Catégorisation des symptomes Flashcards
qui amène pour la premire fois le terme schizophrénie
eugen bleuler
les 4 a de bleuler dans la schizophrénie
Associations relâchées
affectent la capacité à raisonner de façon cohérente
Affectivité inappropriée
manifestation d’émotions inappropriées aux circonstances
Ambivalence
émotions et attitudes contradictoires envers les gens
Autisme
retrait social et préférence pour son monde intérieur
Les commorbitidé sont une preuve que c dure de catégoriser les troubles mentale. (pcq quand ya commornidité tu met les gens dans 2 catégories) définition de catégorie = devraient être mutuellement exclusives entres elles.
nomme tous les personnages en lien avec classification des tmg dans l’ordre
1)Philippe Pinel publie en 1801 le Traité médico-philosophique sur l’aliénation qui distingue . La classification actuelle des troubles mentaux graves tire ses origines du 19ième siècle. Mélancolie
Manie
Démence
Idiotisme
2)Emil Kraeplin A créé l’embryon des catégories DSM d’aujourd’hui.
Par plus de 1000 études de cas, détermina des groupes de symptômes reliés à des catégories
3)Bénédict Augustin Morel Démence précoce («sénilité de la jeunesse») : terme utilisé pour la première fois par le psychiatre français Bénédict Augustin Morel au milieu des années 1800.
4)Eugene Bleuler Rejette le terme démence précoce
Introduit le terme de schizophrénie en 1911
Réfute l’idée d’une évolution nécessairement dégénérative
Croit que la schizophrénie est le résultat d’un désordre biologique, mais s’attarde au contenu psychologique des symptômes
Voit un continuum entre la schizophrénie et la maniaco-dépression
5) Karl Jaspers Notions de compréhension et d’explication des symptômes.
Les expériences d’un individu peuvent être comprises si elles sont significatives selon sa personnalité et son histoire de vie – les névroses.
Les psychoses ne seraient pas compréhensibles et seraient donc explicables par un désordre biologique.
6)Adolf Meyer (1866 – 1950) “We should give up the idea of classifying people as we do plants.”
Croit en l’impact de l’histoire personnelle sur la manifestation des symptômes.
Milite pour une approche holistique de la psychiatrie dans laquelle les aspects biologiques, psychologiques et sociologiques seraient considérés d’importance égale.
7) Kurt Schneider Décrit les «symptômes de premier ordre» qui permettent de distinguer le vécu d’une personne ayant la schizophrénie d’une ne l’ayant pas (diagnostic différentiel) :
8) Suivant les traces de Bleuler, Kasanin propose en 1933 le concept de «psychose schizo-affective» pour décrire les personnes se situant entre la schizophrénie et le trouble maniaco-dépressif
9) Leonhard introduit les termes «trouble bipolaire» et «dépression unipolaire» en 1957, distinguant les personnes souffrant de manie et de dépression de celles souffrant uniquement de dépression
les 3 troubles trouvés par Emile Kraeplin
dementia praecox
insanité maniaco-dépressive
paraphrénies / paranoïa
névroses vs psychoses selon Karl jaspers
Névrose, psychose qui peut être comprise, déchiffrée
psychose= psychose qui ne fait pas de sens selon lui.
nomme 4 problemes avec les catégorisation des tmg
Les catégories devraient être exhaustives et mutuellement exclusives
Les catégories devraient être liées à une étiologie particulière
Guider le traitement et prédire la réponse à celui-ci
Prédire le pronostic
nomme les commorbidité avec la schizophrénie
trouble de panique
ptsd (souvent causé par hospitalisation)
TOC
Dépression
abus de substance (pour diminuer symptomes négatifd meme si amene plus de symptomes positifs)
A créé l’embryon des catégories DSM d’aujourd’hui
Emile krae
nomme les trois catégories de emile krae et dans l’ordre
dementia praecox, demantia praecox et insanité maniaco-dépressive,
dementia precox et paraphrénies / paranoïa
les 3 symptômes de la démencia praecox et le plus commun
- Catatonie (Kahlbaum) : stupeur, postures anormales
-Hébéphrénie (Hecker) : trouble frappant à l’adolescence et entraînant comportements erratiques et détérioration rapide de toutes les fonctions mentales
-Démence paranoïde : peurs étranges et sentiment de persécution
Symptôme le plus commun = hallucinations (surtout auditives)
qui voyait la schizophrénie comme plus détérioratif et dégénératif
emil pi apres bleuler yé genre nono fec change le terme démence
nom de ces troubles et le nom de leur créateur
Surtout délires paranoïaques sans pathologie émotionnelle et volitionnelle
Trouble de l’humeur
Patron cyclique d’épisodes de maladie et de rémission relative
Première conception
36 symptômes psychiques
19 symptômes physiques
emile
1)paraphrénie/paranoia
2)insanité maniaco=dépressive
3)démencia praecox
explique un peu le concept de pierre de rosette de emile Kraepelin
si on est capable de recenser les symptômes chez qq, on peut regrouper en une catégorie tous les gens qui ont les mêmes symptômes, ce qui va faciliter les diagnostics et on va utiliser le fait qu’ils sont dans le même groupe pour arriver à des conclusions et utiliser le même traitement pour tous les gens dans le même groupe.
comme la pierre on utilise qqch pour déchiffrer qqch d’autre. symptomes pour mieux comprendre diagnostique
de qui parle-t’on?
-voit pas usage de faire diff catégories de la schizo.
-voit plutot causes bio. de la schizo mais travaille plus sur le coté psycho. des symptomes
-voit continuum entre schizo et maniaco.
eugen bleuler
We should give up the idea of classifying people as we do plants.”
Croit en l’impact de l’histoire personnelle sur la manifestation des symptômes.
Milite pour une approche holistique de la psychiatrie dans laquelle les aspects biologiques, psychologiques et sociologiques seraient considérés d’importance égale.
qui a dit ca?
adolf Meyer
la dépression unipolaire comment on l’appelerait ajd
dépression majeure
explique la division des tmg en 1975
psychose vs nevrose.
dépression névrotique
dépression plus passagere
qu’est-ce qui rend le dsm5 un outil de qualité
approche empirique
central au probleme de la classification diagnostique
Lien entre symptômes psychotiques et affectifs est central au problème de la classification diagnostique.
arguments pk les catégories c pas necessairement bon
a cause ue ya tellenent de commorbidités
les symptomes psychotiques sont bcp plus commun dans la société qu’on pense et les catégories enlevent un peu l’idées de continuum. moins de zone grise. pas
où on classe une personne qui a le symptomes d’une catégorie mais qui ne sent pas de détresse?
tous les catégories n’ont pas les mêmes étiologies
une catégorie devrait guider sur le traitemnt d’une catégorie et la réponse à ce traitement pourtant, les traitement sont souvent plutot efficace quand ils sont spécifique au symptomes plutot qu’au diagnostique (expérience antipsychotiques vs stabilisateurs d’humeur)
devrait guider le pronostique pourtant le pronostique de la schizophrénie a cahngé a travers les années. et la prédiction de pronostic est tres faibles pour plusieurs trouble on sait pas si ils vont bien s’en sortir, ca peut etre tres variable dans une meme catégories
avantages de la catégorisation
Faciliter la recherche en permettant l’utilisation de groupes de
participants homogènes
Faciliter la communication entre professionnels
Plus simple pour les assurances
nomme une bonne façon standardisée de mesurer les symptomes, mesurer leur intensité, leur fréquence, si il est enahissant
brief psychatric rating scale (bprs). pour les trouble psychiatriques mais surtout troubles psychotiques,
Entrevue semi-structurée dont le mode de passation habituel correspond à un examen psychiatrique classique
Temps de passation : 20 à 30 minutes
les gens répondent sur une échelle de likert de 1 a 7.
ya des symptomes qui s’observent visuellement aussi