes.
formes de pavillons
Fonction de transfert directionnel (DTF) : cmt on modifient l’intensité des sons avec différentes fréquences qui arrivent à chaque oreille à partir de différents emplacements dans l’espace.
Chacun a son propre DTF.
lorsqu’on modifie les pavillons, ca av avoir un impact sur nous su début, mais nous allons vite nous réadapter.
perception de la distance
- Signal le plus simple : intensité relative du son
- Loi du carré inverse : la diminution d’intensité est égale à la distance au carré
- Composition spectrale des sons : les hautes fréq diminuent en énergie que les basses fréq lorsque les ondes sonores se déplacent de la source à une oreille.
quantités relatives d’énergie directe par rapport à l’énergie réverbérante.
sons complexes
Fréq fondamentale : Fréq + basse du spectre harmonique.
cerveau calcule le “plus petit dénominateur commun” des fréq pour déterminer la fréq fondamentale.
attention auditive
réflexe de sursaut acoustique = rép motrice très rapide à un son soudain.
très peu de neurones impliqués dans le réflexe de sursaut, réponses sont donc très rapides.
dépend de notre état émotionnel.
Surdité d’inattention : incapacité à remarquer un son audible, mais inattendu parce que l’attention était sur un autre flux auditif.
cocktail party
Des mécanismes perceptifs nous permettent d’estimer les sources sonores individuelles à partir de mélanges.
musique
sons musicaux s’étendent sur une gamme de fréq d’environ 25 à 4500 Hz.
Hauteur : aspect psychologique des sons lié à la
fréquence perçue.
Octave : intervalle entre 2 fréq sonores ayant un rapport de 2:1.
hauteur de tonalité : qualité sonore correspondant au niveau de hauteur. La hauteur de tonalité = liée de manière monotone à la fréq.
Chrominance des tons : Une qualité sonore partagée par des tonalités qui ont le même intervalle d’octave
oreille absolue
capacité rare, capables de nommer ou de produire des notes très précisément sans comparaison avec d’autres notes.
mélodie et tempo
Une séquence de notes ou d’accords perçus comme une seule structure cohérente.
Tempo : La vitesse perçue de la présentation des sons (bat/min)
régions antérieures du cortex auditif responsable du traitement de la musique.
production vocale
tractus vocale : voie aérienne au-dessus du larynx utilisée pour la production de la voix. Comprend les voies orales et les voies nasales.
Respiration et phonation
- Initiation de la parole = diaphragme pousse l’air hors des poumons, à travers la trachée, jusqu’au larynx
phonation = cordes vocales vibre a cause de l’air qui sort des poumons.
appareil vocale
un débit de conversation courante = environ 1 litre d’air/s.
Enfants: petites cordes vocales, voix hautes.
Adultes: cordes vocales + massives, voix basses
cordes vocales
se ne sont pas des cordes.
larynx instrument à vent.
articulations = on peut modifier la forme de notre appareil vocal en manipulant notre mâchoires, lèvres, corps de leur langue, le bout de leur langue et leur velum.
modèle source filtre
Formant : résonance du tractus vocal qui crée un pic dans le spectre de la voix.
spectrogramme : modèle d’analyse sonore qui fournit un affichage 3D, traçant le temps sur l’axe horizontal, fréq sur l’axe vertical et l’intensité en couleur ou en échelle de gris.
perception catégorielle
manipuler les stimuli sonores pour qu’ils
varient continuellement de « bah » à « dah » à « gah.
réponse éléctrophysiologique à la voix
Réponse préférentielle (VSR) à 320 ms post-onset.
Réponse préférentielle à la voix dès 164 ms post-onset
interaction visio-auditives
Effet McGurk : ce qu’un auditeur voit en regardant le visage d’un locuteur affecte le son qu’il entend.